jeudi 25 février 2021

18 Maîtres Ch. 03

Traduction d'un texte de Penitr8me.

invitée à une retransmission de football.

Encore une fois, je suis agenouillée, nue, devant une porte. Mais cette fois-ci je ne suis pas devant une porte de chambre d'hôtel. Quand ils m'ont demandé de me déshabiller et de marcher nue jusqu'à la porte d'entrée de la maison, je me suis imaginée devoir courir pour ne pas m'exposer devant les voisins. Mais j'ai eu tort de m'inquiéter. La maison est immense et bien entourée de haies hautes et impénétrables. Nous pourrions faire un gang-bang sur la pelouse, personne de l'extérieur nous verrait.

Je me suis déshabillée dans la voiture et je me suis dépêchée, plus parce qu'on est un jour froid de février que par peur d'être vue.

Je frappe et j'attends, mes yeux sur le paillasson. C'est un type de paillasson avec des poils très durs, douloureux pour mes genoux. Mon corps est encore marqué des sévices lors du gang-bang du dernier vendredi. Les ecchymoses les plus légères commencent à disparaître mais certaines vont encore rester plusieurs jours. Mon cul et ma chatte sont toujours endoloris de toutes les intrusions subies. Maintenant, les poils durs du paillasson entrent dans la peau tendre de mes genoux. J'essaie de respirer lentement, consciente de la douleur et du froid qui pique mes mamelons.

Je peux entendre des voix à l'intérieur. 18 hommes. Je me demande si je dois sonner? Mais non, ils m'ont dit de frapper. 18 hommes avec des queues bien raides. Et deux genoux douloureux. Respire! J'ai mal aux genoux. Vont-ils me laisser ici toute la journée? Ils pourraient. Je dois leur obéir. Pas à un seul d'entre eux, à tous. Je sais qu'appeler 18 hommes « Maître » n'est pas ce qui se fait habituellement, mais ça marche bien pour moi actuellement. Respire! Mal aux genoux! Ignore le froid! Respire!

Finalement la porte s'ouvre. Je garde les yeux sur ce putain de paillasson. Je vois deux paires de pieds masculins nus. Ils ne disent rien. Mes genoux sont à l'agonie. Je tremble. Je prends une grande respiration profonde.

- C'est douloureux n'est-ce pas?

C'est la voix de Chris. C'est sa maison, son putain de paillasson.

- Oui Maître.

- Bien! Continue à regarder le sol, mais mets tes mains derrière ta tête.

J'obéis. Le léger changement de poids aggrave la situation de mes genoux. Je prends une autre respiration profonde.

- Remue tes seins!

J'obéis. Les poils durs du paillasson entrent encore plus profondément dans mes genoux. Je sens que mes yeux commencent à s'humidifier sous la douleur. Je sens aussi une main qui caresse mon sein gauche, puis joue avec le mamelon. Ce petit plaisir compense juste un peu la douleur de mes genoux.

- Très bien! Suis-moi!

La main s'éloigne de ma poitrine et je me penche précautionneusement pour mettre mes mains sur le sol à l'intérieur de la maison. Puis je déplace mes genoux lentement sur le sol carrelé de l'entrée. C'est un joli dallage, le genre brut que j'adore d'habitude, mais pas pour mes genoux endoloris. Cependant, pas bien loin, mes genoux s'enfoncent dans un tapis moelleux de couleur crème. Même si j'ai encore mal, je suis les pieds nus de mon Maître en sentant l'autre Maître marcher derrière moi.

Nous arrivons à un escalier moquetté, et mon maître me le fait gravir encore à quatre pattes. Au bout d'un long couloir, se trouve une grande pièce destinée aux loisirs. Elle a une moquette sombre mais luxueuse. On m'arrête à quelques pas dans cette pièce.

- Reste là!

Il me donne des ordres comme à un animal domestique. J'aime. Je m'agenouille, sentant mes gros seins pendre sous moi, mon cul et ma chatte meurtris visibles pour tous ceux qui regardent. Je suppose qu'ils regardent tous car les conversations ralentissent et s'arrêtent quand ils me remarquent.

