Récit de Géronimo.
Tel est pris qui croyait prendre.
La Mercedes se gara sur le trottoir face à une impasse glauque que Sophie et Ambre regardèrent, pas vraiment rassurées. Jean-Yves au volant les a conduites ici sous les ordres de Panaris qui les accompagne. Diop et Katia sont partis faire des achats sans leur dire précisément quoi mais Jean-Yves, vu le regard luisant de perversions que lui a lancé Katia en partant se dit qu’il va en faire les frais . Ils sortent et se dirigent vers une boutique de piercings au fond de l’impasse. Sophie, très strict dans un tailleur gris perle sur des bas noirs, avance et donne la main à Ambre pour la rassurer. Sa fille est habillée d’une robe courte sur des collants noirs avec des bottes à talons. Ils entrent dans la boutique. Maître Christian Panaris et le propriétaire semble se connaître.
- Salut, Christian.
- Salut, je t’emmène des clientes.
L’homme observe Ambre et sa mère un instant et demande :
- Tatouage ? Piercing ?
- Piercing. Intimes.
Sophie et Ambre manquent de s’évanouir en entendant cela, mais elles ne disent rien. Elles sont devenues totalement soumises à Maître Panaris. Jean-Yves dans le fond de la boutique baisse les yeux.
Panaris s’approche de Sophie et lui demande de soulever sa jupe ce qu’elle fait immédiatement dévoilant sa chatte qui a été rasée le matin même par Katia. Celle d’Ambre a également été rasée et Katia a voulu faire de même avec son « soumis ». Prenant Sophie par le bras, Panaris l’installe sur un grand fauteuil qui ressemble un peu à un fauteuil gynécologique. Elle positionne les talons de ses escarpins dans les étriers. Les deux hommes ont alors une vue plongeante sur sa vulve. Le tatoueur revient avec de l’éther et des instruments qui font frémir Sophie. Panaris titille son clitoris et lui enfonce ses doigts dans sa vulve. Panaris demande à Jean-Yves d’approcher de sa femme et celui-ci s’exécute. Sophie doit sortir la bite de son époux et le sucer devant le tatoueur qui n’en perd pas une miette et que ce manège commence à exciter.
- Profites- en, lance Panaris en regardant Jean-Yves, c’est la dernière fois.
Jean-Yves ne comprend pas l’allusion de Maître Panaris. Que lui réserve-t-on encore ?
Sophie, tout occupée à branler et à sucer son mari ne fait plus attention au tatoueur qui prépare ses instruments de torture. Elle ressent une douleur brève mais violente dans le bas-ventre et elle pousse un cri étouffé par la bite de Jean-Yves qui coulisse entre ses lèvres. Panaris tendit un coffret au tatoueur et il en sortit deux petits anneaux d’or qu’il fixa aux lèvres vaginales de Sophie. Panaris y accrocha lui-même un petit cadenas qu’il verrouilla. Sophie se releva et s’observa dans une glace, morte de honte, fixant le petit cadenas qui pend entre ses cuisses. Elle dévisagea son mari avec un regard qui semble dire : « Mais que sommes-nous devenus ?».
Mais leur calvaire ne s’arrêta pas la. Ensuite ce fut au tour d’Ambre de subir l’opération. Puis, on tatoua sur le bas-ventre des deux femmes l’inscription : « PUTE A DRESSER ». En guise de règlement, le tatoueur exigea qu’Ambre et Sophie lui taille une pipe. Tache dont elles s’acquittèrent avec brio.
De retour dans leur pavillon, les Guillet de Saint-Hilaire retrouvèrent Diop et Katia qui ont terminé leurs achats. On leur demande de se déshabiller et ils obéissent sous le regard des autres qui en profitent pour les tripoter pendant leur « strip-tease ».
Sophie doit enfiler une nuisette rose avec des bas roses et des talons hauts de même couleur. Ambre se retrouve affublée d’un corset en cuir qui lui comprime les seins, des bas noirs avec des mules à talons. Mais c’est Jean-Yves qui fut certainement le plus humilié. Katia, une fois qu’il fut nu, s’amusa à le branler et à lui toucher ses couilles désormais totalement lisse puisqu’elle l’a rasé le matin même.
