mardi 26 novembre 2019

Ma mère Martine - La réalité. Ch. 05

Récit de Gabrieldutour

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Encore avec ma mère et visionnage de DVD.

Bonjour, après quelques temps d'absence, me voici de retour pour raconter les aventures pornographiques de ma mère Martine. Je tiens à préciser avant toute chose que cet épisode est assez malsain.

Comme vous le savez, ma mère, Martine a décidé de s'offrir à moi afin que je guérisse de mon obsession sur elle. Hélas, ce n'était pas la solution, cela n'a fait qu'empirer les choses et je ne pense qu'à la baiser tous les jours. Je ne la vois plus seulement comme une mère, mais aussi comme une salope aux atouts terriblement attirants. Depuis cet inceste, je suis devenu un pervers inimaginable, un drogué du sexe ne pensant qu'au cul tout le temps.

Je suis donc assis sur le canapé dans mon salon en train de réviser quelques cours. Je suis peu concentré, d'autant plus que le latin n'est pas forcément une matière intéressante. C'est alors que je vois ma mère étendre son le linge. Je décide d'aller la voir. Elle me voit et sourit aussitôt :

- Alors, Julien, tu révises ?

- Oui maman, et c'est pas très intéressant les déclinaisons latines.

- Je te comprends, j'en ai fait un peu mais je n'ai pas poursuivi.

- Oui, mais il me faut mes deux années tu sais ! ensuite je deviendrai prof !

-  Aah  oui ! Mais tu sais que tu as aussi des talents d'écrivain, n'est ce pas ?

Elle me fait un clin d’œil. Elle fait référence aux nombreuses histoires hard que j'ai écrites sur elle. Moi, j'ai essayé d'oublier cela car elle a eu de graves problèmes à cause de ces textes pornographiques.

La voilà qui étend un de ses soutien-gorge à armature. Autrefois elle avait honte, mais là, elle les exhibe dans le jardin de la maison cossue.

- Tu n'as pas honte d'exhiber tes dessous ?

- Julien, pourquoi voudrais-tu que j'ai honte ? Ce sont mes dessous et quel mal y a t-il à les exhiber ?

Elle accroche le gros soutien-gorge en dentelle. Comme le fil est assez haut, elle tend les bras et son chemisier blanc compresse ses seins. Elle a vraiment de gros seins. Je bande aussi sec à la vue de sa poitrine. Elle s'en rend compte mais ne dit rien. Elle sourit. Je me retiens de plaquer mes deux mains sur ses grosses loches et de les malaxer. C'est alors qu'elle se penche pour ramasser le linge de la corbeille en plastique. Là, j'ai le bonheur de voir les deux mamelles pendre lourdement, retenue par son soutien-gorge. Elle l'a fait exprès pour me provoquer.

- Alors mon chéri, tu regardes ma poitrine ? Tu n'en as jamais assez !

- Tes seins sont si gros, si beaux ! Je les peloterai pendant des heures !

- Julien, il va falloir te trouver une copine à nouveau ! Choisis en une qui a une poitrine comme la mienne !

- Ta poitrine est incomparable ! En plus, elle est naturelle et pas comme mes actrices de porno préférée.

- Oui je sais Julien, mais elles sont obligées tu sais !

- Tu aurais très bien pu te lancer dans le porno, maman !

Ma mère rougit .

- Julien, tu es gentil de me dire cela ! Je sais que tu es fier de moi mais je ne suis plus toute jeune hélas !

- Franchement, tu ne fais pas ton âge. Je te donnerai facilement dix ans de moins ! D'ailleurs, comment expliques tu tous les hommes qui te désirent sur le net !

