mardi 24 juillet 2018

Ma mère Martine chapitre 08

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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Ma mère en boite.

Bonjour, c'est Julien, 21 ans et étudiant en licence en faculté de lettre moderne. Voici donc la suite des évènements qui se sont produits en Octobre.

Pour ceux qui découvrent mes histoires, sachez que ma mère, Martine, est victime d'un odieux chantage de la part d'un proxénète pervers. En effet, ce salopard menace de tout raconter à mon père, Dominique, des exploits sexuels de ma mère si elle refuse de lui obéir. Très attachée à la cohésion familiale, elle n'a nul autre choix que de se soumettre aux volontés de celui-ci.

Il la force donc à venir une fois par semaine dans mon studio faire la pute pour son compte. Et ce n'est pas tout, voilà qu'il envisage de faire des films de cul vraiment hard avec elle et l'incite même à augmenter le volume de ses seins qui je le rappelle, sont déjà énormes.

Ma mère est bien piégée et soumise à cet ignoble salopard bien disposé à utiliser ses atouts. Même si je trouve cela ignoble, il faut reconnaître que maman est un peu responsable de ce qui lui arrive. Elle a un peu trop abusé de l'alcool cette fameuse soirée et, désinhibée, (et cela je tiens à le souligner) a fait le trottoir, complètement à poil et de son plein gré. La voilà maintenant obligée de vendre son corps pour le compte de quelqu'un.

Le Jeudi soir ou le Samedi, elle prétexte venir me voir afin de se livrer à sa nouvelle activité. Cela est de plus en plus gênant, car elle vient dans des tenues vraiment sexy. Les voisins se posent des tas de questions même si je leur ai annoncé plusieurs fois que cette femme provocante et à l'opulente poitrine, est ma propre mère.

L'ennui, c'est qu'il lui arrive de faire monter des hommes en journée et de baiser dans mon studio.

Le soir, elle passe une bonne heure à se préparer, se parfumer et se maquiller. Elle boit un peu pour se désinhiber (en général, nous prenons un apéro ensemble).

Nous discutons normalement comme une mère avec son fils même si ses tenues me font souvent oublier qu'elle est ma génitrice. Je l'aime comme un fils aime sa mère mais le problème est qu'il m'arrive de temps en temps d'avoir la gaule en la regardant car elle est vraiment bandante.

Nous tentons de parler d'autres choses que ce qui nous arrive actuellement même si nos conversations parlent beaucoup de sexe.

Puis, on frappe à la porte et des gars louches viennent l'escorter. Ils n'hésitent plus à monter jusqu'à mon studio pour venir la chercher. Ils ont des visages patibulaires mais ma mère les suit sans broncher plutôt souriante et ce, dans des tenues provocantes.

Bref, désirant changer d'ambiance, je décide de rentrer sur Nantes. Vendredi, nous passons une soirée réunis en famille avec mon père, ma sœur, son petit copain et bien sûr ma mère habillée en bourgeoise. Cela me fait du bien de retrouver ma famille dans sa totalité.

Samedi, en fin d'après-midi, deux amis me rendent visite : il s'agit de Jean Luc et Éric. Je suis vraiment heureux de les revoir. Nous discutons de nos orientations respectives et ce que nous envisageons de faire dans l'avenir. Je leur indique mon souhait de devenir professeur de lettre. Ils semblent approuver et m'encouragent fortement à ne pas lâcher prise. Nous parlons également de filles et surtout du fait que je n'ai pas de copine à l'heure actuelle. C'est vrai qu'un peu de tendresse ne me ferait pas de mal.

Nous allions poursuivre dans ce sens lorsqu'une femme mature, aux formes voluptueuses et à l'opulente poitrine, pénètre dans la cuisine où nous sommes attablés. Elle mesure environ 1m64. Ses cheveux sont bruns, coupés au carré, et elle a des yeux couleur noisette. Son visage ressemble un peu à la présentatrice, Evelyne T. et elle est outrageusement maquillée.

Ses superbes lèvres sont pulpeuses et mises en valeur par un beau rouge à lèvres. Ce qui frappe surtout, c'est la taille de sa poitrine que l'on distingue aisément à travers son chemisier en dentelle blanc. Non seulement, son décolleté est plus que raisonnable mais le tissu du chemisier est tellement diaphane, que l'on voit son soutien-gorge blanc à armature et en dentelle. Il maintient son énorme poitrine largement visible à travers le tissu fin. On peut également remarquer la couleur de la peau de son ventre ainsi que son nombril. Elle porte une mini-jupe en jean, fendu sur le devant et qui lui arrive à mi-cuisse. Elle ne porte pas de bas mais elle possède de superbes jambes bronzées et bien entretenues. Elle marche pied nu sur le carrelage de la cuisine et semble un peu surprise de nous voir. Cette femme provocante (et les lecteurs l'auront reconnus) n'est autre que ma mère Martine.