Elle sortit d’un sac un objet étrange que Jean-Yves ne reconnut pas tout de suite. Il s’agissait d’une petite cage en plastique qu’elle fixa sur le sexe de Jean-Yves l’emprisonnant totalement. Elle verrouilla la cage avec un cadenas. Cette « cage de chasteté » l’empêchait d’avoir le moindre plaisir sexuel sans l’autorisation de sa « Maîtresse » qui appuyait ainsi son emprise sur lui. Il fut ensuite contraint de s’habiller avec un costume de bonniche. Petit tablier blanc, bas noirs et talons aiguilles. Ce qui fut le plus difficile à apprivoiser. Marcher avec des talons hauts n’étant pas du tout évident et Jean-Yves se demanda comment les femmes y arrivaient.
Ce fut ensuite une véritable partouze qui se déroula dans le salon des Guillet de Saint-Hilaire. Sophie, à genoux entre les cuisses de Diop, le suça, faisant coulisser sa bite d’ébène entre ses lèvres pendant que Ambre courbée sur la table du salon se faisait ramoner par Panaris. Katia filme avec le caméscope cette orgie. Panaris a eu l’idée de revendre à un sex-shop les films de la dépravation de cette famille aristocratique, films qui seront évidemment revendus « sous le manteau » à des habitués.
Jean-Yves doit avancer à quatre pattes dans le salon, un gode dans le cul, filmé par Katia. Son gros cul blanc se balance pendant qu’il avance péniblement. Sophie pousse des gémissements sous les coups de reins de Diop. Ambre, après avoir été pilonné par Panaris le suce avec des bruits humides. Il éjacula dans sa bouche et elle avala toute sa semence jusqu'à la dernière goutte.
Jean-Yves debout devant Katia subi un nouveau supplice. Elle lui a enfoncé dans la bouche un étrange appareil. Il s’agit d’une boule en latex que Katia a attaché derrière sa tête avec des lanières en cuir. Sur cette boule est fixé un gode ! Ce qui fait que Jean-Yves ressemble en quelque sorte à un éléphant avec une trompe factice. Katia le surnomme « Eléphant-man » ce qui la fait beaucoup rire. Bien entendu, ainsi bâillonné, Jean-Yves ne peut émettre le moindre son. Elle le contraint à s’allonger par terre et s’empale sur le gode. Elle halète en se massant les seins. Son corps monte et descend sur la bite de latex, son cul touchant le visage de Jean-Yves.
Pendant que Jean-Yves est devenu le « jouet » de Katia, Panaris et Diop, jamais à court d’imagination, oblige Sophie et Ambre à se sucer tête-bêche. Sophie lèche la vulve dégoulinante de sa fille pendant qu’Ambre enfile ses doigts dans la chatte de sa mère tout en lui suçant le clitoris. Le tout est filmé par Panaris. Les deux femmes se masturbent et on entend par moment leurs gémissements et leurs petits cris de plaisir.
Katia a relevé Jean-Yves et l’a courbé sur la table du salon d’où il peut voir sa femme et sa fille en train de se gouiner. Katia se fixe un gode-ceinture autour de la taille. Elle enlève le bâillon-gode de la bouche de Jean-Yves et le contraint à sucer le gode.
- Il est temps d’y passer, mon gros. Je vais t’enculer comme tu le mérites !
Jean-Yves pousse un hurlement étouffé par le gode. Il se débat, tente de se relever. Diop vint au secours de Katia et ils l’immobilisèrent en liant ses mains et ses chevilles aux pieds de la table. Katia fit le tour et pointa l’extrémité du gode sur l’anus de Jean-Yves. Elle força et vit le bout du gode commencer à s’enfoncer dans ses entrailles. Il poussa un hurlement déchirant. Horrifiées, sa femme et sa fille en oublièrent de se gouiner. Katia fit coulisser le gode dans le trou du cul de Jean-Yves qui gémit, le front couvert de sueur. La bite de latex coulisse parfaitement maintenant et Katia donne de violent coup de reins.
