Traduction d’un texte de jackie_em.
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Mon nom est Stéphanie. A 26 ans, je suis au sommet, ou du moins il me semble l’être. Je mesure 1m75, j’ai une silhouette fine, de jolis seins, de longs cheveux blonds et un joli visage. A l’université, je travaillais à temps partiel pour me payer mes études et arriver à mon but. J’avais de l’ambition, je savais ce que je voulais et j’avais de nombreuses idées de création.
Pendant mes études, j’ai su attirer autour de moi un groupe de personnes très intelligentes et capables. J’avais besoin d’une équipe, car bien que je sois efficace, je savais que je ne pouvais pas tout faire moi-même. J’avais l’idée d’une application Web, inédite et jamais vu sur le marché. Je savais que cette application ouvrirait d’autres horizons aux personnes si elle était bien conçue. J’avais dans la tête de ce à quoi elle devait ressembler, ce qu’elle devait faire et comment devrait être l’interface.
Je ne suis pas vraiment programmeur, même si j’en ai un peu les bases. Mais j’ai trouvé les gens qui peuvent le faire et j’ai utilisé les économies que j’ai su mettre de côté avec mes petits boulots pour payer ces gens-là. J’étais exigeante avec eux, mais autant avec moi. Je travaillais 16 heures par jour, 7 jours par semaine. Je travaillais, mangeais et dormais dans n’importe quel bureau que je pouvais me permettre à l’époque.
J’avais peur de ne pouvoir financer jusqu’à la fin, alors je poussais mes employés. Oui je suis très exigeante, très critique et quand quelqu’un ne fait pas son travail, je lui fais savoir. Si j’avais été un homme, j’aurais été admirée et vue comme un modèle. Oui je m’étais inspirée des personnes les plus performantes dans le monde de la technologie. Mais parce que j’étais une femme, j’étais une garce.
Mon idée principale était que lorsque nous aurions réussi, je récompenserais toutes les personnes m’ayant aidée à y arriver. Mais entre-temps je conservais la propriété exclusive de l’entreprise. Je voulais que personne ne puisse saper mes décisions ou me remettre en question. Je me suis battu, j’ai beaucoup travaillé et nous y sommes arrivés.
Au moment où j’ai publié mon application, je n’avais presque plus d’argent. Je pouvais continuer à payer les gens alors que nous avancions, mais je ne pouvais pas garder mon appartement. De toute façon, je dormais au bureau la plupart du temps.
Le déploiement de mon application se fit normalement et il y eu un bon bouche à oreille. Bientôt, j’eus l’application la plus efficace du marché. Le problème était de gagner de l’argent avec. Bien sûr, elle générait des revenus, mais ceux-ci étaient aussitôt réinvestis dans les salaires ou la publicité.
C’est le problème le plus courant dans ces déploiements technologiques, savoir comment monétiser le succès. Nous sommes devenus rapidement très gros, mais l’argent était dépensé aussi vite qu’il entrait. Nous prenions de l’ampleur, et notre création commença à attirer l’attention de sociétés beaucoup plus grosses. Je savais que si nous pouvions conserver et augmenter notre succès pendant encore six mois, nous serions incontournables sur le marché.
Mais cela signifiait de défendre notre territoire contre les nouveaux arrivants qui essayaient de nous voler notre marché et nos clients. Il fallait que nous continuions à améliorer notre produit tout en défendant notre part de marché. Mais avec une trésorerie aussi faible, ça devenait de plus en plus difficile. C’est à ce moment qu’un autre géant en matière de technologie que je nommerais pas, me proposa de me racheter.
Je ne voulais pas vraiment vendre, mais je n’étais pas sûr que mon entreprise survive si je ne le faisais pas. J’avais l’exemple de beaucoup de nouvelles entreprises ayant inventées de nouvelles choses se faire ruiner par de grosses sociétés. Je ne voulais pas devenir un de ces nouveaux entrepreneurs de génie mis sur la paille par fierté. Alors quand ils m’ont contactée et m’ont offert de l’argent pour mon entreprise, je me suis mise à réfléchir.
Je savais que cette grosse société avait les ressources techniques et le poids financier nécessaire pour réussir. Ils offraient un financement pour la totalité. Je perdais tout, mais en fin de compte je n’y voyais aucun inconvénient. Je pourrais recommencer autre chose, j’avais des idées plein la tête. Bien sûr, ils étaient assez rigides sur ce sujet, mais moi aussi. Ils voulaient que l’on fixe une clause de non-concurrence, mais j’ai restreint celle-ci au segment de marché de mon application. Du coup, ça me laissait encore de nombreuses alternatives.
J’allais obtenir 250 millions de dollars pour mon entreprise. C’était pas mal pour 4 ans de dur travail. J’ai négocié en secret, seul l’avocat de l’entreprise était au courant de ce qui se passait. J’avais besoin de lui pour m’assurer que tout allait bien. La société accédante voulait que je signe un contrat de services personnels. Ils voulaient que je fournisse des services de marketing et de promotion de l’entreprise après l’avoir vendue.
Je n’étais pas trop d’accord avec ça. Après avoir vendu, je voulais juste ne plus m’en occuper et les laisser faire comme ils voulaient. Mais ils m’ont dit qu’ils me paieraient pour ça. Je n’étais toujours pas d’accord, car avec 250 millions à la banque, ça me suffisait. En fin de compte ils ont conditionné la vente à la signature de ce contrat de services personnels. Je suis allé voir mon avocat.
- Georges, regarde ça attentivement. Je n’aime pas cette idée et je ne veux pas que l’on puisse me tenir en laisse plus tard.
- Bien sûr patron !
Peut-on faire confiance à son avocat ? Je l’ai fait. Et il s’avère que je n’aurais pas dû. Il m’avait dit que tout était bien et que je n’aurais pas de mauvaises surprises, que je devais aller de l’avant. J’ai regardé alors ma comptabilité et je me suis demandée combien de temps je pouvais continuer à payer mes employés avec le peu d’argent qui entrait. Sans publicité continue, ma part de marché commencerait à chuter et mangerait encore plus mes fonds.
Lors de l’un de mes petits emplois à l’université comme mannequin, j’avais dû aller en Suisse et j’y avais ouvert un compte en banque. Je n’y avais pas beaucoup d’argent, mais je savais qu’il était difficile pour le fisc d’aller chercher des renseignements auprès des banques suisses. Donc j’ai insisté pour qu’à la vente, les fonds soient virés sur mon compte bancaire suisse. Les acheteurs ont refusé dans un premier temps, puis ils ont finalement accepté.
Ils ont insisté pour que la signature de la vente se fasse dans un appartement luxueux, juste à l’extérieur de la ville. J’étais d’accord, peu importe où nous signions du moment que j’étais payée.
Le jour dit, j’arrive à l’appartement. Il est très agréable, mais un peu étrange. Il est composé d’un salon luxueux, d’une chambre simple et d’une salle de bain. Le seul accès est un ascenseur avec des clés spéciales qui ouvraient l’immeuble et conduisait l’ascenseur à ce seul appartement.
Il y a une belle table. Je m’assois autour ainsi que mon avocat et deux cadres de la société qui achète mon entreprise. Je dois normalement signer l’accord à huit endroits différents. Après la septième signature, je leur demande de virer l’argent à ma banque avant de signer une dernière fois. Ils ne sont pas trop contents, mais ils le font. J’utilise mon téléphone pour vérifier. Dès que je vois que la somme est virée, je signe la dernière page.
- Voilà Messieurs, vous possédez maintenant mon entreprise.
