mardi 23 mars 2021

Susan, la pute du bureau Ch. 02

Texte de Georges VI traduit par Coulybaca.

Suite de l'asservissement de Susan.

Chapitre 7 : A la disposition du staff.

Susan rentrait tout juste d'un déjeuner avec un autre client, ce bâtard s'était débrouillé pour la doigter sous la table toute la durée du repas. Comme Gary lui interdisait le port de petite culotte sous ses jupes courtes, dès qu'elle s'était assis dans le bureau de ce client il avait eu un excellent point de vue sur son intimité, visiblement il avait été ravi de cette absence de sous-vêtement. Elle était pratiquement sûre, d'avoir involontairement allumé les quatre jeunes hommes qui se trouvaient à l'opposé de leur table, au restaurant, lorsqu'elle avait pris place écartant en grand ses cuisses.

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Mais ce n'était pas pire que la semaine précédente lorsque Gary lui avait fait lire une circulaire concernant la nouvelle prise en charge des frais professionnels devant le staff des vendeurs.

Gary était absent du bureau ce jour-là, mais il lui avait laissé des consignes lui enjoignant de porter sa plus courte jupe sans petite culotte. Elle avait triché et enfilé une paire de collants, mais les ordres de son patron lui enjoignaient de s'asseoir cuisses écartées sur un tabouret face à son public pour détailler les points critiques de sa lecture.

Elle était heureuse de porter ses collants, mais comme c'était sans culotte elle se sentait exhibée à leurs regards, sa courte jupe remontait sur ses cuisses en dépit de ses efforts pour la redescendre, elle savait que les hommes des premiers rangs devaient distinguer sa toison sous la trame de ses collants et encore plus lorsqu'elle devait s'étendre pour pointer un point particulier sur l'écran.

Au centre du premier rang se tenait Phil. Il avait été son premier supérieur lorsqu'elle était entrée dans cette boite dans le département escompte. Phil ne se serait jamais permis de lui faire faire les choses que Gary lui imposait maintenant pensait-elle émue. C'était un homme posé, attentif, entièrement chauve, il portait des lunettes. Il était marié, mais il se montrait si réservé et serein qu'elle n'avait jamais pensé à lui comme un objet sexuel. Elle avait très envie de lui confier le chantage qu'elle subissait, elle ne voyait personne d'autre à qui en parler.
 
La présentation terminée, le groupe sortit alors que Susan se tournait vers son équipement bureautique. Phil était resté en arrière attendant que tout le monde soit parti. Il s'approcha de Susan.

- Susan, si j'avais su que vous vouliez utiliser le sexe pour grimper dans la compagnie, vous auriez avancé rapidement dans mon département.

Susan qui s'était rendu compte de la façon qu'il avait eu de contempler sa foufoune, comprenait ce qu'il voulait dire, elle était certaine qu'il avait entendu parler de ses dernières aventures. Elle aurait voulu se confier à lui, lui raconter la vérité, mais avant qu'elle ouvre la bouche, il la serrait contre le mur mais sur ses hanches.

- Si j'avais su que vous étiez si facile, il y a longtemps que j'aurai fait cela lorsque vous travailliez sous mes ordres.

Sa main droite courait sur sa taille remontait pour empaumer son nichon gauche le pinçant au travers de son soutien gorge.

- Oh Phil ! pleurnicha-t-elle.

Mais comme elle ne lui opposait aucune résistance physique il posa sa main gauche sur son nibard droit refermant les doigts sur ses collines jumelles. Ses tétons ne tardèrent pas à tarder sous ses caresses lascives. Elle regardait son tourmenteur d'un oeil résigné.

Il descendit ensuite sa main gauche sur ses flancs gagnant le bas de sa hanche, la glissa sous sa jupe dans le dos, il lui pétrit alors les fesses au travers de ses collants. Il se tenait du coté droit de Susan, il remonta sans vergogne sa courte jupe sur sa taille, trouva la ceinture élastiquée de ses collants et glissa la main dans ses collants malaxant alors ses fesses nues.

Puis il opéra de même sur le devant empaumant sa chatoune d'une main envahissante. Alors que son index gauche courait de bas en haut dans sa raie culière, et son majeur droit dans sa fentine engorgée de cyprine, ses doigts se rejoignant à chaque aller-retour.

Susan crispa ses fesses sous deux doigts naissaient des éclairs électriques qui déferlaient dans son bas-ventre.

Phil descendit ses collants sur ses chevilles, Susan enleva ses chaussures et enjamba alors les collants.

Le comptable d'âge mûr, déboucla sa ceinture et descendit sa braguette avant de sortir une épaisse bite bandée. Il s'accroupit légèrement, leva le genou gauche de Susan et enfouit sa bite raidie dans sa petite chatte accueillante. Il la sauta debout contre le mur, il avait empoigné ses fesses et ses cui-ses et la bourrait consciencieusement.

- Avez-vous idée du temps que je suis resté assis dans mon bureau en imaginant te baiser ? Me demanda-t-il désappointé.

En un rien de temps il se vida les couilles dans la caverne de Susan tandis qu'elle vibrait sous ses assauts.

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Et, quelques jours avant cet épisode, Gary lui avait ordonné de porter une tenue qu'il venait d'acheter, une courte brassière qui laissait son nombril à l'air coordonné avec une paire de caleçons beige taille basse. Susan savait que certaines teenagers portaient ce genre de tenue, mais elles avaient le ventre parfaitement plat, si quelqu'un la regardait de près ils pourraient voir le haut de sa pêche velue couverte de poils pubiens sur le devant et le début de sa raie culière dans le dos.

Lorsque Gary lui fit réorganiser la planche basse des étagères de classement, elle dut s'accroupir, elle savait pertinemment qu'elle exposait le haut de ses fesses aux yeux des employés qui passaient dans son dos. Elle le savait d'autant plus que Thom et Graig et d'autres employés la plaisantèrent crûment à ce sujet en passant derrière elle.

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Maintenant Byron, Mick, Emile, Joe et de nombreux employés prenaient des privautés avec Susan à tout moment de la journée, en quelque lieu qu'elle se trouva, ils lui palpaient les nichons à la cafétéria, lui pelotaient les fesses dans le hall, retroussaient sa jupe dans leurs bureaux.

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Mais cet après-midi elle désirait surtout rester cachée dans son bureau pour éviter les commentaires graveleux et les caresses sournoises dont ses collègues l'accablaient, depuis plusieurs semaines, où qu'elle se trouva.

Elle sentit soudain une présence dans son dos, elle se tourna et vit Louis, un ouvrier d'entretien qui lui souriait affablement, il devait avoir une quarantaine d'années était célibataire, n'était ni particulièrement attirant, ni particulièrement intelligent. Il était un peu plus petit que la moyenne, une coupe de cheveux assez moche, avec une raie à droite. Louis traînait des pieds, il sourit largement, et éclaircit sa voix.

- Um, Gary m'a dit que vous pourriez venir m'aider dans la remise...

- Dans la remise ? Que voulez-vous ?

Il y avait un grand atelier dans l'embarcadère et la remise de Louis se trouvait derrière. Jusqu'ici, Susan n'avait fait qu'en regarder la porte. Louis continua affichant un large sourire :

- Allez, tu me suis, Gary m'a dit que tu me suivrais !

Susan se leva lentement et suivit Louis qui descendait le hall pour gagner les ateliers d'entretien, il referma la porte dans son dos. Cet espace incluant l'embarcadère était de la grandeur d'une classe de taille moyenne, l'endroit était poussiéreux et encombré de boites et de cartons. Susan qui portait sa courte jupe et son chemisier blanc transparent se posta dans un coin entouré de boites.

- Pourquoi avez-vous besoin de mon aide Louis ?

Il se posta face à elle un sourire railleur sur les lèvres.

- heu, j'ai réparé la voiture de Gary et il m'a dit qu'en récompense je pourrais te peloter les miches !

Le cœur de Susan battît à nouveau la chamade, mais elle ne doutait pas de ses dires. Gary voulait se servir d'elle pour payer en nature la réparation de sa voiture. Elle se sentit rougir jusqu'aux oreilles, elle se retrouvait toute seule dans cet entrepôt en compagnie de Louis. Il n'était pas vraiment hideux, mais ce n'était pas quelqu'un avec qui Susan aurait pris un rendez-vous. Puis Louis poursuivit :

- Tout le monde te pelote les nibards dans cette entreprise.

Susan voulait en finir rapidement, elle s'adossa à son bureau de cuir, elle émit un long soupir :

- C'est d'accord, fais ce que tu veux !

Louis s'avança d'un pas et posa sa main droite sur son nichon droite, au-dessus de son chemisier. Il le palpa et le malaxa rapidement tout en lui souriant à pleines dents. Il déboutonna facilement son corsage et pétrit ses nichons au travers de son soutien-gorge, il glissa sans vergogne sa main dans les bonnets de son soutien-gorge et tripota ses nichons de ses mains calleuses.

Susan était gênée, embarrassée de se tenir devant l'ouvrier le moins important de la boite qui lui pelotait allégrement les miches.

Louis respirait difficilement, il était légèrement essoufflé, il posa sa main gauche sur les épaules de Susan, l'attira à lui et lui roula un patin baveux.

Elle mit docilement ses bras autour de son cou et lui rendit ses baisers fiévreux.

La main droite dans le soutien-gorge de Susan, Louis glissa sa main gauche sur sa croupe qu'il malaxa au travers de la jupe. La jupe était si courte qu'il glissa facilement une main sous l'ourlet empaumant ses fesses dénudées. Il la pressa contre son torse, elle sentait son érection pointer contre son estomac. La main de gauche de Louis se dirigea vers son bas-ventre, il entreprit de lui titiller la chatoune. Un doigt rugueux fora son chemin dans sa cha-toune détrempée. Susan écarta les cuisses et s'accroupit légèrement facilitant la pénétration de son doigt au cœur de sa féminité. Louis lui roula un patin baveux, alors que sa langue plongeait dans sa bouche un filet de salive s'écoula sur son menton.

- Etends-toi sur le dos sur ces caisses que je te baise ! lui ordonna Louis.

- Gary m'a dit que tu serais d'accord !

Susan jeta un œil sur l'empilement de caisses sur lequel Louis voulait qu'elle s'étende, il était très poussiéreux. Elle ne voulait pas passer le reste de la matinée avec des taches de poussière dans le dos. Elle avait observé que déjà la main sale de Louis avait laissé une trace noire sur son nibard droit.

- D'accord, mais c'est trop sale ! Laisse-moi le temps de me déshabiller.

Visiblement cela ne lui posait aucun problème, et ravi il la mata enlevant d'abord ses hauts talons, puis déboutonnant son chemisier pour le poser sur un endroit propre, ôtant son soutien-gorge laissant ses nibards osciller doucement sur son torse, se dépouillant de sa jupe lui dévoilant sa toison châtain claire.

Elle grimpa alors sur les caisses. Louis se déshabilla prestement dévoilant une bite assez courte mais bien épaisse. Susan s'étendit sur le dos sur les caisses, écarta ses cuisses en grand attendant qu'il l'enfourche. Elle l'attira sur elle et guida son épaisse mentule lui facilitant l'accès à sa caverne accueillante.

