samedi 19 décembre 2020

Domination familiale Ch. 01

 Récit de Géronimo.

La mère.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sortit de son bureau et se dirigea vers celui de son patron, Monsieur Christian Panaris, qui l’employait depuis 2 ans comme secrétaire intérimaire dans son Cabinet. Maître Christian Panaris est avocat à la Cour… Un avocat renommé qui possède une clientèle triée sur le volet. Membre de la haute bourgeoisie de Bordeaux, Sophie est mariée depuis plus de 20 ans à Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire, héritier d’une grande Famille bordelaise, également avocat à la Cour et surtout concurrent de Maître Panaris.

Au début, quand Sophie avait trouvé ce poste de secrétaire chez son principal rival en affaire, Jean-Yves n’avait pas apprécié du tout, mais Sophie avait insisté pour qu’il la laisse avoir ce poste. Bourgeoise oisive s’ennuyant dans leur grande maison isolée sur les hauteurs de Bordeaux, elle n’avait rien à faire, à part disputer leurs domestiques et notamment leur jardinier sénégalais qu’elle n’hésitait jamais à rabaisser. Leur fille, Ambre, jolie brune de 18 ans, étudie le droit à la Faculté de Bordeaux. Sophie s’arrêta devant la porte et frappa trois coups discrets.

- Entrez !

La voix de son patron la fit frissonner. Monsieur Christian Panaris est un homme assez autoritaire notamment avec les femmes. On murmure dans les couloirs du Cabinet. Des rumeurs qui parlent de droit de cuissage. Mais ce ne sont sûrement que des rumeurs se dit Sophie en pénétrant dans le bureau directorial. Maître Christian Panaris la dévisagea avec un air sévère quand elle entra. Elle fut étonnée qu’il ne lui propose pas de s’asseoir mais ne dit rien restant debout devant le bureau. Il ne dit rien pendant quelques secondes, la détaillant de la tête aux pieds, ce qui accentua son malaise. Il lui sembla que son regard s’attardait sur ses jambes gainées de nylon noir. A 45 ans, Sophie Guillet de Saint-Hilaire est une belle femme, son corps étant parfaitement entretenu par des soins qu’elle peut se payer dans des instituts de beauté. Christian Panaris lui dit soudain :

- Vous m’avez déçu, Sophie…

Elle sursauta et se sentit rougir.

- Mais…bafouilla-t-elle, comment Monsieur ?

- Comment avez-vous pu me trahir ?

Sophie Guillet de Saint-Hilaire eut l’impression que son cœur s’arrêtait de battre et elle blêmit sous son maquillage. Il savait ! Mais comment l’avait-il découvert se demanda-t-elle, angoissée.

- Vous avez abusé de la confiance que j’avais placée en vous ! cria-t-il soudain en se levant brusquement. Alors que j’avais eu la gentillesse de vous embaucher… Vous, l’épouse d’un concurrent ! Vous imaginez bien qu’en temps normal je n’aurais jamais accepté.

Il sembla se calmer d’un coup et continua d’une voix plus douce :

- J’ai découvert que vous aviez donné des informations confidentielles sur certains de nos clients à votre mari pour qu’il puisse gagner des procès. Je vais être obligé de porter plainte, Sophie, je pense que vous serez condamné à une peine de prison. Vous et votre mari. En tout cas, il sera radié par l’Ordre des Avocats et ne pourra plus exercer.

Sophie Guillet de Saint-Hilaire, effondrée, crut qu’elle allait fondre en larmes, regrettant amèrement le jour ou son mari, Jean-Yves, lui avait effectivement demandé de lui fournir des renseignements sur certains clients de Maître Panaris ; Elle pensait avoir été prudente mais ce n’était visiblement pas le cas.

- Mais…parvint elle à articuler entre deux sanglots refoulés, on peut peut-être trouver un arrangement…

Quand elle vit passer la lueur de triomphe dans le regard de Maître Christian Panaris, elle comprit qu’elle venait de franchir un pas et qu’elle ne pourrait plus revenir en arrière.

- Je peux « oublier » ma chère Sophie, reconnut Maître Christian Panaris, mais alors, j’exigerais de vous une obéissance sans faille, il faudra exécuter le moindre de mes caprices ! Êtes-vous prête à accepter cela ?

Sophie crut qu’elle allait s’évanouir. Il était facile de comprendre de quoi il s’agissait. Christian Panaris voulait qu’elle devienne son esclave. Mais c’était ça ou la prison et pire que tous, le déshonneur et la ruine.

- Je suis d’accord, souffla-t-elle dans un murmure presque inaudible.

Christian Panaris fit le tour de son bureau et s’approcha d’elle. C’est un bel homme de 50 ans aux tempes argentées qui plaît aux femmes, surtout aux bourgeoises de province qui s’ennuient à la maison. Il parait qu’il a plein de maîtresses et que parfois quand le client ne peut payer ses honoraires, très élevés, il se fait payer en nature. Il s’arrête à quelques pas de Sophie qui regarde ses pieds n’osant plus lever la tête, terrifiée. Il pose ses mains sur ses hanches, la caressant. Elle ne proteste pas, elle a simplement un sursaut. Ses mains remontent vers le chemisier de soie et s’empare de ses seins. Elle supplie :

- Non, je vous en prie, je vous donnerai de l’argent…

- Votre fric ne m’intéresse pas Mme de Saint-Hilaire, c’est votre cul que je veux !