Elle m'embrasse tendrement. Je bande toujours autant. Mais elle ne semble ne pas se rendre compte de la chance qu'elle a d'être aussi bien conservée. Je vais vous la décrire un peu. Ma mère est brune aux yeux marron. Ses cheveux coupés au carré sont toujours impeccables. Son visage, tous les jours maquillé, n'a presque aucune ride et il ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T.. Elle porte un chemisier blanc, à manches longues et une robe bleu marine, fendue sur le côté et qui descend jusqu'à ses belles chevilles. Ce qui ressort d'elle aussi, ce sont ses deux énormes seins qu'elle n'hésite plus à mettre en valeur. Ils déforment souvent les tee-shirt moulants et autre chemisiers à cause de leur taille. Croyez-moi , elle a du mal à trouver les soutien-gorges appropriés. Elle ne met pas de bas car elle aime exhiber ses cuisses et ses mollets bien épilés. Ses fesses sont encore bien fermes. Elle a juste un peu d'embonpoint sur les hanches. C'est son seul défaut. Mais bon, elle a eu deux grossesses : ma sœur et moi. Dire que mon père ne pense qu'à travailler au lieu de la baiser. Mais ma mère semble se complaire de la chose. Heureux que je suis de profiter de ses charmes. Je l'aide à étendre le linge en espérant que cela me calmera mais non. Je tiens entre mes mains ses culottes, ses strings et surtout ses énormes soutien-gorges.

Nous rentrons enfin. Je regarde alors son cul, caché derrière la robe, ce cul si souvent sodomisé. Je repense à ce qu'il lui est arrivé et le pire c'est que j'en bande. A peine rentré, je lui prends la main et l'entraîne violemment à la cuisine.

- Julien, arrête, tu me fais mal, tu..

- Je lui descends sa robe et lui enlève ses chaussures.

- Julien, ça suffit ! tu es fou !

Je ne lui réponds pas et jette sa belle robe. La voilà en culotte blanche en dentelle.

- Julien, on avait dit que notre relation était finie.

- Tais-toi et montre moi tes gros seins !

Je déboutonne son chemisier comme un animal. Ma mère est trop surprise pour réagir. Le chemisier vole à son tour. La voilà en dessous. Je la regarde et surtout ses seins. Qu'ils sont gros, laiteux et aux auréoles brunes. Ils sont lourds et ressemblent à deux gros ballons moelleux. Je les malaxe à travers le fin tissu du soutien-gorge. Ils sont vraiment moelleux au toucher. Ma mère ne me repousse pas, résignée. N'en pouvant plus, je dégrafe brutalement le soutien-gorge. Les seins jaillissent presque tant ils étaient compressés. Ils retombent lourdement. J'adore les soupeser. Je les empoigne donc et teste leur poids. Ils me prennent largement la main et il y a de quoi faire.

- Voilà, je te dis que tu aurais été une superbe actrice porno adulée par les foules !

Ma mère aime être comparée à ces femmes magnifiques. Elle réagit positivement.

- Ooh, Julien, tu me fais rêver !

La , je ne me contrôle plus en parole et je lui sors des insanités.

- De toute façon, tu devrais être une pute ! vendre ton cul et tes seins !

- Julien, tu me crois une pute ?

-  Oui, je sais que tu aimerais pratiquer ce métier !

Je commence à baisser sa culotte pour toucher sa chatte. Elle mouille. Visiblement, elle aime être insultée, être traitée de pute.

- Je te vois très bien faire le trottoir , comme dans mes histoires mais tu serais encore plus salope, largement !

A ces mots, ma mère a la respiration qui s'accélère. Je sens ses tétons durcir, elle gémit :

- Juliennnn, tu es un pervers, tu veux que ta mère soit une pute !

- Mais tu es une pute véritablement, maman ! une salope incroyablement bonne ! Avec tes gros seins, tu serais obligée de baiser 24 heures sur 24 tant tu aurais des clients.

Ma mère écarte les cuisses, m'invitant à la baiser. Mais moi, c'est son cul qui m'intéresse.

- Maman, tourne toi sur la table ! je veux te baiser comme une chienne !

- Oui, baise moi par le cul !

Elle est à poil et je la retourne comme une truie sur la table. Son anus est à moi. Cet anus déjà maintes fois visités. Ses gros seins sont aplatis sur la table et on l'impression qu'elle est à plat ventre sur des ballons. Je la saisis par les hanches et lui pénètre le cul. Ma queue est énorme mais pourtant d'autres l'ont bien plus écarté. Je m'en fiche de toute façon, seul mon plaisir m'intéresse. Si elle est pas contente, elle n'aura qu'a faire le trottoir. Je la pénètre et la lime. Son cul est magnifique. Elle sait y faire car elle a des mouvements de hanche qui accompagnent mes va et viens. Je la ramone, me retenant d'éjaculer. Ma mère se cambre bien pour que je la ramone au mieux. Je tiens 30 secondes sans gicler. Hélas, elle m'excite trop et j'éjacule dans le conduit culier, répandant mon foutre dans ses entrailles. Je gicle en gémissant, me vidant de tout mon plaisir. Ma mère sent le liquide chaud dans son cul et son ventre. Je voulais garder mon foutre pour sa bouche ou ses seins. Je me retire d'elle. Elle , elle se relève et je lis du bonheur dans son regard.

