dimanche 17 novembre 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 14

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Arrangements avec le patron de Christine.

Je me redressai et gonflai le torse en essayant de chasser l'appréhension qui me tenaillait. Je poussai les grandes portes de l'entreprise de Christine et pénétrai dans le hall d'accueil. Ma belle-mère qui se tenait à côté du distributeur de boisson vint vers moi ès qu'elle me vit. Elle paraissait beaucoup plus fraîche qu'il y a 20 minutes.

- Amène-moi à son bureau salope!

Je dus parler un peu trop fort car je vis Christine s'effrayer en regardant ses collègues féminines de la réception.

- Allez! Dis-je.

- Oui Maître. Chuchota-t-elle

Elle me conduit vers les ascenseurs et nous entrâmes dans le premier ouvert sur la droite. Une fois à l'intérieur, elle appuya sur le numéro 2. Trente secondes plus tard, l'ascenseur s'arrêta et ouvrit sur une large zone d'accueil décorée de deux grands canapés en cuir, d'un fauteuil et d'une table basse. Pour compléter ce mobilier coûteux, était accrochée au mur une télévision à écran large. Ma belle-mère me conduisit à droite de cette salle, le long d'un couloir, jusqu'à une porte décorée par une plaque dorée sur laquelle était gravé le nom du PDG : Francis MULLER. Deux autres portes portaient les noms de Daniel SUTOR et Robert WILFRIED avec la mention « ASSOCIE » collée aux patronymes. Une dernière double porte avait l'air de s'ouvrir sur une salle de conférence.

- Frappe à la porte! Ordonnai-je.

Timidement, Christine toqua deux fois puis recula.

- Entrez! Cria Francis de l'intérieur de son bureau.

Ma belle-mère hésitait alors je la poussai légèrement dans le bas du dos, manquant la faire tomber du haut de ses talons. Mais elle se stabilisa afin d'ouvrir la porte. Nous entrâmes dans l'immense bureau de Francis.

- Christine... Commença-t-il. Puis il s'arrêta lorsqu'il me vit pénétrer dans la pièce et refermer derrière moi.

Il était confus. Je devais rester confiant.

- Qui est-ce Christine? Et que voulez-vous?

Il resta assis dans son fauteuil, puissant et arrogant.

Je devais lui montrer le contrôle que j'exerçais sur son employée :

- Dis-lui qui je suis Salope!

Debout derrière elle, je regardai le changement d'expression de Francis alors que ses yeux déviaient de moi à elle. Il n'avait pas l'air paniqué.

Tout en baissant son regard vers le sol, Christine dit :

- C'est mon maître.

Francis rit, surpris.

- Votre maître! Vous devenez de plus en plus intéressante. Vous n'aviez pas l'air d'être la propriété de ce jeune homme aujourd'hui.

Il essayait de me rabaisser mais il ne s'attendait pas à ce que j'allais dire.

- Ouais. En tout cas, belle performance avec Marc et Nicolas lorsque vous lui avez éjaculé sur la figure tous les trois.

Je vis son sourire quitter lentement son visage. J'ajoutai :

- Vous allez comprendre Francis. C'est moi qui vous ai envoyé le message l'autre soir. Afin que vous vous rendiez compte des autres qualités de Christine.

- Hum...Fut tout ce qu'il trouva à dire alors je continuai :

- La femme qui se tient là est ma belle-mère Francis!

- Oh merde, c'est de plus en plus bizarre. Dit-il en s'enfonçant dans son siège.

- C'est ma belle-mère mais c'est aussi ma pute soumise. Elle fait ce que je lui dis. Et si elle se trouve dans des situations embarrassantes c'est que je l'ai décidé. Marc a installé une caméra dans son bureau. J'ai donc vu ses dernières activités de la journée et j'ai compris qu'il était temps que nous ayons une petite conversation ensemble.

J'avançai d'un pas, et attrapai une chaise sans y être invité, une façon pour moi de montrer mon assurance.

- Prenez un siège! Dit-il d'un ton sarcastique.

Je ne répondis pas à cette remarque mais je dis :

- Maintenant cela va être simple Francis. J'ai compris que ma pute va devenir une arme pour votre entreprise dans la conclusion de contrat. N'est-ce pas?

- C'est ce que j'avais prévu oui.

- J'aime bien son nouveau titre. Il sonne mieux que « pute de l'entreprise ». Voilà ce que je veux exactement...

Je me penchai sur son bureau.