Elle se demandait s'il avait déjà couché avec une femme auparavant. Il la labourait de rudes coups de boutoir. Susan jeta un œil sur son environnement, elle était nue dans un entrepôt, allongée sous un homme d'entretien, l'endroit était dégueulasse, cela lui ressemblait si peu, c'était moche, elle était si proche de l'orgasme.

- Uh! UH! UH! UH! Grognait-elle verrouillant ses chevilles dans son dos s'arc-boutant pour l'accueillir de son mieux.

Louis soufflait et grognait, il se releva sur les coudes admirant ses nichons qui dansaient en tous sens, visiblement il appréciait de "baiser une véritable femme". Il se laissa retomber sur elle Susan enfonça ses ongles dans son dos. Elle le sentit jouir rapidement alors que leur chevauchée s'apaisait.

- Oh Louis... Louis! N'arrêtez pas Louis... Le suppliait Susan.

Elle était si proche de jouir aussi. Elle cherchait à le conserver en elle, donnant des violents coups de rein tout en remuant son pelvis pour profiter encore de ses dernières raideurs.

- Umghhhh... Hurla-t-elle en plongeant dans un semi-orgasme la laissant à demi insatisfaite.

Elle restait étendue sous Louis qui lui souriait à pleines dents.

Chapitre 8 : Susan et la cliente.

Susan et Gary passaient l'après-midi avec un autre client. Mais après avoir joué la pute mise à disposition pour différents clients, Susan se réjouissait de savoir que cette fois il s'agissait d'une cliente. 

Lana était une femme très séduisante, la quarantaine bien sonnée avec de longs cheveux bruns. Elle était grande, un bon mètre soixante quinze et portait des hauts ta-lons qui la grandissaient encore. Son tailleur bleu marine semblait, de prime abord, très classique, mais une inspection plus fine permettait de constater que le veston se resserrait sur la taille accentuant l'opulence de sa poitrine, la jupe était assez courte et étroite, elle descendait à mi-cuisse. Une tenue de travail assez sexy finalement, à la différence de Susan qui portait un chandail sans manches sans soutien-gorge, une courte jupe évasée avec un porte-jarretelles blanc et une affriolante petite culotte de satin blanc.

Pour le dîner Susan était assise face à Lana. Celle-ci tout en fumant cigarette sur cigarette se penchait sur Susan et Gary clignant ses yeux très maquillés. Elle pressait sa poitrine contre ses bras posés sur la table, l'entrebâillement du haut de son veston laissait entrevoir le haut de son soutien-gorge noir brillante sans rien d'autre.

Susan se surprit à mater sa devanture, elle présumait que Gary aussi avait remarqué sa tenue, elle se demandait si Gary avait déjà couché avec elle.

De retour au bureau, Susan se joignit à Lana et Gary pour gagner la salle de réunion. Après une discussion de haut niveau technique, Gary les quitta les laissant régler les ultimes détails entre femmes.

Lana était assise à la droite de Susan, sa chaise était serrée contre celle de son interlocutrice. Les fesses de Lana reposaient sur le rebord de sa chaise, son visage tout proche de celui de Susan, sa main gauche était posée sur la chaise de Susan, dans son dos. Susan respirait le capiteux parfum de Lana, qui se mêlait à l'odeur de ses cigarettes. Susan l'écoutait religieusement exposer les formalités d'embarquement des produits, mais lorsque Lana pressa son genou gauche contre le genou droit de Susan, elle prit vivement conscience de sa proximité. Les paupières baissées de Lana, son demi-sourire et sa voix ensorcelante réveillait chez Susan les agissements de ses clients qui l'avaient "séduites".

- Vous me comprenez bien ma chérie ? L'interrogea soudain Lana.

Susan répéta les instructions de Lana assurant sa cliente que sa compagnie respecterait le programme prévu.

- Mmmmm, c'est très bien... Gary m'avait prévenu que je vous apprécierai... La complimenta Lana pressant plus fermement son genou contre la cuisse de Susan.

Susan se surprit à jeter une nouvelle fois un œil dans le décolleté de Lana. La jupe de Lana avait remonté sur ses cuisses Susan distinguait distinctement le haut de ses bas et son porte-jarretelles noir. Lorsque Lana posa sa main droite sur la cuisse droite de Susan, instinctivement elle chercha à s'écarter de Lana. Mais la main gauche de cette dernière se posa tout de suite sur les épaules de Susan qui immédiatement se sentit piégée.

- Susan, vous êtes très séduisante... Gary m'a dit que vous me donneriez satisfaction ! Travaillez avec moi et je vous apporterai de nombreuses affaires !

La main gauche de Lana agrippa gentiment mais fermement la nuque de Susan. Lana se pencha sur elle et planta ses lèvres sur celles de Susan. Susan ressemblait à une biche figée dans les phares d'une voiture et se sentait sans défense. Susan savait qu'elle n'était pas lesbienne, ni même bisexuelle, mais les années passant, elle en venait à se demander ce que cela ferait d'être embrassée par une autre femme et se surprenait à mater le corps des jolies femmes. JAMAIS elle ne l'aurait fait de sa propre initiative, mais maintenant que Lana L'OBLIGEAIT à subir son baiser elle acceptait son destin, ouvrait la bouche et rendait son baiser à Lana, goûtant pour la première fois aux lèvres d'une autre femme, elle était apeurée, hésitante mais soumise. En fait, elle devait admettre que ce n'était pas plus révoltant que ce qu'elle avait du subir de la part de l'homme d'entretien.

Lana tendit la main droite et déboutonna sa veste. Elle prit la main gauche de Susan et la plaça dans le décolleté sur son soutien-gorge. C'était un soutien-gorge pigeonnant et Susan se sentait toute excitée à la vue d'une large part d'aréole débordant des bonnets. Tentée, elle entreprit de caresser les bonnets soyeux la caressant en petits cercles s'élargissant, d'elle-même elle glissa sa main dans le sillon mammaire, comme attirée par la chair brûlante de ses nibards.

A son tour Lana tendit la main et caressa les nibards nus de Susan sous son fin corsage. Elle saisit l'ourlet du vêtement et le lui remonta au-dessus de la tête avant de le poser sur la table. Susan se sentait vulnérable et gênée de se retrouver torse nu au boulot en face d'une autre femme. Elle regardait Lana enlever sa veste, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge noir de ses épaules. Lana lui sourit en laissant tomber le haut de ses bonnets exposant ses larges aréoles à l'adresse de Susan alors que ses nibards reposaient toujours dans leurs bonnets. Lana empoigna son nichon gauche, arqua son dos, et le pressa contre les miches de Susan. 

Susan avala sa salive à cet étrange mouvement instinctivement elle se recula et tendit ses miches vers l'avant. Des vagues électriques couraient dans sa poitrine alors que ses tétons raidissaient. Lana se pencha en avant et glissa sa langue dans la bouche de Susan, alors que les deux femmes se caressaient mutuellement les miches. Lana était maîtresse de la situation, Susan se laissait faire, à contre cœur elle prenait du plaisir avec son aînée. Les grommellements de Susan se différenciaient nettement des sourds miaulements de plaisir de Lana.

C'était une étrange expérience que de caresser les miches d'une autre femme, mais Susan s'était toujours demandé ce que cela pouvait bien faire. Elle aimait cette expérience. Les grosses mamelles de sa partenaire étaient moins fermes, plus molles mais elles roulaient agréablement dans les mains de Susan. De plus les caresses de la main d'une autre femme sur ses nichons étaient enivrantes. Lana semblait savoir exactement comment caresse les nichons de Susan pour lui extirper un intense plaisir.

Les lèvres de Lana descendirent dans le cou de Susan et arrivèrent sur ses miches. La libido de Susan explosa soudainement en sentant les lèvres de son aînée se poser sur une de ses tétons pour le titiller tendrement, la main gauche de Lana glissa de son estomac sur ses cuisses. Elle progressait remontant la face interne de sa jambe et arriva rapidement à l'intervalle de chair tendre et douce séparant le haut des bas du porte-jarretelles.

- Ecarte plus tes cuisses Susan... Lui intima Lana d'une voix enrouée.

Lana était choquée mais se sentait obligée de lui obéir docilement. Les doigts de sa tentatrice remontèrent encore jusqu'au fond détrempé de sa petite soyeuse culotte. Elles en suivaient le bord, palpant doucement son monticule velu, et glissèrent enfin par le coté dans sa toison bouclée. Lana promenait son majeur dans la fentine de Susan testant l'onctuosité de sa moule engorgée de cyprine. Lana se redressa et souffla :

- Embrasse mes nibards ma chérie !

Docilement Susan baissa la tête regardant fixement les nichons blancs aux larges aréoles brunes. Susan les embrassa servilement puis les lécha lascivement. Elle évitait les longs mamelons tendus, se focalisant sur ses larges aréoles, mais la curiosité ne tarda pas à l'emporter et elle prit le téton droit en bouche, et le suça avidement.

- Mmmmmmm, t'es-tu déjà grouinée auparavant ma chérie ?

-Non... souffla-t-elle timidement la tête encastrée entre les nibards de Lana.

-Tu t'en tires très bien la chérie... Caresse ma chatoune comme je caresse la tienne...

Susan posa à son tour sa main gauche sur la cuisse gauche de Lana. Sa jupe était remontée très haut, Susan distinguait nettement la plus grande part de ses cuisses dénudées jusqu'à son porte-jarretelles. Lana écartait ses cuisses en grand exhibant le fond de sa petite culotte de satin noir. Susan tendit la main entre ses cuisses accueillantes, sa main courut sur le haut de ses bas et se glissa dans l'entrejambe de sa petite culotte trempée de sa mouille. Ce faisant Susan continuait de mignoter les nibards de sa partenaire, elle atteint une longue bandelette de poils drus bien taillés. Elle doigtait maintenant sa chatte lubrifiée imitant en cela ce que Lana lui faisait. Elles miaulaient toutes deux leur plaisir.

Lana se faisait plus agressive, elle embrassait Susan plus voluptueusement, plus profondément, la doigtant avec tant de vigueur que sa chaise recula sur le plancher. Il semblait à Susan que c'était un de ces hommes si agressifs qui la manipulait si rudement, mais pas une douce femme. Lana pinçait ses mamelons tout en serrant fermement ses miches. Elle empoigna une poignée de cheveux et pressa son visage contre ses nichons.

Lana se redressa soudain, elle retroussa sa jupe sur sa taille exhibant sa ceinture porte-jarretelles et sa petite culotte en dentelle noire alors que ses gros nibards pendaient hors des bonnets de son soutien-gorge noir. Elle empoigna alors sa petite culotte et la roula sur ses chevilles exhibant sa toison châtain sombre. Elle avait elle aussi la jupe retroussée sur la taille, elle saisit la main de Susan et repoussa sa chaise loin de la table de conférence, puis elle s'étendit sur la moquette et attira Susan à elle.

Susan ne s'attendait pas à tout ça, elle avait perdu tout contrôle de la situation et se laissa tomber sur la carpette juste au coté de Lana, sur le dos à moitié allongée sous la table de conférence. Lana remonta la jupe de Susan bien au-delà de sa taille exhibant sa petite culotte blanche et son porte-jarretelles coordonné. Elle empoigna sa culotte et la roula vivement sur ses cuisses.