Mes deux copains sont surpris de la voir habillée de la sorte et ont du mal à la reconnaître. Il faut dire qu'autrefois, maman était plutôt puritaine et s'habillait de façon très prude. Le tailleur-jupe était de rigueur et le sexe tabou dans la maison. Ils la considéraient comme une mère très austère (ils n'avaient pas tort) et imbue d'elle-même du fait de sa position sociale.

Heureusement, ma mère reste certes une bourgeoise mais a terriblement changée au niveau de ses mœurs. En la regardant, ils ont du mal à s'imaginer que cette femme est ma mère. D'autant plus qu'elle possède un corps très bien conservé pour son âge (on lui reprochera seulement un peu d'embonpoint au niveau des hanches suite à ses deux grossesses).

De visage, elle paraît facilement avoir dix ans de moins. Tout en souriant, elle se penche pour leur dire bonjour et croyez-moi, mes potes ne se gêne pas pour lorgner ses énormes seins largement visibles à travers l'échancrure de son chemisier.

Il émane de son corps une forte odeur de parfum féminin qui rajoute un plus de sensualité. Je devine leurs pensées salaces et cela me fait honte. Visiblement, maman ne s'attendait pas à ce que je reçoive quelqu'un. Heureusement qu'elle a mis un soutien-gorge car en général, elle n'en porte jamais.

La voilà qui se dirige vers le frigidaire et qui en sort un yaourt à 0 %. Elle se penche et mes copains matent son cul du coin de l'œil. La voilà qui repart tranquillement dans le salon nous laissant échauffés par une scène aussi érotique.

Histoire de détendre l'atmosphère, je sors quelques bières bien fraîches et nous voilà en train de parler de ma mère. L'alcool aidant, les langues se délient et nous voilà en train de fantasmer sur les gros nichons de maman. Jean-Luc commence :

- Dis donc, elle a vraiment changé ta mère. C'est fou, je l'avais jamais vu comme ça!

- Oui, j'ai du mal à y croire aussi mais je la préfère comme ça!

Éric sourit :

- En tous cas, nous aussi et elle a vraiment de très gros seins!

- Ça tu peux le dire, je n'en ai jamais vu d'aussi gros et je n'avais pas fait gaffe avant!

- Normal, elle les cachait derrière des tailleurs jupe! elle en avait honte!

- Eh ben, moi, j'en connais des filles qui aimeraient avoir une paire de loches comme les siennes! Dans sa jeunesse, elle a dû s'en taper des mecs!

Je leur explique que ma mère vient d'un milieu bourgeois et puritain. Elle s'est mariée à 21 ans et n'a pas connu d'autres hommes avant mon père. Jean-Luc dit :

- Eh ben, c'est dommage! Ton père en a de la veine.

Là aussi, je leur indique que mon père est un fou de travail et qu'il passe peu de temps avec elle. Jean-Luc me répond :

- Elle devrait se prendre un ou plusieurs amants! C'est clair! Elle a vraiment un corps splendide.

Éric reprend :

- Moi ce que je peux dire, c'est que ma mère a fait ça et que ça a failli finir en divorce. Mes parents ont mis du temps à recoller les morceaux.

Nous continuons à parler de cul et de ma mère lorsque que Jean-Luc propose d'aller en boite ce soir :

- En tous cas ce soir j'ai envie de m'éclater!

C'est avec joie que j'accepte la proposition, d'autant plus que ça fait une paye que je ne suis pas sorti avec des amis. Éric reprend :

- T'as qu'à dire à ta mère de venir avec nous.

- Pourquoi pas! Elle me reproche de ne plus sortir avec elle ces derniers temps. Je vais lui demander.

Je fonce au salon et, à ma grande surprise, ma mère a enfilé un tailleur-jupe. Je lui fais part de ma proposition mais elle répond que ce n'est pas possible. Ce soir, elle va au restaurant avec mon père. Déçu mais content que mes parents se retrouvent, je retourne annoncer la nouvelle à mes copains.

Eux aussi sont déçus mais, rapidement le désir de faire la fête nous reprend.

Nous partons vers 19h30 et entamons une tournée des bars. Nous vidons quelques verres mais question filles, ce n'est pas ça. Il est 23h30, c'est un peu tôt, mais nous décidons de poursuivre la soirée en boite de nuit. Elle est excentrée et réputée pour l'ambiance un peu houleuse. Ceci dit, les filles sont peu farouches en règle générale et nous espérons bien faire quelques rencontres.

Il n'y a pas beaucoup de monde pour le moment et nous passons une commande. Nous voilà assis en train de regarder en silence les nanas. J'en repère une au teint mat qui me plait bien. Elle doit avoir des origines Nord-Africaine et je dois avouer mon attirance pour les filles aux origines étrangères.