Les deux cadres se regardent et sourient cyniquement, puis ils me répondent :
- Plus les avantages secondaires, si l’on peut dire !
- Des avantages secondaires ? De quoi parlez-vous ?
C’est alors que je sens quelque chose qui se ferme sur mon cou. J’ai l’impression qu’il s’agit d’un collier en métal. Je fais le tout avec mes mains et je ne trouve pas le moyen de l’ouvrir. Je m’énerve alors :
- Qu’est-ce que c’est que ça ? Enlevez-moi ce truc !
- Attendez ! Maintenant, vous avez un contrat de services personnels avec nous. Si vous le relisez vous constaterez que ça en fait partie.
Je me tourne alors vers mon avocat qui, me semble-t-il, est la personne qui m’a mis le collier.
- Je croyais que tu avais vérifié le contrat ?
- Je l’ai fait, croyez-moi !
- Et je dois porter un putain de collier ?
- Oui, c’est pourquoi je vous l’ai mis !
- Je pensais que tu travaillais pour moi et que tu veillais sur mes intérêts ?
- Disons que je veille d’abord sur mes propres intérêts. Ils m’ont fait une très belle offre pour éviter de vous tenir au courant de certaines dispositions contractuelles.
- Salaud ! Espèce de fils de pute !
- Oui ! Et vous, vous êtes une garce avec moi et tous les autres employés de l’entreprise depuis très longtemps.
- J’ai juste essayé d’être juste.
- Vous avez essayé d’être juste ? Vous nous avez poussés au travail, vous nous avez humiliés tout en nous faisant travailler presque sans repos.
- J’ai travaillé très dur moi aussi !
- Mais vous repartez avec des millions d’euros, alors que nous aurons de la chance si les nouveaux patrons conservent nos emplois.
- Je n’ai pas à supporter ça ! Je m’en vais !
Les deux cadres se regardent et sourient tandis que je me lève et me dirige vers la porte de l’appartement. Je l’ouvre et quand je mets un pied dehors, je sens des décharges électriques qui traversent mon corps. Ça vient du collier qui m’électrise. C’est tellement brutal que je m’effondre sur le sol, mon corps tremblant des décharges qui le traverse. Je reste comme ça jusqu’à ce que Georges me ramène dans l’appartement et ferme la porte.
- Vous resterez dans cet appartement pendant la durée de votre contrat de services personnels.
- Et quelle est la durée ?
- Cinq ans !
- Vous plaisantez ? Cinq ans ? Je suis coincé ici pour cinq ans ?
- Oui, sauf si nous décidons de vous laisser sortir pour une quelconque raison.
- Et mes vêtements ? Et la nourriture ? Et tout le reste ?
- Puisque vous en parlez, il faut aller de l’avant. Déshabillez-vous !
- Sûrement pas !
- Nous pouvons vous punir avec ce collier, même à l’intérieur de l’appartement.
- Conneries !
Je sens alors un léger picotement sur le cou. Je regarde les hommes qui ont un grand sourire sur leurs visages.
- C’était juste pour vous montrer ! Voulez-vous vraiment que nous augmentions le niveau de douleur ?
- Vous n’allez pas oser ?
- Bien sûr que si ! Vous avez humilié beaucoup de personnes, il est juste que vous goûtiez vous aussi à l’humiliation.
Je me tourne alors vers Georges :
- Pourquoi les laisses-tu me faire ça ?
- Pour l’argent et l’opportunité de participer à votre humiliation.
- Assez de discussions ! Déshabillez-vous maintenant !
Je sens les picotements augmenter autour de mon cou, mais ça reste à un niveau de douleur acceptable. Je ne sais pas exactement ce qu’ils veulent, mais je ne veux plus de grosses décharges électrique comme tout à l’heure.
Je retire lentement ma veste que je pose sur le dossier d’une chaise. Je regarde les trois hommes. Ils ont des sourires vicieux et déterminés. j’enlève mes talons hauts et je les mets sur la chaise. Puis je m’arrête. Ils continuent de sourire.
- Continuez !
Je porte une jupe classique. Je défais la ceinture, puis je déboutonne le bouton juste au-dessus de la fermeture éclair sur le côté. Je m’arrête et ils me font signe de continuer. Je dézippe la jupe et je l’enlève. Je la plie soigneusement et je l’ajoute sur la chaise.
- Le chemisier maintenant !
- Vous aimez vraiment ça, n’est-ce pas ? Bande de salauds.
- Oui nous apprécions. Et nous sommes des salauds oui. Continuez !
Je les regarde en déboutonnant mon chemisier blanc. Il n’était pas fermé jusqu’à mon cou, mais il ne montrait pas de décolleté. Je me dis qu’il va bien falloir que je montre un sein pour les satisfaire. Une fois le devant déboutonné, j’enlève les boutons aux poignets et je fais glisser mon haut. Je sens la colère monter. Ils peuvent bien me faire déshabiller, mais ils n’arriveront jamais à me rabaisser, quoi qu’ils fassent.
Je pose mon chemisier en travers du dossier de la chaise et je reste immobile en soutien-gorge et culotte, les bras croisés, un pied tapant le sol. L’un des cadres a un petit rire :
- Classique, mais sexy à ce que je vois !
- Que voulez-vous ?
- Je veux que vous retiriez votre soutien-gorge. J’attends !
Je le fusille du regard et je sens un petit picotement autour du cou. D’une manière ou d’une autre je m’en sortirai. Ils me paieront ce qu’ils me font faire. En attendant, je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’ils demandent. Je tends la main dans le dos et je décroche mon soutien-gorge. Je le laisse tomber en avant et je dévoile mes jolis seins. Je suis gênée, car mes mamelons sont durs et dressés.
Ça me met encore plus en colère. Je mets le soutien-gorge sur la chaise, puis je place mes mains sur mes hanches sans essayer de couvrir ou cacher ma poitrine. Je ne veux pas leur donner le plaisir de croire qu’ils m’embarrassent ou m’humilient. L’un des cadres sourit et se tourne vers l’autre :
- C’est encore plus joli que ce à quoi je m’attendais. Ils sont fermes et ne s’affaissent pas. Qu’est-ce que tu en penses ?
- Très joli, c’est sûr !
Je suis debout alors qu’ils commentent la beauté de mon corps comme si j’étais une voiture ou un objet de valeur.
- Très bien, finissons-en ! Enlevez votre culotte ! Je n’ai pas de rendez-vous, mais j’ai hâte.
Georges et l’autre cadre acquiescent tous les deux. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes, la récupère sur le sol et l’ajoute à mes autres vêtements. Je remarque qu’elle est légèrement humide à l’entrejambe.Je suis dégoûtée à l’idée que je peux être excitée de me déshabiller devant trois hommes. Mais le fait est que c’est peut-être ça.
- Alors, vous vous êtes bien amusés maintenant ?
- Ma chère Stéphanie, le plaisir ne fait que commencer. Et il continuera pendant un certain moment.
- Que voulez-vous maintenant ?
- Je pense que comme nous nous connaissons mieux, nous pouvons te tutoyer, non ? Alors, mets-toi à genoux !
- Pourquoi ?
- ne pose pas de questions, fais-le !
Je sens le collier picoter à nouveau. Alors je tombe à genoux. Georges s’approche alors et se place en face de moi. L’un des cadres reprend la parole :
- Baisse sa braguette !
- Vous ne vous attendez pas à ce que je…
- Si si ! Obéis !
