Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.
Récit de Gabrieldutour
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Ma mère sur le trottoir – 2ème partie.
Mes parents sont de retour de vacance. Ils reviennent de chez mes grands-parents paternels et semblent avoir passé un agréable séjour comme un couple normal.
Ma mère m'a téléphoné et bien sûr, m'a demandé si elle pouvait faire un saut dans mon studio. On peut sentir à sa voix, son impatience à venir me rendre visite.
Mon père, quant à lui, ne se préoccupe pas de savoir pourquoi elle y reste deux jours, beaucoup trop absorbé par son travail. Elle prétexte du lèche vitrine, des visites de musées, d'expos en tous genres et le besoin affectif de retrouver son fils chéri.
De toute façon, je suis avec elle et il me fait entièrement confiance.
Comment pourrait-il imaginer que son fils soit le complice des dépravations de sa propre mère. Comment pourrait-il oser s'imaginer que moi, son propre fils, ait osé inciter ma mère à faire la pute sur le trottoir.
Pour ma part, je ne vois pas les choses de ce point de vue dans la mesure où maman était entièrement consentante. Mais trêve de justifications, de morales ou d'excuses bidons, voici la suite des exploits pornographiques de ma mère, Martine.
Martine, ma mère, m'a rejoint dans mon studio presque immédiatement après son retour de vacance du mois d'Août. Mon père a repris le travail sur Nantes et pense que c'est le besoin de retrouver son fils qui la motive à venir me rejoindre aussi rapidement.
Je me suis remis à potasser mes bouquins, réviser mes textes et mes cours de latin. Cette année va être dure et c'est sciemment que j'ai décidé de migrer de mon ancienne fac.
Ma mère sonne et je la reçois avec plaisir. Elle est souriante, fraîche et heureuse de ses vacances passées avec mon père.
Elle est habillée avec une robe estivale orangée au large décolleté mettant bien en valeur sa grosse poitrine. Elle a également des sandales à lanières.
Je la trouve un peu plus inspirée en ce qui concerne ses vêtements car en règle générale, elle met des jupes tailleurs. Nous parlons de ses vacances mais savons pertinemment ce qui l'emmène ici.
Il faut attendre le premier verre d'apéro pour que nous rentrions dans le vif du sujet. Nous en venons à ce qui s'est passé la dernière fois et de sa prostitution volontaire. Je précise « volontaire » car je le répète : Je ne cautionne pas ce genre d'activité et surtout pour cela que ça implique pour celles qui sont obligées de vendre leur corps.
Ceci dit, cette histoire n'est pas un procès des méfaits de la prostitution. Non, ce qui nous intéresse (surtout le lecteur puisque j'ai malheureusement vécu cette histoire), ce sont les dérives pornographiques de ma mère.
Nous reparlons donc de la soirée d'il y'a 15 jours. Elle m'avoue s'être un peu ennuyée en faisant le tapin sauf dans le bar et lorsqu'elle s'est faite baiser par les jeunes. Elle a également aimé tapiner complètement à poil (véridique mais sous l'effet de l'alcool) et souhaite vraiment le refaire.
Je la regarde un peu surpris :
-Maman, tu... tu n'es pas sérieuse. Tu veux recommencer à faire le trottoir?
Elle me répond l'air bien décidé :
-Oui, et ce sera ce soir, cette nuit! J'ai envie de me prostituer comme la dernière fois!
J'ai du mal à y croire mais au fond pourquoi pas.
-Tu m'as l'air troublé mon Julien, tu as honte de moi?
Je m'empresse de nier :
-Non maman, bien au contraire! Mais j'ai un peu peur pour toi. Tu pourrais tomber sur un psychopathe ou te faire embarquer par les flics. Imagine que cela se passe. Pense à Papa et à Cathy!
Ma mère réfléchit un peu et semble maintenant s'apercevoir des enjeux et des conséquences que pourrait entraîner son attitude sur son mariage, ses enfants. Ma mère tient à la cohésion familiale et ne voudrait en aucun cas la briser.
-Ecoute mon chéri. Pour éviter ça, on va retourner au bar de la dernière fois et je ferais la pute dans les chiottes! comme ça, pas de risque!
Ma mère m'embrasse tout en rajoutant :
-Ne t'inquiète pas, ta chère petite maman n'est pas folle!
Elle finit son verre puis se lève.
-Bon, sers-moi une petite vodka orange pendant que je me change!
J'entends la porte de la salle de bain se refermer. Je me demande quelles fringues elle va mettre cette fois.
Un quart d'heure plus tard, elle en ressort et j'ai vraiment l'impression que se tient devant moi une véritable prostituée. La différence c'est que la pute en question n'est autre que la femme qui m'a mis au monde, m'a allaité et élevé : ma propre mère.
