dimanche 17 novembre 2019

Brian est en Irak Ch. 04

Brian est en Irak - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Nouvelle séance de pose suivie d'un gang bang record.

Lorsque nous sortîmes, il m'entrava à nouveau les poignets et nous sommes retournés dans la voiture.

Il était à peine 15 heures.

Je grognais en voyant ou nous allions.

Tom se gara dans le parking juste devant le club photo.

Je ne parvenais pas à cacher mon angoisse.

Je le suppliais de ne pas me faire revivre cette épreuve.

Il sourit et me dit :

-"Désolé ma chérie, j'ai eu une foule de demandes pour que tu reviennes et c'est de l'argent facilement gagné! ...."

Ils me tirèrent hors de la voiture et nous sommes retournés au club.

Le colosse noir qui gérait les lieux sourit en nous voyant.

Il vint nous rejoindre et nous entraîna tout de suite dans le vestiaire.

Il me toisa du regard et me dit :

-"Personnellement j'adore la façon dont tu es vêtue aujourd'hui! .... Mais tes clients veulent que tu les excites à mort! ..... Ils veulent tirer quelques clichés de ta petite culotte avant de passer aux choses sérieuses."

Il me sortit quelques tenues de ville tout à fait ordinaires, il me tendit des vêtements que j'aurai choisi pour m'habiller d'acheter si j'en avais eu l'opportunité.

Tom m'enleva les menottes et tandis que je me changeais, il se mit à discuter avec le gérant en se promenant de ci de là, dans la pièce. Je savais qu'ils discutaient de moi, ils planifiaient ma prestation.

Je ne voulais pas y penser.

Je me tenais devant Rory et Steve vêtue d'un chemisier et d'une jupe ordinaires, en dessous j'avais des sous-vêtements tout à fait traditionnels.

Tom revint vers moi et me sourit démoniaque ment quand il me vit ainsi vêtue, il me rappela :

-"Tu connais la routine... Tu te mêles à tes clients et tu te montres gentille avec eux! ..... Puis tu viens dans la pièce des prises de vue, tu prends les poses qu'ils demandent et tu enlèves un vêtement à chaque tintement de la cloche..... Si tu me déçois, il y a une salle réservée au sado-masochisme et l'on pourrait très bien y poursuivre notre petite fête! ..... Mais je ne pense pas que veuilles me décevoir, n'est-ce pas ma chérie? ....."

Je secouais négativement la tête me résignant à jouer une nouvelle fois les prostituées pour leur grand plaisir.

Tom sourit et me félicité :

-"T'es vraiment une bonne fille ma petite salope... " puis il me prit par le bras et me poussa dans la salle principale où je me mêlais aux consommateurs.

Dès que je pénétrais dans la grande pièce, les consommateurs se regroupèrent autour de moi.

Les plus audacieux tendirent tout de suite la main pour palper mes charmes au travers de mes vêtements.

Une paire d'entre eux me malaxèrent la croupe alors qu'un troisième posait son bras sur mes épaules laissant pende sa main sur mes nibards.

Ils me posaient les mêmes questions qu'hier.

Je leur dis mon prénom et mon âge et pourquoi une jeune mariée se résignait à exercer ce genre de boulot.

Tom était là pour rectifier mes dires, et ils réalisèrent bientôt que j'étais là contre mon gré ils semblèrent s'en réjouir comme tout comme le groupe de la veille.

Je suppose que c'était bien plus amusant pour eux de dégrader une jeune femme mariée plutôt que de s'amuser avec une prostituée payée pour satisfaire leurs caprices.

Il semblait y avoir plus de participants cette fois, je jetais un coup d'œil circulaire tentant d'en faire le compte.

Mais ils bougeaient tout le temps et je ne voyais pas ceux qui se tenaient dans mon dos, mais il me semble qu'ils étaient au moins une vingtaine de mateurs.

C'était le même genre d'assistance cependant La plupart blancs d'âges murs, avec quelques jeunes et quelques vieux et cette fois il y avait aussi deux noirs.

Le gérant décida qu'il y avait assez de monde et il nous emmena dans le studio.

C'était la même pièce que la veille.

Je vis Rory se placer à nouveau contre le mur pour filmer la séance.

Tom et Steve s'assirent dans l'arrière plan un sourire réjoui aux lèvres.