Je suis énervée. Ils vont plus loin que ce à quoi je m’attendais pour simplement m’humilier. Je descends la braguette de Georges et je lève les yeux vers lui. Je vois alors le sourire le plus vicieux que j’aurais pu imaginer voir.
- Maintenant, sors sa bite et suce-le ! Laisse-moi t’avertir que si tu le blesses de quelque façon que ce soit, la douleur que tu as ressentie en franchissant la porte ne sera rien comparée à ce que nous te ferons.
Je ne sais pas si j’aurais essayé de lui faire du mal, mais ça ne fait qu’empirer les choses. Je ne veux même pas le regarder pendant que je fais ça. Il m’a trahi pour de l’argent et la possibilité de m’humilier. J’ai beaucoup de peine à le croire. J’étais dure envers mes employés, y compris Georges, mais je n’ai jamais eu l’impression d’être injuste. C’est inimaginable.
De toute façon, tant que je porte ce maudit collier, je n’ai pas d’autre choix que de faire ce qu’ils disent. Alors je sors la bite de Georges et je la regarde. Je la vois durcir dans ma main. Je me tourne alors vers les deux cadres et je réalise qu’ils ont filmé alors que je me déshabillais et qu’ils continuent. Non seulement, ils essaient de m’humilier, mais ils vont aussi en garder des preuves vidéo.
Mon collier me picote à nouveau, alors je mets le gland entre mes lèvres et je le suce comme une sucette avant de l’éloigner. Je peux sentir un peu de liquide pré-éjaculatoire au bout de sa bite. Je décide alors de leur en donner pour leur argent et je reprends le sexe en bouche, un peu plus profondément cette fois en caressant le reste de la tige avec ma main. Georges gémit et pose sa main sur l’arrière de ma tête.
Mon ancien avocat sort et entre sa queue dans ma bouche en allant de plus en plus profond. Il arrive presque à m’étouffer. Je fais ce que je peux avec mes lèvres, ma langue et ma main, alors que Georges me baise la bouche avec enthousiasme. Je mets mon autre main sur sa hanche pour me caler, tout en utilisant l’autre pour le caresser et l’empêcher de pousser sa bite trop loin dans ma gorge.
J’ai du mal à respirer quand Georges tire ma tête sur lui le plus possible et qu’il éjacule dans ma bouche et ma gorge. J’essaie d’avaler pour ne pas étouffer avec sa bite et son sperme, mais il me faut déglutir plusieurs fois pour en ingurgiter la majeure partie. Enfin, l’homme relâche ma tête et je peux m’éloigner de lui pour reprendre mon souffle.
Alors que je recommence à respirer normalement, je me lève et je fais face aux deux cadres :
- Vous avez donc eu votre petit spectacle. Vous m’avez faite déshabiller et sucer quelqu’un devant une caméra. Vous vous sentez plus heureux maintenant ?
- Stéphanie, tu as un contrat de cinq ans, donc ce n’est que le début, juste le matin du premier jour. Tu verras beaucoup plus de bites avant le fin de ton contrat.
- C’est de la prostitution ! C’est illégal ! Vous ne pouvez faire ça !
- En fait si, nous le pouvons. Premièrement les termes de notre contrat t’oblige à fournir tous les services que nous demandons. Deuxièmement, nous avons donné de l’argent à quelques personnes et nous avons obtenu une dérogation aux lois sur la prostitution pour ton contrat et cet appartement.
- Vous voulez dire que vous avez l’intention de me faire sucer des gens durant les cinq prochaines années ?
- Pas seulement ça ! Tu vas les baiser aussi, avec ta chatte et ton cul ! Tu es maintenant la pute de notre entreprise.
- Pourquoi ? Vous pouviez faire la même chose pour beaucoup moins cher ! Pourquoi moi ?
- Tu as agacé beaucoup de personnes, dans et au-dehors de ton entreprise. Et comme tu viens de vendre, tu as tout et eux ils n’ont rien.
- Ils reçoivent un salaire !
- Oui, mais maintenant, ils vont avoir plus. Appelle ça comme un bonus de vente et une chance de pouvoir se venger de la femme qui les a malmenés pendant toutes ces années.
- Écoutez, j’ai l’argent de la vente. Je vais partager. Que voulez-vous pour eux ? Cinquante millions ? Ne me faites pas ça !
- Tu ne comprends pas. Tu pourrais bien offrir tes 250 millions qu’ils n’en voudraient pas. Ils ne veulent pas d’argent, mais un retour sur investissement de toutes ces années à se défoncer au travail pour une garce.
- Non, s’il vous plaît !
- Je crois que Georges veut plus ! N’est-ce pas Georges ?
Je me retourne et je vois que mon ancien avocat a enlevé tous ses vêtements. Il est debout, le sexe plus raide que jamais.
- Maintenant je veux te baiser. Allonge-toi et écarte les jambes !
Je me tourne vers les deux cadres qui sourient. Je sens le collier picoter à nouveau.
- Vous voulez dire ici ?
- Pourquoi pas ?
Je m’allonge sur le sol et écarte les jambes. Ma chatte est bien taillée, mais pas rasée. L’un des cadres dit alors :
- Nous te ferons raser cette chatte une fois que Georges aura totalement terminé. Il faut garder ça bien propre.
Georges s’étend sur moi et s’allonge, puis il commence à jouer avec mes seins. C’est alors que je gémis et que je sens que je m’humidifie encore plus entre mes jambes. C’est vraiment humiliant que ça me fasse réagir ainsi. Mon corps apprécie ce traitement et réagit. Je ne peux rien y faire alors qu’il joue avec mes seins. Je commence à bouger mes hanches.
- Cette salope commence à apprécier, n’est-ce pas ?
Georges commence à sucer l’un de mes mamelons alors qu’il joue avec l’autre. Puis il glisse une main sur ma chatte. Il suce et mordille l’un de mes seins alors qu’il caresse et pince doucement l’autre. Mes mamelons sont plus durs que jamais ils ne l’ont été.
Georges fait courir un doigt le long de ma fente, tout d’abord juste sur le bord des lèvres, puis il remonte et caresse mon clitoris. Maintenant je me tortille vraiment et j’avance mes hanches sur son contact. Je peux sentir mon jus sortir de ma chatte pendant qu’il joue avec moi. Puis il enfonce son majeur profondément en moi et commence à me baiser la chatte en jouant avec mon clitoris avec son pouce et son index.
Je n’ai pas eu de petit ami depuis l’université, car je n’avais pas le temps. Et pour être honnête, ça fait très longtemps que je n’ai pas été baisée. Mais je n’ai pas l’impression que ça m’ait manqué. Les quelques gars avec qui j’étais sorti dans le temps étaient maladroits et j’arrivais plus facilement à me faire plaisir toute seule.
Mais là, ce que fait Georges, combiné avec un public et mon humiliation, m’excite plus que je ne l’aurai imaginé.
J’ai l’impression que je suis sur le point d’exploser alors que Georges retire ses doigts et enfonce sa bite profondément dans ma chatte.
- Salope, tu ne peux pas imaginer depuis combien de temps j’attends ça !
Il commence à me baiser, lentement au début, puis de plus en plus rapidement. Et je l’accompagne avec mes hanches. Je peux sentir la chaleur montre dans mon corps alors qu’il plonge sa queue le plus profondément possible en moi. Peu importe que je sois contrainte, que ce soit de la prostitution, ou même une sorte de vengeance bizarre, je veux qu’il me baise, et je veux qu’il jouisse en moi.