Mais ne vous inquiétez pas, je vais vous la décrire le mieux possible. D'abord, je dois vous avouer que j'adore la voir se métamorphoser de la sorte, c'est à dire de la voir passer de mère de famille honorable à femme facile. Et effectivement, à la voir, il n'y' a pas de doute : une vraie salope (dans le sens noble du terme) pour mon plus grand bonheur et celui des lecteurs sans doute.
Maman s'avance vers moi et je peux la contempler à loisir. Ma mère est une femme bourgeoise très classe de 47 ans qui paraît en faire dix de moins (on lui donnerai entre 35-40 ans). Elle mesure 1m64 et a un très léger embonpoint au niveau des hanches (suite à ses deux grossesses). Ce qui frappe de prime abord, ce sont ses seins : Ma mère (et ce n'est plus un secret maintenant) a vraiment une poitrine énorme facilement comparable à celle d'une actrice de porno professionnelle.
Je l'ai souvent vu les seins à l'air ces derniers temps et en particulier cet été à la plage et croyez-moi, il y'a de quoi faire.
Au départ, avant qu'elle ne se découvre une passion débordante pour le sexe, elle en avait honte et elle cachait ses seins. Aujourd'hui, c'est une femme libérée et heureuse d'exhiber ses atouts et surtout son opulente poitrine. Elle a troqué son tee-shirt moulant de l'autre fois pour un body noir très provoquant. Ses énormes nichons sont compressés et débordent largement par le haut un peu comme deux ballons.
J'ai du mal à comprendre comment elle parvient à respirer mais ce qui est sûr c'est que, lorsqu'elle marche, ses énormes seins se soulèvent un peu et l'on peut voir une partie de ses larges auréoles brunes ressortir à la vue de tous.
Elle a remis la minijupe en cuir noir de l'autre fois. Elle est vraiment très courte, peut-être trop et lui arrive à ras les cuisses. De plus, sa minijupe est si moulante que l'on peut facilement voir les formes de son cul si souvent sollicité. Ses jambes sont nues car maman n'aime pas les bas. Ceci dit, elle met un point d'honneur à bien les épiler et à entretenir leur magnifique galbe.
Maman est une femme soignée qui aime plaire et est vraiment maniaque en ce qui concerne le soin de son corps plantureux. Normalement, elle est brune aux yeux noisette mais elle s'est teint récemment les cheveux en noir de jais et s'est maquillée vraiment outrageusement (pour plus de détail car je n'envoie pas de photo, elle ressemble de visage un peu à l'animatrice Evelyne.T.). Elle a mis un rouge à lèvre très vif qui marque ses lèvres et montre bien l'utilisation qu'elle peut faire de sa bouche goulue aux lèvres pulpeuses (d'ailleurs, les lecteurs connaissent sa dextérité dans l'art de pratiquer des fellations).
Bien évidemment, elle ne porte aucun soutif car elle se sent mieux de la sorte et c'est plus pratique pour sa nouvelle activité. Elle porte des mules noires à talon et comme la dernière fois, a utilisé un vernis couleur crème pour ses ongles de pieds.
Maman est vraiment superbe et je suis fier d'avoir une mère aussi sexy pour son âge. Elle a avec elle un petit sac en cuir noir qui complète sa panoplie de femme de la nuit. La voilà donc prête à arpenter les rues chaudes une fois de plus.
Il m'arrive parfois de penser à mon père qui se fait cocufier sans arrêt depuis presque un an est demi et à ma sœur qui pense que ma mère est une femme honorable et une pieuse mère de famille. Ils sont loin de se douter de la véritable nature de maman.
Ceci dit et c'est ce qui me rassure, je sais que ma mère aime mon père. Mais elle aime énormément le sexe. De toute façon, cela la regarde, c'est son cul après tout. Elle est grande et je trouve dommage qu'elle doive cacher son corps superbe et surtout que d'autres hommes n'en profitent pas.
Nous sortons du studio et nous nous orientons vers le centre dans le bar où elle a fait le tapin la dernière fois. Dans les rues (car nous sommes à pieds), les regards fusent sur son corps voluptueux et provoquant car non seulement maman a vraiment l'air d'une pute qui suinte le sexe mais en plus elle en rajoute plein pot. Sa démarche est terriblement explicite.
Elle roule du cul et claque ses talons au sol tout en bombant bien le torse afin de montrer la taille de ses gros melons qui ballottent outrageusement à chaque pas.
Je croise les regards des hommes qui la matent sans vergogne tout en proférant des quolibets bien salaces.
Nous arrivons dans la petite rue dans laquelle se trouve le bar et sans l'ombre d'une hésitation, elle entre. Certains clients reconnaissent ma mère et certains la sifflent.