Bien que je ne sois pas habillée en écolière cette fois, on garda le décor de la salle de classe.

Je m'installais sur la petite scène au centre du studio et je commençais à poser à selon leurs demandes.

Presque immédiatement je dus retrousser ma jupe et écarter en grand les cuisses, tourner sur moi-même en relevant aussi l'arrière de ma jupe.

Je devais tenir les poses jusqu'à ce qu'ils soient satisfaits, puis adopter d'autres poses alors qu'ils me photographiaient sous d'autres angles.

Dès que j'entendis résonner la cloche, je me levais et déboutonnais mon corsage.

Je l'enlevais lentement, j'entendis alors le déclic signalant la mise en oeuvre des caméras.

Puis je posais empaumant mes nichons, les tendant aux spectateurs qui se pressaient autour de moi.

A leur commandement j'entrepris de triturer érotiquement mes tétons dardés.

Le plus difficile était d'afficher les bonnes expressions faciales, ils me demandaient de sourire, d'afficher une moue boudeuse, puis de nouveau un sourire... Et ainsi de suite...

Je ne pense pas que mes sourires forcés les satisfassent vraiment, j'espérais qu'ils ne sen plaindraient pas.

La cloche retentit à nouveau et j'ôtais suggestivement ma jupe, je posais maintenant en soutien-gorge et petite culotte.

Ils m'enjoignirent de tirer ma culotte vers le haut, enfonçant le fond dans le sillon de ma minette ce qui soulignait mes babines enflées de façon tout à fait obscène.

Ils trouvèrent amusant de me faire plonger la main dans ma petite culotte pour me faire titiller ma chagatte.

Choquée, je dus plonger mon index dans ma fente, je constatais immédiatement qu'immédiatement je me mis à secréter un flot de cyprine détrempant ma cramouille.

Je dus tourner sur moi-même, me pencher en avant, jeter une jambe en l'air, écarter le plus possible mes cuises.

J'espérais que personne ne noterait que ma chatte était trempée de mouille, mais j'entendis plusieurs gars souligner que le fond de ma petite culotte avait trempé à hauteur de ma chatoune.

La cloche tinta à nouveau, je m'assis et me débarrassais de mon soutien-gorge, dès que mes nichons jaillirent à l'air libre je dus recommencer à poser selon leurs consignes.

Ils prirent une multitude de clichés leurs mains posées sur mes nibards les malaxant, étirant les mamelons.....

Quelques instants plus tard j'étais debout lorsque deux costauds saisirent l'élastique de ma petite culotte, à la taille et me soulevèrent en force en tirant dessus.

Ils me tinrent suspendus dans les airs le temps que leurs potes puissent prendre une flopée de photos de ma foufoune débordant du fond de ma petite culotte ainsi que plusieurs clichés avec leurs mains fourrées dans mon sous-vêtement.

Exactement comme la veille, lorsque la cloche sonna, ils me dépouillèrent de ma petite culotte et les événements devinrent plus sauvages.

Ils prirent une longue série de photos alors qu'ils tournaient au tour de moi écartant mes globes charnus pour mater mon petit trou de cul ridelé.

Ils me doigtèrent alors plus avidement exhibant leurs érections, je savais que très bientôt ils bourreraient leurs bites érigées dans ma chatoune.

Je ne voulais pas y penser.

Après m'avoir fait poser dans les positions les plus humiliantes qu'ils purent trouver, la cloche sonna à nouveau et ils m"emmenèrent hors de la pièce, j'attendais dans le hall tandis que le gérant vendait mes charmes à mes futurs clients.

Je me souvins que la dernière fois cela avait été rapide.

Je ne pouvais qu'espérer qu'ils en auraient vite finis avec moi.

La porte s'ouvrit et je dus retourner dans une petite salle qui ressemblait à une réserve à la porte taillée dans le mur du fond.

Ils m'installèrent au milieu du plancher allongée à plat dos.

Une sangle épaisse encercla ma taille et mes poignets furent liées sur mes chevilles, ma tête pendait lorsque je jetais un coup d'œil circulaire je notais que la plupart des hommes avaient ôté leurs pantalons, je ne voyais que des bites érigées partout où mes yeux se posaient.

le gérant dit alors :

-"Messieurs, comme vous êtes nombreux je vais vous accorder un peu plus de temps, aussi prenez votre temps et amusez-vous bien! ...." puis il se recula contre le mur et la partouze démarra.