Je peux sentir ma chatte se resserrer autour de son sexe et je l’entends gémir en même temps. Je sens le meilleur orgasme de ma vie enfler en moi et Je jouis, perdant le contrôle de mon corps. Je me tords et tremble alors que Georges me baise et me remplit de sa semence. Je reste allongée, les yeux fermés, le souffle court, essayant de récupérer alors que Georges s’effondre sur moi avec sa bite palpitante et giclant profondément dans ma chatte.
- Putain de salope, je crois que tu as apprécié ça plus que moi !
Il se relève et sort son sexe flasque de ma chatte.
- Merde les gars, ça valait le coup. Je vous aurais presque payé pour avoir la chance de faire ça.
Les cadres sourient et l’un d’eux dit alors :
- Tu n’en veux pas un peu plus ?
- Bien sûr que si, mais laissez-moi le temps de me remettre un peu. Toi salope, nettoie-moi !
Georges me montre sa bite et je ne proteste même pas à ce stade. J’approche ma tête et je commence à sucer sa queue pour la nettoyer de mon jus et de son sperme. Je connais déjà le goût de son foutre puisqu’il a déjà éjaculé dans ma bouche plus tôt. Mais maintenant je peux goûter le mélange avec mon propre jus. Tandis que je le nettoie et le suce, son sexe recommence à devenir dur.
- Ok salope, à quatre pattes maintenant !
Je lui obéis sans vraiment réfléchir, encore stupéfaire par ce qui se produit. Il m’écarte les jambes. Je ne sais même pas ce qu’il fait et je m’en fiche alors qu’il s’approche de moi. Je sens alors son gland contre mon trou du cul. Je réalise qu’il veut aussi m’enculer.
- Oh non !
Je commence à avancer pour m’éloigner de lui. Mais il attrape mes hanches et me tire vers lui.
- Salope, tu fais ce que je veux, quand je veux ! Compris ?
Je me contente de hocher la tête alors qu’il pousse son gland à l’intérieur de mon cul. Ça me fait mal, car mon cul n’est pas habitué à ce traitement et le seul lubrifiant qu’il dispose est ma salive et tout ce qui reste de mon jus sur sa queue. Il fait quand même les choses en douceur en glissant lentement sa bite en moi. Il fait des va-et-vient et s’enfonce un peu plus loin à chaque fois jusqu’à ce qu’il soit bien au fond, ses hanches pressant mes fesses et ses couilles me frappant à chaque coup.
C’était très inconfortable au début, mais plus il va loin, mieux c’est. Après quelques minutes, je pousse mon cul sur sa bite pendant qu’il m’encule. Ce n’est pas aussi bon que quand il a baisé ma chatte, mais j’apprécie quand même. Je suis satisfaite quand finalement il éjacule dans mon cul. Je me tortille et je gémis comme lui, ce qui semble le satisfaire lui aussi.
Puis il me lâche et je m’effondre sur le sol, son sperme dégoulinant de ma chatte et mon cul. Mes yeux sont à moitié fermés, mais je vois Georges passer et commencer à remettre ses vêtements. Je reste allongée en essayant de bien récupérer de tout ça.
- Alors Georges, es-tu content de ce que tu as eu ?
- Putain oui ! Ça vaut bien toutes les misères que j’ai endurées ces dernières années.
- Donc tu penses qu’elle fera l’affaire ?
- Ouais, mais je pense qu’il va falloir lui demander de porter un plug pour étirer son cul. Il est un peu trop serré pour être confortable.
- D’accord. Stéphanie, lève-toi, lave-toi et rase cette chatte. Tu vas avoir un autre client dans environ une heure.
Je me lève et je regarde autour de moi. Mes vêtements ne sont plus sur la chaise où je les ai mis. Je les vois alors au-dessus d’une des mallettes des deux cadres.
- Mes vêtements ?
- Tu n’en auras pas besoin. Tu n’as pas besoin de vêtements pour les services que tu vas fournir pendant un certain temps.
L’homme ramasse mes vêtements et les mets sous son bras avec sa serviette.
- Vous ne les laissez pas ?
- Tu serais tentée de les porter. Et ils ne te servent à rien ici.
- Et la nourriture ?
- Nous t’apporterons tes repas dans la journée. Tu ne vas pas mourir de faim et donc tu n’as pas besoin de sortir.
- A quoi dois-je m’attendre ?
- T’attendre ? Disons environ quatre gars par jour. Que tu baiseras, car ils voudront baiser. La plupart du temps, tu seras tranquille la nuit.
- Alors, je suis ici comme votre pute pour les cinq prochaines années ?
- Ce sont les conditions du contrat, mais nous pourrons le renégocier pour allonger la période si tu le souhaites.
- Non non !
- Tu seras la prime de travail pour beaucoup de tes anciens employés. Un groupe de ceux-ci ont regardé tes ébats en direct et ils attendent avec impatience leur tour. Nous te demanderons également de divertir certains clients et sous-traitants. Ne t’inquiète pas, tu auras de quoi t’occuper.
Non seulement je viens de me faire baiser, mais je vais me faire baiser encore et encore. Et mes employés ont tout vu.
- S’il vous plaît, je ne veux pas être la pute de l’entreprise.
- Il me semble que tu en as bien profité quand Georges te baisait.
- Georges a pris sa revanche, Mes employés m’ont vu humiliée. N’est-ce pas suffisant ?
Georges a fini de s’habiller. Les trois hommes se dirigent vers la porte.
- Va te laver et rase cette chatte. Quelqu’un d’autre va arriver. Tu trouveras du lubrifiant dans le meuble près du lit.
Ils franchissent la porte, emportant mes vêtements. Je vais dans la salle de bain et je prends une douche. Je lave ma chatte et mon cul du mieux que je le peux. J’ai un stérilet que je me suis fait posé il y a quelques années, alors je ne crains pas de tomber enceinte.
Cinq ans avec quatre hommes par jour, ça fait plus de 7 000 hommes et probablement je serais baisée plusieurs fois par chacun. Putain, le jour où ils vont me libérer, j’aurais été baisée près de 20 000 fois environ. Cette perspective m’effraie, mais je ne sais pas que faire. La bonne nouvelle c’est que je vais avoir le temps de réfléchir.
Je rince ma chatte et je me fais un lavement, puis je me rase soigneusement. Ainsi, je lave tout le sperme de Georges. Je ne sais pas qui va venir ensuite, mais le résultat va sûrement être le même qu’avec Georges. Mes trois trous vont subir le même traitement. Et comme il est encore tôt dans la journée, il y aura encore deux hommes après.
Je regarde dans les placards et je ne trouve aucune trace de vêtements. Si j’arrive à trouver comment enlever ce collier, il faudra que je trouve de quoi m’habiller. Puis je devrais trouver comment sortir du bâtiment, trouver de nouveaux papiers d’identité et partir où ils ne pourront pas me retrouver. C’est beaucoup de problèmes à résoudre, mais j’ai toujours été bonne pour ça.
Un peu plus tard, je reçois la visite de Michel qui fut mon directeur de publicité. Il est mon prochain client et semble apprécier la chance de pouvoir me baiser autant que Georges. Je me contente de m’allonger sur le lit en attendant qu’il vienne. Ce qu’il fait immédiatement en enlevant ses vêtements.
- Ah, les puissants tombent aussi. Tu ne peux pas imaginer à quel point ça me fait plaisir.
- Je suis ravie de savoir que vous pouvez obtenir autant de plaisir de l’inconfort de quelqu’un d’autre.
- Tu dis ça, mais tu semblais apprécier que Georges te baise.
- Tu penses qu’avec mon manque de chance je ne sortirai pas d’ici tout de suite ?