-  Julien, tu es si pervers !

- Oui, maman, je suis pervers mais toi , tu l'es aussi car tu baises ton fils !

-  Je crois ! mais j'ai aimé être traité de pute et de salope !

- J'aime te savoir pute ! Tu dois offrir tes charmes aux hommes !

- Non, je ne peux pas, je ne peux pas faire cela à ton père !

Ma mère a raison, papa serait outré et traumatisé s'il savait par ce qui se passe. Nous sommes dans la réalité, pas dans les histoires où tout est si facile. Ma mère reste longtemps nue dans la cuisine. J'aimerai tant que des inconnus surgissent et la viole ici même. Mais je chasse cette idée de ma tête. Ma mère est une femme de chair et d'os, pas un personnage sur un bout de papier. Je vais me reposer un peu. A mon réveil , maman est toujours nue et je la surprend en train de se masturber.

- Maman, tu es folle, habilles toi !

- Julien, tu ...tu m'as trop excité avec tes histoires de prostitutions !

- Les prostituées ne font pas ça pour leur plaisir tu sais !

- Arrête, maintenant, tu m'as mis cela en tête !

- Écoute, je vais te chercher des films pornographiques ! tu peux rester nue si tu le veux ! papa ne rentre pas le jeudi soir !

- Ouiiii ! va vite me chercher des films x, mon chéri !

Ma mère était en manque de sexe et je commence a regretter de lui avoir mis ces idées salaces dans la tête. Je file donc dans mon sex-shop favori et demande les dernières nouveautés. Le vendeur me demande :

- Vous cherchez quoi ?

- Ma mère fantasme sur les femmes qui se prostituent !

- Encore une ? eh bien, en ce moment c'est la mode ! J'ai quelques DVD qui traite de ce thème ! Là, ce sont des étudiantes qui font le trottoirs !

- Je vous en prend deux ! (cela, je les garde pour moi !)

- Là, vous avez la catégorie , femme au foyer salope !

- Oui, c'est cela mais j'aimerai que ma mère puisse s'identifier à l'actrice !

- Voilà, il y 'a que ça ! c'est un film très pervers avec une femme qui se prostitue pour payer de la drogue à son fils ! C'est très hard et malsain par contre et cela se termine très mal pour la mère ! Je vous préviens !

- Tant mieux, car elle verra que cela n'est pas aussi rose, la vie de prostituée !

- Ce sera tout ? Sinon, elle aime les gang bang ?

- Oui, mais elle doit pouvoir s'identifier à l'héroïne !

- Voilà, l'histoire d'une mère qui se fait baiser par les amis de son fils !

Je prends donc 4 DVD, je ne peux m'empêcher de prendre un film sur les femmes africaines perverses. La somme fait mal. Le vendeur essaie d'avoir des renseignements sur ma mère mais je ne veux pas trop lui donner des détails. On dirait qu'il aurait aimé lui rendre visite. Bref, je retourne en vitesse chez nous. Ma mère est à poil toujours allongée sur le canapé, ses deux gros seins à l'air. Elle s'est servi un verre de rhum qu'elle sirote.

-  Voilà maman, deux DVD pour toi !

Nous regardons donc la première, celle du gang bang. Pas terrible, l'actrice fait trop jeune pour être la mère du fils. Pas crédible. Le second , en revanche est assez glauque. Ce n'est pas un film de cul ordinaire mais bien une descente aux enfers de cette mère qui a pitié de son fils et se prostitue pour lui. Les scènes de sexes sont crues et le final horrible. Car elle termine dans un snuff-movie, se fait torturer sexuellement et meurt de façon atroce. Choquant, le film. Ma mère est un peu moins excitées.

- Julien, ce film est dur !

- Oui, maman, je sais mais cela peut arriver, tu sais ! Cela pourrait t'arriver à toi !

- Julien , rien ne peut m'arriver, je suis ici ! avec toi ! Ce film est horrible ! Je refuse même d'y croire ! On ne peut torturer et tuer des gens pour son plaisir…

- Pourtant, lis les faits divers ! tu verras ! Il faut se méfier, c'est horrible !

