Marie-Rose de Fontvallon a 38 ans. Fille d’aristocrate, elle est diplômée de HEC et a obtenu le poste de Directrice Commerciale d’un grand groupe internationale. Elle est mariée depuis 15 ans et folle amoureuse de Pierre-Henri. Celui-ci, à 25 ans, a créé sa propre entreprise qui lui assurait de très bons revenus. Le couple aisé s’est donc bien endetté pour acheter un grand appartement dans le 16ème arrondissement. Seulement, il y a un an, Pierre-Henri a rencontré des difficultés et a dû placer son entreprise en liquidation judiciaire. Depuis, il est au chômage et ses droits se sont terminés deux mois plus tôt. Leur subsistance et le paiement de leurs prêts et factures sont assurés par la paie de Marie-Rose.
« Je vais demander une augmentation aujourd’hui, ça nous soulagera » pense-t-elle en se rendant à la convocation que lui a adressé le PDG. Elle se dit qu’il veut la féliciter pour l’appel d’offre auquel elle a répondu et qu’elle est sûre de gagner. Elle se présente devant la secrétaire.
- Entrez Madame de Fontvallon, Monsieur le Directeur vous attend !
Elle pénètre doucement dans le bureau capitonné. Son patron, un homme chauve de soixante ans a la tête baissée sur des papiers.
- Bonj… Commence-t-elle.
- Asseyez-vous ! Dit l’homme sèchement en ne la laissant pas parler.
Marie-Rose est un peu interloquée de l’humeur de son patron, mais elle s’assoit et attend.
- Marie-Rose, vous travaillez depuis onze ans chez nous et vous avez un poste à responsabilité. Est-ce que je me trompe ?
- Non Monsieur !
- Vous vous êtes occupée du dossier de l’appel d’offre qui devait faire gagner au groupe un demi milliard d’euros ? Vous vous rappelez la date limite de dépôt pour ce dossier ?
- Je m’en suis occupée personnellement Monsieur ! La date limite était le 15 juin ! Et j’ai déposé moi-même le dossier en Chronopost à La Poste le 12 juin.
- Je vous montre l’annonce légale pour cet appel d’offre ! Vous lisez quoi ici ?
- Euhhhh… Date limite de dépôt… Euhhhh… c’est pas possible… 10 juin… non ce n’est pas ça, j’avais vérifié.
- Si c’est bien ça ! Je viens d’avoir un coup de fil du client. Notre offre a été déposée trop tard. Vous venez de nous faire perdre un demi-milliard d’euros ! VOUS VOUS RENDEZ COMPTE !
Marie-Rose se décompose complètement. Elle réalise alors qu’elle a fait une faute grave et qu’elle peut être licenciée pour ça. Elle se tord les mains en ne sachant que faire. Elle attend que son patron parle.
- Je viens d’avoir notre plus gros actionnaire. Il veut absolument que je vous licencie pour faute grave. Et j’avoue que je suis d’accord avec lui.
- Mais Monsieur, je ne peux pas perdre mon travail. Comment puis-je faire pour réparer ? Je vous promets que je suis prête à faire tout ce que vous voulez pour rester dans l’entreprise.
- Tout ???
Marie-Rose baisse la tête et répond sans penser aux conséquences :
- Oui tout !
- Il faut que je réfléchisse ! Mais je dois vous punir ! Vous allez vous mettre à genoux là-bas, les mains sur la tête en ouvrant la bouche !
- Quoi ? Hein ? …. Oui bien Monsieur ! Répond Marie-Rose en voyant l’air grave de son patron.
Elle obéit et rougit devant l’humiliation qui lui est imposée. Une De FontVallon dans une position humiliante devant un homme ça ne s’est jamais vu. Mais elle doit garder son emploi sinon son mari et elle devront déménager. Pierre-Henri va lui en vouloir et ça risque d’être le début de la descente vers l’enfer pour le couple. Elle n’avait pas vraiment besoin de ça. Donc, silencieusement elle se promet de tout faire pour garder son emploi. Le temps passe et elle ne bouge pas.
- Je veux voir vos nichons !
Marie-Rose est surprise par la voix de son patron. Elle sursaute, mais elle commence à défaire son chemisier. Puis elle sort ses seins de son soutien-gorge avant de remettre ses mains derrière la tête et d’ouvrir de nouveau la bouche.
Les larmes lui montent aux yeux, mais elle se raisonne en se disant que ça pourrait être pire. De toute façon il faut qu’elle garde son boulot.
Une heure passe lentement. Marie-Rose a peur que quelqu’un entre dans le bureau et ne la surprenne dans cette position. Quelle honte se serait pour elle. Elle voit son patron répondre au téléphone, puis se lever pour s’approcher d’elle. Il passe une main sur ses seins. Elle frissonne alors qu’il lui dit :
- Bon je viens d’avoir de nouveau notre gros actionnaire. Demain soir vous irez dîner avec lui et vous essaierez de plaider votre cause. Je vous conseille d’être très convaincante. Le lendemain, vous préparerez une petite valise, je vous emmènerai deux jours en Province chez un client, mais seulement si l’actionnaire veut que l’on vous garde. Vous avez bien compris ?
- oui Monsieur ! Merci beaucoup Monsieur ! Je vais faire mon possible pour vous satisfaire.
- Bien ! Disposez !