Dès qu'il se fut reculé contre le mur, je me retrouvais avec une bite en bouche qui s'enfonça dans mon arrière gorge du premier coup.

Je me débattais un peu, mais comme cela ne servait à rien je me résignais rapidement à prodiguer une gorge profonde.

On releva mes jambes en l'air, tout en me courbant en avant mamelles pendantes.

Dès que je fus bien ouverte, un des assistants plongea violemment son épaisse bite dans la chatte.

Je ne comprenais pas pourquoi tous ces hommes se montraient si brutaux.

Cela avait déjà était la même rengaine la veille.

Je subodorais qu'ils devaient avoir une bien basse opinion des femmes, peut être m^me que c'était de moi qu'ils avaient une si basse opinion.

J'entendais les appareils photos cliquer alors que deux hommes me possédaient, je ne pouvais que prier pour que ces photos ne se retrouvent jamais sur internet.

Je doutais que c'était le genre de personne à utiliser internet, mais on ne sait jamais! .....

Deux nouveaux spectateurs me possédaient, cette fois cela dura plus longtemps que le premier duo.

Ils me prenaient souvent en cul cette fois.

Je savais qu'ils étaient plus nombreux que la dernière fois, je le sentais bien au volume de foutre que j'avalais et qui ruisselait de ma chatoune et de mon trou du cul.

J'étais vraiment épuisée et je me mis à pleurer misérablement.

Je n'attendais pas de compassion de leur part, mais j'aurai espéré qu'ils se montrent moins frustes, moins rudes.

Ils riaient à gorge déployée alors qu'ils se vidaient sur mes joues mélangeant leur sperme à mes larmes, lorsqu'ils voulaient que j'arbore une expression plus angoissée, ils tordaient brutalement mes tétons.

Le gérant n'interrompait pas la séance, il les laissait faire ce qu'ils voulaient sans intervenir..

Il se tenait avec Steve et Tom le long du mur et ils regardèrent le spectacle jusqu'au moment où mes clients se lassèrent de mes charmes.

Une fois qu'ils se furent rhabillés et qu'ils quittèrent la salle Tom m'autorisa à gagner la douche pour me nettoyer de toutes ces infâmes souillures.

Lorsque je me fus lavée et séchée, Tom m'attendait pour me ramener dans la salle.

Le gérant me courba sur la banquette et me baisa longuement par derrière, puis je dus nettoyer consciencieusement sa bite, il tendit alors une pleine poignée de billets à Tom et ils sortirent de la pièce pour quelques minutes.

Quand il est revenu, il m'a tendu ma tenue de salope et nous sommes partis.

Nous gagnâmes la salle de la porte à coté.

Tom et Steve m'accompagnèrent à l'intérieur, Rory nous dit qu'il nous rejoindrait bientôt et nous quitta.

Nous avons commandé une tournée de bières.

Rory revint au bout de quelques minutes

Il avait amené un sac qu'il posa au sol à coté de sa chaise.

J'espérais que ce n'était pas pour moi, je priais que nous ne retournions pas une nouvelle fois au sex-shop voisin.

Des choses horribles qui m'étaient arrivées, la visite au sex-shop était bien la pire.

Cette fois Tom ne m'avait pas droguée.

Nos quatre demis nous ont été apportés par une serveuse et j'étais la seule de la table à avoir touché à mon verre.

J'espérais bien que cela sous-entendait que nous ne rendrions pas au sex-shop.

Tom se mit à jeter de fréquents coups d'œil sur sa montre, je compris alors qu'il avait quelque chose en tête.

Il allait de soi que je détesterais ce qui allait advenir, quoi que ce soit.

Tom jeta un dernier coup d'œil sur sa montre et paya les consommations, et nous quittâmes le bar.

Dès que nous fûmes sortis Rory fouilla son sac en papier et tendit quelque chose à Tom. Il s'agissait d'un bandeau.

Tom m'en couvrit les yeux, j'étais paniquée.

Une fois que je fus aveuglée, ils me firent tourner sur moi-même à plusieurs reprises jusqu'à ce que je perde toute notion d'orientation.