Susan se montra tout d'abord fort hésitante, puis se laissa faire passivement laissant Lana lui enlever sa petite culotte. Lana était allongée à son coté, mais tête-bêche. Elle écarta les cuisses de Susan en grand, contemplant son chaton dénudé. Lana se mit entre les cuisses de Susan alors que leurs jambes s'emmê-laient. Lana se pencha en avant et se saisit de la jambe de Susan comme l'aurait fait un lutteur professionnel. Elle écarta ses cuisses exposant son entrecuisses sous les yeux de Susan. Elle pressa fermement sa toison contre celle de Susan se frottant contre son, bas-ventre.

- Ohhh... Couina Susan surprise.

- Uuhhh! Grogna Lana d'une voix enrouée.

Elle frottait sa chatoune contre celle de Susan, cette dernière répondait maintenant à ses caresses. On aurait dit qu'elles baisaient, leurs entrejambes s'entrechoquaient, elles roulaient l'une sur l'autre au sol, haletant et grognant comme des bêtes et non pas comme deux femmes aussi sophistiquées qu'élégantes.

Susan avait espéré que cette femme se montrerait gentille avec elle, mais Lana se comportait avec autant de rudesse que ces hommes qui l'avaient maltraitée dernièrement. 

Lana relacha Susan. Elle la repoussa sur le dos, Lana se redressa plaçant ses deux genoux de chaque coté du visage de Susan l'enfourchant véritablement tête bêche. Susan leva les yeux et vit la chatoune de Lana s'ouvrir sous ses yeux. Elle avala sa salive sachant déjà ce que voulait Lana, mais lorsque Lana descendit sur son visage, Susan lui saisit les hanches et enfouit son nez dans la toison de sa partenaire.

Elle sentit le nez de Lana en faire de même dans sa cramouille, parcourant de la langue sa foufoune épanouie.

- MMMMMPHHHHHH... Marmonna Susan sous cette caresse.

Elle lécha de son mieux la fentine de sa partenaire comme enivrée par l'odeur et la texture de sa féminité. Elle réagit aux léchouilles de Lana serrant les cuisses sur sa tête, s'arquant sur les talons pour mieux s'offrir à ses caresses. Lana aussi réagissait sous les assauts de Susan qui lui bouffait le gazon, refermant fermement ses cuisses sur la tête de Susan.

D'une main Lana empoigna les fesses de Susan. Elle écarta sa fesse jusqu'au moment où elle dénicha des doigts son trou du cul, elle fit coulisser lentement mais sûrement son majeur dans son œillet anal la faisant sursauter :

- Du calme chérie... Marmotta Lana la tête enfouie dans les poils pubiens de la chatoune de Susan.

Susan avait peur que ce doigt la blesse, mais alors que Lana l'enfonçait profondément dans son intestin, elle sentait croître son excitation. La combinaison de la bouche de Lana lui fouillant la chatte et de son doigt farfouillant dans son anus la stimulait fortement.

- Fais-m'en autant Susan... Lui ordonna Lana.

Susan tendit les mains et s'empara des larges fesses de son aînée, elle trouva son trou du cul, pas très loin de son nez. Elle pénétra aisément son goulot du doigt, Lana gémit alors que son majeur la forait profondément. Les deux femmes se bouffaient réciproquement la chatte tout en se doigtant, elles gémissaient et miaulaient haletantes.

Susan sursauta à peine en voyant la web caméra qui se dressait dans un coin, cette camera servait à tenir des téléconférences, elle était pointée droit sur Lana et Susan et un bouton rouge allumé indiquait qu'elle fonctionnait. Susan savait que Gary ne voulait surtout pas manquer une chance de la regarder faire sur le web, mais elle se demandait combien d'autres personnes étaient en train de les mater, où les materaient si cet épisode était gravé sur un disque.

Mais Susan se trouvait trop plongée dan son plaisir grandissant pour seulement voiler ses gémissements. Les deux femmes gémissaient de plus en plus fortement. Susan poussait des couinements aigus, et Lana des grognements plus sourds, plus rauques, étouffés qu'ils étaient par les poils de la chatte qu'elle butinait. Lana picorait maintenant le clito de Susan d'habiles coups de langues, Susan dénichait seulement le clito de Lana. Elles tortillaient toutes deux des hanches, serrant la tête de leurs partenaires entre leurs cuisses.

- Whuuuuuiiiii... UUMmmmmmm... Mmummmmmmmm... Uurr-rggggghhhhh !

Un orgasme inouï submergea Susan, Lana bouillonnait jusqu'à ce qu'elles s'écroulent toutes deux éreintées. Susan se mit à sangloter, elle ressentait un combiné de honte, d'humiliation, d'éreintement et un peu de tristesse que son orgasme se soit dissipé. Lana roula sur le flanc à coté de Susan, l'embrassant tout en la cares-sant lascivement.

Chapitre 9 : La punition.

Naturellement, le travail de Susan en souffrait. Sa concentration, son enthousiasme décrûrent grandement. Gary l'avait menacé clairement de mettre en œuvre son chantage si Susan les quittait. Ce n'était pas d'ailleurs dans la nature de Susan de saboter son boulot pour se faire vider, mais elle se disait que la boite ne pouvait pas lui faire grand chose si son boulot n'était pas transcendant, aussi laissait-elle facilement la qualité de son travail décliner.

Lors d'une réunion de l'équipe, Byron semblait être particulièrement de mauvaise humeur.

- On m'a rapporté ce matin que nous avons perdu l'affaire Benson... Notre contact m'a révélé que le mois dernier nous n'avons pas tenu nos engagements ce qui leur a fait perdre un gros client... Aussi nous ont-ils quitté... Je veux des réponses... Mick ?

Mick s'éclaircit la gorge, il sentait comme tous les spectateurs que Byron était sur le point d'exploser :

- Benson nous a faxé un ordre le mois dernier, nous avons entré cet ordre dans le système, mais ils nous ont ensuite faxé un ordre contradictoire et le changement n'a pas été exécuté. Ce n'est que lorsque l'embarquement des denrées a été effectué que quelqu'un réalisa l'erreur.

- A qui ont-ils adressé le contre-ordre ? S'enquérra Byron.

- Ummmm... Susan.. Répliqua Mick gêné.

Susan n'était pas sur ses gardes. Une onde de la panique la parcourut. Oh non ! Elle se souvenait avoir reçu ce contre-ordre maintenant ! Il était arrivé tard le soir, alors qu'elle venait subir une longue séance de baise avec Gary, elle avait décidé de s'en préoccuper le lendemain matin, et s'était empressée de l'oublier.

Mais elle n'avait pas été consciente de son erreur jusqu'à cet instant, face à Byron, Gary et la plus grande partie du staff de vente. Elle rougit comme une tomate, les yeux de tous les assistants étaient braqués sur elle.

- Que s'est-il passé Susan ? L'interrogea lentement Byron d'une voix contrôlée, lèvres tremblantes de fureur, la transperçant du regard au travers de la table.

- Um, Je ummmm... Balbutia la malheureuse qui ne s'attendait pas à cette attaque.

- QUE S'EST-IL PASSE ? Hurla Byron d'une voix aiguë.

- J'ai juste OUBLIE... Répliqua Susan d'une voix tremblante.

- Tu as juste oublié un ordre de cet enculé de Benson ? VIENS ICI! MAINTENANT ! Hurla-t-il déchaîné, le visage aussi rouge qu'une betterave.

Susan sursauta violemment sur sa chaise, elle sauta sur ses pieds. Tout le monde se taisait dans la salle de conférence. Susan contourna la table et se posta face à Byron.

- A GENOUX! Lui enjoigna-t-il furibard.

Susan se jeta immédiatement à genoux devant la chaise de Byron. Précipitamment, en fureur, il dégrafa sa ceinture et l'arracha de son pantalon. Susan pensa un instant qu'il allait la fouetter avec sa ceinture, mais il la jeta contre le mur avec un bruit sec. Puis il déboutonna la braguette de son pantalon et le laissa tomber sur ses chevilles. Il empoigna la nuque de Susan et attira son visage contre son entrecuisse. Susan se débattit un instant puis elle ouvrit sa bouche et prit la bite semi-érigée entre ses lèvres. Simultanément Byron tira sa tête en avant et poussa violemment sur ses hanches. Il fit ces gestes plusieurs reprises. Il la baisait en bouche au centre en peine réunion dans la salle de conférence, il la baisait rapidement, violemment et avec fureur. Susan étouffait sur sa bite, ce n'est pas qu'elle soit particulièrement longue ou épaisse, mais Byron l'embrochait de toute sa longueur, son gland émergeant dans son arrière-gorge la soulevait de nausées alors qu'elle gargouillait à demi-étouffée.

- Guck guck guck guck!

Il ne lui fit pas longuement sucer sa mentule, pas plus qu'il ne gicla dans sa bouche. Il lui lâcha la tête et cessa de lui plonger son chibre dans la gorge :

- Sur la table ! A genoux sur la table ! Hurla-t-il déchaîné.

La stupide assistante de direction grimpa sur la table de conférence, sur les genoux. Sa mini-jupe avait remonté bien au-delà de sa taille, elle se tenait à genoux sur ses genoux dénudés. Byron se releva, la bite toujours pendante entre ses grasses cuisses, il la poussa au milieu de la table face à l'extrémité nord de la table. Il escalada à son tour la table et s'agenouilla dans son dos. Son patron toujours aussi courroucé retroussa sa mini-jupe sur sa taille exhibant son petit thong rose. Mais ce n'était pas sa foufoune qui l'intéressait mais bel et bien son œillet anal vierge. Il pressa sa mentule lubrifiée de salive sur le goulot étroit.

- UEEEEEEEEEEEEE! NON ! Couina-t-elle sous l'effet de la surprise.

- Ta gueule STUPIDE SALOPE !

- AAHHHHHHHHHHHH !

Progressivement Byron insérait sa fine bite dans on trou du cul vierge. De grosses larmes ruisselaient le long de son nez tombant sur la table de conférence. Son décolleté baillait largement dévoilant ses nichons dénudés aux hommes qui lui faisaient face. L'autre moitié des assistants matait son cul et son patron qui l'enculait impitoyablement.

Le vice-président s'accroupit contre elle et entreprit de la couvrir comme un chien, la fourrant à raides coups de bites tout en haletant. Il se tenait dressé sur ses orteils, genoux pliés. Son pelvis cognait contre les fesses de sa proie à chaque coup de boutoir, il tendit la main vers son torse et tira l'épaule de son chemisier dénudant son nichon droit. Alors qu'il pendait librement, Byron l'empoigna et entreprit de le pétrir.

Susan la tête basse était éperdue de honte alors que son patron rouge, comme une tomate la baisait comme un chien accroché à ses basques. Ses cheveux décoiffés pendaient le long de son visage, et elle pleurnichait. Mais bientôt elle sentit des sensations érotiques naître dans son trou du cul. Elle ne resterait pas bien longtemps insensible aux délices de la sodomie.

Byron tendit la main entre ses cuisses et pampa sa foufounette. Il dénicha son clito et le manipula aussi rapidement que rudement. Susan sentit soudain monter un orgasme inattendu.

- OHHHHHHHHHHH... AAAAAAAAAAHHHHHH... Gémissait-elle involontairement, avouant son émoi.