Ce film m'a calmé car j'ai réellement fantasmé avec elle sur sa prostitution. Ce film casse tout. Ce n'est pas plus mal car j'avais peur que ma mère fasse des bêtises. Je la regarde maintenant. Elle est restée presque 6 heures à poil dans la maison. Cette idée me fait bander et à la vue de ses seins, je recommences à m'exciter. Je me rapproche d'elle et elle m'offre ses gros seins que je pétris aussitôt. Ma mère continue cependant à me parler de ce film.

- Julien, tu crois que la femme est morte en vraie ?

- Non, c'est une actrice ! ce n'est pas un film vrai !

- Tu crois qu'il pourrait m'arriver la même chose ?

- Écoute maman, je ne vois pas pourquoi tu penses à cette idée !

- Je ne sais pas ,mon chéri, mais j'ai eu un frisson dans tous le corps en voyant la fin ! Ces tortures, cette mort si épouvantable

- Je crois que c'est un film réaliste ! il fait réfléchir ! en plus, le fils se rend compte de sa terrible erreur ! La drogue , c'est terrifiant !

- Je sais, Julien, tu ne te drogues pas, j'espère ?

-  Non, maman, occasionnellement mais sagement !

Je reprends ironiquement :

- Rassure toi, tu n'auras jamais à te prostituer pour moi !

- ...ni terminer à être torturer et mourir !

- Non , je te rassure !

Ma mère semble rassurée à l'idée de ne pas être à la place de cette pauvre femme. Je malaxe toujours ses gros seins, lui caressant les cuisses , le cul . Cette chair bien en vie qui procure du plaisir.

Ce genre de film m'a troublé et m'a redonné vigueur. Cette mort , ce gâchis m'a donné envie de baiser encore plus pour profiter de la vie. Ma mère se penche et me suce la queue comme jamais. Sa bouche est experte. Accroupie, elle lèche mon gland sorti. Elle va vite. Sa bouche avale mon membre. Ses joues sont déformés par l'extrémité de ma queue.

- Je veux gicler sur tes énormes seins !

- Vas y, mon chéri !

Je sors ma queue alors de sa bouche et la met entre ses deux seins gigantesques. Elle me branle alors. Ma queue faisant des va et vient entre les deux lourdes mamelles. Je finis par éjaculer sur ses gros seins. Le sperme est en quantité remarquable et dégouline sur ses nichons. Elle se met à quatre pattes et me demande de l'enculer. Je suis vidé mais je bande encore. Je fais ce qu'elle me demande en la ramonant de plus belle. Un peu de foutre jaillit de mon sexe et je finis par me retirer d'elle. Ma mère se lève alors, son cul au niveau de mon visage. Ses deux fesses magnifiques devant moi. Il y'a encore du sperme séché de ce matin. Elle se sert du rhum. Quelque chose lui prend la tête. Elle a baisé machinalement pas comme d'habitude. Elle ne prend même pas le soin d'essuyer le sperme sur ses gros seins et sur son cul. Elle boit une gorgée de son verre et se rallonge sur le canapé.

- Maman, y'a un truc qui va pas ?

- Julien, je dois te dire que je me suis senti à la place de cette pauvre femme ! J'ai beaucoup aimé cette dépravation mais cela m'a choqué aussi !

- Je n'aurai pas du acheter ce film ! Le vendeur m'avait prévenu que cela se terminait mal à la fin !

- Cela aurait pu être moi, tu sais !

- Écoute maman, la prostitution, ta prostitution est un fantasme ! Je ne vois pas pourquoi tu terminerais dans un snuff ! ce film est une mise en garde !

- Oui, mon chéri mais j'ai un mauvais pressentiment !

- Bon, écoute, demain, je vais ramener ce DVD au vendeur ! ce devrait être interdit à la vente, ce genre de film !

Je monte donc me coucher en laissant ma mère seule et nue sur le canapé. J'ai gâché ma soirée avec ce film. Ma mère semble être obsédée par celui-ci et de manière assez ambiguë. Je voulais lui faire plaisir en lui achetant ce film et voilà le résultat. Elle a peut être raison, finalement, je devrais me trouver une autre copine. L'ancienne m'a largué pour un autre et est parti en Corée. Mais bon, ce ne sera pas la première avec qui ça va pas.


A suivre…

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