Diop, complètement excité, fais le tour et pinçant le nez de Jean-Yves pour le contraindre à ouvrir la bouche, lui enfonce sa queue. Jean-Yves, malade de honte et de dégoût, failli vomir. Diop s’activa dans sa bouche faisant aller et venir sa bite entre les lèvres de celui-ci. Il ne fut pas long à éjaculer et il déchargea son sperme dans la bouche de Jean-Yves en poussant un râle de plaisir. Jean-Yves recracha le sperme pendant que Katia le pilonnait toujours. En sueur, elle prend un sale plaisir à enculer son « soumis » le traitant de lopette. Jean-Yves ne dit plus rien, il ne gémit plus. Subissant les assauts de Katia.
Pendant que tout ce petit monde « s’éclate» joyeusement, un homme camouflé derrière un massif de fleurs dans le jardin des Guillet de Saint-Hilaire filme et prend des photos. Il eut un sourire en pensant que son plan se déroulait sans accroc. Il les tenait ! Il les tenait tous ! L’homme mystérieux sortit discrètement du jardin, il allait revenir, mais pas seul.
Maître Christian Panaris, téléphone portable à l’oreille, est en train de discuter avec son interlocuteur.
- Oui, deux bourges à dresser, de vraies salopes. Tu pourrais me les prendre en « stage » ?
Sophie et Ambre debout au milieu du salon écoutent Panaris qui est en train de les louer à cet homme dont elle ne connaisse rien. Enfin, pas encore. Solidement ficelé sur le canapé, un gode dans le cul, bâillonné, Jean-Yves pousse des gémissements.
Panaris tout occupé a sa discussion n’a pas remarqué que Diop lui aussi est au téléphone et discute depuis un bon moment dans sa langue maternelle.
Panaris donne des instructions à Ambre et sa mère. Il leur explique que demain elles seront livrées à un homme propriétaire d’un club échangiste et qui y organise des soirées particulières.
Un coup de sonnette les interrompe. Qui peut venir à cette heure-ci ? Katia va ouvrir. Un cri de surprise, remue-ménage et Katia revient accompagné de deux blacks. Panaris surpris se tourne vers Diop qui le regarde avec un autre regard, un regard rempli de haine. Il salue les nouveaux venus, se tapent dans le dos et discutent entre eux en Sénégalais. Panaris s’approche d’eux.
- Mais qu’est-ce que ça veut dire, Diop ! Virez-moi ces hommes immédiatement.
- Tais-toi ! Tu préfères que j’aille tous raconter aux flics ?
Panaris blêmit en entendant cela.
- Co... Comment cela ? croassa-t-il d’une voix tremblante.
- Quand tu m’as mis dans la confidence et permis d’abuser de ces deux salopes, j’ai vite saisi où était mon intérêt. J’ai donc demandé à un de mes cousins de filmer discrètement tout ce que tu as fais subir à mes patrons. La vidéo dans le chantier et dans la cabane sont particulièrement réussi.
Sophie, Ambre et Jean-Yves sont abasourdis d’entendre cela et se demandent du coup ce qu’il va advenir d’eux. Leur cauchemar est il terminé ? Katia s’approche de Panaris et lui donne une violente gifle le laissant pantelant. Diop sourit.
- Je me suis mis d’accord avec Katia, désormais nous entamons une étroite collaboration.
- Mais que voulez-vous, de l’argent ? demanda Panaris.
- Attends un peu, j’ai une surprise pour toi, dans quelques minutes tu vas comprendre.
Maître Christian Panaris comprend que la situation lui échappe totalement maintenant, mais il est coincé et les deux malabars qui bloquent la sortie ne le laisseront pas passer. Un coup de sonnette retentit. Panaris eut un sursaut en reconnaissant son épouse, Christiane, encadré par deux blacks, enfin reconnaître est un bien grand mot. Le regard apeuré, elle est vêtue d’un tailleur dont la veste est ouverte, le soutien-gorge en dentelle baissée, ses gros seins pendent lamentablement. Elle est bâillonnée avec une boule en latex. Sa jupe est relevée dévoilant son string et ses bas dont un est déjà filé. Elle est accompagnée par le voisin des Guillet de Saint-Hilaire qui avait abusé de Sophie dans la cabane.