Susan frissonna, redressa la tête faisant danser ses nibards sur son torse.

- OOOOOOOOHHHHHHHHHHHHH !

Elle sentit alors Byron cracher son foutre dans son intestin asservi, cette sensation provoqua la survenue de son orgasme, elle jeta son cul en arrière tout contre le pubis de son Vice-Président.

- OOOHHHHHHHHHHHHHH mon DIEU !

Byron extirpa sa fine mentule de son trou du cul et projeta ses derniers jets de foutre sur ses fesses. Il essuya alors sa bite dans son thong et descendit de la table de conférence, abandonnant son employée punie cul nu sur la table.

- La réunion est remise, retournez à votre boulot !

Chapitre 10 : Susan et son mari.

Lorsque le mari de Susan grimpa dans le lit, Susan faisait semblant de dormir. Elle savait pertinemment qu'il voulait coucher avec elle, et cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas fait l'amour. Mais, une fois encore elle se refusait à se plier à cette corvée.

Ces derniers mois elle avait utilisé tous les prétextes : le mal de tête, la fatigue, ses règles... Tout pour dissuader son mari de lui faire l'amour. En fait, sa chatte avait été surutilisée quasiment chaque jour.

Chaque jour après le boulot, chez elle, elle prenait une longue douche pour se débarrasser de toutes traces de ses débordements, pour cacher ses vêtements souillés de sperme et pour se déshabiller dans le noir afin qu'il ne puisse détecter aucune marque ni contusion.

Mais ce soir il refusait toute excuse. Susan, à contrecœur se retourna laissant son mari la caresser et, sans enthousiasme elle empoigna sa bite. Mais quels que soient les efforts qu'il déploie, lorsqu'il voulut insérer son doigt dans sa foufoune elle était plus sèche que le désert de Gobi. Il était impossible de feindre une certaine humidité.

Susan s'étendit sur le dos, espérant qu'elle serait suffisamment humide pour qu'il puisse la pénétrer. Bordel elle n'avait aucun problème de lubrification au boulot, sa chatte était inondée de cyprine à la moindre caresse.

Elle pensait au jour ou Phil l'avait sautée dans son bureau, sa chatte avait été immédiatement gorgée de son jus, De même lorsque Gary l'avait bousculée sur son bureau, lorsque Lana lui avait butiné la foufoune, et même après une simple promenade dans le hall en tenue provocante elle avait du se rendre aux toilettes pour s'essuyer la chatoune qui débordait de cyprine, détrempant le fond de sa petite culotte.

Et maintenant, allongée dans son lit avec son mari elle sentait qu'elle commençait à mouiller, pas sous ses caresses, mais bel et bien après avoir évoqué ces moments où elle avait été prise contre sa volonté. Enfin ses sens s'étaient éveillés. Son mari l'enfourcha rapidement et la pénétra. Susan restait étendue dans le noir, yeux fermés, elle se revoyait bourrée par Louis l'ouvrier d'entretien, puis Gary lui léchant avidement le clito, Gary la fourrant face à un groupe d'assistants males. Rien que des moments de soumission, des réminiscences humiliantes !

- Whhhhhoooooooooo... Haaaaaaooooooooooo... Gémit-elle.

Elle se mordait les lèvres pour e pas murmurer le nom de Mick.

- UNNNNNGGGGGGG!

Elle se tordait alors qu'un violent orgasme la terrassait. Pas aussi intense que ceux qu'elle endurait au boulot, mais cela lui évitait de feindre du plaisir avec son mari.

Susan resta longtemps allongée sur le dos, yeux grands ouverts au coté de son époux endormi. Bordel elle ne pouvait pas se réjouir de devoir baiser à nouveau avec lui à l'avenir. Ces derniers mois elle avait succombé à des orgasmes d'une intensité inégalée avec son mari, et ce chaque fois qu'on l'assaillait et qu'elle se retrouvait désarmée, sans défense, humiliée et utilisée.

Chapitre 11 : L'usine

Revenant d'avoir dîné, Susan était penchée sur son patron, elle le suçait servilement alors qu'il conduisait. Elle savait que cela allait prendre un certain temps et il tournait en rond en attendant qu'elle termine sa pipe. Mais quand il éjacula dans sa bouche et qu'elle eut fini d'avaler son foutre, elle se redressa et ne reconnut pas l'endroit où ils se trouvaient.

- Où sommes-nous? 

On va s'amuser à la boite. J'y ai rencontré les directeurs des opérations, la boite c'était le nom qu'ils donnaient à l'usine où était confectionné les produits qu'ils vendaient, elle se trouvait dans une zone industrielle à quelques 20 kilomètres des bureaux de la compagnie. Susan n'était jamais venue ici.

Elle jeta un œil sur l'équipement que lui avait personnellement acheté Gary, la jupe ressemblait à celles que portaient les gamines actuellement, très courte et plissée et la ceinture au bas des hanches. Sa brassière était minuscule, elle lui laissait le nombril à l'air, son décolleté dévoilait le haut de son soutien-gorge rouge. Un thong vert citron, jambes nues, hauts-talons, elle avait tout d'une pute. Jamais elle n'aurait voulu rencontrer qui que ce soit dans cette tenue.

Vern le contremaître de la boite ne parvenait pas à détacher les yeux de Susan, accompagné de Gary ils firent le tour de la boite, c'était un bâtiment ancien au plancher usé et sale. Le bruit sourd et lancinant des machines et des moteurs diesels des camions était assourdissant. Dans chaque coin se trouvaient des ouvriers lorgnant Susan comme s'ils n'avaient jamais vu de femme auparavant. Des posters de femmes dénudées aux bustes avantageux découpés dans des magazines pour hommes, étaient placardées sur les machines outils. Susan était ébahie de voir que de telles choses puissent encore être tolérées.

Quand ils arrivèrent au bureau du contremaître au fond de la "boite", Gary ordonna à Susan de remonter au bureau d'entrée pour lui ramener un imprimé se trouvant dans son porte-documents. Dès que Susan remonta l'allée de la "boite" sans les chefs les sifflets retentirent, tout d'abord une paire de sifflements discrets, mais il alertèrent tous les ouvriers qui vinrent la voir évoluer.

Tout d'abord assez sourds, des sifflements aigus ne tardèrent pas à supplanter le halètement des machines. Les ouvriers abandonnèrent leur machine pour s'approcher d'elle. Susan sentait cette bande de loups se refermer sur elle.

Elle pressa le pas mais cela ne fit qu'amplifier le balancement de ses nibards et souligner l'érection de ses mamelons, alors que sa petite jupe dansait de plus en plus dévoilant son cul dénudé.

Son passage s'accompagnait maintenant d'appels et de commentaires que Susan ne comprenaient pas, d'un part parce que le bruit était trop confus et par ailleurs parce que ces commentaires fleurissaient en différentes langues et dialectes. Et comme elle ignorait même le sens des mots en patois !

Au bout de l'allée, Susan devait grimper un escalier escarpé pour gagner le bureau d'entrée. Une douzaine d'hommes l'attendait là au pied des marches de métal, elle savait que les spectateurs pourraient facilement reluquer sous sa jupe, plusieurs d'entre eux confirmèrent ce fait en citant la couleur de son string, en commentant les formes de son cul rebondi et la couleur de sa foufounette.

Lorsqu'elle eut trouvé l'imprimé que Gary réclamait, elle dut retourner au fin fond de la "boite" subissant à nouveaux sifflets et commentaires salaces, sauf que les sifflets étaient encore plus nombreux et les commentaires plus salaces. Les mêmes douze hommes l'attendaient au bas de l'escalier. L'un d'eux lui pelota rudement les fesses, Susan poussa un cri mais ne se retourna même pas.

Plusieurs mètres plus loin quelqu'un d'autre lui palpa sans vergogne les fesses, cette fois elle se retourna mais ne distingua pas qui était coupable de ce geste déplacé. Un ouvrier retroussa sa jupe dans son dos, exposant sa croupe dénudée. Quelques caresses osées et une paire de claques sur les fesses plus tard, un ouvrier plus âgé, chauve s'approcha et empoigna son nichon droit au travers de sa brassière.

Lorsqu'elle parvint enfin au bureau du contremaître elle comprit qu'il ne servirait à rien de se plaindre des gestes obscènes qu'elle venait de subir en remontant l'allée.

*************************************

Plusieurs semaines après la visite de la "boite", Gary l'appela dans son bureau après le repas de midi. Il regardait quelque chose sur son écran d'ordinateur. Gary ne se servait jamais de cet ordinateur. Il l'appela qu'elle vienne regarder ce qu'il visionnait, bien sûr tout en lui parlant il lui pelotait sans vergogne le fessier.

Elle portait un ensemble assez sophistiqué que Gary lui avait fait enfiler pour la nuit à venir, incluant une jupe bleue plissée et une veste, elle n'avait jamais porté de jupe aussi étroite et moulante. Elle comprit qu'il regardait une vidéo. Elle reconnut un film de Demi Moore où elle tenait le rôle d'une strip-teaseuse. Elle aurait du savoir qu'il regardait un film chaud.

- Regarde bien sa façon de marcher... Comment elle se tient raide... Cela n'a rien à voir avec des pas de danse... Et maintenant comment elle danse.

Gary désignait les séquences en se servant de sa souris alors qu'une autre vidéo débutait.

- Et maintenant regarde bien cette vidéo de rap ! Lui intima-t-il avec autorité.

Cette fois il s'agissait d'un simple clip de rap. Susan en avait déjà vu sur MTV lorsqu'elle surfait pour trouver un canal l'intéressant, bien qu'elle ne goûta pas particulièrement ce genre de musique. Elle avait déjà remarqué la façon dont ces jeunes bimbos noirs s'exhibaient, tortillant de la croupe, jetant leur pubis en avant, tout en écartant les cuisses de façon très suggestive. C'est dégoûtant, pensait-elle dans son fort intérieur, il est vrai qu'elle n'était jamais restée plus d'une minute à les regarder sur ces canaux. Mais elle n'avait jamais vu de chorégraphie telle que celle que Gary lui faisait découvrir. Une jeune noire uniquement vêtue d'un string, le cul tourné vers la caméra, tortillant du croupion secouant ses fesses avec ardeur.

- Regarde comme elle remue du croupion... Comment elle se tortille !

- Pourquoi ne voit-on que ses fesses? Commenta Susan.

- Elle doit vraiment être moche pour ne pas montrer son visage !

Elle fut légèrement désappointée en voyant Gary éteindre l'écran.

- Alors Susan, prête à retourner à la "boite" ?

Bordel, Susan haïssait cet endroit.

- Dois-je vraiment y aller ?

- Ouais... Phil va conduire un groupe d'employés à la boite. Ils organisent une petite fête pour la ligne de travail qui a produit les meilleurs résultats ce dernier trimestre ! On a décidé de les récompenser de façon à les encourager à persévérer.

Susan s'enfonçait dans le siège du mini van de Phil entre Joe et Mick, les deux gars les plus gros. Sans aucun doute ses collègues avaient maté sa courte jupe moulante lorsqu'elle était grimpée dans le véhicule. Elle avait des difficultés à s'asseoir avec cette jupe fourreau, elle remontait jusque son entrejambes offrant aux quatre hommes assis sur la banquette avant et celle du milieu un remarquable point de vue sous sa jupe. "Heureusement que j'ai mis une petite culotte aujourd'hui..." pensait-elle soulagée. "De toute manière tout le monde ici a déjà vu mon entrecuisses, même si je n'ai pas l"habitude de m'exhiber."

