Marie-Rose a honte d'ouvrir au traiteur dans sa tenue, mais, le rouge aux joues elle réceptionne le repas sans un mot. Le livreur salive sur la poitrine exposée.
Elle va s'appliquer à dresser la table, une belle nappe, des beaux couverts et des bougies pour avoir l'ambiance que désire le gros actionnaire.
Elle va s'appliquer à dresser la table, une belle nappe, des beaux couverts et des bougies pour avoir l'ambiance que désire le gros actionnaire.
Celui-ci va bientôt revenir vêtu seulement d'un peignoir blanc. Marie-Rose l'attend sagement dans sa position soumise. L'homme dit alors :
- J'ai faim ! Mangeons !
Les deux s'installent à la table, Marie-Rose reste la poitrine à l'air. Pendant tout le repas elle va jouer à l'hôtesse attentive au besoin de son invité. Elle va tout faire pour le satisfaire.
A la fin du repas, le gros actionnaire s'essuie les lèvres avec sa serviette et commence à parler :
- Madame de Fontvallon, je suis le plus gros actionnaire de votre société. Lorsqu'elle gagne de l'argent j'en gagne aussi. Par contre, si elle en perd, j'en perds aussi. Et je déteste perdre de l'argent sans raison. Votre erreur pour le dépôt de l'appel d'offre vient de me faire perdre une petite fortune. Et vous êtes la seule responsable, n'est-ce pas ?
- Oui Monsieur ! Répond Marie-Rose en baissant les yeux.
- J'ai parlé avec votre PDG qui m'a indiqué que vous étiez prête à vous faire pardonner votre erreur. Est-ce exact Madame ?
- Oui Monsieur, je suis motivée pour me faire pardonner.
- Vous comprenez que je dois vous punir non ?
- Oui Monsieur !
- Levez la tête !
L'homme prend alors une bougie sur la table et fait couler la cire chaude un des seins de Marie-Rose. Celle-ci reste les dents serrés. C'est douloureux, mais elle subit cette torture avec seulement quelques grimaces de douleur. Le gros actionnaire semble prendre plaisir à la voir ainsi grimacer. Il continue et recouvre bientôt les deux seins d'une bonne couche de cire.
- Très bien, mais il faut enlever tout ça maintenant. Venez vous mettre à genoux à côté de moi, les mains dans le dos !
Marie-Rose obéit, heureuse que ce soit fini, mais anxieuse de la suite. Quand elle est en position, l'homme claque brusquement sa poitrine pour faire tomber la cire. Marie-Rose ne peut s'empêcher de pousser des petits cris de douleur. Mais l'homme continue. Après une dizaine de claque il semble satisfait. Il prend les nichons à pleine main pour les pétrir fermement. Puis il dit en ouvrant son peignoir et en exhibant une grosse bite bien dressée :
- Vous allez me sucer maintenant Madame de Fontvallon. Et sans les mains ! Vous allez me donner du plaisir si vous voulez garder votre travail. Essayez d'être plus efficace qu'au boulot.
Marie-Rose sait qu'elle n'a pas le choix. Jusqu'à aujourd'hui elle n'a fait de fellation qu'à son mari. Elle espère que l'actionnaire ne va pas s'apercevoir de son inexpérience. Elle se penche et commence à lécher la bite avant de l'avaler. Elle est vraiment grosse, mais elle fait son possible pour en avaler le plus tout en faisant tournoyer sa langue. Puis elle bouge sa tête de haut en bas en tenant ses lèvres bien serrées sur la tige.
Elle s'active pendant cinq minutes sous le sourire de bien-être de l'homme, puis celui-ci met ses mains derrière sa tête pour appuyer dessus. La queue s'enfonce dans sa gorge et elle sent bientôt un liquide chaud et gluant s'en échapper alors que l'homme crie :
- Putain ! Tiens salope !
Marie-Rose essaie tant bien que mal de tout avaler sans étouffer. Mais la quantité de foutre diminue et l'homme relâche la pression sur sa tête en disant :
- Nettoyez bien ma bite Madame de Fontvallon et vous pourrez partir !
Marie-Rose s'exécute, trop contente de pouvoir prendre congé de l'actionnaire. Quand elle a fini, elle range sa poitrine et reboutonne son chemiser, tout en se demandant si elle peut se permettre de questionner l'homme sur son avenir. Mais celui-ci la devance :
- Je vais vous appeler un taxi pour que vous rentriez chez vous. Je prendrai ma décision demain et j'avertirai votre PDG.
*****
Le lendemain, Marie-Rose retourne au travail sans avoir raconté sa soirée à son mari. que pouvait-elle lui dire ? Elle doit prendre un train à 15h00 avec son patron. L'attente est longue jusque là, elle reste dans l'expectative et se demande si elle a sauvé son boulot. Dans le train, son patron ne lui dit rien non plus. Ils arrivent à leur destination et à leur hôtel. Son patron n'a pris qu'une chambre. Marie-Rose est inquiète et choquée.
Elle suit le PDG jusqu'à la chambre. Celui-ci va la faire entrer et lui dit alors :
- Il semble que vous êtes arrivée à vous faire pardonner de notre plus gros actionnaire. Il ne demande plus votre renvoi.
Marie-Rose laisse échapper un soupir de soulagement. Mais l'homme continue :
- Toutefois, je suis le patron et le dernier à décider ! Cette nuit vous allez m'obéir sans aucune résistance ou plaintes, vous comprenez ?
- Oui Monsieur le Directeur !
- Il va se passer des choses. Mais vous pourrez dire "stop" à tout moment, mais dans ce cas vous perdrez votre emploi.
