Femmes ordinaires et soumises

 Ce sont des femmes ordinaires, mais complètement soumises volontairement ou non.

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Jeanne est une belle rousse de 35 ans, mère célibataire. Elle élève ses deux filles seule et elle travaille comme employée de banque dans une succursale de province. Son salaire n’est pas énorme et elle est à court d’argent tous les mois.

Un jour, pour payer la cantine de ses filles en urgence, elle a prélevé la somme sur le compte d’un des clients de l’agence bancaire. Bien qu’elle ait remis l’argent sur le compte deux jours plus tard, Robert, le directeur de l’agence s’en est aperçu en vérifiant comme chaque soir les transactions de la journée.

Robert est âgé de 56 ans, célibataire car moche, gros et désagréable. Les seules femmes avec qui il couche habituellement sont des prostituées. En voyant le retrait que vient de faire son employée, il se lèche les babines et se frottent les mains.

Quelques jours plus tard, il convoque Jeanne et la menace non seulement de la licencier, mais aussi de porter plainte. La jeune femme s’effondre, elle sait qu’elle aura du mal à trouver du travail, mais en plus on risque de lui retirer la garde de ses filles. Alors elle supplie son patron et lui promet de faire ce qu’il veut quand il le voudra.

Depuis ce jour, elle arrive un peu plus tôt chaque matin pour passer sous le bureau de son patron et sucer sa queue pas toujours très fraîche. Mais Robert ne se contente pas seulement d’une petite fellation journalière.

Il aime bien parfois emmener Jeanne durant la pause du déjeuner dans un petit hôtel pas loin. Il lui demande de se déshabiller et de se tenir nue devant lui. Jeanne doit toujours avoir des sous-vêtements sexy, elle n’a plus droit aux pantalons et collants. 

Robert la reluque, la prend en photo, puis la tripote sans ménagement avec ses mains rugueuses. Il aime bien l’embrasser tout en la doigtant. Puis il l’allonge sur le lit pour la baiser ou l’enculer brutalement tout en lui jetant des vulgarités. Bien que dégoûtée, Jeanne se laisse faire, elle est devenue son esclave sexuel contre son gré. Elle espère que son patron aura bientôt une promotion pour une agence plus grande. Mais elle ne sait pas qu’il n’est pas apprécié dans le groupe et que son poste est son dernier jusqu’à la retraite.

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- Tu te rappelles de Josette ? Dit Eric. 

- Josette ? La petite grosse du lycée, celle qui avait un gros cul et des nichons d’enfer ? Tout le monde a dû se branler en pensant à elle. Répond Maxime.

- Ouais celle-là ! Elle a épousé le charcutier et vit encore ici. Devine maintenant ?

- Devine quoi ?

- Je me la tape ! c’est une grosse salope qui obéit à tous mes désirs !

- Non je ne te crois pas ! Et tu m’as dit qu’elle était mariée…

- Et alors ? Tu veux que je te prouve qu’elle me mange dans la main ?

- Vas-y ! je te paie la prochaine tournée si c’est vrai.

Eric prend son téléphone et tape dessus. Il montre à son ami qu’il vient de retrouver après quelques années sans contact l’écran de son portable et le SMS qu’il vient d’envoyer :

«  Salope, je veux une photo de toi à poil ! Tout de suite ! »

Quelques secondes plus tard, le téléphone vibre pour annoncer l’arrivée d’un SMS. Eric tape rapidement et montre de nouveau à son ami l’écran de son téléphone. Maxime peut lire la réponse au premier SMS :

«  Mais… Je suis au magasin avec mon mari, je ne peux pas m’absenter »

Puis le message que vient de taper Eric :

«  Je m’en fous grosse vache ! Si je dis tout de suite, c’est tout de suite ! »

Les deux hommes discutent quelques minutes avant que le portable n’annonce de nouveau l’arrivée d’un message. Maxime voit Eric sourire, et tourner son téléphone vers lui. En plein écran, se trouve une femme assez grosse, à poil, se photographiant devant un miroir.

- Alors ? Demande Eric.

- Putain c’est bien elle !!!! j’en reviens pas ! Ben mon salaud, tu sais te faire plaisir ! Dit Maxime.

- J’ai une idée ! Comme cadeau de retrouvailles, ça te dirait d’en profiter ?

- Euuuhhhh… Oui… Je bande déjà !

- J’arrange ça !

Eric tape sur son téléphone et attend quelques secondes la réponse. Puis il montre l’écran à son ami. Il a envoyé :

- Salope, ce soir tu te débrouilles pour sortir et tu viens chez moi, j’ai envie de te démonter le cul ! »

La réponse est brève :

« Oui Monsieur »

Eric et Maxime se regardent en souriant. Ils commandent une nouvelle tournée que Maxime se fait une joie de payer.

