Histoire de Philthyphil
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Depuis cette expérience Céline est devenue ma chienne docile, ma pute obéissante, ma salope offerte et je continue son dressage. Non seulement elle est soumise mais en plus elle a découvert un côté de sa personnalité qu’elle aime et qui est pour elle une source de plaisir et d’excitation. Plusieurs autres rencontres se sont passées depuis. Et une particulière dont je me souviens.
Un jour, après m’avoir sagement pompé la queue et vidé les couilles, je lui ordonnai de s’habiller et de rester comme ça avec des traînées de sperme plein la gueule. J’avais joui en quantité importante sur son visage et divers jets s’étaient répandus sur ses cheveux, ses joues, ses lèvres et son front. J’avais pris soin de changer à chaque fois la direction des giclées pour qu'elle soit recouverte partout.
- Ne te lave pas, je t’emmène voir des amis dans cet état.
Elle mit une jupe et un débardeur en prenant soin de ne pas effacer le sperme qu’elle avait sur le visage avec le passage du coton. Dans la rue, elle avait mis des lunettes de soleil, mais on voyait clairement des traînés de sperme sur ses joues, son front et dans les cheveux. Je me tenais un peu devant elle et me retournait régulièrement pour profiter du spectacle ou prendre quelques photos avec mon téléphone. Le foutre commençait à perler et des gouttes pendaient le long de son menton. C’était bandant ! Des passants semblaient choqués d’autres agréablement surpris. Certains mecs lui faisaient des réflexions carrément salaces et vicieuses en la croisant. Le mot pute revenait souvent. Je me souviens de quelques phrases qui m’ont pas mal excité.
- Allez chérien viens me vider les couilles à moi aussi, s’pèce de salope vulgaire !
- P’tain t’as vu ta gueule t’es vraiment qu’une serpillière à foutre !
- C’est du sperme que t’as sur la gueule ? T’es une pornstar ou t’es la banque du sperme ?
Un rital qui passait dans une rue pratiquement déserte la plaqua contre un mur, prit son avant-bras avec sa main et l’obligea à lui caresser la bite au travers de son pantalon. Elle fut surprise mais ne cria pas. Je regardai la scène en me rapprochant au cas où. Elle prit l’initiative de lui sortir la queue et de la branler. Le mec s’agrippait à ses nichons et ne mit pas longtemps à venir. Il éjacula sur sa cuisse et repartit directement en l’insultant en italien.
Mon jean était déformé par une bosse énorme. La scène m’avait tellement excité que je décidai de rebrousser chemin et d’augmenter d’un cran l’humiliation que je portais à ma propre copine. Céline semblait ravie. Le sperme qu’elle avait sur le visage commençait à partir, évaporé par le soleil et avalé par les pores de sa peau.
Nous sommes repassés à l’appartement et je lui confectionnai une tenue des plus vulgaires et obscènes possible, à la limite de la décence. Des talons noirs plateforme de 20 cm de hauteur, des bas à grosses résilles roses, une mini jupe moulante blanche transparente et un chemisier à nouer en dessous des seins. Elle comprit vite où je l’emmenais et le jeu que je voulais réaliser avec elle. Elle ne semblait pas gênée ou craintive et ne se fit pas prier pour s’habiller de la sorte. Elle enfila un string noir qu’elle fit dépasser de la mini -jupe, s’appliqua des faux cils et se maquilla à outrance : Fard à paupière bleu, eyeliner noir, joues fardées rose et un rouge à lèvre rose bonbon accentuant encore davantage sa bouche de pompeuse de queues. Elle passa même des boucles d’oreilles à grands anneaux, le type même que les pouffiasses mettent. Le tout complété par un collier en cuir de chienne avec des pics en métal et un anneau au milieu.
Elle était enfin prête, debout, dressée devant moi comme une vulgaire pute, une catin de bas-étage, une prostituée peu onéreuse de la rue Saint-Denis. J’avais envie de lui cracher à la gueule ou de la prendre par les cheveux pour la forcer à s’agenouiller et lui faire bouffer littéralement ma queue, mais je voulus accroître l’excitation et nous sortîmes. Elle ressemblait au type même de la pornstar blonde américaine dans un film gonzo sans histoire.
