18 Maîtres Ch. 05

Traduction d'un texte de Penitr8me.

Je suis emmenée à un mariage.

Pete avait besoin d'une compagne pour l'accompagner au mariage d'un de ses amis. Pete était un mec mignon et bien doté, mais il passait tellement de temps au travail comme informaticien qu'aucune femme ne restait longtemps avec lui. Etre un de mes 18 Maîtres ces derniers mois était bien pour lui. Quand il quittait le travail vers 19 ou 20 heures, si je n'étais pas déjà occupée avec un autre de mes maîtres, il passait chez moi pour me baiser rapidement avant de rentrer chez lui. Quelques fois, alors qu'il prévoyait de travailler tard, il demandait à un UBER de m'amener à son lieu de travail. Là, il me déshabillait et m'attachait sur un lit de camp dans son bureau. Et il alternait entre marteler son clavier ou marteler ma chatte pendant quelques heures.

Mes Maîtres avaient mis en place un calendrier pour planifier mon temps avec eux. Alors Pete avait réclamé ce samedi de mars pour le mariage. Il avait tout préparé. Il m'avait accompagné chez un de ses amis pour choisir une robe magnifique. Elle était violette foncée et s'accordait bien avec ma peau claire et mes cheveux brun foncé. Elle était un peu vintage avec une jupe ample et rigide et un corsage serré qui soulevait mes seins. C'était sexy sans être salope. A part le fait que je ne portais pas de sous-vêtements. Je sais que Pete aime les talons hauts, mais nous avions opté pour quelque chose de plus raisonnable étant donné que je les porterai durant plusieurs heures. Bien sûr, je portais aussi des bas avec couture. Il a aussi fait venir chez moi un styliste pour me coiffer et me maquiller. Je me retrouvais les yeux charbonneux, les lèvres rouge sirène et un chignon sur le haut de ma tête et des boucles tombant dans le dos.

Pete est un geek. Il me donna un jeu de cartes USB avec des renseignement à mémoriser. Il fallait que j'en sache assez sur sa vie pour convaincre les gens que nous nous connaissions depuis plus longtemps que quelques mois. Comme j'aime rendre mes Maîtres heureux et que je suis le genre de fille qui aime être bien notée, je travaillais dur sur ses renseignements.

Le jour J, il me questionne tout le long du trajet sur ce que j'ai appris. C'est distrayant car il a l'air excité dans son smoking. Ça devient encore plus amusant quand il me fait sortir mes seins du haut de ma robe et qu'il remonte le bas de la robe pour exposer ma chatte. Il me doigte et me tripote la plus grande partie du parcours.

Après être arrivé au lieu du mariage et après que je me sois rhabillée convenablement, il me laisse assise dans la grande salle pendant qu'il va aider un de ses amis pour la sono. Je suis là depuis quelques minutes quand un groupe de femme passe en portant des boites.

- C'était Pete? Demande une femme en robe rose.

- Oui! Dit une femme en bleu.

Elle a l'air énervée.

- L'avais-tu revu depuis que vous aviez rompu?

Mes oreilles se tendent mais je garde les yeux rivés sur mon téléphone.

- Non, mais de tout façon je ne le voyais pas quand nous étions ensemble. Je suis d'ailleurs surprise qu'il ait trouvé le temps d'être ici aujourd'hui.

- Tu as encore des sentiments pour lui?

- Je ne veux pas vivre avec quelqu'un qui passe plus de temps avec son ordinateur qu'avec moi.

Les femmes atteignent le bout de la salle et entrent dans une autre pièce, alors je ne peux plus les entendre.

Je n'attends rien de Pete contrairement à elle. Je sais qu'elle serait dégoûtée si elle connaissait ma relation avec lui et mes 17 autres Maîtres, les gang-bangs et ma soumission. J'ai l'impression que je devrais me sentir mal de cette situation mais en vérité j'en tire trop de plaisir et de sexe.

Le mariage se déroule sans accrocs. Dès que la cérémonie est terminée Pete me saisit la main.

- Sortons, nous avons un peu de temps avant le repas.