- Lève-toi!

Je bouge avec précaution pour ne pas augmenter la douleur de mes genoux, même s'ils sont sur une moquette. Je me mets debout tout en gardant les yeux sur le sol.

- Les mains derrière la tête!

J'obéis, le regard toujours baissé. Des mains parcourent mon corps. L'homme m'inspecte, prêtant attention aux bleus sur mes seins. Il pousse sur ma tête pour me pencher et vérifie les ecchymoses sur les fesses. Il en touche certaines, me faisant grimacer. Saisissant mes cheveux, il me redresse et tourne mon visage vers le sien. Il me fixe dans les yeux tout en continuant de tirer mes cheveux, attendant que la douleur me fasse grimacer. Après cela il rit et me repousse.

- Détends toi! On veut juste passer du bon temps. On va regarder un match de foot et on te baisera après.

Il me montre un énorme téléviseur à écran plat qui occupe presque tout un mur. Pour la première fois, je peux voir les autres hommes, mes autres Maîtres. Ils sont tous habillés de façon décontractée, jeans et t-shirts ou shorts. Certains regards sont rivés sur moi, d'autres ont recommencé à discuter en petits groupes. Chris me tend une serviette marron, aussi moelleuse que la moquette.

- Si tu t'assois, tu utilises cette serviette! Veux-tu une bière?

- Euhh oui... Merci!

Il m'a dit de me détendre. Mais je ne sais pas comment réagir. Un match de football? Je ne connais rien au football mais je sais qu'ils jouent tous dans la même équipe.

Chris se tourne vers les autres gars et leur dit :

- Vous pouvez la toucher autant que vous le voulez. Mais ne la faites pas jouir et ne la baisez pas avant le match.

Il ouvre un frigo dans une petite kitchenette. Cette pièce est vraiment immense, plus grande que mon appartement. Il y a des dizaines d'endroits où s'asseoir, tous avec une bonne vue sur la télévision. Un lit escamotable se trouve dans un coin. Des portes vitrées coulissantes donnent sur une terrasse arborée. Chris me tend une bouteille très froide, déjà ouverte, avec de la mousse qui commence à s 'évader.

- Nous avons un peu de temps avant que le match commence. Tu étais à l'heure. Hé Andy? Je parie que tu meurs d'envie de lui toucher les pieds?

Andy est un des hommes qui m'observent attentivement depuis mon arrivée. Il est grand avec des cheveux roux et des yeux verts. Il a aussi de grandes mains. Il se lève et s'approche de moi. Il prend ma petite main dans la sienne et me conduit vers un canapé en cuir. Je dois jongler avec la serviette et la bière. Mais il finit par m'installer sur la serviette, le dos contre le bras du canapé et mes pieds sur ses genoux. Ses mains énormes ont pris mon pied gauche et ont commencé à le masser.

Je sens des mains sur mes épaules. Je lève les yeux et je vois un homme plus petit et chauve qui se tient derrière moi. C'est Clark. Il ne me regarde pas vraiment. Ses yeux sont posés sur mes seins. Il commence à me pétrir les muscles des épaules, me faisant me cambrer. Je pense qu'il le fait juste pour voir mes seins bouger. Quelques gars nous regardent, d'autres parlent et boivent leur bière. Chris me regarde attentivement, mais il devait avoir un œil sur la télé parce que dès que commence le match, il monte le volume du son. Tous les hommes se tournent vers l'écran. Tout du moins au début.

Andy se partage entre mes pieds et la télé. Je suppose que rien que toucher les pieds d'une fille l'excite car je vois sa bite durcir. Clark regarde le coup d'envoi du match puis ses yeux reviennent sur ma poitrine. Il me masse quelques minutes de plus en observant mes seins. Assise là, avec deux hommes qui me touchent, je sens que mes tétons durcissent. Dès que Clark s'en aperçoit, il abandonne son massage sur mes épaules et il vient sur le canapé pour commencer à me tripoter les nichons et titiller mes mamelons. Dès qu'il a bougé, quelqu'un a pris sa place dans mon dos et une autre paire de mains commence à me caresser les cheveux et masser mon cuir chevelu. Je ne prends pas la peine de regarder qui le fait, je ferme juste les yeux et j'apprécie ce moment où trois hommes me touchent. Les mains de Clark m'excitent et je commence à bouger mes hanches. Andy change de pied.