Sur le chemin de la "boite" Joe et Mick avaient tous deux posé une main sur ses cuisses, au-dessus de la frontière de ses bas, mais, de façon tout à fait surprenante ils ne poussèrent pas les choses plus loin.

Lorsqu'ils pénétrèrent dans la "boite" on les dirigea vers l'endroit où devait se dérouler la petite fête, dans une petite salle de réception sur le coté de l'allée centrale. La salle était meublée d'une bonne dizaine de tables de cafétéria et de chaises pliantes, une paire de distributeurs de boissons et quelques posters représentant des monuments nationaux s'affichaient aux murs, quelques poubelles, le sol était couvert d'une moquette sale et usée.

Susan s'approcha d'une barrique de bière, une douzaine d'ouvriers de la "boite" buvaient de la bière dans des timbales de carton, un mélange de blancs, de noirs et d'hispaniques en tee-shirts et jeans. Une vingtaine d'employés mâles de différents services discutaient de ci delà, en majorité des hommes à la chevelure argentée. Tous les yeux se tournèrent vers Susan lorsqu'elle entra dans la salle. Elle était bien mieux habillée que tous ces gens, dans son fourreau étroit sur des bas beiges clairs et ses hauts talons noirs.

Gary capta l'attention de la salle. Après un court discours condescendant au sujet de l'esprit d'équipe et de la productivité, Gary annonça :

- Il y a maintenant trois mois, lorsque j'ai annoncé ce concours, je sais que certains ont compris que le bonus promis aux premiers ne serait pas seulement constitué d'une prime financière et d'une fête, mais que la fête serait animée par une strip-teaseuse... Et lorsqu'à la moitié de la manifestation ils ont constaté qu'il n'y avait pas strip-teaseuse au programme, ils ont commencé à grogner... Mais notre employée Susan a décidé de se dévouer, et maintenant laissez moi vous présenter Susan !

La salle semblait crouler sous les applaudissements alors que Susan se figeait interdite.

- Avait-elle bien entendu ? Il l'avait amenée ici pour faire un strip-tease ! NON !

Mais lorsque Joe et Mick lui empoignèrent les deux bras pour la mener jusqu'à une grande table, elle escalada une chaise et se retrouva poussée sur la table. Elle avait de la chance que depuis des mois elle marchait avec des hauts talons, sinon elle serait tombée.

Elle était hébétée, elle jetait des regards affolés sur ces frustes travailleurs qui s'étaient assis sur des chaises autour de la table alors que le reste des mâles de l'assistance se tenaient derrière eux. Elle était affolée, éperdue.

Lorsqu'un lecteur de CD commença à diffuser un air de rap, elle entreprit de remuer ses épaules d'avant en arrière. Elle reconnaissait un des airs de rap d'une vidéo que Gary regardait assez souvent, elle supposa qu'elle devait se mettre à danser comme ces femmes évoluant sur ces vidéos. Sous contrainte, Susan se mouvait avec raideur. Sa jupe était si courte qu'elle savait que les hommes assis en contre-bas devaient drôlement se rincer l'œil. Elle tenta de la rabaisser en tirant sur l'ourlet de chaque coté. Mais comme un des noirs dans la foule hurla :

- Secoue-toi le popotin, tortille ton cul ! 

En bonne soumise, elle leva les mains et dessus de la tête et claqua des doigts en rythme en tortillant des hanches. Le résultat le plus immédiat fut que sa jupe remonta de 15 centimètres exposant son porte-jarretelles rouge. Un fort sentiment d'humiliation maintenant familier montait en elle. Il semblait qu'elle agissait maintenant comme dans un rêve, sans avoir véritablement conscience de ses actes, elle tortillait du cul alors que son corps ondulait érotiquement selon les vœux de l'assistance. Elle avait les jambes largement écartées, les genoux fléchis ce qui am-nait sa jupe à remonter encore et encore. Elle balançait rapidement ses hanches caressant de ses doigts ses longs cheveux noirs.

Un vieux blanc complètement chauve assis au-dessous d'elle s'époumonait :

- A poil ! Fous-toi à poil !

C'est exactement ce Gary attendait qu'elle fasse. Et lentement, pour le satisfaire, elle entreprit de déboutonner sa veste. La foule des admirateurs réagit fortement en entrevoyant son soutien-gorge rouge et applaudit en la voyant ôter son blazer. Son petit soutien-gorge de dentelle rouge moulait ses nichons exacerbant ses mamelons alors que ses miches débordaient des bonnets, ils dansaient et se balançaient sur son torse.

Susan se posta dos tourné vers la foule et tortilla de la croupe comme les filles noires qui passaient sur MTV elle cherchait à les imiter au plus près. Sa petite jupe étroite dévoilait maintenant plus de la moitié de ses fesses.

Les spectateurs trépignaient à la vue de ses bas rouges vifs, de son soutien-gorge coordonné à sa petite culotte, qui laissait les trois quarts de ses fesses à l'air. Ils rêvaient tous d'étreindre son magnifique cul.

Susan tendit le bras et dégrafa l'attache de sa jupe. Elle tira lentement la fermeture éclair vers le bas, exposant une grande partie de sa parure rouge. Même dégrafé sa jupe restait hyper moulante et elle dut la tirer par petits à coup vers le bas, jusqu'à ce qu'il glisse au bas ses jambes, elle s'en débarrassa alors d'un coup de pied chassé.

Elle dansait maintenant vêtue petit soutien-gorge de dentelle rouge, son shorty rouge, son porte-jarretelles rouge, et son bustier beige et ses hauts talons, Susan se retourna alors faisant face à la foule der ses admirateurs. Elle n'était pas un modèle au corps parfaitement découpé elle était juste une très jolie femme. Elle avait un tout petit ventre arrondi. Ses hanches étaient juste opulentes, son cul trop rond, bien qu'il soit plus beau que celui de certaines danseuses qu'on voyait dans ces clips érotiques.

La foule semblait enchantée de ce qu'elle voyait et poussait des cris enthousiastes. 

En dépit de sa répulsion elle sentait son corps s'exciter au vu de la réponse enthousiaste de ses admirateurs. Elle empoigna la ceinture de son shorty et le roula sur les hanches. En dessous, elle ne portait qu'un string rouge, elle roula le shorty sur ses chevilles et l'enjamba souplement cuisses grandes écartées. Son string n'était une bande soyeuse, enfoncée profondément dans sa chatte en son centre, moulant de façon fort suggestive son mont de Vénus. Il était trempé de mouille, enfoncé dans sa fentine engorgée de cyprine. Quelques poils bruns follets dépassaient au-dessus de son string et par les cotés. Susan se retourna montrant à ses admirateurs sa croupe dénudée. Elle secouait ses fesses comme une danseuse de bastringue noire tortillant du cul d'une façon incroyable pour une bimbo blanche.

Un hispanique trapu se leva un billet d'un dollar à la main. Elle ne comprit pas de prime abord ce qu'il lui voulait, il baragouinait un patois hispanique incompréhensible. Tout en dansant, elle se rapprocha du bord de la table et l'homme glissa le billet d'un dollar dans l'élastique de son string, elle frissonna en sentant sa main toucher sa chair dénudée.

Une paire d'autres travailleurs s'approchèrent leurs billets d'un dollar à la main suivit des autres spectateurs enthousiastes. Ils glissaient des billets sous la bande de son porte-jarretelles, dans la bande élastique de ses bas, à l'avant à l'arrière de son string. Ses nombreuses mains qui frôlaient ses charmes faisaient monter sa fièvre.

Le sommet de son nichon droit était maintenant à l'air libre depuis qu'un billet avait atterri dans le bonnet du soutien-gorge, une bonne partie de sa toison intime était maintenant exposée.

Un type tenta de glisser un billet dans sa raie du cul, c'est alors qu'elle vit Gary prendre des photos d'elle en arbre à billets, avec son portable. 

Comme obéissant aux nombreux encouragements de se foutre à poil, Susan descendit la bretelle droite de son soutien-gorge, puis la gauche. Elle dégrafa la fermeture entre les deux bonnets et l'ouvrit doucement avant de le laisser choir au sol. Ses collines dodues pointaient sur son torse dansant au rythme de ses mouvements saccadés. Elle était mortifiée de se voir tortiller des nichons pour une meute d'admirateurs en liesse, mais elle n'avait jamais reçu d'ovation aussi chaleureuse quoi qu'elle ait fait dans sa vie. Elle accompagna ses mouvements de ses mains laissant ses nibards danser librement sous leurs yeux ravis. Elle secouait les épaules d'avant en arrière, ses seins se balançaient d'avant en arrière, les spectateurs étaient de plus en plus écarlates.

Susan se tenait sur l'extrême rebord de la table, elle roula lentement son string sur ses hanches dévoilant entièrement sa toison pubienne. Elle enjamba son string tombait sur ses chevilles, elle ne portait plus que son porte-jarretelles rouge, ses bas, ses chaussures et ses bijoux. Comme elle dansait quasiment nue, elle vit plusieurs de ses admirateurs la supplier du geste de faire quelque chose.

Elle baissa les yeux et vit un de des spectateurs de type hispanique se branler frénétiquement la bite sortie de son pantalon. Elle tortilla des hanches dans sa direction, il pointa sa mentule sur elle. Il mimait un coït frénétique à 1 mètre d'elle, Susan était follement aussi gênée qu'excitée.

Puis elle vit un second spectateur se branlant sur le même rythme. Un des blancs à l'accent prononcé tendit la main et empoigna sa croupe. Une grosse main noire recouvrit son nibard droit et le palpa rudement. Dès lors une bonne douzaine de mains palpèrent rudement ses charmes exposés. Ils la descendirent de son piédestal, elle passait de mains en mains traversant de part en part la petite salle.

Elle se retrouva finalement au centre de la pièce. Elle ne voyait plus les gens qui assistaient au spectacle au travers des fenêtres. Elle se sentait seule livrée aux mains de ces ouvriers malodorants, suants et moitié ivres. Une main fouilla sa foufoune, un doigt s'engouffra profondément dans sa caverne. Une autre main lui écartait les fesses en grand alors qu'un doigt fouineur s'enfonçait dans son trou du cul rétif.

Alors que d'autres mains palpaient ses nichons et son torse, Susan se tenait debout cuisses grandes écartées, des doigts fouineurs fouillant sa chatoune et son trou du cul, se touchant au travers du périnée. Elle couinait, les suppliait d'arrêter, mais personne ne l'entendait dans le brouhaha.

C'est alors qu'un colosse noir l'empoigna par les cheveux. Il était assis sur le rebord de la table, il la força à s'agenouiller face à lui. Il la tenait par les cheveux alors qu'il extirpait sa grosse bite de son caleçon. Puis il lui empoigna la nuque à deux mains la forçant à ingurgiter sa grosse bite massive. Susan ouvrit docilement la bouche en grand pour le recevoir servilement. Elle devait distendre ses mâchoires au maximum pour admettre le champignon turgescent et plusieurs centimètres de mentule dans sa gorge.