Arrivé dans la rue, je pris un peu de distance. Les ficelles de son micro string noir dépassaient de chaque côté de la mini-jupe transparente, ses fesses étaient intégralement visibles en plein soleil, et beaucoup l’ont remarqué. Le triangle de tissu était vraiment minuscule. Elle faisait exprès de se tortiller et de rouler du cul. Elle s’alluma une cigarette et se dandina comme ça en descendant la rue. On aurait réellement cru à une vraie pute en train de tapiner. Sans soutien-gorge, son 95D débordait de la chemise blanche déboutonnée. On apercevait ses tétons dressés au travers et le contour de ces deux grosses boules. La hauteur des talons lui allongeait encore davantage les jambes, elle avait du mal à marcher mais dépassait tout le monde en hauteur. Les passants la dévisageaient, elle se devinait enviée, jalousée ou critiquée. Elle était aguicheuse, provocante, obscène. Plusieurs mains lui claquèrent les fesses sur le chemin, les insultes fusaient. Quelques flashs crépitaient également et je voyais des types la prendre en photo en rigolant. Un couple de vieux s’est carrément arrêté scandalisé.
- Quelle salope !
- Mais quelle grosse pute ! Elle a même un collier de chienne à dresser !
- Hé chérie, c’est combien pour m’sucer la queue ? demanda un rebeu accompagné par trois potes.
- Toi t’as du en sucer des kilomètres de bites ! Reprit-il.
Un de ses potes fit remarquer qu’on lui voyait tout le cul. Il avait complètement raison.
- Allez viens te faire péter le cul, pouffiasse !
Qu’on la prenne pour une pute était tellement excitant que je voulus pousser le vice jusqu’au bout, et de go je leur proposai de se faire sucer la queue par cette chienne dans le parc d’à côté pour 10 euros chacun. 10 euros est le tarif que je mettais sur cette traînée vulgaire. Bien qu’avec un corps comme le sien, on eut pu monter la somme mais à ce moment-là, vêtue comme elle l’était, je ne l’estimais pas à plus et je souhaitais l’avilir et l’humilier. Sur le chemin, les mecs lui touchaient le cul et commençaient déjà à bander. Ses gros seins ballottaient et rebondissaient à chaque pas. Des badauds la sifflaient et se retournaient sur elle. Un des mecs lui mit deux doigts sans sommation en pleine rue.
- Putain mais c’est que tu mouilles comme une pute. Dit le type ressortant ses doigts plein de cyprine.
Ils n’en pouvaient plus et la trituraient de partout, lui malaxant les seins en pleine rue et en plein jour, lui remontant sa mini-jupe pour exhiber à quiconque voudrait le voir ce petit cul. Ils trifouillaient son anatomie. Ils lui tiraient le string, le minuscule bout de ficelle disparaissant dans sa raie. Elle roulait toujours du cul exagérément, en se léchant les doigts ou en suçant son index, le cul à l’air. Des voitures klaxonnaient ma copine, habillée comme une vulgaire prostituée, en string dans les rues de Paris, avec une chemise nouée sous les seins qui exposait son ventre et ses hanches. Je bandai. Elle me sourit.
Arrivés au parc, beaucoup de personnes ont levé les yeux, déshabillant du regard Céline qui n’était déjà pas très vêtue mais qui avait réussi à recouvrir ses fesses rebondies avec sa mini-jupe. Nous trouvâmes un petit bosquet ombragé avec quelques haies relativement hautes qui nous cachaient un peu. J’avais remarqué quelques hommes qui nous suivaient et nous épiaient de loin. Elle commença à caresser la queue des trois mecs au travers du jean. Elle se frottait le cul à un des types, cambrée, en branlant les queues qu’elle venait de sortir. Sa jupe fut enlevée par le haut.
- Oh putain, elle est trop bonne, quel garage à bites ! Sortit un des types en lui malaxant ses nibards.
- Ils sont énormes, la vache, vous avez vu les meules, les gars ?
Céline semblait excitée et ravie.
- Oui, ils sont énormes et tu pourras même les recouvrir de foutre, si tu veux, mais t’as intérêt à éjaculer ! Répondit ma copine, accroupie, le cul de nouveau à l’air, en se malaxant ses énormes nibards.