Je sens des mains toucher les petites lèvres de ma chatte alors j'ouvre les yeux. Un mec avec la peau couleur café et des cheveux courts et noirs écarte mes petites lèvres et commence à caresser mon clitoris. Je ne sais pas comment ils vont tous pouvoir me toucher alors ils se serrent pour tous poser la main sur moi. J'aurais aimé être sur un lit afin qu'encore plus d'hommes puissent me toucher. Je gémis doucement, approchant d'un merveilleux état de tension.

- Ne la fais pas jouir Nick! Avertit Chris.

Mes yeux se dirigent vers lui pour voir qu'il regarde toujours le match. Il doit avoir une bonne vision périphérique. Ou peut-être peut-il sentir que je suis une chienne en chaleur.

Nick, le black, s'éloigne de mon clitoris, mais avant il ouvre ma fente, se penche et souffle doucement sur ma chatte, me faisant frissonner. Il lève les yeux et voit ma bière sur la table basse. Il prend et pose la bouteille froide et mouillée sur mon clitoris. J'essaie de reculer mes hanches mais Nick et Clark me tiennent solidement pendant que la bouteille est tenue sur ma chatte. J'aime la pression exercée sur mon sexe et je jouis presque.

Ma lutte sur le canapé et mes gémissements sous la stimulation attirent l'attention. Un homme blond, très mince saisit mon pied droit et demande à Andy de prendre le pied gauche. Il tire sur mon pied pour écarter mes jambes, ensuite il déplace sa main le long de mon mollet et de ma cuisse. Ça me chatouille, c'est très érotique. Cela me fait me tortiller encore plus. Mes jambes ainsi écartées, Nick continue son inspection plus en avant et écarte mes petites lèvres jusqu'à ce que mon trou soit bien visible.

- Calmez*vous les gars, pas de pénétration, gardez ça pour plus tard!

Je pense que si Chris n'était pas intervenu, j'aurais joui mais ses paroles changent l'ambiance. Même si ce sont tous des Maîtres, c'est Chris qui dirige. Alors les hommes reculent un peu.

- Laissez quelqu'un d'autre la tripoter! Pourquoi pas toi?

Un autre gars, Tom je crois, s'approche du canapé et m'offre sa main pour me relever sur mes pieds. Ensuite il me tourne afin de pouvoir toujours regarder l'écran tout en se penchant pour prendre mon téton gauche dans sa bouche. C'est un homme assez trapu, comme un lutteur, avec des épaules larges. Sa main attrape mon autre nichon et le presse assez fort pour me tirer une petit gémissement de douleur. Josh avance vers Tom et repousse sa main en disant :

- Partage!

Josh a des cheveux bruns plaqués sur son crâne. Ils sont un peu blancs aux extrémités. Il a aussi une bouche d'oreille en forme de diamant sur l'oreille gauche. Il attrape mon mamelon droit avec sa bouche et le suce en le mordillant avec ses dents. Je me souviens de lui le vendredi précédent. Il est un de ceux qui m'ont fait jouir sur la table.

Josh et Tom s'amusent avec ma poitrine avec agressivité. Je serai presque tombée mais je sens une poitrine solide contre mon dos et un énorme renflement entre mes fesses. Je suis prise en sandwich entre deux bouches affamées et un homme qui se frotte derrière moi. J'ai l'impression que cette situation va me faire jouir. Mais je ne sais pas ce qui va se passer si je désobéis, et je ne veux pas le savoir. Mais je ne peux pas stopper l'agression sexuelle de trois hommes déterminés et forts. Alors je me mets à regarder la télé en espérant que cette distraction refroidisse mes envies.