Ils arrêtèrent alors, une fois que pus reprendre mon chemin, ils m'entraînèrent le long de la contre-allée.

J'étais terrifiée à l'idée de retourner au sex-shop, mais ils me firent entrer dans un autre bâtiment.

Je savais que nous n'étions pas au sex-shop parce que nous n'avions pas franchi de sas d'entrée.

C'était calme à l'intérieur, ou bien personne ne parlait, j'entendais des gens respirer lourdement, j'entendais des gens marcher, nous n'étions pas seuls dans cette pièce.

Des gens se mirent à évoluer, mais je n'entendais toujours pas un mot.

Après quelques minutes, on me fit remonter un vestibule pour gagner une salle sur le coté.

J'entendis beaucoup de gens marcher, des gens me suivaient tranquillement nous entourant de tous cotés.

A peine étions nous entrés dans la pièce que déjà quelqu'un me dépouilla de ma tenue de pute.

On m'écarta les cuisses et l'on me riva les pieds au sol.

Puis les menottes que l'on m'avait enlevées en arrivant au studio photo me furent remises, je me sentais plus que jamais sans défense.

Qui que ce soit qui m'avait entravé les chevilles et les poignets se retira et je sentis la foule s'approcher de moi.

Des puissantes mains viriles firent l'inventaire de mes charmes, beaucoup de mains bien que je ne puisse les compter.

Mes nichons étaient pétris rudement, mes tétons pincés et étirés douloureusement.

D'autres mains m'écartèrent mes fesses et explorèrent ma raie culière alors que deux hommes entreprenaient de s'amuser avec ma foufoune.

Ils semblaient palper mes appâts chacun à leur tour, les inventoriant consciencieusement avant de se retirer.

Cela continua un bon moment en l'absence totale de rires, de gloussements et de commentaires salaces.

Je ne pouvais absolument pas deviner ce qui allait se passer ensuite.

Je ne pouvais même pas estimer le nombre d'hommes m'encerclant, encore moins deviner s'ils étaient noirs, blancs ou jaunes, jeune ou vieux! .....

La seule chose que je constatais c'est qu'ils devenaient de plus en plus rudes, ils commençaient vraiment à me faire mal.

Je commençais à crier, ils semblèrent apprécier, j'entendis des gloussements alors qu'ils continuaient à me tourmenter.

L'un d'eux saisit une pleine poignée de cheveux et les tordit.

Je pensais tout d'abord qu'il faisait cela pour me torturer, mais je sentis alors qu'il me les liait avec une corde avant de me mette un collier autour du cou.

J'étais courbée sur ma taille on attacha une chaîne fixée au sol à mon collier.

Finalement la corde qui liait mes cheveux fut tirée en arrière et liée autour de ma taille.

Une autre chaîne fut attachée à mon collier m'étirant vers le plafond.

J'étais dans une position très inconfortable.

Mon torse se trouvait au niveau du plancher alors que ma tête était violemment rejetée en arrière visage tendue en avant

Je ne pouvais pas bouger.

Je ne serai même pas tombée au sol si je m'évanouissais; j'étais pendue par les cheveux.

Puis j'entendis Tom intervenir :

-"Messieurs, madame Kim est maintenant prête, vous pouvez utiliser son corps selon votre bon plaisir! ..."

J'entendis les sons produits par des vêtements que l'on enlève, je sus alors que des spectateurs se déshabillaient, et la séance démarra.

Une bite très épaisse fora sauvagement son trou dans ma chatoune alors qu'une autre me forçait les lèvres.

Ces deux bites étaient vraiment très grosses.

Celle qui violait ma bouche tentait de s'immiscer dans ma gorge en dépit de ma douleur.

J'étais au bord de la panique.

Cette bite était beaucoup trop grosse et j'étais sure qu'il allait me déchirer l'arrière gorge.

De toute manière, j'allais sûrement étouffer! ....

Cela ne faisait aucun doute! ......

J'étais incapable de respirer avec cette épaisse flamberge plantée dans mon arrière gorge.

L'homme qu me baissait me gifla les hanches, je ne parle pas de mes poignées d'amour, il me frappait les fesses.

Je criais après une gifle particulièrement violente, celui qui me prenait en bouche en profita pour s'enfoncer profondément dans mon arrière gorge coupant mes cris.