- Non tu n’as pas de chance. A quatre pattes, salope !
- Il y a du lubrifiant dans la table de chevet.
- Je vais juste te baiser en levrette pour commencer, mais si tu montres que ça te plaît, j’utiliserai alors le lubrifiant pour t’enculer !
Michel passe derrière moi et commence à mettre ses doigts dans ma chatte. Je suis surprise d’être déjà mouillée.
- Putain de salope ! On dirait bien que tu es déjà prête pour moi !
Miles prend sa bite et la glisse dans ma chatte ? Je m’étais attendu qu’il soit plus rude, mais en fin de compte il est doux. Alors qu’il me pénètre bien profond, je gémis.
- Tu disais que tu ne le voulais pas, mais tu agis comme si tu le veux au contraire.
Michel se penche en avant et commence à jouer avec mes seins tout en me baisant lentement par-derrière. Je me déteste, mais encore une fois, j’aime être baisée. Mon esprit est trahi par mon corps. Dans cette position, j’ai l’impression qu’il me remplit plus que Georges. Je suppose que c’est l’angle d’attaque. En tout cas c’est mieux.
Je suis là en train de baiser un ancien employé. Il n’y a pas eu de préliminaires ni de vrai consentement et pourtant j’ai la meilleure séance de baise de ma vie. Était-ce simplement parce que je n’avais pas eu de relations sexuelles depuis longtemps ? Je ne sais pas et je ne peux pas vraiment le comprendre dans ces circonstances. Je pousse mes hanches en arrière alors qu’il lâche mes seins et agrippe ma taille pour enfoncer sa queue profondément en moi et éjaculer.
Puis il me retourne et s’approche pour enjamber mon visage et mettre sa bite partiellement dégonflée contre ma bouche.
- Allez salope ! Nettoie ma bite !
Mes bras sont coincés sous lui, donc je ne peux pas prendre son engin avec mes mains. Alors je l’avale aussi profondément que possible. Michel prend la direction des choses et me baise la bouche alors que je reste allongée. Rapidement il bande à nouveau et il pousse sa queue jusqu’à ce qu’elle touche l’arrière de ma gorge. Je ne peux rien faire alors qu’il baise ma bouche durement et rapidement. J’essaie de respirer comme je peux autour de son engin et je me sens devenir bizarre quand il jouit dans ma bouche.
Sa queue n’était pas aussi profonde qu’elle avait été, alors je peux prendre mon souffle et avaler ce qui me semble être un litre de sperme. Quand il a fini de gicler, il se retire et roule sur le lit à côté de moi.
- Bonne salope ! Ils ont dit que c’était une prime. Il faut que je trouve quoi faire pour obtenir plus de primes.
- Je crois qu’ils prévoient de faire bon usage de moi, donc tu auras probablement une autre chance de me baiser avant longtemps.
- Est-ce que ta chatte a encore envie d’avoir ma bite à l’intérieur ?
- Garde à l’esprit que je suis ici juste en tant que pute ? Crois-tu qu’une pute se soucie d’avoir du bien-être d’un de ses clients ?
- Je voulais te baiser la chatte, mais après ces mots, je vais t’enculer. Où est le lubrifiant ?
- Dans la table de chevet !
- Mets-toi en position salope !
Je me mets à quatre pattes et je lève mes fesses en l’air. Je l’entends ouvrir le tiroir de la table de chevet. Je sens l’odeur du lubrifiant alors qu’il en met sur sa bite. Puis il en dépose une noix sur son index et il l’enfonce dans mon cul. Enfin il le retire et pousse sa queue rapidement dans mon petit trou.
- C’est un joli petit cul serré ! Je suis content qu’ils m’aient donné cette pilule bleue, sinon je n’arriverais pas à récupérer aussi rapidement.
Michel m’encule comme s’il baisait une pute. Il ne se soucie de rien d’autre que son plaisir. Il garde longtemps sa bite dans mon cul avant de jouir. J’ai eu l’impression qu’il allait m’enculer toute la journée. Puis enfin il gicle son foutre dans mes intestins.
Michel s’habille et part. Alors je me nettoie en vue du prochain qui va se présenter. J’ai quatre clients ce jour-là, y compris Georges et Michel. Ce sont essentiellement les quatre personnes les plus importantes de mon entreprise. Les jours suivants, ils ont grimpé dans l’entreprise, ou plutôt ils ont grimpé sur l’ancienne patronne de l’entreprise.
Je passe du temps à examiner le collier et son verrou. Rien à faire de ce côté-là. Ils ne veulent certainement pas que j’arrive à déverrouiller leur collier. La serrure ressemble à celle qui se trouve sur les distributeurs automatiques. Elle est protégée des tentatives de crochetage. Je connais un peu ce genre de serrure et j’essaie de jouer avec, mais sans grand succès.
C’est une jeune immigrée qui m’apporte mes repas deux fois par jour. Et rapidement elle me dit qu’elle ne m’aidera pas.
- Ils me disent que si je vous aide à sortir, je prendrai votre place. Et je devrais baiser tous ces hommes. Non non non !
Au bout de quelques semaines, un de mes nouveaux clients est un jeune programmeur. C’est un gars jeune, intelligent, gentil et un peu ringard. Contrairement à la plupart des autres, il essaie de me faire l’amour. Il m’embrasse et me caresse. Il essaie vraiment de me faire du bien avant de me baiser. De toute façon je n’ai pas le choix, mais je suis touchée par sa tendresse.
Paul passe un bon moment à m’embrasser tout en caressant mes seins. Puis il passe du temps à sucer chaque mamelon, à les lécher et les grignoter. Il continue à travailler ma poitrine jusqu’à ce que j’aie un orgasme.Mon corps semble toujours apprécier le sexe, mais je n’avais plus tellement d’orgasmes. Après que j’ai joui, Paul m’a prise dans une position normale.
En me baisant, il me dit à quel point je suis merveilleuse et combien il aime être avec moi. J’ai alors vraiment commencé à croire qu’il le pensait.
- Mon Dieu Stéphanie, que vous êtes belle. J’aimerais que vous soyez à moi et seulement à moi.
- Même après avoir été baisée par tant de gars de l’entreprise ?
- Oui même !
Après avoir joui, Paul roule à côté de moi et me caresse le corps jusqu’à ce qu’il recommence à bander. Contrairement à la plupart des autres, il ne me demande pas de le sucer et il ne se soucie pas de me sodomiser. Il me fait rouler sur lui et il enfonce sa bite en moi. Je bouge mes hanches tandis qu’il m’embrasse et joue avec ma poitrine et mon cul. Je n’arrive pas à croire qu’il soit aussi tendre. J’aurais presque souhaité qu’il soit mon seul amant.
Nous baisons encore une troisième fois dans une position normale et après avoir joui, il passe un long moment à m’embrasser avant de se lever et partir. Ce jour-là j’ai encore un client ce qui est décevant. S’il avait été le dernier, j’aurais peut-être invité Paul à rester avec moi. Personne, au cours des trois derniers mois passés ici, ne m’a traité aussi gentiment que lui.
Une semaine ou deux après Paul, on me dit qu’il y a un évènement spécial. On me met des sangles en cuir rembourrées aux poignets et aux chevilles. Puis on m’attache les bras dans le dos. Deux hommes m’emmènent vers la porte de l’appartement. J’ai peur du choc électrique, mais ils me disent que le système de sécurité est désactivé. Ils me conduisent nue hors de l’appartement.
