Traduction d'un texte de Penitr8me.
Ma condition de soumise.
Je suis nue. Je suis dans une cage. Je suis couverte de sperme. J'ai les yeux bandés. Mes mains et mes pieds sont liés. J'ai donné ma vie aux 18 hommes qui se trouvent dans la pièce voisine. Je pense que c'est la chose la plus brillante ou la plus stupide que je n'ai jamais fait.
Je suis à eux maintenant 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. L'encre sur le contrat est aussi sèche que le sperme sur mon visage. Je suis diablement excitée, même si je viens de passer quelques heures à me faire baiser le visage. Ma chatte n'a pas été touchée depuis trois jours et je brûle du besoin qu'elle soit utilisée.
Je suis un peu terrifiée par ce que je viens de faire. Plus de mots de sécurité. Je n'ai plus d'appartement, les clés ont été prises par mes Maîtres lorsque j'ai signé le contrat. Mes affaires sont parties au garde-meuble, mais je ne sais pas où.
Je me sens libre malgré mes liens et ma cage. Je veux sortir de cette petite cage noire mais j'ai peur de ce qui va se passer lorsque je serai nue et exposée devant mes 18 Maîtres sadiques. J'ai besoin d'être libérée sexuellement mais je sais que bientôt ils me laisseront battue, percluse de douleur et tellement baisée que je ne pourrai plus marcher.
Je suis dans ma nouvelle « maison », mon donjon pour les neuf prochains mois. Presque neuf, car mon contrat se terminera le jour anniversaire de mon premier gang-bang, de la première fois où je me suis livrée à eux tous. J'avais pensé qu'ils m'utiliseraient et me jetteraient, mais nous avons tous tellement aimé l'expérience qu'ils m'ont gardée pour que je leur vide les couilles. Depuis un peu plus de trois mois, ils m'utilisent encore et encore. Je suis leur pute.
Parfois ils me partagent avec leurs amis, si ceux-ci ont fait des tests ou utilisent des préservatifs. Le maximum que j'ai dû satisfaire une soirée est de 32 hommes. Mais mes Maîtres m'ont promis de repousser cette limite.
Ils m'emmènent à des soirées où je dois danser avec tous les hommes présents. Ils me sodomisent pendant que je travaille dans des « glory hole » privés qu'ils mettent en place. Ils m'emmènent au travail et me font les sucer sur les trajets. J'aime être leur jouet sexuel.
Finalement mon travail est d'être leur vide-couilles alors ils m'ont fait une offre : chambre gratuite, pension gratuite, mais pas de liberté. Ils ne me paient pas exactement pour le sexe. Ils me paieront pour travailler chez l'un de mes Maîtres, comme gestionnaire administrative pour son entreprise. Ils me paieront pour cet emploi mais ils me baiseront quand ils le voudront, dans un placard ou sur mon bureau quand tout le monde sera parti. Si je les sers bien, à la fois sexuellement et professionnellement, ils s'assureront que je ne sois jamais sans emploi.
Je n'ai pas encore vu ma « cellule ». Ils me disent que c'est adorable : un lit où ils peuvent m'immobiliser complétement, un banc de bondage, un placard plein d'instruments conçus pour me faire mal (des fouets, des cravaches, des cannes, de la cire, des aiguillons électriques), une salle de bain assez grande pour une orgie et un espace où ils peuvent m'attacher. Ai-je dit qu'il n'y avait plus de mots de sécurité? Mais il faut que je leur dise si je suis blessée. Ils ne veulent pas casser leur jouet, mais je ne peux pas les empêcher de faire quoi que ce soit d'autres à part des cicatrices.
Ils m'ont fait accepter un tatouage, une chaîne avec 18 anneaux sur mon bas-ventre. Quand ils me libèreront, s'ils me libèrent, je pourrai leur demander de payer pour l'enlever. Je sais que le tatoueur attend déjà pour me marquer comme esclave, et probablement me baiser quand il aura fini.
Le sperme démange, sèche et s'écaille. Ils m'ont donné trois jours pour réfléchir à leur offre, trois jours sans me toucher, me parler ou m'utiliser. Je suis tellement habituée à avoir mes trous remplis que c'est atroce pour moi de ne plus avoir de rapports sexuels. Bien sûr, ils m'ont dit que je pouvais me faire plaisir moi-même, chose qu'il m'avait interdite à moins d'être là pour regarder. Mais cela ne suffit pas à combler mon besoin. J'ai besoin d'eux, des 18, de toutes les 18 queues. Je commence à rejouer dans ma tête les meilleures fois où ils m'ont baisée. Mais ça me rend folle. Je peux à peine me toucher dans cette cage, ni me frotter à quoi que ce soit.
Quand je suis entrée pour signer le contrat, j'étais tellement excitée que j'aurais pu baiser tous les gars dans la pièce. Après avoir coupé mes vêtements et m'avoir fait mettre à genoux, les yeux bandés, ils m'ont demandé de sucer des bites, et il y avait beaucoup de queues. Je pouvais dire que certaines étaient celles de mes Maîtres car après des centaines de fellation je pouvais les reconnaitre par le goût et la façon de se vider dans ma gorge. Mais d'autres étaient réellement de nouvelles queues. Ils sortaient de ma bouche et giclaient sur mon visage, mes cheveux et mes seins. C'était surement des gens de l'entreprise. Ce souvenir m'apporte une nouvelle vague de frustration sexuelle, en pensant que ma bouche était pleine mais que le reste était vide.
J'entends des sons. Je sens la cage trembler. Quelqu'un enlève mon bandeau. Je suis toujours nue. Je suis toujours dans une cage. Je suis toujours couverte de sperme. Mes pieds et mes mains sont toujours liés. J'ai donné ma vie aux 18 hommes qui me dévisagent. Je pense que c'est la chose la plus brillante ou la plus stupide que je n'ai jamais faite. Ou les deux...
A suivre...
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