- S’pèce de pute tu vas pas comprendre ce qui va t’arriver !
Ses tétons dépassaient et le bout de tissu qui couvrait jusqu’alors sa poitrine ne dissimulait plus grand-chose. Elle sortit ses deux obus et vint entourer la queue du mec avec. Bien que la queue du type soit assez longue, sa poitrine la recouvrit presque entièrement. Seul son gland dépassait. Le rebeu lui agrippa la nuque et se branla entre ses seins, balançant ses reins d’avant en arrière, en lui imposant son rythme.
- Branle-moi avec tes mamelles de pute, Ah pauvre conne, c’est trop bon. Allez salope, branle-moi. T’es trop bandante !
Elle tenait ses seins dans ses mains et venait lécher le gland de temps en temps quand il ressortait par le haut. Puis d’un coup, elle lui prit la bite et l’enfonça dans sa bouche, son autre main lui soupesant les couilles. Le mec poussa un râle de satisfaction.
- Salope je savais que t’étais une gourmande. J’parie que t’as ouvert plus de braguettes que de dictionnaires dans ta vie.
- Oh, c’est des bonnes grosses couilles qu’on va vider sur ma gueule, ça. Réussit à prononcer Céline.
- Ta gueule salope et suce plutôt que d’ouvrir ta bouche de truie !
Elle s’exécuta.
De nouveaux clients arrivèrent et plusieurs personnes lui demandèrent son tarif. 10 euros la pipe messieurs. Et moi j’encaissai les gains pendant que ma copine, devenue une pute au rabais suçait, léchait et pompait en alternant les queues. Moyennant quelques euros tout le monde pouvait se vider les couilles sur elle, petits, grands, gros, laids… Les mecs formaient une chaîne. Elle, à quatre pattes comme une chienne, venait sucer les types, bien alignés, au fur et à mesure. Les queues étaient dressées à la hauteur de sa bouche. Elle léchait les couilles de l’un pour ramper à quatre pattes vers le suivant et venir lui aspirer le gland, le cul bien en l’air. Pendant qu’elle s’appliquait à sucer, les autres l’obligeaient à leur branler la bite.
Les clients se soulagèrent en se vidant sur sa gueule ou sur ses seins. Le sperme jaillissait de partout et venait s’écraser sur ce visage de prostituée. Il lui recouvrait et lui inondait peu à peu les lèvres, les cheveux, et les yeux. Un des mecs lui ordonna de tendre les mains et recevoir ainsi le foutre comme un réceptacle. Elle dut tirer la langue et avaler son sperme dans sa paume. Elle se lécha les doigts ensuite avec ce qui restait.
Un autre mec est arrivé par-derrière et lui présenta sa bite encore molle qu’elle avala sans rechigner. Elle lui goba les couilles, le lécha pour remonter le long de sa hampe et atteindre son gland.
- Regarde-moi dans les yeux salope quand tu m’suces, pétasse !
Elle s’activait sur la queue du mec jusqu’à ce qu’il déverse toute sa semence sur son visage. Elle avait pris soin d’ouvrir sa bouche bien en grand et de tirer la langue pour avaler la plus grande quantité possible. Avec sa queue ramollie il étalait le liquide sur le visage de cette catin.
Ses seins, son visage et ses cheveux blonds étaient barbouillés de sperme chaud et gluant, et elle continuait de nettoyer le gland afin de récupérer les dernières gouttes de semence. Puis elle recommença à pomper les queues qui se présentaient devant elle.
C’était un objet sexuel, une poupée Barbie affublée en pute. Elle était entourée de queues. Son corps ne lui appartenait plus. Son corps de bimbo, ce cul étroit et mince, cette taille fine, ses seins exubérants appartenaient l’espace d’un instant à cette quinzaine de types, qui déboursant quelques euros eurent le privilège de la posséder. Ils envahissaient et investissaient cette bouche pulpeuse. Son rose à lèvres débordait de part et d’autre de ses lèvres. Les propriétaires tapaient leurs queues sur le visage de cette chienne en essayant de lui forcer la bouche déjà occupée avec un autre membre. Elle prit deux bites en même temps en bouche pendant que ses mains en branlaient deux autres. Sa bouche était distendue, sa gorge ployait sous les coups de boutoir. Tous les hommes l’insultaient, lui triturant le sexe, la bifflant, lui enfonçant des doigts dans le cul ou la chatte. Elle mouillait comme une chienne. Certains lui crachaient dessus et la forçaient à dire merci ou à tirer la langue pour avaler.