Complètement nue, je prends l’ascenseur jusqu’au parking et je suis conduite à une voiture aux vitres complètement teintées. Un chauffeur est au volant et les deux hommes s’assoient de chaque côté de moi sur le siège arrière. La voiture démarre et se rend sur un autre parking où ils se garent. Ils me font sortir de l’auto et, toujours nue, il m’emmène vers un autre ascenseur qui nous montent dans des bureaux. Je réalise que ce sont ceux de la société que j’avais vendue.
Les deux hommes m’accompagnent jusqu’à la grande salle de réunion, où environ vingt-cinq hommes sont rassemblés. Ils me poussent jusqu’à une table bizarre avant que l’un des hommes disent à l’assemblée :
- Comme vous le savez, Stéphanie qui a fondé cette entreprise l’a vendue en gardant tous les bénéfices. Pour compenser sa cupidité et les mauvais traitements qu’elle a fait subir à son personnel, elle fournit des services sexuels principalement aux cadres supérieurs.
Je regarde autour de moi tous les hommes qui fixent mon corps nu. Je sais très bien que la plupart d’entre eux ont dû déjà avoir vu des vidéos de moi me déshabillant et me faisant baiser. Ils ont sûrement entendu parler du « bonus » pour certains membres du personnel.
- Il est maintenant temps de récompenser certains des autres employés, mais nous allons le faire d’une manière différente.
Sur ce, l’autre homme décroche mes mains dans mon dos. Puis chacun des hommes prend une de mes mains et l’attache aux pieds opposés de la table. Puis ils écartent mes pieds et attachent les sangles des chevilles aux autres pieds de la table.
- Chacun de vous va avoir la chance d’obtenir un petit bonus de Stéphanie, soit son cul ou sa chatte à votre choix. Nous avons du lubrifiant ici pour ceux qui préfèrent l’enculer.
Maintenant je vais être baisée par vingt-cinq hommes dans la salle de réunion de mon ancienne entreprise. Si je trouve humiliant d’être déshabillée, nue et baisée par quelqu’un qu’ils choisissent de m’envoyer, ici ça dépasse tout. Je ne peux absolument rien faire. Et pire encore, je sais que ma chatte est humide alors que les hommes commencent à m’entourer.
Un miroir est accroché de l’autre côté de la table et il est incliné pour que je puisse voir le visage de chaque homme pendant qu’il me baise. Je peux sentir le premier s’approcher de moi par-derrière.
- Putain, j’avais entendu parler de cette chatte. Je regrette de ne pouvoir la baiser qu’une seule fois.
- Nous devons être gentils avec elle. Nous ne voulons pas l’abîmer sur une seule séance. En fait, elle aura probablement besoin de plusieurs jours pour récupérer.
L’homme derrière moi a ce qui ressemble à la plus grosse bite que j’ai jamais ^prise alors qu’il la claque dans ma chatte. Il attrape mes hanches et me baise violemment pendant plusieurs minutes avant de jouir en moi. Il se retire et je peux sentir et entendre un autre homme se positionner derrière moi.
- Putain, c’était sympa. Je veux encore la baiser. Dites-moi ce que je dois faire pour avoir une autre chance.
Les trois premiers se contentent de ma chatte, puis les deux suivants m’enculent. Les hommes s’enchaînent et je perds le décompte. Quand c’est enfin fini, je suis complètement endolorie et une grosse quantité de sperme coule le long de mes jambes. Alors que tous les hommes se sont vidés en moi, mes accompagnateurs détachent mes poignets et mes chevilles. Ils me redressent et doivent me tenir, car mes jambes sont trop faibles pour supporter mon poids.
Quelqu’un prend un chiffon humide et m’essuie la chatte, le cul et les jambes avant de me conduire toujours nue à l’ascenseur. Je peux entendre des rires et des cris de joie en traversant les bureaux. Le peu de femmes qui sont présentes secouent la tête et détourne le regard. Je ne leur en veux pas, je n’approuve pas non plus le traitement qui m’est imposé.
Je crois que j’ai joui trois fois pendant cette séance, mais je n’en suis pas sûre. La plupart du temps, ça m’a paru flou. Les deux hommes me mettent dans la voiture et me ramènent à l’appartement. Ils me mettent dans la baignoire. Mes jambes sont encore faibles, je fais couler de l’eau pour me laver. Les hommes me disent alors que je vais pouvoir profiter de quelques jours de congé avant de reprendre le cours normal des choses. L’un d’eux ajoute que l’évènement a été un succès et qu’ils pourraient bien le refaire dans un mois environ. Ils n’oublient pas de me dire qu’ils ont réactivé le système de sécurité.
Le bain est chaud et j’y reste un bon moment pour essayer de faire disparaître une partie de la douleur. Même si je me suis presque habituée à la routine normale, je ne pourrais m’habituer à ces gang-bangs.
Effectivement, ils me laissent une semaine de congé avant de recommencer à m’envoyer des hommes. Je sais qu’ils ont dû désactiver le système de sécurité pour m’emmener, comment pourrais-je me servir de cette information ?
Il s’avère que j’obtiens de l’aide lorsqu’ils viennent me chercher pour un nouveau gang-bang. Alors qu’ils me maintiennent fermement pour m’emmener à la voiture et qu’ils m’assoient comme avant, le chauffeur se retourne et je vois que c’est Paul. Il vaporise quelque chose sur la figure des hommes qui s’endorment presque instantanément. Puis il passe à l’arrière et enlève les sangles de mes poignets et de mes chevilles. Enfin il me tend des vêtements.
Ça fait si longtemps que je n’ai rien porté que j’ai du mal avec ces vêtements. Mais Paul m’aide rapidement à m’habiller. Il sort une clé qui déverrouille le collier et il l’enfile sur un des hommes. Il me conduit vers une autre voiture et m’ouvre la portière passager afin que je monte. Puis nous partons avant que les deux hommes ne comprennent ce qui leur est arrivé.
- Où allons-nous ? Demandé-je.
- Quelque part loin de cette ville !
Il conduit pendant un certain temps, avant de s‘arrêter. Nous changeons alors de véhicules.
- Ils avaient des caméras dans le parking et je sais qu’ils vont déjà rechercher cette voiture pour nous trouver.
- Et cette voiture ?
- Elle appartient à un ami qui vit en dehors de la ville.
- Ils ne peuvent pas nous retrouver autrement ?
- J’ai tout vérifié, mais je n’ai rien trouvé d’autre.
Paul nous conduit près de la frontière canadienne. C’est une longue route, mais ça ne fait rien.
- J’ai un ami qui me dit qu’il existe des moyens et des endroits pour traverser la frontière.
- Mais elles sont beaucoup plus surveillées les frontières maintenant.
- Oui, mais ils sont plus préoccupés par les Mexicains qui entrent aux États-Unis que par les Américains qui se faufilent au Canada.
Nous nous arrêtons dans une cabane au fond des bois. Elle est propre et confortable. Le temps est beau et il fait assez chaud pour que nous n’ayons pas besoin de faire du feu. Alors que nous dirigeons vers la cabane, Paul me retourne et m’embrasse profondément. Je lui rends son baiser et nous restons enlacés pendant un long moment.
- Paul, comprenez-vous à quel point j’ai été utilisée et à quel point j’ai été abîmée ?
- Oui Stéphanie, mais je veux quand même être avec vous.
- Aussi gentil que vous pouvez être et après tout ce que j’ai vécu, je ne sais pas si je pourrais vraiment apprécier d’être avec un homme.
- Essayez, et je vais essayer d’être aussi tendre et attentionné que possible.