Une bonne heure plus tard, la piste est remplie et la fête commence. Je décide de tenter ma chance. Je la rejoins donc sur la piste et danse avec elle. La chance semble être avec moi car le courant passe. Je l'accompagne vers le bar et nous buvons un verre tout en discutant. Elle s'appelle Nada et sa mère est marocaine. Ceci dit, elle est née en France et ne retourne au pays qu'en de rares occasions. Elle est en seconde année de droit et rêve de devenir avocate. Nous décidons de sortir et de traîner sur le parking. Nada prend l'initiative et commence à m'embrasser. Puis nous allons jusqu'à sa Clio et nous voilà en train de nous bécoter. Je commence à la peloter un peu mais elle ne semble pas très coopérative et je dois donc réfréner mes ardeurs. Soudain mon portable sonne.

Instinctivement je réponds (et je le regrette d'ailleurs). La voix est celle de ma mère qui semble agacée voire même pas très contente du tout. Elle commence à me parler de sa soirée avec mon père qui avait bien commencé au restaurant. Hélas, ils se sont un peu disputés au sujet de l'opération des seins de ma mère. Elle compte en effet se faire augmenter la taille de sa poitrine déjà opulente.

- Il a accepté que tu te fasses grossir les seins?

Ma mère est un peu en colère :

- Excuse-moi mon pauvre chéri mais je suis furieuse! Oui, on en a discuté et à force d'insister il a fini par accepté à condition que je ne mette pas de décolleté échancré en public.

- Mais maman, je ne comprends pas pourquoi. A quoi bon te faire faire une grosse poitrine si ce n'est pas pour la montrer?

- Je sais bien mon chéri mais tu connais ton père et ses principes. Il dit que cela n'est pas convenable et que cela ferait jaser la famille, nos amis et nos voisins.

- L'essentiel c'est qu'il a fini par accepter. Je ne vois pas pourquoi tu es en colère.

- Il a accepté mais ma soirée a été insupportable et en plus, en entrant nous avons fait l'amour.

- Mais où est le problème alors?

- Le problème, c'est que l'amour avec ton père ça dure 5 minutes et le voilà qui dort comme un loir. Je suis furieuse!

Je profite immédiatement de l'occasion :

- Dis, pourquoi tu ne nous rejoindrais pas en boite. Je suis avec Jean Luc et Éric.

- Je ne sais pas trop! tu sais ton père est là et...

Je parviens finalement à la convaincre mais lui recommande de venir habillée sexy mais en mettant des sous-vêtements pour éviter les problèmes. Elle accepte de venir.

Pendant la conversation, Nada s'est éloignée fumer une cigarette, frustrée d'avoir été interrompue. Nous regagnons la boite et là, elle me plaque subitement. Je suis abasourdi et rejoins mes copains pour qui la soirée a été peu fructueuse en ce qui concerne les filles.

Je leur annonce que ma mère va venir nous rejoindre et ils semblent plutôt contents. Je suis amer tout en regardant à nouveau Nada qui danse sur la piste avec déjà un autre mec.

Au bout de trois quarts d'heure, ma mère nous rejoint enfin. Elle a remis sa tenue de tout à l'heure mais elle a troqué sa mini-jupe en jean par une mini-jupe en cuir noir, vraiment très courte, qui lui arrive à ras les fesses. Elle porte également des mules en cuir noir, lacées aux chevilles, où l'on peut voir ses doigts de pied recouverts d'un superbe vernis rutilant de couleur crème.

Comme elle a remis son chemisier transparent, on peut noter qu'elle a changé de soutien-gorge. Il est noir maintenant, mais en dentelle avec de fines bretelles. L'échancrure du soutien-gorge est vraiment terriblement exagérée et on a l'impression que le soutif va exploser tant son contenu est volumineux.

On peut voir tous les regards converger vers cette femme provocante et aux gros seins. Les mâles de la salle n'hésitent pas à regarder ses jambes, son cul et ses gros nichons. Sa démarche est exagérée et elle roule bien des fesses tout en bombant sa poitrine afin de bien en exhiber l'opulence. Je crois qu'elle s'amuse de cet effet provoqué, mais rapidement sa démarche redevient normale et elle nous rejoint enfin.

Elle s'assoit entre Jean-Luc et moi tout en croisant les jambes. On lui a commandé un petit cocktail bien corsé, histoire de la désinhiber. Ma mère ne se fait pas prier et le déguste tout en demandant :

- Alors les jeunes, vous ne vous ennuyez pas trop?

Mes copains ne savent pas quoi répondre car ils sont un peu gênés de parler avec cette femme au corps plantureux qui est ma propre mère. Ils ont encore du mal à réaliser que cette femme qui est devant eux est la même femme puritaine qu'ils ont connu depuis tout petit. Nous discutons un peu de la soirée que nous avons passé et ma mère regarde la piste de danse et dit :

- Allez les jeunes, on va danser!

Bien sûr, mes potes la suivent et dansent avec elle dans la masse compacte de la piste enfumée. Moi, je reste à les regarder, encore ennuyé par mon échec avec Nada.