-Alors, t'es de retour ma salope! Hurle un homme dans le bar.
La majorité des clients, c'est à dire à 90%, est masculine. Les autres femmes semblent pratiquer la même activité que ma mère sauf qu'elles n'ont souvent pas le choix contrairement à maman qui vend son corps pour son plaisir.
Elle se dirige vers le comptoir où sont entassés des clients avinés qui reluquent ses gros nichons provocants pendant qu'elle commande.
D'autres hommes se lèvent et convergent vers le comptoir afin de pouvoir parler à maman. Enfin parler... ou plutôt espérer bénéficier de ses charmes. Maman commence à discuter et vide son verre de whisky presque cul sec. Revigorée, chauffée, elle en commande un autre et les clients se bousculent pour le lui offrir. Les verres se succèdent devant le regard satisfait du patron heureux que cette pute à gros seins lui ramène un maximum de monde.
Au fil des verres, la conversation tourne crue, les mains se font baladeuses et commencent à peloter ses cuisses tendres. Maman se laisse faire et les gars s'enhardissent. Cette fois ils palpent carrément ses gros nichons qui débordent du body et comme ma mère est très sensible des seins, elle commence à sentir ses tétons se durcir et elle gémit de plaisir.
L'un d'entre eux risque sa main en dessous de sa minijupe moulante et s'aperçoit que maman ne porte pas de culotte. Il insinue lentement son doigt dans sa chatte tout en palpant une de ses fesses à travers la mini-jupe.
Trois paires de mains s'acharnent à soupeser, malaxer et palper ses grosses loches encore emprisonnées dans le body noir.
Un autre se penche et lui embrasse le nombril. Un grand moustachu lui roule un patin baveux de chien en rut. Ma mère commence à s'exciter à force sentir toutes ces mains tripoter son corps de femelle en chaleur et elle sent sa chatte s'humidifier.
Elle se laisse carrément enlever son body au milieu du bistrot. Ses gros seins laiteux tombent lourdement. La taille de la poitrine de maman impressionne et excite les mâles. Les mains s'empressent de soupeser, toucher, triturer ses loches aux larges auréoles brunes qui m'ont jadis allaité.
Ces symboles maternels sont devenus des jouets de luxure pour le plus grand bonheur de maman et de ses partenaires. Son body lui est finalement entièrement retiré et se perd parmi les clients.
On lui enfourne une bouteille de bière dans la bouche histoire de bien la faire boire pour la chauffer davantage.
Il y'a cinq hommes qui s'affairent sur le corps de ma mère. On peut voir deux ivrognes lui téter les seins comme des bébés. Je dois vous dire qu'elle aime se faire téter ou mordiller délicatement ses tétons durcis. Elle empoigne ses seins par en dessous et les offre à ces deux hommes avides de retrouver les joies de leur plus tendre enfance.
Un peu pris de court par l'attitude consentante de maman, le patron commence à calmer tout le monde.
-Ecoutez, je n'ai pas envie d'avoir de problème avec les flics, merde!
Mais personne ne l'écoute. Il me regarde et me demande :
-Dis à ta mère d'aller au premier pour se faire baiser, il y'a une piaule pour ça!
Mais maman a entendu et repousse difficilement les clients avinés et en particulier ceux collés à ses gros seins. Elle parvient, cependant, à s'extirper de la foule de ses admirateurs. On commence à lui tendre des billets pour pouvoir la baiser chacun son tour.
Ma mère monte et est suivie par quatre hommes (Malheureusement, je n'ai pas osé pas aller la mater en train de sucer ces alcoolos et donc je ne peux vous décrire la scène). Au bout d'un petit quart d'heure, les clients descendent visiblement satisfait de la prestation de maman qui redescend pieds nus, ses énormes seins toujours à l'air en réclamant de l'alcool. Elle va directement au bar et ne porte que sa courte mini-jupe noire comme seul vêtement.
Un gars d'une cinquantaine d'année se met derrière elle et passe ses deux mains en dessous ses bras afin de malaxer ses nichons qu'il pelote avec délice. On tend un verre à ma mère, puis un autre et un autre.
Le patron décide alors de fermer à clef la porte du bar. De toute façon, il ne pourra plus empêcher ses clients de baiser ma mère complètement saoule dans son propre bar.
Des mains agrippent maman et la plaquent sur une table. Sa minijupe est violemment arrachée et on lui écarte bien les cuisses. Son sexe est exhibé et tout le monde a les yeux rivés sur cette chatte brune si bien entretenue. Ma mère, telle une marionnette se laisse manipuler.
Les commentaires fusent :
-Regardez-moi cette chatte! elle est superbe et au moins, elle est bien rasée et entretenue!
Son sexe est inondé de liquide vaginal surtout lorsqu'elle sent des doigts écarter ses lèvres pour le montrer à tout le monde.