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Mariette, 53 ans vient d'embrasser son mari qui part pour toute la semaine. Il est VRP et voyage dans toute la France pendant la semaine. Elle le regarde par la fenêtre entrer dans la voiture et s'éloigner. Puis elle attend quinze minutes, se déshabille, se met à genoux au milieu de son salon les mains dans le dos et elle attend.

Une heure plus tard, elle entend la porte de son appartement s'ouvrir et une voix retentit :

- J'espère que ma grosse salope est prête, ça fait trois jours que je ne me suis pas vidé les couilles !

Il s'agit de Gérard, son beau-frère. Celui-ci est un vieux garçon de 55 ans. 

Mariette a eu la malheureuse idée de coucher une fois avec lui et depuis ce temps-là il la menace de le dire à son mari. 

Elle se retrouve soumise pendant toute la semaine et l'absence de son mari, son beau-frère s'installant chez eux.

Elle sait que l'homme est en train de retirer son pantalon. Elle va devoir le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule dans sa gorge. Elle se demande ce qu'il lui a préparé pour la semaine. Ce qu'elle déteste le plus c'est qu'il invite des amis. Ceux-ci se montrent toujours vulgaires et violents avec elle. Le lendemain matin, elle a toujours mal à la mâchoire, à la chatte et au cul.

- Allez, ouvre la bouche, grosse truie ! Dit Gérard en se présentant devant elle, la bite dans la main.

Elle obéit, soumise. Tout de suite l'homme fiche sa queue dans sa gorge. Puis il saisit une poignée de ses cheveux et tire sa tête sur son membre.

Mariette a maintenant l'habitude et elle arrive à retenir son envie de vomir. Elle laisse son beau-frère bouger sa tête sur sa bite jusqu'au moment où il la tient fortement et éjacule directement dans sa gorge. Puis il se retire et essuie sa bite avec ses cheveux.

Gérard va ensuite lui mettre son collier de chienne qu'elle gardera toute la semaine, puis il lui enfilera un gros plug dans le cul. 

Mariette pense alors qu'elle a la chance que son mari soit fatigué quand il rentre de sa semaine. Elle ne sait pas si elle arriverait encore à lui faire l'amour après ce que son beau-frère lui fait subir.

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Anne et Jean-Claude sont mariés depuis vingt ans. Anne s'est toujours soumise aux souhaits de son mari. Elle est devenue un experte en fellation et elle couche avec tout homme que lui présente son mari.

Malheureusement le couple est très dépensier et il se trouve à découvert. Alors Jean-Claude a décidé d'inviter à dîner son banquier, Roland M., un homme de 55 ans, veuf. 

- Bonjour Monsieur M., comment allez-vous ? Je suis content que vous ayez pu accepter mon invitation. Dit Jean-Claude au banquier qui vient d'entrer dans l'appartement.

- Je vous remercie, mais appelez-moi Roland, ce sera plus simple.

- D'accord, appelez-moi Jean-Claude alors. Dit-il en invitant le banquier à entrer au salon.

Celui-ci fait quelque pas et se fige, étonné. Il voit une jeune femme à genoux, habillée seulement d'un corset, de bas et d'un petit tablier de serveuse.

C'est alors que Jean-Claude lui explique :

- Oh, je vois que vous ne connaissez pas ma femme Anne ! Mais appelez-là "petite pute". Elle est là pour servir et exécuter tous vos désirs.

Roland déplace son regard de la femme à l'homme. Il commence à comprendre que la soirée risque d'être intéressante. 

- Mais asseyons-nous à la table, ma femme va nous servir l'apéritif pendant que je vais vous parler de mes petits problèmes financiers. Continue Jean-Claude.

Les deux hommes s'assoient. Anne, sans un mot, se lève et va chercher le plateau de l'apéritif. Elle sert les deux hommes, puis reste debout près de la table, les mains dans le dos.

- A la votre Roland ! Mais peut-être aimeriez-vous vous détendre un peu plus ? Demande Jean-Claude.

- Euhhh... oui... Pourquoi pas ! Répond la banquier sans trop savoir ce qu'il va se passer.

Jean-Claude fait un signe de tête à sa femme qui s'agenouille et passe sous la table. Elle dégrafe le pantalon du banquier pour sortir sa bite qui commence à bander. Puis elle l'enfourne dans sa bouche et commence à lui faire une fellation de roi.

Ce soir-là, le vieux banquier va avoir droit à tous les honneurs de la femme de Jean-Claude. Il va pouvoir se vider en elle dans sa bouche, dans sa chatte et dans son cul. 

Il repartira en ayant accordé un délai au couple pour combler son découvert. Secrètement il espère bien qu'ils continueront à être dépensier et à se retrouver souvent à découvert.