Sur une chaise, pas loin de moi, je vois que Tim a sorti sa bite et se masturbe. C'est un gars costaud avec de beaux muscles pas trop proéminents. Ses cheveux noirs sont frisés et ses yeux sont petits et sombres. Sa bite est longue et très fine si bien que je me demande si ce n'est pas elle qui m'a sodomisée vendredi dernier. Sa queue est l'une des plus fines que je n'ai jamais vues. Mais mon cul me brule quand je me rappelle la sensation d'avoir le trou du cul transpercé. Cette pensée me calme un peu.

Je regarde l'horloge. Je ne me suis pas rendue compte du temps qui passe, mais ça fait déjà 30 minutes que des hommes me tripotent et me caressent. Et il y a encore tellement de gars qui ne m'ont pas encore touchée.

- A mon tour...

Je ne peux voir qui parle, mais les autres hommes laissent la place. Je vois qu'on étale ma serviette sur le sol devant la télé puis on me force à m'allonger dessus sur le ventre. Je sens quelqu'un se mettre à califourchon sur moi au niveau de la taille puis je sens des mains, enduites de lotion, masser mon cou et le haut de mon dos. Je ferme les yeux et laisse ces mains incroyables me tripoter. J'ai encore des bleus du vendredi précédent et je sursaute quand une main passe dessus, mais je ne veux pas que l'homme arrête. Je soupire d'aise et j'apprécie ces mains huilées qui parcoure mon corps. Je souhaite que l'homme me retourne et me prenne simplement.

Puis j'entends les autres se déplacer. Je pense alors que ça doit être la mi-temps du match.

- C'est moi le prochain!

Mon Dieu du massage s'éloigne alors. Quelqu'un me fait rouler sur le dos et m'attrape par les cheveux. Je lève les yeux et vois un visage tanné et bronzé, avec des yeux noisette encadrés de sourcils épais et touffus. Ses cheveux sont bruns et mal peignés. Jusqu'à présent, je me suis toujours sentie en sécurité avec ces gars. Ils ont repoussé mes limites et fait des choses que personne ne mentionnerait dans une conversation normale. Mais ils ont tous l'air de souhaiter et aimer que je sois ici. Toutefois, ce type, Donald, me regarde avec beaucoup de mépris. S'il m'avait craché dessus, je n'aurais pas été surprise. Il me chevauche, toujours en tenant douloureusement ma chevelure. De son autre main, il me pince le mamelon gauche si fort que je pousse un petit cri.

- Ne crie pas! Ne dis rien même si ça fait mal! Ordonne-t-il.

Je hoche la tête du mieux que je le peux avec son emprise sur mes cheveux. Il sourit et pince encore plus fort. Juste au moment où je pense que je ne vais pas pouvoir en supporter plus sans crier, il me lâche, me laissant grimaçante. Mais avant que je puisse me remettre, il pince l'autre mamelon aussi brutalement. Je me fige, le visage tordu sous l'effort pour ne pas crier. Il attend un petit peu avant de me lâcher et me repousser en souriant, puis il part prendre une autre bière.

Je reste là à me demander ce qui va se passer quand un autre homme se met à genoux entre mes jambes, les forçant à s'écarter. Il a des cheveux blonds et des grands yeux bruns avec des cils si longs qu'ils paraissent faux. Tous les hommes de la pièce sont musclés et en forme, mais ce type ressemble à un bodybuilder. Il se positionne de telle façon que sa bouche soit près de mon oreille. Et, d'une voix douce et sexy, il commence à me raconter toutes les choses vraiment obscènes qu'il veut faire avec moi, comme me déshabiller dans un bar bondé et me baiser sur une table. Il dit que je suis une pute et qu'il aimerait me faire sucer sa queue sous son bureau pendant qu'il passe ses coups de téléphone. Je suis excitée et horrifiée en même temps.

- Laisse lui prendre une pause Oliver! Dit Chris en s'asseyant une bière fraiche à la main.

- Je préfère la baiser Chris! Pourquoi ne violons-nous pas déjà cette pute? Elle en a envie. Répond Oliver.