Il me traîne hors de la salle de cérémonie et m'emmène vers les greens de golf derrière les bâtiments. Je suis contente de ne pas porter de grands talons aiguilles, il est déjà assez difficile de le suivre sur les sentiers humides dans les sous-bois avec des chaussures à talons normaux. Il fait plus chaud que je ne l'imaginais pour un mois de mars dans cette région. C'est une rare journée ensoleillée et nous pouvons voir des golfeurs sur le parcours.

Nous n'allons pas loin avant que Pete se place devant moi et me pousse contre un arbre.

- Je veux faire ça depuis que je t'ai vu dans cette robe.

Il pose sa main sur le devant de ma robe. Il n'a pas à aller loin pour trouver une grosse poitrine à saisir. Son autre main soulève ma jupe et saisit mon cul. Comme je n'ai pas de culotte, il peut rapidement mettre un doigt dans ma chatte. Pet est un gars très rapide mais qui s'énerve facilement. Avant que je ne puisse dire quelque chose, il baisse la fermeture éclair dans mon dos et la robe tombe. Comme le corsage était serré je n'avais pas eu besoin de soutien-gorge. Si bien que je me tiens là seulement en bas et chaussures.

Pete me regarde et admire mon corps pendant une minute puis il prend ma main, me fait enjamber ma robe et m'agenouiller dans la terre près d'un arbre. Il me pousse en avant et je me retrouve à quatre pattes, mes seins ballotant sous moi. Il me tripote avec une main et se masturbe avec l'autre. Puis rapidement il me pénètre. Il n'a pas vraiment pensé à me préparer alors je suis assez sèche quand il introduit sa queue. Je grimace sous la douleur. Mais il ne le remarque pas et continue à me pénétrer. Après quelques coups de reins, mon corps réagit et commence à lubrifier ma chatte. La pensée d'être vu dans cette position m'excite.

Il s'avère que les chances d'être surpris sont assez élevées. Il me baise depuis un moment lorsque nous entendons des voix. Il s'agit d'un groupe d'hommes qui reviennent vers le début du parcours de golf. Ce groupe est composé de trois hommes assez âgés et de trois autres plus jeunes qui portent leurs sacs. L'un des jeunes nous voit et s'arrête net si bien qu'un autre se cogne contre lui. Lorsqu'il se plaint, il attire l'attention du groupe sur nous.

- Putain de merde! Dit un des vieux.

Pete est quelqu'un de têtu. Quand il commence quelque chose, il continue jusqu'à la fin. Il continue à me marteler fort en tenant mes hanches pour accompagner son mouvement. Je ne sais pas ce qu'il regarde. Une partie de moi a envie de regarder par terre car j'ai honte. Mais je me retrouve à fixer les hommes qui nous regardent baiser. Je lèche mes lèvres et je gémis un peu, excitée par cet exhibitionnisme. Un des jeunes hommes porte la main à son entrejambe et commence à jouer avec sa bite à travers son pantalon. Je gémis plus fort. Il devient difficile pour moi de me concentrer sur leurs visages alors que mon plaisir augmente. Je sens que Pete va bientôt jouir alors je ferme les yeux et je me concentre sur les sensations dans mon sexe. L'air frais a rendu mes tétons durs comme du roc. Pete se raidit et s'enfonce profondément une dernière fois. Je me laisse aller sur la queue qui m'empale.

Quand ma vision s'éclaircit, je vois que le groupe d'hommes nous regarde toujours. Pendant que Pete se retire les gars l'applaudissent. Mais il n'a pas encore fini. Il me contourne, me présente sa queue et dit :

- Nettoie-moi!

J'obéis et je lèche sur sa bite nos deux fluides corporels mélangés. Je ne peux plus voir les golfeurs mais je les entends se déplacer pour pouvoir voir le spectacle.

- Lève-toi, laisse les te voir!

Pete me tend la main pour m'aider à me lever. Ensuite il me tourne légèrement pour que je fasse face aux hommes. Je sais sans qu'il me le dise qu'il attend que je mette mes mains derrière ma tête pour que mes seins se soulèvent. Mon regard se fixe au-dessus de la tête des hommes qui m'ont vu être baisée comme un animal. Je les laisse me regarder sans que mes yeux ne leur contestent le droit de le faire.

