Texte de Coulybaca.
La formation.
Toujours tendrement enlacés, ils pénétrèrent dans sa chambre. En un instant elle se débarrassa de son tee-shirt, et tentatrice elle s'étendit sur le dos jambes grandes écartées.
Désireux de la faire mariner pour mieux asseoir son emprise par la suite, il se déshabilla lentement, pliant soigneusement ses vêtements, les emmenant dans sa chambre pour éviter toute fâcheuse surprise au réveil.
Bouillant d'impatience elle le regardait faire irritée, quand allait-il enfin se décider ? A apaiser ses appétits...
Enfin il se pencha sur elle. Impatiente elle agrandit encore l'ouverture de son compas et le saisit à la taille pour l'attirer sur elle, en elle. Mais, désappointée elle le vit reculer, il s'allongea bien entre ses cuisses comme elle l'espérait mais, tête bêche, son visage s'inscrivait à hauteur de sa foufoune alors que sa hampe surplombait ses lèvres.
Il se pencha sur elle et enfouit son nez dans sa toison fournie, de la langue il parcourut lentement sa fente embrasée, lui arrachant des premiers frissons de bonheur malgré sa surprise.
Elle n'avait jamais pratiqué cette caresse, ni chez les gentilles sœurs du cours sainte Baticle où l'éducation sexuelle était proscrite, ni avec son époux, son premier homme qu'elle avait connu dès sa sortie de chez les sœurs. 6 mois de fiançailles, comme de rigueur et elle convolait en juste noce lui offrant sa fleur la nuit de noce. Par malheur son mari n'était guère plus dégourdi qu'elle, tout juste avait-il joué à touche pipi avec une servante de la maison qui l'avait déniaisé, mais sans faire son éducation. Leur nuit de noce s'était réduite à un saute lapin, l'impétrant n'ayant résisté qu'une paire de minutes avant de cracher son venin dans sa nouvelle épouse, avant de retirer sa nouille ensanglantée de sa chatte meurtrie.
Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle n'en avait pas conservé un souvenir ébloui, alors que lui s'était efforce d'oublier cet épisode peu glorieux. Bien sûr, par la suite, les choses s'étaient améliorées, il tenait plus longtemps à force de volonté, mais ne se montrait guère imaginatif, ils baisaient toujours en position du missionnaire toutes lumières éteintes. Odile peu au fait des pratiques n'était même pas déçue, ignorant qu'on puisse pratiquer autrement.
Et voila que ce noir sculptural, lui ouvrait un monde de raffinement enivrant, alors que le Directeur de la sûreté, bien que la violant lui avait déjà entrouvert un monde aux pratiques incongrues. Jamais avant lui elle n'avait sucé de bite, et voilà qu'elle se surprenait à avoir envie d'emboucher la majestueuse bite d'Abdou.
Elle osa darder la pointe de sa langue contre son méat goûtant avec délice aux traces de sa dernière éjaculation. Pendant ce temps son "amant" lui picorait le clito, il l'aspirait dans sa bouche transformée en ventouse avant de le mâchouiller tendrement, son petit haricot, avide de sensations nouvelles mais intenses, dardait hors de son capuchon.
Fébrilement, frissonnant de la tête aux pieds elle emboucha la superbe queue l'enveloppant de sa langue, trouvant d'instinct les astuces qui permettaient de s'adapter à ses mesures hors du commun, elle se mit à respirer par le nez, sur un rythme régulier, mécanique. Adaptant ses capacités, elle aligna sa gorge sur son gourdin lui permettant ainsi de franchir la frontière de ses amygdales pour s'installer confortablement dans son arrière-gorge. Sans le savoir, elle jouait les gorges profondes avec un art consumé, démontrant une expertise instinctive que ni lui, ni elle n'auraient jamais soupçonné qu'elle fut capable d'exercer.
Affolée, tremblant des pieds à la tête elle sentait un orgasme dévastateur monter, il titillait toujours sa fente inondée, gorgée de ses sucs tout en lui mignotant le clitoris. Elle le suçait divinement enrobant sa bite de salive, et soudain elle le sentit se raidir dans bouche, il s'enfonça jusqu'à ce que ses couilles frottent sur son menton, se figea, sa bite palpita, et il vomit un torrent de foutre qu'elle s'efforça de déglutir lampée après lampée au rythme de ses émissions.