- Afin que vous puissiez utiliser ma pute comme bon vous semble, je veux pouvoir la voir en action. Cela peut se faire par l'installation d'une caméra qui me transmettra les images à la maison.

- Est-ce tout? Demanda-t-il.

- Non. Je veux aussi un pourcentage sur l'argent gagné par son corps.

Francis réfléchit un moment avant de dire :

- Pourquoi ne vous dirai-je pas de foutre le camp avant de simplement renvoyer cette salope stupide?

Il espérait économiser un peu d'argent mais il était un homme d'affaire et il connaissait la valeur de Christine. Alors j'insistai :

- Vous êtes un homme d'affaire intelligent Francis. Vous savez très bien que vous perdriez beaucoup....

Il hocha la tête, me donnant raison. Il dit :

- Mais je ne suis pas en mesure de faire installer des caméras d'ici lundi.

Je le rassurai :

- Ce n'est pas un problème. Je suis sûr que vous avez assez d'influence pour demander à quelqu'un d'enregistrer tous les événements qui se produiront dans l'attente que le matériel soit installé.

- Pas de problème. Répondit-il

Pendant notre conversation, Christine était restée en arrière, attendant comme un petit chien bien docile. Il était temps de montrer à Francis comme elle m'obéissait et de lui montrer qu'on pouvait la sodomiser, chose que Francis n'avait jamais réclamé.

- Est-ce que cela vous dérange si je vous fais la démonstration d'une qualité de votre employée que vous n'avez pas encore exploré. Je suis certain que vous pourrez, à l'avenir, en tirer avantage lors de négociations.

- Allez-y! Si cela peut me rapporter plus d'argent...

Sans même regarder ma belle-mère, je lui ordonnai :

- Enlève ton chemisier, ta jupe et ton soutien-gorge. Puis viens à côté de moi et tourne-toi vers le mur là-bas.

Quelques minutes plus tard, elle était à côté de moi en ensemble jarretelle et talons, nous tournant le dos.

- Descend ta culotte jusqu'aux genoux, penche toi en avant et écarte les jambes autant que ta culotte le permettra.

Je vis Francis très étonné de l'obéissance de Christine à mes ordres. Elle suivit mes instructions à la lettre. Elle était penchée en avant, les jambes écartées, la culotte tendue entre ses genoux, les mains sur le sol. Ses gros seins étaient visibles entre ses jambes. Ils se balançaient lorsque que son équilibre changeait.

Je constatai :

- On dirait que vos employés et vous avez bien utilisé sa petite chatte.

Je tendis la main et laissai courir mon index sur ses petites lèvres gonflées jusqu'à son clitoris. Elle soupira.

- Vous savez Francis? Il n'y a rien de mieux que de voir sa pute bien baisée pour avoir une bonne érection.

- Euhhhh.... Oui. Elle a eu sa part de sexe aujourd'hui.

Francis semblait presque gêné de parler de cela avec moi.

- Ne soyez pas gêné pour parler Francis. Elle n'est qu'une pute après tout. Il faut juste ne pas lui infliger trop de douleurs et faire en sorte qu'elle ne rentre jamais marquée à la maison étant donné qu'elle a un mari pour le moment.

- Ne vous inquiétez pas! Je n'ai aucun intérêt à ce qu'elle soit marquée. Répondit Francis.

Je demandai à Christine :

- Revenons à nos moutons. Salope? Veux-tu ma bite dans ta chatte?

- Je veux toujours Maître. Mais je suis en mauvaise position. Me dit-elle en me regardant entre ses jambes.

- Dans ce cas, tu devrais peut-être préparer ton trou du cul pour moi.

Du coin de l'œil, je vis un sourire salace s'étendre sur le visage de son patron.

Christine demanda :

- Puis-je changer de position Maître?

- Non! Tu es très bien comme ça.

Sa main droite agrippa plus fermement le sol tandis que sa main gauche partit vers ses fesses. Un puis deux doigts pénétrèrent son cul serré. Elle gémit tout en travaillant son anus afin qu'il accepte ma bite.

En me levant et descendant pantalon et caleçon, libérant mon membre gonflé, je lui demandai :

- Es-tu prête Chienne?

- Pas encore Maître.

Elle haleta en accélérant le rythme de ses doigts. Je lui donnai une minute en discutant avec son patron.

- Pourquoi n'avez-vous pas encore utilisé son cul Francis? J'aurais cru que vous le fassiez aujourd'hui.

- Hum.... Pour convaincre des clients tenaces, je leur aurais peut-être proposé.