Au bout de 5 minutes ma mère se retrouve entourée par une bande de jeune âgés entre 18 et 20 ans. Ceux-ci éclipsent mes copains. Ils semblent être effectivement du même groupe. Ils ont remarqué cette femme à la mini-jupe et à l'opulente poitrine qui s'éclate sur la piste de danse.

Le fait qu'elle ait l'âge d'être leur mère les excite aussi beaucoup. En tous cas, ils la collent de plus en plus et on devine qu'ils ont la ferme intention de s'amuser avec elle. Elle l'a remarqué mais ne dit rien et continue de danser.

Son soutien-gorge n'empêche pas ses gros seins de ballotter de haut en bas et on a vraiment l'impression que sa grosse poitrine va faire éclater le soutif. Comme elle commence à suer un peu, le chemisier fin commence à lui coller à la peau et épouse ses formes.

D'ailleurs, il n'y a pas que les jeunes qui ont remarqué ça. D'autres hommes reluquent maman du coin de l'œil sans oser trop dire.

Dans l'action, un jeune beur d'un peu plus de dix-huit ans lui caresse les fesses. Maman, vexée, réagit et lui envoie une gifle en l'engueulant :

- Espèce de jeune voyou mal élevé, tu te prends pour qui? Mais quel culot!

Le jeune est surpris et ne s'y attendait pas du tout. Ma mère, furieuse, continue à l'enguirlander et ose même une insulte à caractère xénophobe que je ne citerai pas en toute décence. Deux videurs interviennent et font alors partir les jeunes sans qu'il n'y ait d'incidents.

Ma mère est outrée par ce type de comportement et nous rejoint pour finir son verre. La voilà qui commence à émettre des commentaires douteux à propos des jeunes de cité.

Je pensais qu'elle n'avait plu ce genre d'idées depuis ma copine Lucy (qui était d'origine africaine). J'ai un peu honte de sa réaction et je mets cela sur le compte de la colère. Elle se commande un autre verre, en boit deux gorgées et repart danser.

Mes copains sont à nouveau avec elle et ont les yeux rivés sur son monstrueux décolleté. D'autres gars tentent de draguer ma mère mais ce soir elle n'est pas d'humeur. Au bout d'un moment, elle se rend aux toilettes.

Lorsqu'elle ressort un jeune la colle. Elle sent sur son ventre une lame de couteau.

- Toi ma salope, tu vas me suivre et tu n'as pas intérêt de gueuler sinon...

Ma mère commence à paniquer mais elle sent la lame froide piquer dangereusement son abdomen au niveau de son nombril. Il passe son bras autour d'elle en faisant mine d'être son ami. Là, discrètement, il l'entraîne vers la sortie sous le nez des videurs qui ne remarquent rien.

Ma mère lutte pour ne pas pleurer, se débattre et appeler à l'aide. La pression de la lame sur son ventre la fait réfléchir et son bon sens l'emporte. Éric a vu la scène de loin et me signale que maman est sorti avec un mec bizarre.

Intrigués, nous décidons de les suivre discrètement.

Le jeune homme entraîne ma mère sur le parking où un monospace l'attend. Des jeunes en sortent et nous reconnaissons vaguement le groupe de tout à l'heure.

- Alors sale bourgeoise, on n'est pas assez bien pour toi.

Le jeune beur qui s'est fait giflé s'avance vers elle et lui donne une belle claque. Ma mère est surprise à son tour. Puis elle est agrippée et poussée dans l'auto. Les jeunes la suivent et le véhicule démarre. Il part se garer dans un coin du parking situé dans la pénombre et suffisamment éloigné de la boite.

Mes potes et moi sommes discrets et nous nous cachons derrière les véhicules garés en épis. Nous approchons prudemment.

Les jeunes qui sont au nombre de sept sortent du véhicule en entraînant ma mère avec eux. Là, ils l'entourent et certains sortent des couteaux devant les yeux épouvantés de maman.

- Alors on fait moins la fière maintenant! Je te préviens que tu n'as pas intérêt de hurler sinon cela va mal se terminer pour toi.

Cachés derrière une voiture et masqués en partie par la pénombre, nous restons là à regarder la scène sans savoir quoi faire. Je commence à m'inquiéter pour ma mère qui est menacée.

- Alors la bourgeoise, on s'habille comme une salope et on fait la sainte nitouche dès qu'on se fait toucher les fesses. Et en plus t'as traité Mourad de sale...

L'un d'eux, un blanc avec une casquette rouge, la reluque d'un air méprisant :

- Cette salope mérite une bonne leçon de savoir vivre.

Tous sont d'accord pour humilier cette bourgeoise. Un jeune la maintient fermement par les bras tandis que le blanc à la casquette tend son couteau à Mourad.

- Elle t'a traité de sale... A toi l'honneur!