Au même instant une vague de plaisir inouïe la submergea, l'entraîna dans un autre monde, une autre réalité, terrassée, haletante, elle se lova contre lui lorsqu'il roula sur le flanc. Pantelant, ils gisaient cote à cote, épuisés par ce plaisir si profond, si voluptueux, ils s'assoupirent tous deux blottis l'un contre l'autre.
Les jours qui suivirent, il débuta sa formation. Très vite elle apprit ce qu'il voulait qu'elle porte, elle s'habitua rapidement à se mouvoir cul nu, chatte toujours disponible, écartant les cuisses, cambrant la croupe pour offrir un accès des plus aisés à ses charmes à la demande.
Puis elle apprit à caresser son maître à sa guise, lascivement, frénétiquement, variant les rythmes à son gré, elle apprit à se servir de ses muscles vaginaux pour étreindre sa bite, le garder en elle, le masser véritablement puis ce fut au tour de son cul qu'elle éduqua aux mêmes techniques.
Souvent il la faisait évoluer dans la maison un crayon de bois fiché dans le con ou le rectum elle devait crisper ses muscles pour le retenir en elle au gré de ses déplacements. Au bout de trois jours elle pouvait l'étreindre suffisamment, que ce soit en chatte ou en cul pour le conserver une heure remisé dans ses intimités.
Elle apprit à offrir avec convivialité son con ou son cul avec le sourire, à cambrer les fesses pour faciliter l'empalement, à nettoyer sa bite quelque soit le trou dont elle sorte. Il prenait d'ailleurs un malin plaisir, sortant de son cul, à lui faire lécher les trace brunâtres qui maculaient sa verge. Au début elle protestait, puis elle se contenta de froncer le nez et maintenant elle le nettoyait sans mot dire, sans même grimacer.
Mais pour l'instant ce n'est qu'avec lui qu'elle baisait, il fallait maintenant dépasser ce stade, il convint d'un rendez-vous chez des amis.
Le jour J, vêtue d'une courte jupe et d'un vaste tee-shirt baillant sur le devant, elle avait enfilé une ceinture porte-jarretelles d'un rouge agressif qui tenait ses bas noirs. Elle était chaussée de hauts talons vertigineux qui lui conférait une démarche chaloupée, croupe cambrée. Elle s'était posée quelques questions, mais habituée à se taire elle ne fit aucun commentaire lorsqu'il l'invita à monter en voiture, à ses cotés.
Elle ne vit pas où ils allaient, penchée sur lui elle était bien trop occuper à lui tailler une pipe tandis qu'il conduisait. Quelques minutes plus tard, la bouche pleine elle se releva, ils roulaient dans un faubourg qui lui était totalement inconnu. Enfin, il ralentit en arrivant devant une riche villa cossue et se gara dans la cour.
Ils se trouvaient dans la villa du premier secrétaire de l'ambassade du Royaume UNI. La femme de ce haut fonctionnaire, dans des circonstances similaires était tombée sous l'emprise d'Hakim qui l'avait confiée depuis un an à Mohamed, un autre de ses hommes de main. Ce dernier, profitant d'une absence de ce haut fonctionnaire partit représenter son pays, avait concocté cette soirée avec Abdou, invitant quelques amis à y participer.
Odile toute étonnée reconnut Elisabeth Smithson lorsqu'elle leur ouvrit la porte. Elle était vêtue en soubrette, mais ne portait qu'une coiffe, et un court tablier blanc sur ses bas, lorsqu'elle se retourna pour les annoncer, elle vit distinctement son cul nu sous sa ceinture porte jarretelles. Elle comprit immédiatement que cette femme devait se trouver dans la même situation qu'elle.
Cinq hommes les attendaient verre en main au salon.
Abdou les présenta rapidement Mohamed, notre hôte, Kamel, Hafid, Nourad et Ahmed, trois noirs et deux arabes. Elle tendit la main au premier, il la refusa, la prenant dans ses bras pour lui rouler d'entrée une pelle baveuse. Surprise, elle détourna la tête, une claque de son maître sur les fesses lui rappela ses devoirs : il disposait d'elle selon son gré, il pouvait la prêter à qui il voulait, quand il voulait, pour le temps qu'il voulait, elle n'avait ni à poser de questions, ni à hésiter.
Elle rendit son baiser à leur hôte, enveloppant sa langue de la sienne, se laissant servilement explorer la bouche. Les quatre se permirent les mêmes privautés. Sans un mot, sans une hésitation elle répondit à leurs baisers, se cambrant sous leurs caresses, écartant les cuisses pour laisser des doigts curieux visiter furtivement ses intimités.
A suivre...
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