- Et bien Francis, laissez-moi vous montrer quel genre de pute nous avons là. Enlève ta main maintenant!

Sa main quitta ses fesses et fur de retour à côté de l'autre sur le sol. Elle se prépara. Son anus paraissait humide mais je savais qu'elle n'avait pas assez préparé le passage. Je m'avançai vers elle et mon gland tapa les lèvres charnues de sa chatte. Mon membre glissa vers le haut. Je dis :

- Plie un peu les genoux salope.

Elle ajusta immédiatement sa position, avançant les mains. Ses fesses chutèrent vers le bas, me facilitant l'accès.

- Arghhhhh

Christine grogna alors que je poussai mon gland au milieu de ses fesses. Ma bite rencontra la résistance de son anus encore serré. Je continuai à forcer, obligeant ma belle-mère à affirmer son équilibre avec ses mains.

- Ouille..... Ouillle..... merde....

Elle répéta ces mots puis cria quand son anus céda et ma bite la pénétra.

- ARGGGGGGHHHHH.

Je ne tentai pas de me retenir. Mon membre entra complétement, mes couilles tapant sa chatte humide. Ma soumise gémissait, la respiration lourde. Je commençai à coulisser lentement, profitant de la sensation de son trou du cul incroyablement serré sur ma bite. Mais après trois à quatre minutes, je labourai Christine, la renversant presque. Soudainement, elle eut un orgasme frénétique. Ses bras cédèrent et elle tomba sur le sol.

Je m'assis sur la chaise en face de Francis qui écarquillait les yeux en branlant paresseusement sa grosse queue qu'il avait sorti de son pantalon.

J'ordonnai à ma belle-mère toujours affalé sur le sol :

- Ramène ton cul sur ma bite Salope!

Elle se remit sur ses pieds, et vint se tenir devant moi, la face tournée vers son patron. Je rajoutai :

- J'attends!

Immédiatement, elle commença à abaisser ses grosses fesses rondes vers mon membre. Et sans utiliser ses mains, elle s'empala avec une grande facilité. Je parvins à incliner ma tête sur le côté, regardant Francis se branler et sourire de toutes ses dents alors que Christine rebondissait sur ma bite. Mais je n'étais pas sûr que son patron puisse bien voir :

- Comment est la vue Francis? Vous pouvez voir son cul engloutir ma queue?

- J'ai une belle vue sur ses seins.

- Il vous faut une meilleure vue. Mets tes pieds sur mes cuisses Salope, et écarte bien les jambes que ton patron ne rate rien du spectacle.

Elle obéit instantanément.

- Aie! Criai-je, Enlève tes talons Salope!

Elle se pencha en avant, ma bite encore dans son cul, afin de détacher les boucles de ses chaussures. Puis elle mit ses mains derrière elle, sur ma poitrine et écarta les jambes en grand. Alors qu'elle essayait de trouver son équilibre mon sexe sortit et frotta sa chatte et la raie de ses fesses. Je demandai :

- Comment est la vue Francis?

- Beaucoup mieux. Oui beaucoup mieux.

- Montre à ton patron que tu aimes prendre ma queue au fond de ton cul. Je veux que tu baises jusqu'à ce que tu jouisses deux fois. Ok Chienne?

- Oui Maître.

En me répondant, elle abaissa son merveilleux cul sur mon membre dressé et s'accroupit jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus. Je me mis à l'aise, appréciant cette chevauchée et imaginant Francis appréciant le spectacle et imaginant toutes les possibilités autres que lui offrait sa « Faciliteuse de contrat ».

Environ huit minutes plus tard, ma belle-mère jouis avec un cri me déchirant les oreilles. Elle se tint enfoncée sur ma bite pendant que ses jambes tremblaient sur mes cuisses, son orgasme secouant tout son corps. Quelques instants plus tard, s'étant remise, elle recommença à s'empaler avec rythme sur ma bite, recherchant une dernière jouissance. Mais après quinze minutes, elle fatigua et son mouvement de bas en haut sur ma verge devint plus lent. Ses bras flanchaient si bien qu'elle était presque couchée sur moi. Voulant montrer à son patron le degré de soumission de son employé, je fixais un défi presque impossible dans son état.

- Tu jouis dans les prochaines trois minutes Salope, ou alors ta chatte endolorie va encore souffrir.