Qu’il l’appelle par son nom est encore plus humiliant. Il malaxe ses seins à travers la soie, les triturant… Les malaxant… Sophie Guillet de Saint-Hilaire, les joues rouges, subit cet infâme attouchement sans rien dire, soumise, vaincue. L’avocat descend ses mains et remonte la jupe du tailleur, découvrant les bas et le porte-jarretelles. Mme de Saint-Hilaire aime la lingerie fine. Le souffle court, la respiration oppressée, Sophie sent la main de son patron lui caresser les jambes et remonter jusqu’au string. Il l’écarte et s’aventure dans son intimité. Il lui caresse la vulve tout doucement. Puis, il introduit un doigt dans sa chatte, le faisant aller et venir de plus en plus rapidement. Il le retire et oblige Sophie à le sucer pour le nettoyer. Au bord de l’évanouissement, écœurée, elle s’exécute sortant timidement sa langue pour sucer sa propre mouille.

- Vous aimez ça, le goût de votre cyprine ?

Christian Panaris a un regard triomphateur ! Il prend visiblement un sale plaisir à rabaisser cette bourgeoise, à l’avilir. Il se recule et observe Sophie, jupe troussée.

- Veuillez ouvrir votre chemisier, Mme Guillet de Saint-Hilaire…

Maître Christian Panaris prend beaucoup de plaisir à l’appeler par son nom si distingué et à la vouvoyer, cela donne encore plus de piment à la situation. Sophie commence à déboutonner son chemisier en tremblant…Elle l’ouvre découvrant un soutien-gorge en dentelle… L’avocat pervers s’approche et lui baisse les balconnets du soutien-gorge, dégageant son opulente poitrine, les bouts des seins sont dressées. Il s’en empare et commence à les tordre. Sophie gémit presque malgré elle. Il malaxe les seins, les soupesant, les laissant retomber. Il les triture encore un bon moment en soufflant puis il s’arrête et recule de nouveau.

- Mettez-vous à genoux…

Sophie croit avoir mal entendu.

- Pardon ? Bafouille-t-elle.

- A genoux ! A mes pieds, salope ! hurle Christian.

Terrorisée, elle s’exécute, se mettant à genoux devant lui. Il s’approche et il la saisit par les cheveux, il l’oblige à marcher à quatre pattes dans son bureau. Elle avance se faisant mal aux genoux malgré la moquette. Ses seins ballottent par le chemisier ouvert. Il baisse le string dévoilant sa fente. Il s’assied à son bureau et lui demande d’attendre un peu en attendant qu’il signe des papiers. Sophie Guillet de Saint-Hilaire prosternée à ses pieds, le chemisier ouvert, la jupe relevée, obéit. Elle a l’impression que son attente dure des heures. Puis, Maître Christian Panaris fait pivoter son fauteuil.

- Vous allez me faire une petite pipe…

Il la tire de nouveau par les cheveux et la contraint à se positionner entre ses cuisses.

- Qu’attendez-vous ? Ouvrez ma braguette vous-même, comme une bonne petite pute…

Sophie s’exécute, elle tend ses doigts aux ongles vernis et ouvre la braguette de Christian. Son sexe jaillit comme un ressort. Il a une érection impressionnante. Il est encore plus gros que celui de son mari, pense, honteuse, Sophie. Il appuie sur sa nuque et sa bouche descend vers la bite de Christian. Elle a un mouvement de recul mais, impitoyable, il appuie encore plus et l’oblige à prendre son membre entre ses lèvres pulpeuses. Il donne des coups de bassin, faisant coulisser sa bite. Il observe avec délectation la tête monter et descendre le long de sa bite. Il appuie dessus enfonçant sa queue dans la bouche de Sophie et celle-ci émet une protestation étouffée. Bâillonnée par cette matraque de chair, elle ne peut se plaindre. Christian Panaris lui donne des directives :

- Plus vite, enroule ta langue, salope…T’as jamais sucé ton mari ou quoi ? Ça ne se fait pas dans ton milieu ? dit-il en ricanant.

Elle s’active sur la queue, salivant dessus. La bave coule sur son menton. Il fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle enroule sa langue, lui titille le gland. Il lui ordonne d’arrêter pour lécher ses couilles et elle obéit, soumise. Sophie passe sa langue sur la hampe de chair et de nouveau replonge dessus. Soudain, Christian lui dit d’arrêter. Il la relève et la courbe sur son bureau. La croupe cambrée, les seins écrasés sur le bois du bureau. Elle sent qu’il lui écarte le string et lui enfonce deux doigts dans sa chatte. S’emparant du clitoris, il commence à la branler. Les cheveux dans la figure, elle pousse un gémissement et supplie :

- Non, non, je vous en prie, pas ça…

Christian Panaris lui donne une claque sur ses fesses dodues.