Le jeune la regarde :

- Tu vois, moi je respecte les meufs et même si je me ramasse des râteaux et même des baffes, ça fait partie du jeu. Mais tu n'aurais pas dû me traiter de sale...Ça, ça se dit pas.

Le jeune s'empare du chemisier blanc et commence à faire sauter les petits boutons un à un en prenant son temps. Ma mère ferme les yeux et pleurniche. Que peut-elle faire face à ces jeunes armés de couteaux. Ma mère sanglote :

- S'il vous plait, je...je m'excuse, je ne voulais pas dire du mal à votre camarade.

Mourad continue son opération et cela lui plait de faire chialer celle qu'il considère comme une bourgeoise raciste. Il parvient en bas du chemisier et vire le dernier bouton. Tous lorgnent inévitablement sur les gros seins de ma mère emprisonnés dans le soutien-gorge noir en dentelle.

On lui enlève violemment son chemisier qui est tailladée et réduit en charpie. On disperse ensuite les morceaux dans le parking. Ma mère se retrouve donc en soutien-gorge et à la merci de ces jeunes loin d'en avoir fini avec elle.

Les jeunes dévorent sa poitrine du regard. Ils n'ont jamais vu de seins aussi énormes hormis dans des films de cul peut-être.

- Bordel, la bourge elle a vraiment de gros seins!

Mourad reste à contempler cette poitrine si provocante. Le soutien-gorge noir contraste avec la peau et souligne encore plus la grosseur de sa poitrine. Les globes mammaires ressortent par le haut comme deux ballons compressés. Les insultes fusent. Ma mère est traitée de pute à gros nichons, vache à lait, de bourgeoise salope, etc....

- Allez, montre-nous tes seins maintenant! Ils sont si gros qu'ils ne demandent qu'à sortir.

Ma mère refuse mais on la gifle et la menace à nouveau.

- Enlève ton soutien-gorge et vite!

Ma pauvre mère s'exécute et dégrafe maladroitement le soutif. Elle enlève les fines bretelles l'une après l'autre. L'un des jeunes dit en rigolant « Madame à du goût » mais il se tait lorsqu'il aperçoit les gros seins de maman qui tombent lourdement enfin libérés et exposés à la vue de tous.

- Vous avez vu ses gros nichons les mecs? On dirait une actrice de film de cul.

On lui arrache le soutif des mains et certains l'examinent fascinés. Il est noir, en dentelle et délicat au touché. Mourad, le premier, plaque ses mains sur les gros seins laiteux et les soupèse en les exhibant à ses copains.

- Regardez-moi, ça! Y'a de quoi allaiter tout un régiment.

Il les malaxe lentement. Ma mère, sensible des seins, commence à gémir et ses tétons durcissent. Mourad commence à les téter et pose sa bouche autour des larges auréoles brunes. Ma mère respire de plus en plus fort et ne peut s'empêcher de gémir de façon explicite. Là par contre les choses se précipitent. Voyant cela, deux autres décident de se joindre à Mourad et la mini- jupe en cuir lui ait enlevé sans ménagement. Elle est déchirée, lacérée de coups de couteaux et subit le même sort que le chemisier.

Mes potes et moi sommes subjugués par cette scène de viol qui pourtant devrait nous traumatiser et nous faire réagir. Je réalise notre perversion et en particulier la mienne : celle de mater ma propre mère en train de se faire violer. J'ai à la fois si honte de mon attitude mais je suis si excité. Le tabou de la situation nous excite tous les trois et aucun ne réagit devant la situation. Pas un ne songe à détourner le regard de cette scène pourtant si condamnable.

Les jeunes lui enlèvent son beau string noir qui lui rentrait si bien dans la raie des fesses. Ils le font glisser le long de ses jambes nues. Son string, lui aussi en dentelle, fait le tour des jeunes qui vont jusqu'à le renifler comme des chiens en rut.

- En tous cas, la bourgeoise sait choisir ses soutifs!

Cette fois, ma mère n'a plus que pour seul vêtement ses mules noires. Son chemisier et sa mini-jupe sont déchiquetés et répandus aux quatre coins du parking. Ses sous-vêtements sont confisqués et gardés comme trophées. La voilà belle et bien nue, son cul, sa chatte et ses gros seins à l'air dans ce parking et à la merci de ces jeunes.

Maintenant, on s'amuse à la tripoter, à se la passer comme un pantin. On la gifle et on lui roule des patins bien baveux tout en la traitant de tous les noms. On s'affaire activement sur ses gros seins aux larges auréoles brunes qui ballottent lourdement dans tous les sens. Des doigts s'insinuent dans sa chatte et son anus histoire de la préparer à recevoir des bites bien excitées. Pendant dix bonnes minutes, on explore tous ses orifices en concluant que de toute façon, ce n'était pas la première fois qu'une bite explorait sa bouche, son vagin et surtout son trou du cul.