Il me repousse et se remet à genoux, puis, sans avertissement, il pousse trois doigts dans ma chatte, les agite et les sort. Ils sont trempés. Il a raison, je veux qu'ils me baisent tous. Mais je suis honteuse de voir couler le jus de ma chatte.

- Carton jaune Oliver! Tu veux un rouge?

Oliver se contente de rire et se relève en disant :

- Sérieux, si nous ne lui donnons pas de la bite bientôt, elle voudra baiser toute la ville. Et deux fois, cette salope!

- Pete?

Chris fait un signe de tête vers un gars aux cheveux bruns et aux yeux bleus. Celui-ci m'aide à me relever et m'emmène vers un autre canapé. Il me met à genoux dessus. J'ai peur qu'il commence à me fesser mais il me caresse juste le cul, passant ses doigts le long de mes contusions ainsi que dans mon dos. Je me détourne de la télé et je ferme les yeux, essayant de me détendre. Je sens quelques mains sur mon corps, mes pieds, mes cheveux. Je suppose que je me suis assoupie.

Quand je reprends mes sens, je réalise que la télé est éteinte et qu'il y a un doigt qui pénètre mon cul. Je commence à me crisper, mais j'entends quelqu'un dire « chuuuuttt ». J'essaie de me détendre en respirant lentement. Pete me caresse toujours le dos, mais il m'a bougé pour que mes seins soient sur ses jambes. Quelqu'un pousse un oreiller sous mes hanches.

Je sens le doigt pénétrer plus profondément, puis se retirer avant de replonger. Je ne peux pas tourner la tête assez loin pour voir qui viole mon cul ainsi. Alors je ferme les yeux. Après quelques minutes de ce traitement, je me sens assez détendue pour commencer à en profiter. La pénétration est une sensation étrange. Les muscles de mon trou du cul essayaient d'agripper le doigt mais celui-ci était si bien lubrifié qu'il continuait de glisser.

Je peux dire que tout le monde me regardait et sentait que ma chatte commençait à bruler. Puis, je ressens de la douleur lorsqu'un nouveau doigt accompagne le premier, étirant mon petit trou lentement. J'aime ça et je veux plus sur mon clitoris et dans ma chatte. Mes hanches commencent à remuer sur le canapé pour essayer de bloquer mon bas-ventre sur quelque chose, mais je ne trouve rien. Mais Pete bouge et me laisse frotter mon bassin sur l'oreiller. Ensuite, avec bonheur, les doigts glissent dans mon vagin et commence à remuer autour de mon clitoris. Je vibre sous ce plaisir soudain tout en essayant de ne pas jouir quand une bite lubrifiée pénètre mon cul. Je commence à comprendre pourquoi des personnes aiment la sodomie.

Je sens l'homme me pénétrer et bouger de plus en plus vite jusqu'à ce qu'il se jette sur moi, enfonçant ses doigts dans ma chatte. Ils se raidit et pousse un petit cri étranglé pendant que je sens une vague d'humidité envahir mon cul. L'homme reste immobile une minute, un doigt sur mon clitoris. Finalement il soupire et s'éloigne de moi, me laissant sur ma faim.

Une autre bite bien lubrifiée glisse en moi, plus facilement cette fois. Ça me fait un peu mal mais bientôt je me concentre sur le plaisir de la queue qui entre et sort de mon cul ainsi que des doigts sur mon clito. Je commence à ressentir les prémices de la jouissance.

- S'il vous plaît Maître, puis-je jouir?

- Pas encore! Dit Chris.

Je retiens mes gémissements et j'essaie de rester présente sans céder à mon plaisir qui augmente. Mes hanches partent à la rencontre de mon agresseur et cela semble l'encourager. Il éjacule. Alors qu'il se retire, je sens un peu de foutre couler sur mon cul meurtri.

- Mettez la sur le lit!