La douleur grandissait, enfin l'homme qui me baisait en bouche me laissa respirer, de temps à autre, je ne sais pas combien de temps s'écoula avant que ces hommes jouissent.

Lorsque mon chevaucheur de tête eut giclé dans mon arrière-gorge il extirpa sa grosse mentule se recula de quelques pas et m'enleva mon bandeau.

Je vis, au travers des larmes qui m'aveuglaient, que j'étais entourée par une nombreuse assistance de noirs.

Ils étaient costauds, des noirs musclés avec de grosses bites tendues.

Je remarquais immédiatement les caméras professionnelles qui filmaient ma performance.

Je ne sais pas combien ils étaient, mais je me rappelais ce que Tom m'avait dit en voyant ce genre de film au sex-shop.

Il avait dit qu'il était sur que je pourrais battre le record de la malheureuse actrice, aussi supposais-je qu'ils étaient plus de 25 prétendants à l'exploit.

Comme les deux suivants se mettaient en position de m'utiliser, je me souvins soudainement que Tom m'avait désignée par mon nom lorsqu'il avait invité ces hommes à user de mes charmes.

Ils connaissaient donc mon nom maintenant! ....

Par Dieu les caméras fonctionnaient-elles déjà à ce moment? .....

Ils se montrèrent aussi mauvais que les deux premiers, ils étaient tous deux dotés d'énormes queues avec lesquelles ils me baisèrent sauvagement! ...

Lorsque la troisième paire usa de mes charmes je commençais à m'engourdir.

C'est alors qu'ils décidèrent de varier les plaisirs! ....

Le suivant enfourna sa bite dans ma foufoune élargie et gonflée, mais après quelques coups de boutoir il extirpa sa bite, l'homme qui me prenait en bouche se retira pour qu'ils puissent tous apprécier mes beuglements alors que mon chevaucheur de queue m'enculait avec une violence extrême.

Je m'évanouis avant même qu'il ait introduit 5 centimètres de sa bite dans mon boyau non préparé.

Lorsque je revins à moi, ils me baisaient tous deux depuis un bon moment.

Suspendue comme je l'étais, j'étais restée en bonne position pour qu'ils puissent me posséder jusqu'au bout.

J'eus l'impression que cela dura une bonne semaine.

J'étais certaine d'être déchirée.

Je savais que c'était du sang qui s'étalait sur mes cuisses.

Sans aucun doute ces épaisses bites qui avaient ravagé mon cul m'avaient endommagée.

Je m'évanouis à plusieurs reprises par la suite, mais cela ne les dérangeait pas.

J'en vins à réaliser que leur seul but était que je me fasse fourrer par suffisamment d'énormes bites noires pour que le record soit filmé, enregistré et commercialisable.

Cela se termina enfin, je n'avais aucune idée du temps que mon épreuve avait duré.

Ils m'abandonnèrent toujours garrottée et suspendue le temps qu'ils se rhabillent tous et partent.

Puis les caméras firent le tour de mon corps supplicié et enregistrèrent les dommages que j'aie subis! ....

Lorsqu'ils arrêtèrent les caméras et quittèrent la salle, on me délia.

Je m'écroulais au sol et me recroquevillais en position fœtale, puis, je me mis à pleurer comme un bébé.

Jamais je n'avais eu aussi mal de toute ma vie! ....

J'avais peur d'inspecter mon corps pour constater les dégâts.

J'entendis la porte s'ouvrir et le gérant du studio photo nous rejoignit.

Je savais maintenant où je me trouvais! ...

Il sourit à Tom et s'esclaffa :

-"T'avais raison mec, je ne pensais pas que ça marcherait si bien..... Y'avait les 35 hommes avec les plus grosses bites de la ville..... Tandis qu'ils la baisaient j'ai développé une bonne idée! ..."


-"Elle n'est plus à un coup prêt maintenant... Et ces hommes paient drôlement cher pour partouzer une blanche! ...."

Je sentis qu'on me tapotait les fesse, je levais les yeux.

Tom me regardait affichant un air de dégoût sur son visage il me dit alors :

-"Plonge ton cul sous la douche et nettoie-le! .... Tu pues le sperme! ....."

j'essayais par deux fois de me relever, mais je n'y parvins pas.

