mardi 26 novembre 2019

Train d'enfer - 1ère partie

Le début du voyage.

Nous revenions d’un week-end en amoureux. Pour le voyage nous avions choisi le train couchette, avec en arrière pensée l’idée de faire l’amour dans la cabine qui se composait de 6 couchettes, trois de chaque côté. J’avais insisté pour que ma femme porte une jupe courte qui lui arrivait à mi-cuisse. Dessous elle portait des bas noirs et des bottes en cuir, j’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de culotte afin de réaliser notre fantasme plus facilement.

Le soir, vers 20 heures, notre train arriva en gare de Nice, pour un dernier arrêt avant le terminus à Paris. Il y avait beaucoup d’agitation sur le quai. Elle se propagea petit à petit à l’ensemble du train. En effet nous étions sur le départ en permission d’une caserne de militaire. Ma femme s’était absentée pour aller au bar, chercher des boissons.

Tout d’un coup, j’entendis siffler et je remarquai quelques paroles plus fortes venant du couloir. Je compris qu’il devait se passer quelque chose et je sortis de mon compartiment pour mieux comprendre. J’aperçus ma femme qui avait bien du mal à passer au milieu de tous ces mâles. Je remarquai trois soldats d’une vingtaine d’années qui prenaient visiblement plaisir à la gêner et à admirer ses jambes. Le plus hardi se permit même d’avoir les mains baladeuses, il remarqua donc forcément l’absence de culotte.

Ma femme arriva enfin jusqu’à notre compartiment, toute rouge mais le regard pétillant. Elle me tendit ma boisson et rejoignit sa couchette. Elle était installée au milieu du côté droit de la cabine, ma couchette était en face et tout en haut, ce qui ne facilitait pas les choses pour la réalisation de notre fantasme. Dans notre compartiment pour le moment, les autres places étaient inoccupées, tant et si bien que si elles le restaient nous avions prévu de nous rapprocher.

Mais le destin en avait décidé autrement. Tout à coup, dans un brouhaha indescriptible, les trois militaires du couloir investirent notre cabine. J’eus tout à coup l’impression que le ciel me tombait sur la tête. Je n’étais pas au bout de mes surprises. En effet un quatrième larron se présenta dans notre cabine, un sergent, la cinquantaine, affichant un certain embonpoint. Il portait une casquette et ses cheveux poivre et sel dépassaient sur les côtés. Son visage bouffi et ridé était barré par une moustache épaisse et grisonnante. Les prunelles de ses deux petits yeux bleus brillaient. Il était vêtu d'un pantalon de treillis, d’un tee-shirt douteux un peu court qui laissait apparaître un abdomen proéminent et velu. Ses épaules étaient larges et il avait un cou de taureau. Ses bras ballants étaient décorés par d’anciens tatouages qui avaient mal vieillis, ses mains ressemblaient à des battoirs.

Alors que tous le monde préparait sa couchette, un des militaires profita de l’étroitesse du compartiment pour se frotter contre les fesses de ma femme. Elle fit comme si de rien n’était.
Le vieux sergent rondouillard s’aperçut du manège et regarda ma femme de haut en bas avec un sourire lubrique. Je m’étonnai qu’il puisse imaginer quoi que ce soit au vu de son physique, mais les événements à venir allaient pourtant lui donner raison.

Un peu plus tard tout le monde était couché. D’où j’étais, je voyais très bien ma femme. Elle était en sandwich, un militaire au-dessus et un en-dessous. Moi-même, j’avais un militaire au-dessus et le sergent pas très clean en dessous.

Ma femme était toujours habillée de la même façon, elle avait juste enlevé ses bottes et s’était allongé sur ses draps. Il faisait très chaud dans ce train. Tout à coup un fantasme me vint à l’esprit, un fantasme de ma femme dont le début aurait pu ressembler étrangement à ce qui nous arrivait. Ma femme y avait-elle pensé ?

À priori non, car elle semblait dormir. Mais était-elle réellement assoupie ? Moi-même je simulai le sommeil. Nos amis les militaires eux ne dormaient pas. Nous croyant peut-être endormis, ils commencèrent rapidement à faire des commentaires salaces et dirent que ma femme avait l’air chaude au vu de sa tenue, que cela tombait bien car ils n’avaient jamais croisé de nymphomane et qu’ils avaient plein de choses à expérimenter que leurs femmes ne pratiquaient pas. L’un d’entre eux alla fermer les rideaux du compartiment et éteignit la lumière, mais les veilleuses m’éclairaient suffisamment la scène.

Après quelques minutes dans la pénombre, ils décidèrent qu’il fallait vérifier l’absence de culotte de ma femme. En conséquence, celui qui était couché au-dessus de sa couchette essaya de lui remonter légèrement sa jupe pendant son sommeil. Je restai interdit. En effet que dire, c’était tellement excitant. Je décidai que quoi qu’il arrive, c’était à ma femme de décider.

En l’occurrence elle ne réagissait pas, il faut avouer qu’elle a le sommeil lourd. Les deux militaires dont les couchettes étaient en haut se rinçaient l’œil. On commença à voir le haut de ses bas et sa peau claire qui apparaissait maintenant. Ils allaient donc voir qu’elle ne portait pas de culotte. Qu'en  penseraient-ils ? Qu’elle était une fille facile voire une grosse salope ? La jupe fut désormais remontée sur le haut de ses cuisses, qui étaient légèrement écartées ? on voyait son pubis avec une petite touffe de poils bien taillé comme j’aime, et juste en dessous ses lèvres charnues, bien rasées, bien dessinées et déjà gonflées. Dormait-elle vraiment ? Apparemment l’absence de culotte encouragea les militaires. Ils se dirent que décidément ils avaient affaire à une nymphomane.