Je pense que c'est Chris qui vient de donner l'ordre. Il a l'ait d'avoir repris la tête de la troupe. Deux hommes me soulèvent et me transportent jusqu'au matelas. Je remarque qu'ils sont nus. Sur le lit, Barry attend, lui aussi nu, sa grosse bite debout. Je commence à avoir peur en pensant à la largeur de sa bite étirant mon trou du cul. Mais lorsque je suis déposée sur le lit, Barry empale ma chatte sur son gros gourdin. Mon clitoris est si sensible que je jouis presque quand il heurte l'homme. J'essaie de remonter mais je sens une main dans mon dos qui me pousse en avant. Puis je sens une queue glisser lentement dans mon cul. Je suis certaine que ça ne va pas aller. Je les sens tous les deux si gros en moi avant même qu'ils ne bougent. Puis peu à peu les deux hommes remuent, se poussant l'un l'autre, me broyant entre eux. Alors que j'ouvre la bouche pour crier, un autre homme pousse sa bite dans ma gorge et baise ma bouche. Je lutte pour empêcher mes dents d'égratigner cette nouvelle queue. Triple pénétration enfin!

Je veux supplier qu'on me laisse jouir mais je ne peux pas avec la bouche pleine. Heureusement, j'entends la permission de Chris dans mon oreille alors qu'il me sodomise.

- Jouis salope! Montre-nous que tu aimes que l'on te remplisse tous tes trous.

Mon corps explose. Mon orgasme provoque une réaction en chaîne. D'abord Chris pilonne mon cul et éjacule puis c'est Barry qui grogne de plaisir :

- Putain de salope, c'est bon...

Je le sens jouir alors qu'il enterre sa queue au plus profond de ma chatte.

Mon visage est baisé quelques instants de plus avant que la bite sorte de ma bouche et pulvérise une bonne quantité de sperme sur mon front. Je suis tellement heureuse que je voudrais le montrer. Mais avant que je ne puise faire quoi que ce soit, Chris se retire et Barry me soulève et s'écarte aussi. Je dois garder les yeux fermés car le sperme descend sur mes paupières. Mais ça n'a pas d'importance si je ne vois plus. Ma chatte est empalée sur une nouvelle queue et immédiatement après une autre bite pénètre mon cul. Un troisième membre fraye son chemin dans ma bouche

Je suis baisée encore et encore, remplie et baisée. Je sais qu'il n'y a que 18 hommes mais j'ai l'impression qu'il y en a deux fois plus. Après le troisième ou quatrième tour de bites, je suis inondée de sperme. Les hommes n'ont plus besoin de lubrifier leurs bites avant de les enfoncer dans mon trou du cul. C'est bien qu'ils alternent entre ma bouche et mon visage quand ils éjaculent sinon j'aurais été noyée. Je pense que j'ai eu un autre orgasme mais tout est flou. Je sais juste qu'à un moment une bite est sortie et n'a pas été remplacée par une autre. Puis tous mes trous sont laissés vides. Je me couche, le sperme dégoulinant de partout, mes yeux cimentés par le sperme séché et je m'endors.

Je suis désorientée quand je me réveille. Je me sens comme vendredi dernier lorsque j'ai quitté l'hôtel couverte du sperme de 24 hommes, pas exactement pareil mais beaucoup plus souillée. Mes cils sont collés. Je les frotte doucement en essayant d'ouvrir les yeux pour regarder autour de moi. C'est si calme.

- Tu es réveillée?

C'est la voix de Chris. Pour seule réponse, je fais un son incompréhensible qui est un croisement entre un grognement et un gémissement.

- Reste tranquille! Ordonne-t-il.

J'entends l'eau couler, puis des pas près de moi. Je le sens s'asseoir sur le lit. De l'eau ruisselle sur mon visage et un chiffon tiède est passé sur ma figure pour laver le sperme séché sur mes yeux. Il continue avec mon nez et ma bouche puis il s'arrête. Je tremble dans l'espoir qu'il lave tout mon corps de cette façon. Je veux qu'il me touche de partout. Je ne comprends pas pourquoi je peux vouloir ça après avoir été abusée pendant des heures. Quelle heure est-il? Il fait sombre mais la nuit tombe tôt en hiver. Je vois l'horloge : 19h20. Je lève les yeux ver Chris qui est en train de m'étudier.