- Tais-toi, traînée !

Il lui prend les hanches et s’enfonce dans son vagin en poussant un « Han ». Il lui donne de violents coups de reins et la traite de tous les noms. Ce qui l’excite encore plus et humilie encore plus Sophie Guillet de Saint-Hilaire, prise en levrette dans le bureau de son patron. Son ventre claque contre ses fesses. Il la besogne avec une telle violence que le bureau bouge tout seul. Sophie halète sous les coups de boutoir de Christian. Elle gémit. Maître Panaris se retire par moment pour replonger dedans avec encore plus de violence. Sophie, le ventre en feu, pousse un cri quand elle sent le membre de son patron s’enfoncer encore plus dans sa chatte. Elle s’agrippe au bureau pour ne pas tomber sous les coups de reins puissants de Maître Panaris. Il s’arrête soudain et se retire, la laissant frustrée.

Elle doit de nouveau s’exhiber devant Maître Panaris. Elle prend ses seins à pleines mains et les soulève pour pouvoir elle-même sucer leur pointes. Il la contraint à s’allonger par terre pour se caresser la chatte. Elle déniche le clitoris et se masturbe devant lui. Il lui ordonne d’arrêter chaque fois qu’il voie qu’elle va avoir un orgasme, la laissant pantelante. Il lui enlève un de ses escarpins et lui tend, l’obligeant à s’enfoncer le talon aiguille dans sa chatte et à se masturber avec. Il lui ordonne d’avancer dans le bureau. Il lui donne de nouveau des instructions :

- Avancez ! Tournez-vous ! Baissez-vous et touchez vos pieds…

Elle obéit et se penche parvenant à toucher avec le bout de ses doigts ses escarpins. Elle doit rester dans cette position pendant que Christian ayant fait le tour lui enfonce un objet dans sa chatte. Elle pousse un gémissement sourd ce demandant ce qu’il lui a enfoncé. Il la relève et l’entraîne vers un miroir. Il la retourne et tournant la tête, elle découvre horrifiée que Maître Panaris lui a enfoncé un gode rose dans son vagin.

- Vous allez le garder dans votre chatte de pute, chère Mme de Saint-Hilaire quand vous retournerez travailler.

Elle ne répond pas, mortifiée. Ce n’est pas possible, comment peut-elle garder cet objet en elle toute la journée ? Elle doit avancer à quatre pattes, le gode dépassant de sa chatte, dans le bureau. Maître Panaris a retiré sa ceinture et lui assène quelques coups sur les fesses pour la faire avancer plus vite. Elle a le cul qui rougit et elle souffle en avançant maladroitement sur la moquette. Par moment, il manipule le gode le faisant coulisser dans sa chatte dégoulinante. Puis, elle doit se relever et sautiller sur place. Ce qui amuse beaucoup Maître Christian, qui se réjouit de voir ses seins ballotter dans tous les sens. Elle manque de tomber déséquilibrée par ses talons aiguilles.

N’en pouvant plus, Christian lui ordonne de se mettre de nouveau à quatre pattes. Il lui retire le gode et l’oblige à le nettoyer. Elle donne de petits coups de langue, léchant sa propre sécrétion vaginale. Puis, Panaris s’enfonce brutalement dans sa chatte la limant avec brutalité. Elle pousse un gémissement subissant les assauts de Christian. Il la bourre violemment agrippé à ses hanches grasses. Il lui enfonce soudain un doigt dans son anus et Sophie Guillet de Saint-Hilaire pousse un cri strident.

- Quoi, Mme de Saint-Hilaire, voulez-vous me faire croire que vous êtes encore vierge du cul à votre âge ?

Il fait coulisser le doigt dans son cul et Sophie halète partagée en la souffrance d’avoir un doigt dans son cul et le plaisir qu’elle ressent d’être envahi par le membre imposant de Christian Panaris. Les coups de reins sont de plus en plus violents et l’avocat bafouille :

- Ah salope, je vais tout te larguer sur ta petite gueule de bourge…

Se retirant, il se positionne rapidement devant le visage ravagé de Sophie et se masturbe au-dessus d’elle. De longues traînées de sperme jaillissent soudain de son pénis avec violence allant s’étaler sur son front, coulant sur ses joues et ses lèvres. Il lui enfonce sa bite dans la bouche, lui demandant de la nettoyer et elle obéit, totalement avilie. Elle se relève et comme promis, Maître Panaris lui enfonce profondément le gode dans sa chatte. Elle doit renfiler son string pour éviter que le gode ne tombe et remettre la jupe de son élégant tailleur.

- Allez ! Retournez travailler Mme de Saint-Hilaire, lui lance Panaris, en lui donnant une claque sur les fesses. Ce soir, avant de rentrer chez vous, vous repasserez me voir et vous me remettrez votre gode. Que vous porterez demain…

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sort du bureau, choquée, et avance dans le couloir. Gênée par le gode qui s’enfonce chaque fois qu’elle marche. Elle croise des collègues et rouge de honte, elle se demande si on peut se rendre compte que sa chatte est envahie par ce corps étranger.

A suivre… 


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