Celui-ci rentre suivi d’une femme, une quinquagénaire plantureuse, qu’il tient en laisse . Panaris ne comprend plus rien. Qu’est-ce que tout cela signifie ? Il fait un pas vers son épouse pour la délivrer, mais il est aussitôt maîtrisé par Diop et un de ses cousins qui est d’une force herculéenne. Il est solidement attaché avec du fil électrique, saucissonné et jeté par terre. Diop s’approche de lui.
- Je vais t’expliquer. L’homme qui tient cette femme en laisse est commissaire de police, c’est mon nouveau copain, il s’appelle Maurice, on a tout de suite sympathisé, mais c’est surtout tout comme toi un pervers. Ça fait longtemps qu’il contraint sa femme à se prostituer. Elle est directrice de cabinet du Maire de Bordeaux mais personne ne se doute que la nuit elle fait des pipes gratos dans les bois.
Comme pour donner raison à Diop, Maurice tira sur la laisse et son épouse docile s’agenouilla aussitôt. Elle sortit la verge de son époux et commença à le sucer.
Diop expliqua à Panaris que si il ne voulait pas aller en taule pour chantage, il devrait lui obéir dorénavant et surtout lui prêter sa femme qui malgré son âge est encore baisable.
- C’est un juste retour des choses, reconnais-le.
Katia s’est approché de Mme Panaris et elle fouille sa chatte avec ses doigts. Un des blacks lui malaxe ses gros nichons, tirant les tétons. Pendant ce temps, la très distinguée Directrice de Cabinet pompe son mari tout en subissant les coups de queue d’un des cousins de Diop qui l’a emmanché jusqu’à la garde.
Panaris comprend qu’il n’a pas le choix, qu’il est tombé sur encore plus pervers que lui. Christiane Panaris, à genoux, suce la chatte de Katia, lui donnant de grands coups de langue. Les cousins de Diop s’occupent de Sophie et Ambre qui sont fouillées sans ménagements par les gros calibres de leurs queues. Ils les bourrent violemment les faisant couiner de bonheur. Jean-Yves àa été détaché et il suce Diop avec application.
Diop regarde autour de lui, sa vie allait changer maintenant. Lui qui était sans papiers allait sûrement pourvoir obtenir d’être régularisé si le Maire passait un coup de fil au Préfet. La femme de Maurice allait sûrement pouvoir arranger ça. Quand à gagner sa vie, Pourquoi faire ? Il avait sous la main désormais de quoi gagner du fric facilement et sans risque protégé par le Commissaire de police. Demain, Ambre, Sophie et Christiane allaient prendre l’avion avec deux de ses cousins qui rentrait à Dakar. Leur formation continuerait là-bas. Un de ses cousins est propriétaire d’un bordel. Maurice lui prêterait sans doute sa femme aussi. Jean-Yves continuerait à être le soumis de Katia. Et le sien. Il apprenait vite. Il fait des pipes sans rechigner maintenant.
Tel est pris qui croyait prendre. Il arrive parfois que l’élève dépasse le Maître. Christian Panaris toujours ficelé regarde sa femme se faire défoncer par ces blacks qui la ramone lui arrachant parfois un gémissement de plaisir. La bouche ouverte, elle halète sous les coups de reins violents et l’énorme queue qu’elle suce lui déforme la mâchoire. Il tourne la tête en entendant les cris de jouissance de Diop qui asperge de foutre le visage de Jean-Yves. Sophie gémit à chaque coup de reins du cousin de Diop qui l’encule et Ambre, la douce Ambre, pompe le chibre d’un black avec un plaisir immonde qui lui déforme son visage de Madone.
Katia s’approcha de Panaris, un fouet à la main et commença à le détacher.
- Allez lopette ! dessape-toi, je te veux cul nu et à genoux, il est temps de commencer ton éducation.
Leur longue descente dans l’enfer du vice ne faisait que commencer.
FIN
j'aime trop cette histoire de déchéance ,dommage que cela se termine
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