- Est-ce que tu aimes ça?

- Oui Maître!

Il déplace sa main sur sa poitrine, la caressant et la pétrissant. Je me cambre. Son autre main se faufile entre mes jambes et il pénètre ma chatte avec ses doigts. Je gémis un peu de douleur après cette soirée active. Mais ça ne l'arrête pas.

- As-tu aimé la triple pénétration?

- Oui M... Maître.

- Et si tu n'avais pas tout eu à la fois?

Je sais qu'il y a une bonne réponse à donner mais je n'arrive pas à savoir laquelle. Alors je réponds simplement :

- J'aimerai tout ce que vous voudrez faire avec moi Maître.

- Mais serais-tu satisfaite d'un seul homme?

Il frotte mon clitoris et pince mon mamelon.

- Oui... Oui Maître. Gémis-je.

- Je ne te crois pas, tu es la salope la plus insatiable que je n'ai jamais rencontrée.

Il me pénètre avec trois doigts et commence à sucer mon téton dur.

- Maître, puis-je jouir?

- Oui.

Tandis qu'il mordille mon téton avec ses dents, j'ai un nouvel orgasme avec ses doigts enterrés dans mon vagin.

- Merci Maître! Dis-je en soupirant de plaisir.

J'écarte encore plus mes jambes en espérant qu'il va me baiser.

- Je pense que tu n'es pas faite pour être possédée par un seul homme. Tu ne seras jamais satisfaite à moins que plus d'une douzaine d'hommes te baisent n'est-ce pas?

- Je... Je n'y ai jamais vraiment réfléchi... Ca ne fait que quelques semaines Maître. Allons-nous continuer ou est-ce... terminé?

- Que veux-tu esclave?

C'est une question facile.

- Je veux continuer encore et encore. Je veux que vous continuiez à me baiser jusqu'à ce que je ne puisse plus marcher. Je veux que vous m'utilisiez de toutes les manières qui vous rendent heureux.

Après ces mots, il me bouscule et me fait rouler sur le lit afin que je sois sur le ventre. Puis il me tient et commence à me fesser vigoureusement. Je pleure et je me débats.

- Et si ça me rend heureux de te fesser esclave? Tu aimes ça? Tu aimes avoir mal?

Il fait une pause, me laissant une minute pour récupérer et reprendre mon souffle.

- Je n'aime pas la douleur Maître, mais j'aime bien me soumettre.

- Que vas-tu penser de ça?

Il tend la main et ramasse une raquette en bois qui était appuyée contre le mur. Avant que je ne réalise ce qui allait arriver, il me frappe violemment sur une fesse. Je crie, ma respiration coupée pendant quelques secondes sous l'effet de la douleur cuisante. Puis celle-ci commence à s'estomper.

- Est-ce que tu aimes ça? les coups? les bleus?

Il me frappe sur l'autre fesse avant que la douleur du premier coup soit partie. Puis il frappe une troisième fois sur la première fesse mais un peu plus bas. Tout mon cul rayonne de douleur.

- NON NON NON NON NON!!!!!!!

Il me laisse me tortiller en me relâchant légèrement.

- Veux-tu utiliser tes mots de sécurité?

- NON! Crié-je.

De nouveau, il me maintient sur le ventre et me frappe avec la raquette.

- MAITRE! Crié-je.

Tout mon corps résonne de douleur.

- Alors si moi j'aime ça, si c'est ce que je veux faire tous les jours, toutes les heures, tu le voudras aussi? Juste pour me rendre heureux?

- Oui Maître! Dis-je en pleurant.

- Pourquoi? Comment peux-tu accepter ça?

- je ne sais pas Maître. Est-ce important?

- Non, je suppose que non. Soupire-t-il.