Marie-Rose se relève, remet ses seins dans son soutien-gorge et boutonne son chemisier. Elle sort du bureau légèrement soulagée en se jurant de faire ce qu’il faut pour garder son emploi.
****
Le lendemain matin, alors qu’elle est blottie dans les bras de son mari, Marie-Rose pense à la soirée avec le plus important actionnaire de sa société. Elle le connaît pour l’avoir rencontré plusieurs fois. C’est un de ces nouveaux riches qui n’ont pas d’éducation. Il est gros, sale et quand il la regarde, elle a l’impression d’être un morceau de viande qu’il veut avaler d’un seul coup. Rien que de penser à lui la fait trembler de dégoût. Son mari doit s’en apercevoir car il lui demande :
- Ça va ma chérie ?
- Oui mon amour ! Il faut que j’aille au travail. N’oublie pas que ce soir j’ai un dîner d’affaire donc je rentrerai tard. Ne m’attends pas pour te coucher.
- Tu devrais demander une augmentation avec tout le travail que tu fais. Un dîner d’affaire ce soir, puis demain un déplacement de deux jours avec ton patron, c’est beaucoup.
- Oui, mais c’est mon travail. Bisous Chéri !
La journée de travail se passe comme d’habitude si ce n’est que Marie-Rose pense sans cesse à son rendez-vous de la soirée. Vers 16h00, elle reçoit un message de M. BARBIER, le principal actionnaire : « Je vous prendrai Place des Vosges à 18h30 ».
A l'heure dite, Marie-Rose attend au lieu dit. Elle voit une grosse Mercedes s'arrêter devant elle et la vitre s'ouvrir :
- Montez Madame !
Elle obéit et elle veut essayer de plaider sa cause immédiatement :
- Bonjour Monsieur DEBLERC, je voulais vous dire que je suis désolé de ce qui vient de...
-Taisez-vous !
L'homme la regarde d'un air sévère. Mis Marie-Rose remarque une lueur vicieuse dans ses yeux. Elle a l'impression qu'il la déshabille du regard.
- Nous en parlerons plus tard ! Je vous emmène dans un appartement en banlieue que je loue lorsque je viens sur Paris. Pour le moment, prenez ce qu'il y a dans le sac et mettez-le !
Marie-Rose fouille dans le sac et en sort un collier en cuir avec une laisse. Elle est horrifiée. Elle ne va pas mettre ça. Elle n'est pas n'importe qui. Elle est prête à se rebiffer quand l'homme dans la voiture dit :
- Je vous ai dit de le mettre ! IMMEDIATTEMENT !
Les larmes aux yeux, le rouge aux joues, Marie-Rose obéit. Elle passe le reste du voyage à regarder devant elle sans se soucier des autres voitures qui les dépassent. C'est alors que l'actionnaire dit :
- Vous savez que j'ai votre avenir entre mes mains ?
Elle hoche la tête pour répondre affirmativement.
- Donc je veux que vous m'obéissiez ce soir ! Maintenant, sortez moi ces nichons que je devine bien ronds !
Les doigts tremblants, Marie-Rose déboutonne lentement son chemisier, puis elle sort ses seins de son soutien-gorge. Elle voit l'homme à côté d'elle se passer la langue sur les lèvres. Bientôt ce sont les camions qui klaxonnent quand ils passent à côté d'elle et que les conducteurs en hauteur voient sa poitrine nue.
Mais l'humiliation est complète quand l'homme s'arrête dans une rue et lui demande de sortir de la voiture. Il prend le bout de la laisse et la conduit à l'appartement en la traînant comme un chien, la poitrine toujours exposée. Marie-Rose regarde le sol, elle a trop honte.
Elle obéit la tête toujours baissée. L'homme tend alors la main et caresse son sein droit avant de le saisir et de le pétrir fermement.
- Ca c'est du bon nichon d'aristos, bien ferme et bien plein. Vous n'êtes pas d'accord ?
- Oui Monsieur ! Si vous le dites Monsieur !
Marie-Rose sent que l'homme a envie de parler alors elle tente :
- Monsieur, s'il vous plaît, pouvons-nous parler du problème qui fait que je suis là !
L'homme lève alors la main et gifle brutalement son sein droit puis son sein gauche. Marie-Rose crie de douleur.
- Nous en parlerons quand je le déciderai ! Pour le moment, vous vous taisez et vous m'obéissez.
Marie-Rose acquiesce de la tête, des larmes coulant sur ses joues. L'homme continue :
- Bien ! Nous parlerons pendant le repas. Un traiteur doit arriver dans une demi-heure. Vous réceptionnerez les marchandises dans cette tenue. Puis vous préparerez la table. Je veux que vous le fassiez comme s'il s'agissait d'un dîner romantique avec votre mari. Je veux le grand jeu. Vous avez compris ?
Marie-Rose acquiesce une nouvelle fois. Elle rougit d'avance à se présenter poitrine à l'air au livreur du dîner. Mais elle se dit que s'il faut le faire pour garder son boulot et ainsi préserver son mariage et son mode de vie, ce n'est pas une épreuve trop dure à subir.
- Bon, moi je vais me changer et me mettre à l'aise ! Dit le gros actionnaire.
Marie-Rose le regarde entrer dans une chambre et fermer la porte derrière lui. Il ne lui reste plus qu'à attendre le traiteur.
A suivre...
très intéressant, excellent début
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