Paul me conduit dans une petite chambre. Nous nous asseyons sur le lit et nous nous embrassons encore jusqu’au moment où nous nous allongeons côte à côte en continuant de nous embrasser.
- Je sais que nous avons déjà eu des relations sexuelles auparavant, mais vous n’aviez pas le choix à l’époque. Je veux que vous sachiez que vous avez le choix maintenant.
- Paul, je vous dois tellement que vous pouvez avoir n’importe quelle partie de moi comme vous le voulez.
Il passe sa main sur mon sein gauche, à travers mon haut et mon soutien-gorge. Il joue avec pendant quelques secondes avant de s’arrêter.
- Est-ce que je peux faire ça ?
- Paul, je vous demande seulement de ne pas me blesser physiquement, à part quelques pincements. Sinon vous pouvez tout faire. Si je change d’avis, je vous le dirais. Mais vous n’avez pas à demander avant chaque chose que vous avez envie de faire.
- Je sais que vous avez passé des mois à laisser quiconque faire ce qu’il voulait avec vous. Je ne veux pas être comme ça.
- Paul vous êtes un homme très gentil, et je vous dois beaucoup. Je ne veux rien vous refuser.
- Vous me direz si vous n’aimez pas quelque chose ?
- Je vous le promets.
Il recommence alors à toucher ma poitrine, et j’aime ça.
- Paul s’il vous plaît, enlevez mon haut.
Je m’assois et il attrape le bas du chemisier pour le faire passer au-dessus de ma tête. Il le place ensuite sur le sol à côté du lit. Je l’embrasse et je remets ses mains sur mes seins. Après quelques minutes, je sais que j’ai besoin de plus.
- Pouvez-vous détacher mon soutien-gorge ?
Paul passe sa main derrière moi et tâtonne un peu avant de réussir à le décrocher. J’avance mes bras et je me penche en avant pour que le soutien-gorge tombe. Paul le prend et le place sur le chemisier.
- Enlevez votre chemise Paul !
Il l’enlève et je remets ses mains sur mes seins. Il commence à les serrer et à titiller mes mamelons pendant que nous nous allongeons en nous embrassant. Je le tire alors sur moi. Il embrasse mon sein droit. Puis il prend le mamelon entre ses dents et il le mordille tout en le suçant. Je gémis, je me tortille et je lui caresse la tête alors qu’il apprécie ma poitrine.
Je commence vraiment à aimer ça alors qu’il s’attaque à l’autre sein pour faire la même chose. Il caresse mon sein droit tout en suçant le gauche. Pendant tous les mois que j’ai passés avec tous ces hommes, Paul était le seul à avoir fait attention à essayer de me faire du bien. Il s’applique si bien que ses efforts me font jouir.
Je le tire vers le haut et nous nous embrassons encore alors que ses mains errent le long de mon corps jusqu’à ma taille. Je saisis sa main et je la mets entre mes jambes. Je mouille plus que jamais. Paul frotte mon monticule à travers mes vêtements pendant que je gémis et je l’embrasse en lui caressant le dos.
- Paul s’il vous plaît, enlevez-moi tout !
Il glisse le long de mon corps en l’embrassant partout en descendant, de mes lèvres à mon cou, ma poitrine et mes seins, mon ventre en enfonçant sa langue dans mon nombril pour me chatouiller. Il défait le bouton de mon jean puis il le baisse lentement. Alors qu’il touche cette zone, j’ai l’impression que mon désir s’enflamme. Je soulève mes hanches pour qu’il puisse lentement tirer mon jean sur mes jambes et le l’enlever.
Il revient caresser ma chatte à travers ma culotte et je soulève à nouveau mes hanches. Il continue à me toucher, mais j’ai besoin d’autre chose.
- Enlevez-la !
Il m’embrasse à nouveau, juste au-dessus de la culotte avant de la tirer vers le bas et de l’envoyer rejoindre le jean. Je suis soulagée et j’écarte les jambes autant que possible pour laisser l’accès à Paul. Il commence à embrasser ma cheville puis il remonte en me léchant jusqu’au genou, puis sur l’intérieur de ma cuisse jusqu’à ce qu’il atteigne ma chatte.
Je pensais qu’il allait s’intéresser à mon sexe qui veut désespérément que l’on s’occupe de lui, mais il redescend vers mon autre cheville pour recommencer à remonter en m’embrassant chaque pouce de peau. Au moment où il s’approche une nouvelle fois de ma chatte, je suis en feu. Je le veux, j’ai besoin de lui, de sa bouche, de sa langue, de ses doigts, de sa bite, n’importe quoi.
J’ai quand même du mal à le croire. Ma chatte qui a été violée par tant d’hommes, tant de fois pendant des mois, veut à nouveau recevoir un homme. Mes jambes sont largement écartées, mais au lieu d’aller directement sur mon sexe, Paul passe sur le côté puis au-dessus et redescend de l’autre côté.
Puis il se rapproche peu à peu, juste à l’extérieur de mes lèvres en embrassant et léchant. Il tourne autour de mon clitoris qui me fait mal tellement il est excité. Je crois que je vais devenir folle de désir sexuel. J’ai trop envie de lui. C’est alors qu’il dépose un gros baiser juste au centre de ma chatte.
Je pousse mes hanches en avant alors qu’il commence à lécher mon intimité et mon clitoris, d’abord les lèvres extérieures puis il enfonce sa langue en moi. Il titille et suce mon clitoris tout en mettant lentement un doigt dans ma chatte qu’il fait bientôt entrer et ressortir. Je sens mon sexe happer son doigt et tout mon corps se tord sous le plus gros orgasme que j’aie jamais connu.
J’ai tellement été baisée, mais Paul est le seul homme à me faire l’amour. Je me remets de ma jouissance alors qu’il m’embrasse. Je peux goûter mon jus sur ses lèvres et je ne crois pas avoir déjà senti quelque chose d’aussi sucré. On pourrait penser qu’après des mois de baise quotidienne à répétition, je n’aurais plus aucun frisson. Mais cet homme m’a donné ce frisson.
- Paul ? Je veux que tu te sentes aussi bien que tu viens de me faire sentir. Que puis-je faire pour toi ? Qu’est-ce que tu veux ? Ma bouche, mon cul, ma chatte ? Tout est à toi ! Prends-les s’il te plaît !
Paul glisse alors sa bite dans ma chatte et j’enroule mes jambes autour de sa taille alors qu’il commence lentement à me faire l’amour. J’ai besoin de lui, je le veux en moi, tout au fond. Je veux qu’il remplisse ma chatte avec sa bite, qu’il la remplisse avec son sperme. A ce moment, je crois que je pourrais en avoir assez de cet homme. J’accorde alors le mouvement de mes hanches à ses lents coups de rein.
Il enfonce sa bite profondément dans mon ventre jusqu’à ce qu’il pousse un grognement. Il pousse sa queue profondément et éjacule une grosse quantité de sperme. Puis il s’effondre sur moi et je sens mes mamelons bien durs gratter sa poitrine et ses poils me chatouiller. Il est toujours à bout de souffle quand il se dégage et recommence à m’embrasser dans le cou, l’oreille, le visage. Il caresse mon corps en même temps.
Nous nous embrassons et nous nous caressons pendant longtemps avant de finalement nous endormir et rêver. Quand nous nous réveillons, quelques heures plus tard, nous faisons de nouveau l’amour, mais d’une manière plus calme et plus modérée. Puis nous nous douchons et nous nous habillons avant que Paul établisse son plan.