Il s'assoit sur le lit. Je reste sur le ventre, redoutant la raquette. Mais il me regarde en la faisant tournoyer. Et il me raconte :

- Il y a quelques années, j'étais dans un club de strip-tease privé. J'ai vu une femme amenée par un homme. Elle était nue et ses poignets étaient attachés ensemble. L'homme accrocha les bras de la femme à une chaîne qui pendait au plafond. Ensuite il la frappa plusieurs fois avec une canne, un peu comme je viens de faire. Elle avait des rayures rouges incroyables sur son cul et ses jambes. L'homme s'est ensuite tourné vers nous et il a dit : « Ma pute de femme est insatiable. S'il vous plaît, baisez là pour la soumettre. Puis il s'est assis à une table, la laissant là. Alors les hommes se sont avancés vers elle, seulement quelques-uns au début mais au bout d'un temps tous étaient autour. Il y avait même des femmes avec des godes ceinture. Je me suis dit que ça allait être l'enfer. Et ça a du l'être pour la pauvre femme quand 40 personnes l'ont baisée. Ça a duré des heures. A la fin, elle pouvait à peine bouger. L'homme l'enveloppa dans un drap puis il l'emmena. Je ne les ai jamais revus. Je ne sais pas quel lien ils avaient, si c'était une habitude ou une punition pour quelque chose qu'elle avait fait. Je ne sais pas si elle a aimé. Et je ne sais même pas si elle avait un mot de sécurité.

Chris se lève en me regardant droit dans les yeux et il me demande :

- Si je faisais cela avec toi, si je t'emmenais dans une telle situation, que ferais-tu?

Je frissonne à l'idée d'une multitude d'hommes faisant la queue pour me baiser. Je reste silencieuse pendant une minute.

- Alors? Insiste-t-il.

- Je... Ont-ils... Ont-ils utilisé des préservatifs?

- Certains l'ont fait, mais la plupart non. Pourquoi?

Je baisse les yeux.

- Ça ne semble pas sur Maître. Je veux dire pour les maladies. Est-ce qu'il s'assurait qu'il ne se passe rien de mal?

Je le regarde dans les yeux.

- Je veux dire que si j'étais dans cette situation, je voudrais être sûre d'être en sécurité.

- Donc tu as bien un instinct d'auto-préservation. Donc même si ça me rendait heureux de te lancer comme ça dans une foule, tu n'irais pas aussi loin?

- J'aime ça Maître. J'aime énormément ça. Même les moments où ça me plaît moins, j'aime s'il y a du sens. Mais il doit y avoir de la sécurité. C'est la raison pour laquelle j'ai choisi votre groupe. Même avec tant d'hommes, vous m'avez dit clairement que je serai en sécurité, comme avec les mots de sécurité ou la petite lampe que je peux allumer quand je suis bâillonnée. Si je sais que je suis en sécurité, je peux vous laisser faire n'importe quoi.

- Mmmmm.

Il hoche la tête. Il se déplace pour mieux voir mes fesses. Je sens ses doigts passer sur les marques qu'il m'a faites. Je grimace un peu.

- Tu vas avoir de grosses contusions ici.

Je souris. J'aime la pensée de devoir porter les marques qu'il m'a infligées.

- Il faut que je me vide avant de te renvoyer chez toi. Où veux-tu que je le fasse?

- Où vous voulez Maître!

Il me tourne et pénètre ma chatte d'un seul coup, me faisant grimacer. Mon sexe est presque à vif après toutes ces bites. Il ne montre aucune pitié et me pilonne jusqu'à ce qu'il soit à bout de souffle. A la dernière seconde il se retire et gicle sa semence sur mon visage et ma poitrine.

- Dehors maintenant!

Il me soulève hors du lit. Je grimace un peu de douleur, du foutre coulant sur mon visage.

- Va-t'en comme tu es venue!

Je me déplace à quatre pattes, sur mes mains et mes genoux encore endoloris. Je sens le sperme sur mon visage. J'essaie d'aller le plus vite possible pour le suivre, descendre l'escalier et me diriger vers la porte d'entrée.

- Ne te lave pas avant le matin salope! Je veux que tu rêves de nous alors que tu dors dans des draps souillés.

- Oui Maître.

Il ouvre la porte et je sors nue, à quatre pattes, dans la nuit.

A suivre...

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