- Oui Monsieur le Directeur !
- Bien asseyez-vous sur le lit !
Marie-Rose obéit. Son patron sort alors tout un attirail de sa valise. Il s'agit de plusieurs objets en cuir et des chaînes.
L'homme va commencer par lui mettre un collier en cuir noir avec un anneau, puis il va lui mettre des bracelets en cuir sur les poignets et les chevilles.
Marie-Rose, bien qu'inquiète, ne dit rien et le laisse faire. Son PDG va alors sortir un grand foulard noir qu'il va lui attacher sur les yeux. Elle ne peut plus rien voir.
- Les mains dans le dos ! entend-elle.
Elle s'exécute et sent son patron ouvrir son chemisier et sortir ses seins de son soutien-gorge. Elle frissonne.
- J'ai toujours rêvé de tripoter ces gros nichons que vous me mettiez sous le nez. Dit l'homme en pétrissant les seins de Marie-Rose.
Puis soudainement, il saisit ses tétons et tire brusquement dessus. Marie-Rose esquisse une grimace de douleur avant de redevenir stoïque.
Elle sent ensuite que son PDG pose des petites pinces sur ses mamelons. la douleur est vive, mais s'estompe lentement. Puis il lui enlève sa veste et lui demande de ses mettre debout et de rester sans bouger.
Le temps passe lentement pour Marie-Rose. Elle se demande ce qui va lui arriver encore. Un quart d'heure plus tard, elle entend frapper à la porte. Son patron va ouvrir et elle entend plusieurs hommes entrer dans la chambre. Ceux-ci sifflent en la voyant et l'in d'eux dit :
- Belle marchandise !
- Vous pouvez toucher ! répond son patron.
Marie-Rose sent que quelqu'un saisit les pinces sur ses seins et tord ses mamelons brutalement.
Elle ne peut éviter de crier très fort sous la douleur.
- Elle va ameuter le quartier, attendez j'ai autre chose !
Bientôt elle sent que l'on glisse une boule dans sa bouche et que l'on l'attache dans son cou. elle a déjà entendu parler de ces ball-gag pour les jeux de soumission. Mais elle n'a jamais imaginé en essayer.
On recommence à tordre ses seins et ses cris sont, cette fois, étouffés par la boule dans sa bouche. Elle entend les hommes rirent. Plusieurs mains se relaient sur sa poitrine. Elle est tripotée, palpée, tirée, tordue, giflée, chaque homme voulant avoir sa part.
Marie-Rose commence à sangloter et mouiller le foulard sur ses yeux. Alors celui-ci est rapidement remplacé par un masque en cuir noir.
Puis on lui attache les poignets dans le dos à l'aide des bracelets en cuir. Elle entend le tintement d'une chaîne qui est attachée à son cou et reliée à une autre qui lie ses chevilles. Ainsi elle se retrouve légèrement penchée, incapable de faire quoi que ce soit.
Marie-Rose est horrifiée par ce qu'on lui fait subir, elle, une de Fontvallon. Jamais ses ancêtres n'ont été aussi humiliés. Sa résolution faiblit et elle est presque sur le point de dire "Stop". mais elle repense à son mari et à leur vie heureuse. Alors elle sert les dents.
Les hommes dans la pièce vont alors continuer à la tripoter. Ils vont soulever sa jupe et glisser leurs doigts dans sa culotte pour explorer sa chatte et son cul. Ils vont faire des commentaires vulgaires sur elle. Elle va être examiné ainsi une bonne demi-heure avant que son patron l'oblige à s'agenouiller et lui retire la boule dans sa bouche.
C'est alors que des bites vont se présenter devant elle. Elle va s'appliquer à les sucer l'une après l'autre jusqu'à ce qu'elles se vident dans sa gorge. Elle avale tout sans se plaindre. Enfin, plus aucune bite ne se présente à sa bouche et elle entend bientôt les hommes sortirent de la chambre. Elle ne sait pas combien elle a sucé.
Son patron lui enlève alors son bandeau et ses chaines, puis il dit :
- Déshabillez-vous et à quatre pattes sur le lit !
Marie-Rose a honte d'obéir, mais elle le fait. Elle voit son PDG se déshabiller aussi. Puis il se place derrière elle et sans avertissement il plonge sa bite dans sa chatte.
- Depuis longtemps je rêve de vous sauter ! J'ai toujours eu envie de me faire une aristocrate.
Agrippant ses hanches, il la besogne avec vigueur pendant une dizaine de minutes. Marie-Rose sanglote en pensant qu'elle trompe involontairement son mari. Puis l'homme pousse un gros gémissement et se vide en elle. Elle sent le liquide envahir son ventre. Enfin son patron se retire et s'écroule sur le lit.
- Allez vous laver ! Ordonne-t-il.
Marie-Rose va prendre une longue douche qui va la soulager des sévices subis ce soir dans la chambre. Quand enfin elle sort de la salle de bain, elle voit son patron endormi dans le lit. Elle se glisse sous les draps en faisant bien attention de ne pas le toucher et elle se recroqueville dans un coin pour essayer de dormir. Elle redoute les suites à venir.
En fait son patron ne la touchera plus et le travail reprendra son cours. Le lendemain matin, ils rejoignent une salle de conférence dans une entreprise cliente. Lors de la réunion, Marie-Rose se rend compte que plusieurs hommes la regardent et lui sourient. Certains lui font même des clins d'œil. Rouge de honte, elle se plonge alors dans ses papiers.
De retour chez eux, son patron ne lui dira rien sinon qu'elle peut prendre en congé la fin de la semaine et qu'il l'attend dès lundi pour un nouvel appel d'offres.
FIN.
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