Un sentier commençait derrière la cabane, un sentier pour animaux. Paul me donne une boussole en me disant de toujours suivre le nord. Il me dit qu’avec la pleine lune je n’ai pas besoin de lampe pour suivre le sentier.
Il me dit que la chose la plus sûre est de suivre la piste pendant qu’il traverse la frontière en voiture pour m’attendre plus loin sur la route. Il me conduira alors à Montréal qui n’est pas très loin.
Il fait juste un peu froid alors Paul me donne une veste en plus des vêtements et des chaussures qu’il m’avait fourni un peu plus tôt. Ces habits n’étaient pas de ma taille, mais ça allait. J’espérais trouver quelque chose de mieux à Montréal. Paul m’embrase et j’avance dans les bois. Il faut un peu de temps à mes yeux pour s’adapter à l’obscurité, mais la lune brillante m’éclaire bien.
Il y a des endroits où j’ai du mal à suivre le sentier et quand je crois être perdue, je regarde la boussole et je m’assure de marcher vers le nord. Généralement, après quelques pas dans les bois, je retrouve un sentier. La forêt n’est pas trop touffue alors ma marche est assez facile, même si je trouve sur ma route des petits étangs et lacs ainsi que des ruisseaux.
Comme je n’ai pas trop confiance dans le noir et que j’ai peur de tomber dans l’eau, j’essaie de trouver des passages peu profonds où je patauge. Généralement l’eau ne monte pas plus haut que mes genoux. Je suis en chaussures de marche et en jean. Et comme je n’ai pas l’intention de les enlever, je les laisse se mouiller. Donc ça devient un peu inconfortable de marcher dans des vêtements mouillés.
Finalement, après une bonne heure de marche, je tombe sur une route. J’avais dit à Paul que je mettrais un petit chiffon pour indiquer où j’étais. Il devait s’arrêter, baisser toutes les vitres et ouvrir toutes les portières de la voiture afin que je sache que c’était bien lui avant de sortir de ma cachette. c’était un peu paranoïaque de ma part, mais je voulais m’assurer que c’était bien Paul et qu’il était tout seul. Je ne voulais pas retourner dans l’appartement.
Paul m’a délivré et m’a éloigné, mais même maintenant, je n’ai pas entière confiance en lui. Je sais qu’il a des idées pour me faire disparaître, mais j’ai mes propres idées
Une voiture s’arrête. Paul en sort et ouvre tout comme indiqué. Je scrute attentivement avant de sortir de ma cachette. Nous remontons dans la voiture et j’enlève chaussures et chaussettes pour les laisser sécher un peu alors que nous roulons vers Montréal. Nous nous arrêtons pour acheter deux téléphones jetables et avoir de nouveaux numéros. Jusque-là je n’avais plus de téléphone et Paul avait jeté le sien depuis un moment déjà.
Paul nous trouve un petit motel à la périphérie de Montréal. Dans la chambre je me déshabille pour laver et faire sécher mes vêtements. Nous faisons encore l’amour et nous nous endormons. Le matin, mes vêtements sont secs mais froissés.
Je demande à Paul s’il a de l’argent en lui disant que je le rembourserai mille fois. Il veut m’accompagner, mais je lui dis qu’il vaut mieux que nous ne soyons pas ensemble et que je reviendrai dans la soirée. Je me rends dans un magasin de vêtements en solde pour acheter des tenues plus agréables ainsi que des sous-vêtements et un petit bagage de voyage.
Je me change dans des toilettes publiques et range mes affaires dans le bagage. Je vais ensuite dans un salon de coiffure où je fais couper mes longs cheveux blonds et les fait teindre en brun. Avec ma nouvelle coiffure, une paire de lunettes de soleil et ma nouvelle tenue je suis méconnaissable. Dans les vieux quartiers je pose quelques questions et je trouve bientôt un endroit où je peux obtenir un faux passeport.
Beaucoup de pays ont maintenant des passeports sophistiqués avec des puces intégrées, mais je trouve un gars qui peut me fournir un passeport sud-africain sans données biométriques. Comme Paul m’a donné une grosse somme d’argent je peux payer mon faux passeport et prendre un aller simple pour Paris. Alors que l’avion s’apprête à décoller, j’envoie un SMS à Paul pour lui dire que je reprendrai contact avec lui dans quelques jours.
Depuis ma période de mannequinat, j’ai gardé des amis à Paris et je vais frapper chez l’un d’eux pour passer la nuit et obtenir de quoi aller en suisse où il y a la banque avec mon argent.
Je prends le TGV de Paris à Genève, puis je vais directement au consulat américain. Il me faut un vrai passeport à mon nom pour avoir accès à mon compte bancaire.
Je raconte au consulat une série de demi-vérités. Que j’ai été kidnappée, emprisonnée, utilisée sexuellement et transportée en Europe clandestinement. Ils vérifient mes empreintes digitales et autres données biométriques et j’arrive à obtenir que l’on me fasse un nouveau passeport.
Il faut bien sûr quelques jours avant de tout vérifier et que j’obtienne ce passeport. Mais comme j’ai toujours des amies mannequins à Genève, je peux vivre chez elle. Enfin, avec mon nouveau passeport, je peux accéder à mon compte bancaire bien rempli. J’ai bien sût les millions de la vente de mon entreprise, mais aussi les intérêts et les bénéfices que j’y avais mis auparavant.
Je rembourse alors tous mes amis européens qui m’ont aidée. Puis j’engage les meilleurs avocats pour vérifier et faire annuler mon contrat de services personnels. Ceux-ci montent une affaire et la confient à un juge féminin intelligent. Mes avocats expliquent rapidement ce qui m’est arrivée avec ce contrat et la juge a immédiatement empêché son exécution jusqu’à ce qu’il y ait un procès et un verdict.
Paul m’avait dit que plusieurs personnes dans l’entreprise étaient mal à l’aise avec ce que l’on avait fait de moi. Si bien que mes avocats ont reçu leurs dépositions. L’un d’eux avait même des copies des vidéos qui avaient été faites. L’entreprise me poursuit de son côté pour rupture de contrat et me demande des dommages et intérêts. Mais moi je les poursuis pour kidnapping, séquestration, prostitution, etc. Rapidement la juge statue en ma faveur et m’accorde cent millions de dommages et intérêts. Avec les appels, cela peut prendre encore des années avant que ça se termine, mais pour l’instant le contrat est nul.
J’avais abandonné mon téléphone jetable dans l’avion pour Paris et j’en avais acheté un autre. Une fois que je me suis sentie installé, j’envoie un SMS à Paul en lui demandant comment je pouvais lui envoyer de l’argent et en lui demandant de prendre l’avion pour Londres. Il me répond qu’il est malade d’inquiétude et que mes anciens « amis » offrent une récompense d’un million pour avoir des informations où je vis.
Étant un peu paranoïaque, j’envoie de l’argent à Paul et je lui demande de m’envoyer un message quand il est à Londres. Un ami là-bas le contacte et lui dit de prendre le train pour Paris. A Paris un autre ami lui dit d’aller à Genève. Entre-temps, je renseigne la police suisse sur mon ancien enlèvement en leur disant que mes ravisseurs pourraient essayer de me reprendre.
Aujourd’hui, je vis dans un bel endroit près de Genève, loin des personnes qui m’ont maltraitée. Paul vit avec moi et je travaille sur une autre idée. Mais cette fois, je laisse Paul diriger l’entreprise. Il sait ce que je veux et ce dont j’ai besoin et il est la personne la plus douce pour gérer le personnel.
FIN.
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