Mais le colosse noir n'était pas satisfait pour autant. Il se tenait debout, lui tenant la tête à deux mains la forçant à coulisser rapidement sur sa hampe, la baisant énergiquement en bouche. Susan s'étouffait sur l'énorme bite chaque fois que son gland venait heurter le fond de son arrière gorge.

- Guck, guck, guck, guck... vagissait-elle la bouche pleine.

Ses nichons son cul et sa foufoune étaient pelotés par de nombreux amateurs alors qu'elle se tenait agenouillée entre les cuisses de ce colosse qui la baisait énergiquement en bouche. Sans aucun signe précurseur, la grosse bite explosa, lui projetant une énorme dose de foutre en pleine gorge. La jeune blanche savoura chaque lampée, gargouillant alors qu'un mince filet de semence lui repassait par le nez, alors qu'une petite partie s'échappait à la commissure de ses lèvres. Finalement il relâcha sa tête et la grosse bite mollissante glissa hors de sa bouche.

C'est alors qu'elle vit trois hommes de diverses couleurs se branler face à son visage. Un jet de foutre s'écrasa sur sa joue gauche, puis un second sur sa joue droite et le dernier sur son nez. Son visage dégoulinait maintenant de semence mâle.

Ils la relevèrent et la posèrent sur le rebord de la table. Un colosse de type hispanique engouffra son chibre dans sa chatoune, ses pieds reposaient sur les épaules de son suborneur. On la força à tourner la tête vers la gauche, un blanc enfonça son épais braquemart entre ses lèvres. Elle suçait une bite tout en se faisant baiser frénétiquement alors que plusieurs mains palpaient rudement ses miches.

- MMMPPHHHHHHH! MMMBBLLLMMMMMPH ! Gémissait Susan en dépit de la bite qui la bâillonnait.

Une suite ininterrompue d'orgasmes la terrassait successivement sous les assauts de ces hommes.

- MMMUMMMMMUUMMMMMMM !

Enfin ils extirpèrent leurs bites de ses trous embrasés. D'autres candidats la roulèrent sur le ventre, le cul pendant hors d'un coté de la table, la tête de l'autre. Une bite s'engouffra dans sa chagatte, une autre dans sa gorge. Malgré tout le bruit environnant, elle pouvait entendre les bruits de chair des hanches de l'inconnu frappant sa croupe.

Les deux bites dans sa chatoune et dans sa bouche semblaient la labourer à l'unisson, sur le même rythme, elle poussait des grognements extasiés à chaque coup de boutoir dans sa chatte.

- OUUUUWWWWMMMMPH !

Elle était quasiment dans les vapes, terrassée par de multiples orgasmes quand elle sentit qu'on la relevait. Ils la transportèrent hors de la cafétéria, dans l'usine, un grand nombre d'ouvriers la suivaient comme à la parade. Ils la transportèrent quelque part dans les profondeurs de l'usine, remontant d'étroites allées, passant devant des machines extrêmement bruyantes, si bruyante que personne ne pouvait entendre ses cris alors qu'ils l'étreignaient fermement.

A chaque machine elle voyait de plus en plus d'ouvriers qui posaient leurs gants de travail et se joignaient à la foule de ses suivants. Ils la jetèrent sur le dos au bout d'un large transporteur sur la bande de tissu qui roulait sur des rouleaux d'acier. Il était arrêté, son corps oscillait de droite à gauche alors qu'ils la positionnaient selon leurs vœux.

Elle leva les yeux sur le colosse qui l'avait emmenée ici et qui se tenait debout entre ses cuisses. Cet homme aux cheveux taillés en brosse portait un étroit tee-shirt sale qui lui moulait le torse, il déboutonna son pantalon extirpant une grosse bite non circoncise qu'il pointa sur la grotte fiévreuse de Susan.

Susan se débattait, mais ses bras et ses jambes étaient maintenues si fermement par ses agresseurs qu'elle ne pouvait vraiment se défendre. Ils applaudirent en voyant le gros coiffé en brosse plonger profondément sa mentule dans le tunnel d'amour de Susan, il plaça ses pieds sur ses épaules comme s'il s'agissait d'une poupée, et la laboura énergiquement.

Elle jeta un coup d'œil circulaire. Les nombreux ouvriers d'usine portaient des fringues graisseuses, avaient les cheveux grisonnants et les dents pourries, ils se tenaient devant de nombreuses machines outils extrêmement bruyantes. Ces machines crachaient des flammes et de la fumée et pulsaient sur des rythmes totalement incohérents. Ce rythme que semblait adopter son baiseur. Ma combinaison des lumières fluorescentes du plafond, des flammes oranges et des voyants multicolores des machines faisaient baigner cet univers particulier dans une étrange luminosité diffuse.

Susan jeta un regard sur son environnement sale et bruyant, et les innombrables cris et sifflets des hommes qui la reluquaient, puis sa tête fut tournée de coté et quelqu'un plongea une bite malodorante dans sa bouche. Elle suçait et baisait alors qu'on lui malaxait durement les nibards sur la bande inconfortable du convoyeur. 

Lorsque le colosse qui la grimpait eut projeté une bonne dose de semence au fin fond de sa foufoune, il se retira et fut immédiatement remplacé par un second amateur alors qu'une queue de gens attendant de la fourrer se formait.

Il y eut un trapu chauve de type hispanique qui baragouinait l'espagnol avec une grosse moustache, puis un vieillard aux cheveux gris qui n'avait plus de dents, un colosse noir musclé qui portait des dreadlocks et était doté d'une énorme mentule, un jeune polonais, un autre immigré venant de l'Est européen, l'homme tatoué porteur de piercings, un obèse pesant au moins 150 kg avec son énorme panse. Beaucoup portaient des piercings et des tatouages dans des endroits inimaginables !

Elle accueillit des hommes de toutes tailles, des bites de toutes formes et couleurs, des toisons de textures extrêmement différentes entre ses cuisses et ses lèvres, ils projetaient leur semence sur son torse, son visage et son estomac. Elle avait cessé de se débattre, personne ne lui tenait plus les bras. En fait ils poussaient leurs grosses bites et elle se laissait faire passive. Parallèlement elle branlait énergiquement des bites, lorsqu'elle refusait de s'exécuter on lui malmenait durement les nibards.

Il n'y avait aucune variété, une foule de travailleurs la baisait en bouche et en chatte. La queue des amateurs attendant leur tour semblait interminable. On se croirait en l'enfer, pensait Susan. Elle pensait vraiment que c'était une bonne image de l'enfer. L'obscurité, le feu, la fumée, la chaleur et le bruit, l'impression d'étouffer, tout y était. Et le rire tonitruant des ces monstres qui se tenaient en ligne en attendant de se servir de sa bouche et de sa chatte, et ces nombreuses mains palpant ses chairs. Un véritable enfer.

Avec la première demi-douzaine de baiseurs qu'elle dut subir, elle apprit comment détendre ses muscles vaginaux pour en garder le contrôle.Elle se rappelait ce que leur disait leur entraîneur de basket :

- Si vous vous faites violer, le mieux c'est de vous étendre sur le dos et de prendre votre pied !

Elle était allongée sur le dos et elle subissait ce viol, elle pensait que si elle ne se débattait pas, sa chatoune resterait détrempée et elle pourrait prendre un certain plaisir physique en dépit de son tourment mental. Même les constantes malaxages de ses nibards qu'ils soient  rudes ou tendres, par ces mains calleuses lui procuraient une certaine jouissance. Elle se débrouillait pour se tenir sur la frange d'un mini-orgasme, ressentant des picotements et des frissons involontaires sous les caresses de cette horde d'amateurs, bien qu'elle soit trop faible que cela lui donnait le vertige. 

Elle perdit toute notion du temps. Elle n'avait aucune idée de l'heure lorsque le contremaître et ses collè-gues de bureau la retrouvèrent et l'emmenèrent, la transportant carrément en dehors de l'usine pour la rhabiller et la ramener dans leur mini-van.

Chapitre 12 : Une convention de putes.

Susan reçut l'ordre de prendre l'avion pour se rendre à une convention à Las Vegas. Quelques mois plus tôt cela aurait été le genre de manifestation qui lui aurait énormément fait plaisir de fréquenter. orsqu'elle travaillait dans le service financier, voyager sous des climats chauds était une des choses qu'elle enviait dans le travail des vendeurs et de l'équipe de vente. Mais maintenant elle était assez circonspecte, elle se demandait ce que Gary avait en tête lorsqu'elle se trouverait dans une chambre d'hôtel sans espoir de retrouver son mari le soir.

Elle prit l'avion le jeudi matin, la conférence devait commencer le lendemain et devait durer les deux jours suivants dans un hôtel de Las Vegas dans le centre des séminaires. Un grand nombre des employés devait les rejoindre la plus grande partie des équipes de vente ainsi que quelques femmes d'autres services. Ce voyage à Las Vegas paraissait plus être une récompense accordée à ces employés qu'un séminaire de travail présumait Susan. De fait deux autres séduisantes jeunes femmes avaient pris le même vol.

Marie une très appétissante femme de quarante cinq ans et Kelly une jolie jeune femme de trente et un ans, dont les charmes, en dépit d'un accouchement vieux de neuf mois maintenant faisait l'envie de toutes les femmes de la boite. Susan savait pertinemment ce qu'elle portait sous son imperméable, mais elle n'avait pas remarqué que Mary portait aussi un long caban sur son chemisier et sa jupe, et Kelly un manteau d'hiver sur son chandail et sa salopette.

A l'arrivée à Las Vegas, Susan et les deux autres femmes se rendirent directement au centre des conventions. Les trois femmes, avant de fouler le sol du centre des séminaires ôtèrent leurs manteaux et imper. C'est alors que Susan comprit que les deux femmes se trouvaient dans la même situation qu'elle-même.

Susan avait reçu l'ordre de porter la tenue qu'elle avait portée à la dernière fête de Noël cependant Gary l'avait fait modifier par un tailleur. Son plastron plongeait maintenant jusque sa taille offrant sa poitrine aux admirateurs ce qui rendait impossible le port d'un soutien-gorge. Ses nibards dépassaient les cotés de son décolleté et n'importe qui se tenant à son coté pouvait voir jusqu'à l'autre coté de ses miches. Le fin tissu du plastron avait été changé au profit d'un voile transparent qui laissait apparent ses aréoles et ses mamelons érigés pointaient continuellement au travers du fin plastron. Sa jupe avait été sévèrement raccourcie la transformant en micro jupe, et rétrécie au point qu'elle pouvait à peine s'asseoir. Et il lui était interdit de porter une quelconque combinaison, son string couleur lie de vin était clairement visible que ce soit par-devant ou par derrière.

Elle se rendit alors compte que Kelly portait la même tenue noire et le chandail bleu pâle qu'elle portait fréquemment, elle n'avait pas mis de soutien-gorge et ses nichons se balançaient librement alors que ses longs mamelons bruns sombres pointaient au travers du fin lainage de son chandail.

Mary arborait une courte jupe blanche et un petit corsage blanc, mais comme Susan se tenait à sa gauche elle se rendit compte que son chemisier était déboutonné à mi-buste exhibant clairement sa petite poitrine nue.