Je regardai les trois militaires qui commençaient à ouvrir leurs braguettes pour se masturber. Celui qui menait les opérations, prenant un peu d’assurance, commença à lui caresser les cuisses puis la chatte. Tout en dormant ma femme étouffa des petits cris qui n’allaient pas tarder à exciter tous les hommes du compartiment. Sous les caresses, inconsciemment elle écarta davantage les jambes. Je pus voir que ça chatte luisait de mouille. L’homme qui la caressait dit alors à haute voix que sa chatte était trempée.

Soudain elle fit mine de se réveiller. Elle voulait sûrement mettre un terme à l’expérience et elle s’agita. Deux des militaires l’attrapèrent pour la maintenir et le troisième lui mit la main sur la bouche pour l’empêcher de crier. Elle était prise à son propre piège. Ils lui expliquèrent qu’ils ne lui voulaient aucun mal bien au contraire.

Cela faisait deux mois qu’ils n’avaient pas eu de permission et qu’ils n’avaient pas baisé de fille. Elle dut comprendre que, soit je dormais, mais c’était peu probable, soit j’appréciais qu’elle se fasse tripoter par plusieurs mecs en même temps. Elle devint donc beaucoup plus coopérative avec nos trois soldats.

L’un deux lui enleva son petit haut et fit apparaître sa poitrine généreuse, ses tétons étaient insolemment dressés. Il se mit à lui embrasser fougueusement les seins qu’il finit par libérer de leur écrin. Un autre fourra sa tête entre ses cuisses et lui titilla le clitoris en passant sa langue dans sa chatte qui était maintenant trempée de mouille et de salive.

Le troisième monta sur sa couchette et, après avoir enlevé son pantalon et son slip, se plaça face à elle et mit son sexe contre sa bouche. Elle l’engloutit et ,après l’avoir léché longuement, se mit à le sucer activement. Le militaire l’attrapa alors par les cheveux et la força à l’avaler presque entièrement. Elle faillit s’étrangler mais se laissa faire docilement. Elle sentait un visage entre ses cuisses et une langue qui s’introduisait dans son vagin. Sous la langue du premier, sa poitrine se durcit et sous celle du second sa chatte mouilla. Les cuisses écartées et maintenues, elle se retrouva entourée par trois militaires mal dégrossis dont deux avaient commencé à la travailler.

Cette langue et ce sexe qui envahissaient sa bouche et son vagin, l’excitèrent au plus haut point. Ses mains saisirent le sexe du troisième militaire, et elle le masturba frénétiquement. La situation la plaçait comme une poupée de chair manipulée, le comportement de ses amants ne cherchant qu’à la posséder.

Réalisant la cochonne qu'ils avaient sous la main, ils la mirent à quatre pattes sur la couchette, lui enlevèrent sa jupe et son soutien-gorge. Il ne lui resta plus que ses bas. Puis ils la prirent en levrette les uns après les autres, alternant les va et vient rapides et lents, sortant pour la pénétrer de plus belle, alternant de temps en temps avec sa bouche tant et si bien qu’elle avait toujours deux bites en elle.

Mais comme la couchette était un peu petite pour quatre personnes dont trois hommes, en conséquences ils l’attrapèrent et la portèrent pour la mettre à quatre pattes au milieu du compartiment.

Comme une chienne docile, les fesses relevées, elle avait la tête entre les bras et ne bougeait pas. Elle attendait, le cul bien relevé, la chatte luisante de mouille. Immédiatement l’un d’eux l’enfourcha et s’enfonça d’un coup dans sa belle fente. A la pénétration, ma femme ne fit que crisper les mains. Puis l'homme commença une série de va-et-vient très rapides, rythmés par les halètements de ma femme.

C’est à ce moment que le sergent choisit de se manifester. Je l’avais oublié, car il était sous ma couchette. Il se leva. Il avait déjà ôté son pantalon et son slip. Son sexe était impressionnant, très épais et noueux, ses couilles étaient également impressionnantes. Il se dirigea vers ma femme et lui releva la tête en la saisissant par les cheveux. Qu’allait être sa réaction face à cet homme de Cro-Magnon ? Elle eut effectivement un léger recul, mais n’hésita qu’une petite seconde et pris le sexe en bouche en fixant son propriétaire dans les yeux sur un air de défi. Mal lui en prit, car il lui tira plus fort sur les cheveux pour lui faire avaler son sexe jusqu'à la garde, puis il fit de violents aller-retours comme s’il était dans un vagin. Il dit alors :

- Qu’elle est bonne les gars ! Regardez ses seins qui pendouillent ! Écarte ta chatte petite chienne !

Il attrapa fermement ses fesses et pris soin de les écarter. Je vis donc clairement la queue d’un des militaires rentrer et sortir du con de ma femme. Ils échangèrent leur place et le sergent présenta son énorme engin contre le sexe de ma femme. Il le fit coulisser avec vigueur. Pendant ce temps, celui qui venait de la pilonner présenta son sexe tout gluant à ma femme qui le suça à son tour du mieux qu’elle le pouvait malgré les coups de boutoir du sergent. Ils échangèrent tous les quatre de place à tour de rôle. Le sergent, peu avare de commentaires salaces, dit alors :

- On va la faire exploser cette petite !

A suivre...

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