Ma mère ne réagit plus et se laisse faire. Elle commence à éprouver du plaisir à se faire palper par ses jeunes qui pourraient être ses fils. Elle aime beaucoup sentir ces mains pétrir ses seins, les sucer et les lécher. Malgré la volonté d'humilier ma mère, les jeunes prennent plaisir à s'occuper de cette paire de loches.

Elle sent son sexe mouiller et le plaisir la gagner peu à peu. Après tout, cela ne la change pas beaucoup de ce qu'elle fait dans mon studio. Alors, pourquoi faire tous ces chichis. C'est pour cela, d'ailleurs, qu'elle ne dit rien lorsqu'on la force à se mettre à quatre pattes et lorsqu'une bite s'enfourne dans sa bouche. Habituée et même experte en fellation, ma mère suce machinalement l'homme.

Rassurez-vous, à la tête qu'elle fait, on voit bien qu'elle éprouve un plaisir indéniable à piper le jeune homme. La queue déforme sa bouche goulue et sa langue nettoie le sexe du gars. Au bout de quelques secondes, ne pouvant plus se retenir, le jeune explose et éjacule sur le visage de ma mère.

Le sperme chaud dégouline sur son visage et coule sur ses gros seins. Elle se met à se les lécher de façon perverse devant les yeux médusés des jeunes.

Éric, de son coté, a sorti sa queue et se branle sans se soucier de Jean-Luc et moi. Les autres sortent leur sexe et ma mère commence à les piper tour à tout et de façon professionnelle.

La scène est vraiment perverse. Nous sommes trois potes, en train de regarder ma propre mère se faire violer (Même si ce n'est plus un viol maintenant). Le sperme gicle à flot et maman tente d'en avaler le plus possible. Son visage est inondé et ses nichons énormes sont recouverts de foutre chaud qui dégouline sur son ventre jusqu'à son nombril.

Les jeunes éjaculent par grosses saccades et la plupart sont vidés avant d'avoir pu l'enculer. Les derniers qui ont pu se retenir lui écartent les fesses et la sodomisent brutalement.

Fort heureusement pour ma mère, c'est loin d'être sa première sodomie et les bites rentrent dans son cul comme dans du beurre.

A ce moment, Jean-Luc ne peut plus se retenir et à son tour il se branle en voyant ma propre mère se faire enculer. Elle accompagne les va et vient par des ondulations du bassin. Les jeunes enfoncent leur queue tour à tour, à la chaîne et éjaculent de toute leur force dans ce trou du cul de bourgeoise qu'ils se plaisent à défoncer. Ma mère gémit de bonheur à sentir cette semence chaude remplir ses entrailles. Cela lui plait d'être prise de cette façon et de se sentir soumise à ces jeunes.

Epuisés, Les jeunes laissent ma mère reprendre ses esprits. On a l'impression que son visage est recouvert d'un mascara de sperme. Ce qui est dommage, c'est qu'il soit mélangé à son beau maquillage. Ses gros seins en sueur sont enduits de sperme. Elle en a également sur le ventre. Son anus est en feu car les jeunes étaient fougueux et ils n'y sont pas aller de mains mortes.

- Toi, t'es une sacrée salope! Un véritable garage à bite!

Ma mère ne réagit pas aux insultes. On la relève.

- Ce serait dommage de ne pas profiter un peu plus longtemps de cette salope aux gros seins, vous croyez pas?

Tous sont d'accord et la forcent à rentrer à nouveau dans la voiture. L'intérieur pue la cigarette, l'alcool et les substances prohibées. La musique est assourdissante. Pendant le trajet, les jeunes n'hésitent pas à la peloter, à la doigter et à lui caresser les seins.

Nous décidons de suivre le véhicule et nous nous précipitons vers la voiture d'Éric. Nous prenons vraiment des risques car pour pas nous faire repérer, nous roulons phare éteint. Au bout d'un quart d'heure, leur voiture arrive dans une cité que je connais bien puisque c'est ici que j'ai connu ma copine Lucy. Nous nous garons un peu devant et nous sortons du véhicule. Leur véhicule se gare et les jeunes en sortent. Ils tirent maman hors de l'auto. Elle boit une bière. Comme elle est secouée, l'alcool lui éclabousse le visage et coule sur ses nichons.

- T'inquiète la bourge, y'en a plein d'autres et c'est gratuit pour toi.

Les voilà qui entre dans un HLM, direction les caves. Maman, à poil, les suit sans la moindre hésitation. Elle sait ce qu'il l'attend et ne veut pas se défiler, bien au contraire. La voilà contente à l'idée de se faire violer dans ce lieu. Il fait froid et l'odeur y est infect.

Ils arrivent dans une cave où l'on peut entendre des rires. Au bout, il y'a une bonne quinzaine de jeunes de toutes nationalités et sévèrement entamés par l'alcool. Il y'a un matelas pourri plaqué contre le mur. Le sol est jonché de détritus divers : on y trouve des mégots de cigarettes, des bouteilles vides, des sacs plastiques et même des capotes usagées. Une véritable porcherie. Les murs sont humides, délabrés, recouverts de graffitis mal foutus.