Comme Susan regardait ébahie ses nichons, Marie lui jeta un regard plein de honte, mais ne rectifia son boutonnage pour autant. Visiblement elle portait aussi un string de couleur sombre sous sa courte jupe blanche.

Elles arrivèrent rapidement à la salle abritant leur compagnie, elles portaient des badges affichant leur prénom et le nom de leur entreprise en grandes lettres.

Susan vit plusieurs autres employées femelles toutes apparemment vêtues des tenues qu'elles portaient à Noël, mais une inspection plus fine permettait de constater qu'elle ne portait pas de sous-vêtements ou des dessous minimums, exposant une large part de leurs charmes, leurs tenues paraissaient toutes plus courtes et plus étroites que lors des dernières fêtes de Noël.

Gary leur avait imparti un certain temps pour visiter les stands des autres exposants avant de retourner aux stands de l'entreprise. Susan sentait qu'elle n'était qu'un appas déambulant dans le grand hall à la vue et à l'envie de nombreux étrangers.

Elle vit de nombreux hommes qui reluquaient sans vergogne dans le décolleté de Marie lorgnant ses petits nibards. Les gros nibards de Kelly avaient aussi leurs admirateurs qui la suivaient du regard dans le hall.

Beaucoup de ces admirateurs les suivirent jusqu'aux stands de l'entreprise, où Gary trinquait à leur santé, ravi de voir tant d'admirateurs lorgner les charmes dévoilés des trois jeunes femmes.

Quand les stands fermèrent, Gary, Susan et tous leurs collègues partirent dîner dans une salle arrière de l'hôtel. A sa grande surprise pas un de ses collègues ne chercha à la peloter, puis les femmes durent remonter dans leur chambre pour se rafraîchir, elle devait rejoindre la salle de réception louée par la compagnie à 20 heures, là un vin d'honneur serait servi aux employés, aux clients et aux futurs clients.

Susan avait la ponctualité dans la peau, mais elle se tint éloignée de la salle de réception aussi longtemps qu'elle le put sans risquer de fâcher Gary. Lorsqu'elle arriva dans la grande pièce, Jon et Walter deux collègues qui la dévoraient des yeux depuis le premier jour, lui ouvrirent la porte. Gary se tenait au bar et lui fit signe de la rejoindre.

La salle était quasiment comble. La plupart des autres femmes visibles étaient disséminées dans toute la pièce, debout ou assises avec des collègues ou des clients habituels qui, inspectant leurs charmes, les pelotaient sans vergogne.

Susan repéra plusieurs jeunes femmes qui venaient d'intégrer les départements ventes de l'entreprise, leurs jambes étaient exposées et leurs décolletés étalaient aux yeux de tous leurs avantages mammaires. Il y avait plusieurs femmes mariées, qui, selon Susan devaient avoir 25 à 30 ans, il y avait aussi quelques femmes qui avaient la quarantaine voire le début de la cinquantaine. Il y avait même plusieurs femmes plus âgées encore qui mettaient en valeur leurs appas.

- Tu arrives juste à temps pour premier spectacle !

- Un spectacle ? Quel spectacle ?

- Quelques-unes unes de nos amies vont se livrer à un show informel pour distraire la foule...

Susan se recula précipitamment.

- Vous ne voulez tout de même pas que je fasse un strip-tease comme à l'usine !

- Non... Mais Christy va nous en faire un... Regarde !

Susan parcourut du regard le fond de la salle obscurci par les rideaux fermés. Christy se trouvait dans une zone éclairée. Christy correspondait exactement à la description d'une femme libérée : une ravissante brunette athlétique, elle avait la quarantaine, se trouvait en excellente forme, avec des mollets galbés et fermes et une taille de jeune fille, des gros nibards qui pointaient comme des obus défiant les lois de la gravité.

Susan se demanda soudain si les miches de Christy étaient naturelles, elle allait bientôt le savoir.

Un collègue mit en route un lecteur de CD dans le fond de la salle, un air d'ACDC : "Highway to hell", Christy se mit à danser sur un rythme très lent avec sa robe coupée court et sa poitrine apparente. Elle entama alors son strip-tease. Elle descendit la fermeture éclair dorsale de sa robe, et lentement repoussa ses manches sur bras. Sa robe tirebouchonna autour de sa taille, dévoilant un joli soutien-gorge de dentelle. Elle se dépouilla de sa robe et apparut en petite culotte lavande avec une ceinture porte-jarretelles assortie, une fois son soutien gorge enlevé ses nibards se retrouvèrent à l'air, elle semblait naturelle, elle se balançait et tombait comme une paire de miches naturelle. Elle ne pouvait lutter contre les lois de la gravité. Cependant ses miches qui dansaient sur son torse étaient encore très attractives et captivaient ces messieurs. Lorsqu'elle enleva sa petite culotte, ils purent admirer son ventre plat et son mont de Venus entièrement rasé. Lorsqu'elle eut terminé sa danse, elle ramassa ses vêtements et repartit entièrement nue sous les applaudissements des mateurs enthousiastes.

- Comment trouves-tu les tenues de ces dames ? Demanda Gary à Susan.

Susan répondit par une question.

- As-tu fait transformer toutes leurs robes de la fête de Noël ?

- La plupart. Elles ont dit à leur mari qu'elles ne pouvaient pas porter la même robe de soirée à deux reprises.

- Faites-vous chanter toutes ces femmes ?

- Pratiquement toutes... S'étrangla de rire Gary.

- Il y une paire de jeunes bimbos qui le font pour obtenir une promotion, ou tout simplement parce que ce sont de rude salopes, mais pour la plupart nous détenons des preuves compromettantes de leurs infidélités.

- Vous avez des photos de toutes ces femmes en train de baiser ?

- Nous nous les procurons par différents biais... Beaucoup de gens ont commis des actes illégaux dans leur vie... Et nous avons de nombreux amis dans les services de police et dans les tribunaux d'état... Nous employons aussi des détectives privés... Nous amassons ainsi les documents compromettants... Parfois ce sont leurs maris qui se sont rendus coupables d'exaction ! Alana, par exemple, son mari est supposé être extradé, mais nous pouvons intervenir pour le faire rester ! Le bébé de Kelly a besoin d'une intervention chirurgicale extrêmement risquée, le chirurgien refuse d'intervenir s'il n'est pas couvert par une importante assurance, et son assurance refuse de couvrir le risque si la demande n'émane pas de la compagnie. Dès que l'on trouve des documents compromettants sur quelqu'un, on les utilise pour faire chanter la femme!

Levant les yeux, Susan vit Marie, bras droit de Byron, sa secrétaire personnelle une brune d'une soixantaine d'années, au buste opulent dont la tête allait et venait entre les cuisses d'un homme appuyé au mur.

- Marie aussi ? Elle travaille pour la compagnie depuis des décades !

- Son mari a de gros problèmes de jeu... Elle est la meilleure fellatrice de l'entreprise !

- Mais pourquoi les forcer à ça ? Pourquoi ne pas louer les services d'un groupe de prostituées pour satisfaire vos clients ?

- Il y a plusieurs raisons. En premier un tas d'entreprise agissent ainsi et le risque de se faire prendre est important ! Si des flics de Las Vegas apprennent qu'un groupe de prostituées se rend à notre réception, soit on accepte de leur payer un pot de vin, soit ils nous arrêtent sur le champ... Les clients le savent... De plus je ne dispose pas d'un budget suffisant pour leur offrir des putes... Gloussa Gary hilare.

- Mais principalement parce que de nombreux clients préfèrent se taper de véritables amatrices à de vulgaires putes !

- Certaines de ces femmes sont assez âgées... Une paire d'entre elles ne sont même pas séduisantes ! Commenta Susan.

Gary lui rétorqua :

- Nos clients veulent des femmes de types différents, évidemment les plus jeunes sont très réclamées, mais certains préfèrent des femmes matures, expérimentées. Certaines de nos plus collaboratrices les plus collet-montées sont très appréciées.

La musique reprit et Susan leva les yeux vers Julie qui dansait dans le fond. Julie était une femme assez rondouillarde en fin de cinquantaine, qui n'était pas dans la meilleure des formes. Grosse ? Plutôt enveloppée que grosse !

- Un peu enveloppée la Julie... Commenta Gary

- Ni la plus jeune, ni la plus jolie. Mais comme je te disais certains hommes préfèrent les vieilles... Certains hommes aiment les grosses femmes... Bien plus grosse que Julie d'ailleurs... Et elle a de grosses miches ! Se marra Gary.

Gary avait raison sur ce point. Lorsque Julie enleva son soutien-gorge pour danser uniquement vêtue de bas nylon, de son porte-jarretelles noir, d'une culotte noire, une guêpière noire maintenant son ventre ses gros nichons jaillirent au grand air se balançant lourdement sur son torse. Susan estima que chacun de ses nichons avait la taille d'une boule de bowling.

Julie quitta la pièce sous les nombreux applaudissements, Susan vit alors arriver Molly qui sortait d'une chambre. Elle portait une robe de mariée. Molly était une jeune mariée, elle avait épousé son mari quelques semaines plus tôt. Voyant l'étonnement de Susan, Gary gloussa, elle lui demanda ébahie :

- Est-ce sa véritable robe de mariée ?

Il se marra comme une brute et répondit :

- Eh oui, une de mes dernières bonnes inspiration... C'est sa véritable robe de mariée, et je lui ai donné de porter les mêmes sous-vêtements que le jour de son mariage, seule jarretière est nouvelle!

Susan regardait avec sympathie la jeune, ravissante quasi virginale jeune mariée qui dansait dans sa magnifique robe sans bretelles. Le lecteur de Cd jouait "Celebrate good times come on !". Molly tendit le bras dans son dos et déboutonna difficilement jusqu'à ce qu'elle en eut assez dégrafé pour rabattre sa robe sur sa taille exposant son soutien-gorge blanc sans bretelles. Lorsqu'elle se fut dépouillée de sa robe et de ses jupons, elle continua à danser vêtue de ses bas blancs, de son porte-jarretelles blanc et de sa petite culotte de satin blanc, et de sa jarretière bleue. Elle tendit à nouveau la main dans son et dégrafa son soutien-gorge et se retrouva en un rien de temps à danser torse nue, montrant à la foule ses gros nibards qui se balançaient au rythme de ses pas, les démarcations de sa peau brunie lors de son voyage de noce au soleil, bien visibles. Et, lorsqu'elle se dépouilla de sa petite culotte de satin blanc, elle leur exposa sa petite touffe de poils châtains et ses petites fesses blanches bien rondes.

Rose une nouvelle employée assez menue, et Donna une femme de quarante cinq ans entamèrent un show lesbien, se roulant des pelles baveuses en se déshabillant mutuellement face à la foule.

Gary appela ses deux collègues Jon et Walter. Il leur intima :

- Jouez un peu avec les appas de Susan, pas trop, juste assez pour la mettre en forme !

- Je croyais que vous me resserviez pour de nouveaux clients ? L'interrogea Susan surprise.

- Effectivement, je veux juste t'échauffer la touffe... Commenta Gary vulgairement.

- M'échauffer ?

- Eh oui, exactement comme l'on échauffe les vedettes du porno... Juste pour les préparer à leur performance !

Susan eut une brusque montée d'adrénaline.

