Piégée au supermarché - Récits érotiques - Contrainte - soumission.
Le dimanche suivant, Robert arrive et me demande:
- Quels sont tes projets pour les congés annuels? ( ils commencent à la fin de la semaine)
- Je n’en ai pas, je n’ai pas les moyens de partir.
- Très bien, j’en ai pour toi, départ vendredi à l’aube.
Au jour dit, nous partons dans sa voiture, je suis à l’arrière, Julia occupe le siège avant. Nous portons toutes les deux des robes chemises assez courtes, sans rien dessous. Après quelques dizaines de kilomètres sur l’autoroute, Robert me fait déboutonner ma robe, deux boutons en haut, trois en bas, mes seins et ma chatte sont bien visibles.
Quand Robert double un camion, il prend bien soin de rester un moment à hauteur de la cabine, pour que le routier puisse bien voir. Vers midi, nous nous arrêtons sur une aire d’autoroute. Robert choisit de stationner non loin des camions. Après un moment, des semi-remorques que nous avons doublés arrivent. Robert se dirige vers l’un d’eux. Pendant qu’il revient vers nous, je vois les chauffeurs se regrouper.
Robert nous entraîne, Julia et moi vers le groupe.
- Elles sont à vous pendant une heure, amusez-vous les gars.
On me fait grimper dans une cabine. C’est plus spacieux que je ne le pensais. Poussée sur la couchette, le type s’installe entre mes cuisses, il introduit un doigt, puis deux dans ma chatte. Il sort sa queue de son pantalon, enfile un préservatif (voila quelqu’un d’organisé) et sans ménagement me pénètre.
Il me pilonne vigoureusement. 5 minutes plus tard, il a pris son plaisir. Je descends de la cabine, une dizaine de camions sont arrivés. Je suis entraînée vers un autre camion. Le gars ne prend même pas le temps d’aller sur la couchette, c’est sur le siège passager qu’il me fait le chevaucher. Là aussi il enfile une capote. Je redescends sur lui, je suis empalée. Il me fait monter et descendre sur sa bite. Ce n’est pas confortable, heureusement il ne tarde pas à jouir.
A peine libérée, je suis entraînée de nouveau, les cabines succèdent aux cabines. 1 heure 30 plus tard nous reprenons la route, nous sommes toutes les deux à l’arrière. Nous avons été prises 10 ou 12 fois chacune.
En fin d’après-midi, nous arrivons près de Marseille. Robert klaxonne devant un portail: celui-ci s’ouvre et nous entrons dans une cour d’immeuble. Un homme nous accueille, Robert et lui semblent bien se connaître.
- Voila la salope que tu dois dresser !
Il se tourne vers moi et dit :
- Voila, tu es ici à cause du refus de la semaine dernière. Après ton séjour ici, tu ne refuseras plus rien, je pense.
Il entraîne Julia vers la voiture et s’en va.
L’homme m’entraîne, nous remontons une file d’hommes jusqu’au deuxième étage. Je suis conduite à une chambre sommairement meublée : un lit, une table de chevet, une commode et un bidet. Sur le lit : un porte-jarretelles, des bas et un soutien-gorge.
- Tu enfiles ça. Les règles sont simples. Le type te présente un jeton; bleu il a droit à ta bouche, rouge il a droit aussi à ta chatte, noir il a droit aux trois orifices mais c’est ton cul qui l’intéressera. Dernier point, ils ont 10 minutes pour faire leurs affaires.
Je suis anéantie, me voila une pute à « l’abattage » (comme a précisé l’homme). Quelle déchéance ! Tout cela pour un petit larcin que j’ai refusé d’assumer. Mais Robert me tient avec les vidéos. Je me résigne.
Le défilé commence le soir même. Je reçois 50, 60 hommes, 7 jours sur 7. Les fins de semaines sont plus chargées encore, la tenancière me dit un jour que j’en ai reçu 80 le samedi.
Le mois passe, j’ai tout accepté. Et je suis prête à obéir à Robert, tout plutôt que de revivre cela. Chaque semaine je suis livrée à un ou plusieurs hommes, à des couples et aussi à des femmes dominatrices. Une fois je dois être soubrette, en compagnie de Julia. En bas, porte-jarretelles, soutien-gorge laissant les tétons découverts, bien sur sans même un string. Chaque fois que nous servons un plat nous sommes doigtées. A la fin du repas, comme il était indiqué sur la fiche qui nous avait été remise nous faisons également le service sous la table. Les convives, hommes et femmes sont nus de la taille aux pieds. Je passe d’une bite à une chatte, j’avale sperme et mouille.
Puis nous sommes entraînées au salon; et les hommes nous courbent sur le dossier du canapé. L’un d’eux me pénètre sans préambule ni préliminaire, heureusement les nombreux doigtages m’ont fait mouiller. Après s’être activé un moment dans ma chatte il entreprend de me sodomiser. Ma cyprine sert de lubrifiant, il s’enfonce en moi en grognant, m'attrape par les hanches et me besogne de toutes ses forces. Le canapé en tremble. Enfin il se vide en moi.
Ensuite je passe de mains en mains parfois des hommes d’autres fois une femme. Je termine la nuit avec un couple, pendant que je lèche la chatte de la femme, l’homme baise ma chatte. Je suis décidée à continuer cette vie de débauche. Je suis, certes, humiliée d’être considérée comme une pute, mais je ne peux m’empêcher de jouir sous les coups de bites ou sous les langues.
FIN
Très beau récie ! J aimerais beaucoup que ma femme sois dressé comme elle ! Pour quel devienne une bonne pute sans limite . Vous pouvez me contacté a ( pupierjeanluc@gmail.com )
RépondreSupprimerBonsoir dommage que l on est pas de suite !
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