Nous parvenons à les suivre tout en nous tenant à distance raisonnable. La visibilité n'est pas des meilleures. Mais on ne peut aller plus loin de peur de se faire surprendre.

Dans la cave, tous les jeunes reluquent le corps de ma mère et tous sont complètement fascinés par son opulente poitrine. On lui a de nouveau tendu une bouteille de bière qu'elle vide presque d'un trait.

- Les gars ne vous gênez pas, c'est une vraie salope! une pro du cul! Et en plus, elle a traité Mourad de ...

- Quoi? tu n'aimes pas les Arabes on dirait! Espèce de bourgeoise fasciste! Faites la boire cette salope, on va lui montrer, pas vrai les gars?

Concentrés sur la scène, nous n'entendons pas les pas derrière nous. Soudain, nous voilà bousculés et frappés par une bande de jeunes de la cité qui rejoignaient leurs copains. On nous emmène devant la petite assemblée. Ma mère, horriblement gênée, s'écrit :

- Julien? mais qu'est-ce que tu fais ici?

- C'est quoi cette histoire? Tu les connais ces trois-là?

Ma mère répond toute tremblante :

- Bien sûr, Julien est mon fils et ces trois-là sont ses copains d'enfance.

Le blanc à la casquette dit :

- Mais vous nous avez suivis de la boite jusqu'ici. Ce qui veut dire que vous avez tout regardé. Tu as regardé ta propre mère se faire violer sans rien faire. Quel pervers, je n'ai jamais vu ça! Mais tu n'inquiètes pas, tu vas pouvoir te rincer l'œil, crois-moi.

Le gars à la casquette pousse ma mère vers les jeunes. Ceux-ci s'emparent d'elle sans délicatesse et recommencent à la tripoter. Tous veulent toucher ses gros seins et ce sont des dizaines de mains qui lui malaxent les nichons. La chose est faite de manière rude et cela devient douloureux pour sa poitrine malmenée. Les jeunes s'en fichent et continuent à l'assaillir de toute part. Ils n'hésitent pas à tirer sur ses énormes seins comme des sacs à patate.

Elle est entraînée sur le matelas qui est par terre maintenant. Là, les jeunes lui écartent les bras et les jambes. Elle est comme écartelée sur le matelas, ses orifices bien à la vue de tous. Les gars sont toujours affairés sur ses seins décidément si gros. Cette fois, ils les lèchent, les sucent et les embrassent de manière si vigoureuse que l'on voit la marque des suçons. Cela ne l'empêche pas d'être doigtée à plusieurs reprises à la fois dans son anus et son vagin.

La scène est vraiment perverse car on a l'impression d'une bande de fauve se disputant une proie sans défense. L'un d'entre eux grimpe sur elle, s'accroupit au niveau de sa poitrine et glisse son énorme sexe entre ses deux nichons. Il entame une branlette entre les deux grosses loches de ma mère à sa merci. Il presse les énormes seins autour de sa queue et effectue des va-et-vient. Il finit par lui éjaculer dessus. Sa grosse poitrine est inondée à nouveau ainsi qu'une partie de son visage.

Un autre la pénètre par le vagin et se libère de façon bestiale, répandant sa semence dans les entrailles de ma génitrice.

Afin de l'exciter davantage, on la force à boire une bouteille de bière. La bouteille est aussitôt remplacée par la queue d'un jeune excité. La voilà en train de sucer un mec qui ne tarde pas à lui inonder le gosier de son foutre chaud. On lui écarte encore plus les cuisses et on expose son sexe.

- Regardez cette belle toison, je me demande combien de bites ont pénétré à l'intérieur?

Un autre reprend :

- Moi je me demande la taille qu'elle pourrait supporter.

Là il finit sa bière et introduit la canette dans le sexe de ma mère dont le corps est assailli de toute part. On la relève et cette fois, elle a droit à une canette dans l'anus sous les rires pervers de l'assemblée.

- Allez la bourgeoise, essaie de marcher un peu.

On la fait boire à nouveau et, à moitié ivre, elle marche avec les deux bouteilles dans ses orifices. On la force à se remettre à quatre pattes et la voilà repartie à engouffrer des bites à la chaîne.

Entre temps, d'autres jeunes sont arrivés et participent à la fête. Sa bouche semble insatiable et le sperme gicle à flots. Après lui avoir retiré les bouteilles, les jeunes se relayent et l'enculent sauvagement. Sa bouche et son anus sont en feu mais cela ne l'empêche pas de gémir de bonheur.

Heureuse, elle se laisse à nouveau allonger sur le matelas. Là, ceux qui ont encore de la force se mettent en cercle, se branlent et lui offrent un magnifique bain de sperme. La semence lui coule sur tout le corps et elle s'en badigeonne les cuisses, le ventre et ses gros seins. Soudain elle s'écrie :

- Pissez-moi dessus, allez-y! Vite!! je vous en supplie!