- Quelle performance ?

Tandis que Jon plongeait la main dans son bustier pour jouer avec ses tétons, Walter avait glissé la main sous sa jupe, écarté la bande de son string pour lui masser gentiment les babines. L'attention de Susan était partagée entre les agissements des deux jeunes gens et l'annonce de Gary concernant sa performance. Il ajouta :

- Tu devras enlever tes vêtements, t'étendre sur la moquette et te branler !

- Tu veux que je me masturbe en public !

- Exactement! Que tu te branle jusqu'à jouir ! Je veux dire un VERITABLE orgasme, mais si tu n'y parviens pas directement tu pourras feindre un petit peu... J'ai ici quelque chose pour toi si tu as besoin d'aide...

Il tendit la main derrière le bar et ramena deux jouets sexuels : un petit vibromasseur jaune, et un godemiché rose d'un bon treize centimètres !

- Oh je t'en prie, ne me fais pas faire cela ! Le supplia Susan.

- Je ne t'y oblige pas, ils seront juste là au cas ou tu en aurais besoin !

Susan ne gaspilla pas plus longtemps de salive à argumenter avec Gary. 

Lorsque les deux gouines eurent fini de jouer entre elles, elles disparurent derrière les rideaux du fond, Susan hésita quelques instants puis s'installa face à la foule des spectateurs, jetant les deux jouets sur la moquette. Quelqu'un renouvela la musique. Susan parcourut des yeux l'assistance, des douzaines de collègues, mâles et femelles mélangés avec des étrangers, certains qu'elle avait rencontré à la convention un peu plus tôt, et des clients plus familiers.

Susan dégrafa sa robe et remonta son bustier au-dessus de ses épaules. Lorsque sa robe tomba au sol, Susan se tint en string lie de vin, ses gros nichons pendants arrachant des "Ohhh" admiratifs aux spectateurs. La jeune femme glissa la ficelle son thong sur ses chevilles et l'enjamba avant d'ôter ses hauts talons. Elle ne portait plus qu'un collier et ses boucles d'oreille, elle s'allongea sur la moquette.

Un de ses collègues lui tendit un épais oreiller qu'elle posa dans son dos. Susan s'avouait à elle-même que c'était drôlement érotique de se voir reluquée par des dizaines d'homme et de femmes. Mais elle décida de faire comme elle se trouvait seule dans la chaleur de son lit à se masturber. 

Et ainsi, comme à la maison Susan commença par se caresser lascivement les nibards titillant ses mamelons érigés. Sa main gauche glissa entre ses cuisses et entreprit de se chatouiller l'entrejambes, tournant doucement autour de sa foufoune. Un frisson involontaire la secoua toute. Fermant ses yeux, elle glissa ses doigts de haut en bas dans sa fentine, découvrant qu'elle était trempée. Elle plongea son majeur dans sa caverne embrasée et gémit. Elle se doigta longuement ouvrant occasionnellement les yeux pour voir qui la matait. Une grande partie de l'assistance s'était levée et les entourait maintenant admirant la jeune femme nue étendue sur le sol.

Comme les choses ne progressaient pas, elle bougeait la main droite de bas en haut frottant son clito entre son majeur et son l'annulaire. Sans même penser à ce qu'elle faisait, elle retira la main de sous sa jupe et titilla son trou du cul du majeur. Ce geste tira des gloussements de la foule qui accrurent l'excitation de Susan. Susan aurait voulu jouir rapidement, mais ne parvenait pas à conclure.

Chez elle, elle aurait utilisé sa brosse à cheveux pour se branler. Elle se rappela le vibromasseur. Elle le retrouva sur la moquette juste à coté d'elle, elle le saisit et le pointa sur sa caverne engorgée. Elle en plongea plusieurs centimètres dans sa grotte

- Ohhhhhhhhhhhh... Grogna-t-elle en tortillant son torse.

Elle s'empara du vibro et trouva le bouton marche/arrêt. Chez elle, elle ne disposait pas de vibromasseur - elle aurait été bien trop embarrassée pour expliquer à son mari qu'elle possédait un tel engin - mais elle se servait parfois de sa brosse à dents électrique, aussi savait-elle comment se faire jouir. Elle mit le vibro en marche en le plongeant dans sa foufoune, arquant son pelvis pour venir à la rencontre du gode, plongeant et replongeant le vibro dans sa chatoune enfiévrée.

- Ahhhhhhhh! ooooooOOOOOOOO !

Elle frotta son clito avec le bout du vibro, elle se mit alors à hurler :

- HUUUUUUUUUUUU ! OOOWWWWWEEE ! WHooooOOOOOO !

Susan laissa le godemiché plongé dans son intimité tandis que sa main droite tendait son vibro vers son clito. Elle s'arqua violemment se tortillant de droite à gauche, les doigts fourrés dans sa foufoune son corps se tordant sur la moquette, ses nichons dansant de droite à gauche.

- OHHHHH ! OHHHHHH ! HuH, Huh, HuH, Huh... OOOOHHHH !

Susan se tordait sur la moquette en face de dizaines de spectateurs alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites. La salle croula sous les applaudissements alors que Susan gisait recroquevillée au sol, haletant doucement.

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Jon et Walter escortèrent Susan nue sur le devant des spectateurs. Elle s'assit sur une chaise, récupérant quelques instants en regardant Alya faire son show.

Susan ne se rappelait jamais si Alya était indienne ou pakistanaise, mais elle portait toujours des tenues traditionnelles et gardait la tête couverte d'un voile. C'était une femme mature mais très séduisante, et une allure très respectable sous sa burka. 

Susan la regardait danser lascivement en enlevant lentement sa tenue s'exposant en soutien-gorge de dentelle rose et petite culotte assortie.

Jon et Walter la chopèrent alors par les bras et l'emmenèrent dans une chambre, tournant la tête elle eut le temps de la voir entièrement nue exposant ses gros nichons aux larges aréoles brunes et son buisson touffu.

Il se trouvait deux grands lits dans la chambre et ils étaient tous deux occupés. Sur le lit de gauche se trouvait Julie la femme mature aux gros nibards, elle était étendue sur le dos et un homme entre deux âges se taillait une cravate de notaire entre ses opulentes miches. Il tenait ses gros nibards serrés sur sa hampe tandis qu'il coulissait âprement entre eux.

Molly, la jeune mariée se trouvait allongée à coté d'elle, elle avait remis sa robe de mariée de satin blanc, mais pas ses sous-vêtements. Un homme aux cheveux grisonnants se vautrait entre ses cuisses. Ses pieds étaient posés sur les épaules de l'homme. Sa robe et ses jupons étaient tire-bouchonnés autour de sa taille et l'homme la baisait énergiquement. Les gros nibards de Molly étaient sortis de son corsage et se balançaient sur son torse alors que deux hommes qui se tenaient à ses cotés les malaxaient rudement.

Le lit sur le coté droit était occupé par Kelly, la jeune mère qui était venue sur le même avion que Susan. Kelly était entièrement nue et se faisait baiser par un vieux japonais qui se trouvait sur elle, ses gros nibards rebondissant sur son torse alors qu'elle refermait ses cuisses dans son dos. Le japonais appela Susan.

- Eh toi, oui toi viens ici et joins-toi à nou s! Accroupis-toi sur mon visage !

Susan avait à peu prêt le même âge et la même stature que Kelly, elle se demanda un instant si elles avaient été volontairement appariées pour lui être offertes. Elle se dirigea vers eux grimpa docilement sur le lit et enfourcha le visage de l'homme. Elle remua son croupion pour se poser sous le meilleur angle, Kelly se trouvait derrière Susan, elle se tortillait sur sa bite bandée. Susan sentait les nichons de Kelly se presser contre son dos.

Le Japonais lui léchait la fentine, parcourant avidement ses babines engorgées de cyprine tendant les mains pour palper rudement ses miches, ses cuisses, son cul. Il malaxa longuement ses nibards et ses fesses.

- Et maintenant roulez-vous une pelle !

Susan pressa ses lèvres sur celles de la ravissante brunette et glissa sa langue dans la bouche docilement ouverte de Kelly. Susan jeta un œil sur le lit voisin pour voir que Julie se faisait baiser maintenant, ses gros nichons pendaient mais semblaient encore bien fermes, dansant sous son torse alors que l'homme la labourait frénétiquement.

Molly, la jeune épouse, se trouvait maintenant à genoux, elle se faisait baiser par derrière alors qu'elle suçait un des deux hommes qui lui pelotait les nibards quelques instants plus tôt.

Susan et Kelly avaient adopté un rythme régulier Kelly se dressant sur ses cuisses alors que Susan s'arquait en arrière sous les délicieux coups de langue de son suborneur. Alors qu'il lui bouffait la foufoune, son nez frottait contre son clito. Kelly et Susan gémissaient de concert. Kelly gémissait plus rapidement que sa consœur mais dès que Susan lui roula des pelles elles gémirent à l'unisson.

- Huh Huh Huh ! Soufflaient-elles comme un petit train à vapeur

Susan était fort étonnée de jouir aussi rapidement, ayant juste eu un grand frisson dans l'autre pièce, mais comme Kelly criait en se tortillant sur la bite du japonais elle referma les cuisses sur son visage l'étouffant presque alors qu'elle succombait à un orgasme d'une extrême violence.

Lorsqu'il en eut fini avec elles, Susan fut prise par une demi-douzaine d'hommes, dans des positions diverses, dans tous ses trous avec et sans la participation d'autres femmes. Elle vit plusieurs collègues femelles escorter leurs clients dans leurs chambres à coucher mais elle, elle resta dans la chambre.

Finalement à l'occasion d'une pause elle quitta entièrement la chambre pour gagner sa suite.

Les clients étaient tous repartis, il ne restait plus que Gary et quelques employés mâles, et une demi-douzaine de femmes nues ou demi-nues. Gary était nu et il jouait à une sorte de jeu avec les autres femmes, elles se tenaient autour de lui alors qu'il palpait leurs nichons.

Julie était agenouillée enveloppant sa bite de ses gros nibards et la Molly, la jeune mariée se faisait sucer les tétons.

Il fit signe à Susan de se joindre à eux lui intimant de frotter ses miches contre lui.

Puis débuta un jeu de chatoune, Gary doigtait deux foufounes, en léchait une troisième et faisait coulisser sa bite dans une quatrième.

Susan était éreintée mais faisait tout ce qu'elle pouvait pour complaire à son patron. Ses sentiments étaient confus. D'une part elle savait qu'elle n'était pas seule, que d'autres femmes partageaient ses problèmes, elle se sentait mieux de ce fait, mais elle réalisait par ailleurs qu'il n'y aurait pas de fin rapide à sa soumission, qu'elle devrait attendre que Gary soit fatigué d'elle et de ses charmes. Elle s'imaginait à la place de Marie, toute proche de la retraite et cependant obligée de sucer tous les hommes qui le demandaient tant elle était performante dans son rôle de fellatrice. Elle l'acceptait.

Alors que son patron lui tripotait énergiquement ses gros nibards la bite fourrée profondément dans sa foufoune engorgée de foutre, elle savait qu'elle devrait cacher son sort à son pauvre mari tous comme les autres femmes présentes qui jouaient comme elle le rôle de putes de l'entreprise.

FIN

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