- Hé chef, ça dégouline là! Déclare un des golfeurs.

Du coin de l'œil, je le vois jeter une serviette vers Pete. Celui-ci essuie le sperme qui coule sur ma jambe. Puis il passe le chiffon dans ma fente pour essuyer le reste. Je le vois tendre la serviette. Je dois tricher pour regarder tout en donnant l'illusion que je me désintéresse d'eux. Je vois que la serviette passe de mains en mains et que les golfeurs la sentent.

Après m'avoir laissé dans cette position pendant un moment, Pete me retourne et me plie à la taille pour exposer mon cul et ma chatte. Je me prépare à me retenir avec mes mains et je fais bien car Pete me donne une grande claque sur le cul. Je retiens mon cri car je ne veux pas attirer un plus grand public. Puis Pete me tend la main pour que je me redresse.

- Messieurs!

Son ton indique que le spectacle est terminé. Il me fait un signe pour montrer ma robe abandonnée. Je brosse la poussière et les aiguilles de mes bas en m'assurant qu'ils ne soient pas déchirés. J'entends le groupe de golfeurs s'éloigner pendant que je saisis ma robe. Je l'enfile lentement. Sans que je demande, Pete remonte la fermeture éclair dans mon dos. Je remets mes seins dans le corsage et nous retournons au mariage.

Pete passe le reste de la soirée à m'embrasser et à me tripoter, surtout quand la femme en bleu nous regarde. A la fin de la soirée, même ses meilleurs amis nous regardent avec dégoût. Et je sens que quand ils m'observent c'est pire. Je suis heureuse quand nous pouvons enfin partir.

Sur le chemin du retour, nous restons silencieux pendant de longs kilomètres. Mais je ne peux pas supporter de me taire.

- Elle vous aime toujours vous savez!

- Qui?

- La femme en bleu! Je suppose que c'est votre ex.

Il renifle juste. Quelques minutes plus tard, il sort de l'autoroute et trouve un endroit désert sur le bord de la route pour s'arrêter.

- Sors et mets-toi à genoux!

J'obéis tout en essayant de ne pas salir ma robe. Pete déboutonne sa braguette et fourre sa bite raide dans ma gorge.

- Ne t'occupe pas de ma vie, espèce de stupide salope. Elle dit qu'elle m'aime toujours mais elle ne m'a jamais fait ça. Tu sais ce que j'aime chez toi petite pute?

Il attrape mon chignon et me relève le visage. Mais comme il est toujours en train de baiser ma bouche, je ne peux pas répondre.

- Je peux te toucher quand je veux comme je veux. Je peux te dire d'écarter les jambes et si je peux te dire de me laisser tranquille jusqu'à ce que j'aie du temps pour toi. C'est de ça que j'ai besoin maintenant, pas d'une petite amie, d'une femme, mais d'une salope.

Il continue à me baiser de plus en plus vite et de plus en plus fort.

- Je n'ai même pas le temps pour une prostituée à plein temps. En partager une avec mes copains est parfait. J'ai juste besoin de toi quand j'ai envie de baiser.

Sur ces mots, il éjacule sur mon visage, dans mes yeux et même dans mes cheveux.

- C'est tout ce que tu es pour moi, une vide-couilles. Tu comprends salope?

- Oui Maître.

- Bon, remonte dans la voiture.

J'aurais bien aimé avoir le chiffon du golfeur car je n'ai rien pour m'essuyer le visage. Avec mes doigts, j'essaie d'enlever le sperme sur mes yeux. Mon maquillage doit être gâché. J'essuie un peu de sperme qui menace de tomber sur ma robe. Je veux que quelque chose reste indemne de cette nuit.

- Laisse le reste salope! Garde-le toute la nuit.

- Oui Maître.

Etre baisée sur un terrain de golf ne m'avait pas fait sentir être une salope. Pete était un gars assez fier pour me traiter comme il l'avait fait. Je suppose que j'étais assez salope pour en profiter. Il me laisse devant mon immeuble et je marche vers la porte, la tête haute, du sperme séché sur mon maquillage et mes cheveux.

A suivre...