Elle essaya d'accélérer le rythme mais elle était de plus en plus faible. Le mouvement cessa lorsque les trois minutes furent passées. Elle savait qu'elle n'avait pas réussi le défi. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que ce serait son patron qui lui baiserait sa chatte. Je voulais lui montrer qu'elle pourrait sceller un contrat non pas avec un seul client mais avec deux s'il le fallait. En regardant par-dessus le corps de Christine encore empalé sur mon sexe, ses jambes écartées, je demandai :

- Francis? Voulez-vous la baiser?

En se levant et riant il répondit :

- Je suppose que ce serait impoli de refuser. Que voulez-vous que je fasse?

- Elle ne m'a pas obéi en loupant son défi. Alors pourquoi ne prendriez-vous pas sa chatte pendant que je reste dans son cul?

- Non, Non, Pas tous les deux, Maître!

Christine gémit mais ne ferma pas les jambes pour autant.

- Tu n'as rien à me refuser Chienne. Et puis tu sais bien qu'au travail tu dois faire ce que te demande ton patron. N'est-ce pas Francis?

- Exact. Répondit-il.

- Je pense que tu devrais présenter des excuses à ton chef Christine. S'il veut que l'on t'encule, tu ne dois pas refuser. Dis-je dans son oreille.

- Je suis désolé M. MULLER.

Elle gémit alors qu'il se tenait en face d'elle, son gros membre menaçant sa chatte évasée.

- Je pense que tu devrais supplier ton patron de baiser ta chatte jusqu'à ce que tu jouisses. Et ensuite lui dire que ton trou du cul est à sa disposition. Murmurai-je de nouveau à son oreille.

Elle gémit :

- M. MULLER?

- Oui Salope?

Il frottait son membre sur les lèvres enflées du sexe de ma belle-mère.

- S'il vous plait, baisez moi et faite moi JOUIR.

Elle haleta quand Francis écarta les lèvres de son sexe avec le gland de son gros membre.

- Je vais te faire jouir Salope, ne t'inquiète pas.

Il plongea sa verge lentement, augmentant sa sensation d'être complétement pénétré avec ma bite dans son cul.

- Et... AHHHHH.... après que j'ai joui, mon cul.... sera à VOUS.....

Elle cria lorsqu'il la remplit complétement avec son membre. Je pouvais sentir la pression qu'exerçait l'homme sur nous deux. Il était plus grand et fort que moi. Mais je pus sortir légèrement ma queue du cul de Christine afin de pouvoir la pilonner de nouveau. De son côté, Francis la baisa avec de longs coups puissants en s'assurant de complétement la pénétrer à chaque fois.

Christine, en sandwich entre nous deux gémissait, sa tête déposée sur mon épaule, ses yeux fermés, ses seins ballotant au rythme des pénétrations. Elle faisait d'étranges petits bruits entre grognements, gémissements, et cris. Puis elle nous annonça qu'elle allait jouir. Je sentis les muscles de son cul se serrer autour de ma bite. Je vis que Francis avait cessé de la baiser, sentant surement la chatte se serrer autour de son membre. Je dis :

- Je crois qu'il est temps que vous l'enculiez Francis!

Le patron sortit son sexe de celui de Christine pendant que je la poussai en avant afin de me dégager et de me lever. Dès que je fus parti du fauteuil, ma belle-mère se laissa tomber dedans, ses jambes ne pouvant la soutenir.

Sans attendre ni demander, Francis prit chacune des jambes de la femme et les balança sur chaque accoudoir du fauteuil. Il souleva ses fesses et la tira un peu en avant, de façon qu'elle soit près du bord. Et il pénétra son anus pour la première fois.

Christine gémit très fort quand il glissa sa queue à l'intérieur. Ses yeux restaient fermés, son corps abandonné à son patron.

Je vins sur le côté afin de malmener un petit peu ses seins et ses mamelons. Mais elle ne réagit pas, ne pouvant donner plus.

Elle était trop fatiguée pour jouir à nouveau. Alors Francis utilisa son cul jusqu'au moment où il éjacula tout au fond. Une fois qu'il fut ressorti, je pris sa chatte afin de lui laisser mon propre sperme.

Francis et moi regardâmes ma belle-mère abusée par tous les trous avec du sperme gouttant sur le sol. Nous nous sommes habillés et avons scellé notre accord avec une poignée de main.

Je dis à Christine de reprendre ses vêtements. Le chemin jusqu'à l'ascenseur et la réception fut laborieux car elle arrivait à peine à tenir sur ses talons. Une fois à la voiture, elle se laissa tomber sur la banquette et s'endormit.

Je décidai de la laisser tranquille jusqu'à son premier jour de travail dans ses nouvelles fonctions.


à suivre....

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