Un mec lui tira les cheveux pour lui faire bouffer sa bite. Il lui imposait son rythme et lui cala son gland tout au fond de la gorge. La queue du type l’étouffait, mais lui continuait son va-et-vient. Il lui baisait la bouche comme si c’était son cul ou sa chatte. Sa bite avait disparu dans la gorge de Céline, sa mâchoire était grande ouverte et elle réussit quand même à déployer sa langue hors de sa bouche pour venir lécher les couilles du mec. Elle n’arrivait plus à respirer.
- Avale ça ! Avale tout souillon, une bonne pute comme toi ça avale. Dit le mec en éjaculant dans la gorge de ma copine.
Le jet était trop puissant et pour ne pas suffoquer, elle dut se retirer en toussant. Manquant de chanceler elle se retint au sol. Un peu de sperme coula le long de son menton.
- Salope ! je t’avais dit de tout avaler ! t’en as foutu sur mes pompes maintenant tu nettoies tout connasse !
Céline comprit avec quoi elle devait nettoyer. Elle se cambra, se plaça à quatre pattes, la croupe bien en l’air, elle déploya sa langue et se mit à lécher le foutre qu’elle avait recraché. Sa tête était à quelques centimètres du sol, elle nettoyait avec sa langue la chaussure crade du mec. Un type profita de sa posture pour lui assener une gifle sur le cul. Il tenta de l’enculer à sec, mais je l’arrêtai avant.
- lèche serpillière à foutre ! éponge à sperme ! J’en ai pas eu pour mon fric ! Tu vaux pas plus que 10 euros sale traînée. Tu vaux pas mieux que de lécher mes chiottes.
Elle se redressa en bombant le torse, ses deux énormes seins pointés vers le type, elle ouvrit en grand la bouche pour bien lui montrer la semence récupérée et déglutit le tout en souriant comme la dernière des salopes pour le provoquer.
- Ça c’est une bonne chienne ! J’sais pas combien de queues tu pourrais avaler avant d’être rassasié toi… On devrait te menotter à un arbre pour te faire sauter et servir de réceptacle à foutre par tous les passants.
Son visage était maculé de sperme, les cheveux gluants. Elle se remit à finir de sucer les derniers clients. Au comble de l’humiliation elle semblait pourtant adorer se faire malmener. Le dernier mec, un gros type dont le ventre heurtait le visage de Céline à chaque à-coup la saisit par les cheveux et les tirant en arrière se masturba sur son visage maculé de foutre. Je ne l’avais même pas fait payer. Son gros sexe était sale et odorant. Ses doigts graisseux lui trituraient les seins. Je pris quelques photos de la scène. Le type n’avait jamais dû rêver pouvoir se taper un jour une fille avec ce physique.
- Elle te plaît hein! Salope, renifle la bien, Barbie. Voilà c’qu’on fait aux filles dans ton genre. Ah putain salope ! Prends-toi ça dans la gueule !
Il l’arrosa de longs jets de sperme épais, qui coulait sur ses deux gros obus, désormais à la vue de tous. Il lui ordonna de tout avaler et de nettoyer tout ce qu’elle avait sur le visage avec ses doigts. Elle récura le sperme pour ensuite tout avaler avec une mine de dégoût. Elle était à genoux, le maquillage coulant, les faux cils sur ses joues, haletante, couverte de sperme et de salive devant le sexe du type redevenu mou. Puis il se rhabilla, la gratifiant d’une légère tape sur la joue et d’insultes et repartit.
Elle a été exhibée, souillée, humiliée, mais elle s’est relevée, la mini-jupe tire-bouchonnée sur ses hanches, maculée de sperme. Elle semblait ravie. Le retour se fit beaucoup plus calmement.
FIN
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