Les jeunes sont abasourdis devant une telle perversion mais se ressaisissent vite. Ils se repositionnent à nouveau autour d'elle et lui urinent dessus. Mes copains et moi observons la scène avec dégoût, l'urine se mélangeant au sperme, à la sueur et à l'alcool. Nous la voyons même boire la pisse d'un de ses partenaires.

Ma mère est méconnaissable. Son corps nu est entièrement souillé de la tête au pied. Ses orifices en feu dégoulinent de sperme et elle gémit de bonheur se sentant bien pleine. Les jeunes désertent un à un la cave, épuisés mais heureux d'avoir pu humilier et baiser cette bourgeoise qui n'est autre que ma mère.

L'homme à la casquette me regarde :

- Eh ben, ta mère c'est une belle salope. Je n'ai jamais vu ça. On vous laisse partir mais à condition que tu donnes ton adresse pour qu'on lui rende visite de temps en temps.

-

Ma mère, qui se remet à peine de ses émotions, se relève décidée et c'est elle même qui lui donne l'adresse où nous habitons. Heureux, le jeune s'éloigne et va donner l'information à tous ses amis du quartier qui ne manqueront pas de venir lui rendre une petite visite de temps à autre.

- Maman, tu es complètement folle d'avoir fait ça.

Ma mère, toujours nue et ruisselante de souillure, nous dit seulement qu'il est temps de rentrer. Elle invite même mes copains à dormir à la maison.

Le lendemain, ma mère et mon père sont levés les premiers. Papa n'a rien remarqué cette nuit, il dormait trop profondément. Ma mère a fait un brin de toilette en revenant ce matin avec nous et s'est glissée discrètement dans le lit conjugal.

Elle porte un peignoir. Mon père remarque les cernes de maman :

- Chérie tu n'as pas bien dormie?

- Un peu d'insomnie à cause du vin d'hier soir au restaurant sans doute, mais j'irai faire une sieste cet après-midi.

Mon père est de bonne humeur :

- Je vais faire un saut à la boite et je serais là vers 16h00. On ira en balade après.

Ma mère lui sourit et lui dit :

- Prends ton temps mon chéri!

Sur ce, ils s'embrassent et mon père part bosser un dimanche matin. Mes copains et moi nous réveillons à peu près en même temps. Nous rejoignons maman dans la cuisine. Elle a enlevé son peignoir et se trouve en nuisette transparente et sans sous-vêtements.

- Bonjour les petits vicieux!

Personne ne dit rien mais tout le monde a le regard scotché sur l'énorme poitrine aux larges auréoles brunes bien visible à travers le fin tissu. On se chope tous une gaule de folie. Ma mère continue :

- J'espère que personne n'entendra parler de ce qui s'est passé cette nuit.

Mes amis jurent qu'ils ne diront rien.

- Bon, puisque vous êtes gentils, je vais vous faire une gâterie.

Elle enlève sa nuisette et se retrouve à poil devant nous. Elle enfourne le sexe d'Éric dans sa bouche et branle Jean-Luc. Ils ne mettent pas longtemps à éjaculer. Bien sûr, ma mère n'en perd pas une goutte.

- Vous voilà dans la confidence maintenant. Désormais, vous aussi, vous pourrez venir me voir si vous avez besoin de quelque chose. Dit-elle en souriant.

Ma mère mène maintenant une intense vie sexuelle. Sur Nantes, elle reçoit des jeunes en journée dans la maison familiale. En règle générale, elle les reçoit à des heures particulières pour éviter que mon père se doute de quelque chose.

Elle est souvent en peignoir mais totalement nue en dessous. Selon ce qu'elle me dit, ça défile de plus en plus chez nous et les jeunes se donnent le mot. Il lui arrive même d'aller faire des courses l'après midi et de bifurquer vers la cité. Elle n'a pas peur de se promener dans les quartiers les plus chauds outrageusement maquillée, en mini-jupe et en chemisier transparent au large décolleté mettant en valeur son opulente poitrine.

Inutile de vous dire qu'il lui arrive très souvent d'être entraînée dans une cave où elle subit les derniers outrages mais pour son plus grand plaisir.

Rassurez-vous, elle continue de venir régulièrement dans mon studio et fait toujours le trottoir. Elle a rendez-vous fin Novembre pour se faire grossir les seins. En attendant, elle fréquente assidûment les instituts de beauté car son corps est devenu très important pour elle. Comme vous pouvez le constater, ma mère est devenue une femme très active, passionnée par le sexe. Pour le moment, je n'ai pas de nouvelle en ce qui concerne un éventuel film de cul fait avec elle comme actrice principale.

Ce qui est sûr, c'est que bien des malheurs l'attendent et elle n'en a pas fini de toucher le fond...

A suivre......

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