Finalement Tom se baissa m'empoigna les cheveux et me mit sur pied.

Il m'enleva mes menottes et me poussa vers la porte.

Je chancelais, mais je me débrouillais pour m'appuyer contre le mur.

Je m'arrêtais une bonne minute pour reprendre des forces, je vis avec surprise que pas une goutte de sang ne décorait mes cuisses.

Mes jambes tremblaient follement, je ne parvenais pas à les contrôler, je chancelais tout le long du mur et passais la porte pour gagner la salle de douche.

Je m'assis sur le bidet laissant le foutre s'écouler hors de ma cramouille.

Une grosse partie s'était déjà écoulée sur mes cuisses

mais la dose qui sortit encore de ma moule et de mon trou du cul s'avérait impensable.

Il y avait bien un quart de litre flottant à la surface du bidet lorsque je me relevais pour m'installer sous la douche.

Je pris une douche aussi chaude que je pus l'endurer, et après m'être nettoyée, je restais encore un bon moment sous la douche, pleurant tout mon saoul.

Je ne sais pas combien de temps je restais sous la douche avant que ne survienne Tom qui m'intima :

-"Si tu ne te magnes pas le cul il va t'arriver des bricoles ma petite chérie! ...."

Je le regardais comme l'idiot qu'il était et je fermais le robinet.

Je me séchais et regagnais la pièce ou je venais de me faire si copieusement violer.

Alors que j'entrai, Rory me jeta mon top et mon pagne, je les enfilais prestement.

Je jetais un coup d'œil circulaire et retrouvais mes sandales contre l'une des murs, je les chaussais tout aussi rapidement.

Le gérant et Tom discutaient encore entre eux, et quel que ce soit le sujet de leur conversation, cela les faisait bien rire, ils se turent à mon approche et dès que je fus prête, nous quittâmes le studio.

Je m'assis à l'arrière avec Steve et regardait par la fenêtre alors que Tom nous reconduisait à l'appartement.

Je pensais qu'ils me laisseraient partir cette fois, je ne voulais pas croire qu'ils voudraient encore me toucher après ce que je venais de subir.

Il semble toutefois qu'ils avaient vraiment apprécié ma performance et qu'ils ne voyaient pas pourquoi trois fellations de plus me poseraient problème! ....

Ils descendirent tous trois leurs pantalons sur leurs genoux et s'assirent, j'allais de bite en bite les suçant chacun à leur tour.

Puis cette fois ils m'autorisèrent à les quitter.

Tom me dit que e pouvais me reposer pendant une paire de jours, et qu'il n'aurait probablement pas recours à mes services avant le week-end prochain.

Sinon, il m'appellerait sur mon portable, mais en principe je ne devais revenir à son appartement que le samedi suivant à 10 heures.

Je pris mon sac et sortis pour me ruer dans ma voiture.

Je n'étais pas capable de conduire pour l'instant.

Je pleurais beaucoup trop.

Quelques personnes s'arrêtèrent en me voyant effondrée, et me demandèrent si ça allait, je hochais la tête et les ignorais.

J'étais pourtant au trente sixième dessous, j'avais terriblement mal, aussi bien mentalement que physiquement.

Je me demandais comment je pourrai revenir le week-end suivant! ......

Je ne pouvais m'empêcher de repenser aux dernières paroles du gérant du studio.

Qu'avaient-ils programmé qui soit encore pire que ce que j'avais enduré? .....

Qu'est ce qui pouvait s'avérer pire que ce qu'ils m'avaient obligé à subir? .....

Lorsque je parvins à me calmer, je pris la route pour rentrer chez moi.

A ma grande surprise je constatais à la montre de ma voiture qu'il était plus que 23 heures.

Ce serait dur de me lever pour aller au travail le lendemain.

Je ne savais pas si j'y parviendrai.

Je savais que j'aurai une sacrée chance si j'étais capable de marcher ou m'asseoir demain matin, ou bien même de parler ou de penser.

Je n'avais pas essayé de parler depuis la fin de mon calvaire.

J'essayais de dire Hello tout en conduisant, ce ne fut qu'un méconnaissable croassement.


Pour corser le tout, un engourdissement douloureux gagnait ma chatoune et mon trou du cul tant la douleur était forte, et cela empirait de minute en minute.

A suivre...

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