-Je me demande combien de queue ont fourré cette chatte en feu!
L'un des gars dans la salle s'écrie :
-Montre-nous son trou du cul! je suis sûr que cette salope a dû se faire enculer des centaines de fois!
Le barman décide de se joindre au groupe. Il la retourne et écarte délicatement les fesses de maman pour bien montrer son trou du cul.
-Regardez-moi ça les mecs, un vrai garage à bite cette bourgeoise!
Soudain le barman écarte les yeux. Il a remarqué l'alliance de ma mère.
-Ooh, mais t'es encore pire qu'une pute toi! tu fais cocu ton mari et tu ne retires même pas ton alliance, en plus!
Un grand brun au teint mat prend la parole :
-Bon, ce sera chacun son tour maintenant mais il faudra bien payer cette salope!
Le patron récolte donc les billets et me les donne. Les clients font la queue pour pouvoir se vider les couilles. Quant à moi, je suis là, comme un pourceau en train de bander à l'idée de voir ma mère faire la pute et se faire baiser à la chaîne en plein milieu de ce bar immonde, enfumé et à la chaleur écrasante. Le barman dit :
-Attendez, on va la baiser dans les chiottes cette salope! elle mérite que ça!
Les clients amènent ma mère dans les toilettes malodorantes et la mettent à quatre pattes.
L'état des lieux est vraiment repoussant. L'odeur d'urine est omniprésente et l'état du sol carrelé témoigne d'un fort manque d'hygiène. Les urinoirs sont infects et certaines chiottes bouchées. Des détritus divers jonchent le sol poisseux : mégots de cigarettes, papier toilette, cendre humide et même des préservatifs utilisés.
Ma mère est donc à poil, à quatre pattes et est entourée par six hommes parmi lesquels se trouve le patron. Ils sortent leurs queues en érection qu'ils pointent vers la bouche de maman. Affamée, elle se jette sur ces bites qu'elle enfourne dans sa bouche.
Elle se met à genoux et branle vigoureusement deux de ses clients tout en suçant avidement le patron. Les mouvements de va et vient de ses bras font ballotter ses gros seins. Avec sa langue experte, elle lèche le gland du barman tout en le toisant d'un regard de chienne.
N'en pouvant plus, il éjacule malgré lui sur le visage maquillé de maman. Le sperme est chaud et gicle par grosses saccades. Il coule le long du visage de ma mère et sur une bonne partie de ses énormes seins.
Elle se pourlèche les babines et plaque ses deux mains sur ses loches qu'elle macule de foutre. Ensuite elle se pince les tétons qui pointent dur et commence à se masser les seins avec toujours la queue du barman en bouche. Il grogne de plaisir.
-Fais-moi une branlette espagnole! ' Demande l'un des gars qu'elle branlait.
Ma mère se cambre au mieux et englobe le gros sexe entre ses énormes loches luisantes de sperme. Elle presse donc ses deux melons et effectue des va et vient de plus en plus rapides pour bien branler son client.
Il finit par jouir sur les seins de maman, heureuse de cette semence chaude qui lui coule avec délice sur le corps.
Ma mère décide alors de s'occuper des autres et se met à les sucer. Les queues rentrent dans sa bouche à la chaîne et elle n'en finit pas de pomper. Ceci dit, elle s'applique à la tâche en tentant d'avaler le plus de foutre possible. Le sperme coule à flot et maman ramasse giclées sur giclées en pleine figure. Son visage, son cou, ses nichons et une partie de son ventre dégoulinent de sperme chaud. Son maquillage se défait et se mélange au foutre maculant sa figure.
Ses gros nichons en sueur sont inondés de semence féconde. Inutile de vous dire que les hommes sont excités au plus haut point et là, on la relève.
-Maintenant, on va voir si t'es vierge du cul. Mais ça m'étonnerait! ' Dit le moustachu en ricanant.
Ils incitent ma mère à sortir des chiottes. Elle est dans un piteux état et ce n'est pas fini.
Maman est remise à quatre patte mais au centre du bar cette fois. Elle cambre son cul comme si elle connaissait la suite.
Le grand moustachu sort sa grosse queue et encule ma mère sans la moindre préparation.
De toute façon, ce n'est pas la première et sans doute pas la dernière fois. Il ramone le cul de ma mère en poussant des grognements bestiaux sous le regard envieux et concupiscent des autres clients.
De toute façon, ceux-ci comptent bien enculer cette salope à gros seins qui n'est autre que ma mère. En professionnelle expérimentée, elle ondule du cul pour bien accompagner le mouvement de va et vient. Le moustachu a les mains sur les hanches de ma mère et accélère le mouvement à grands coups de boutoir. Il rentre sa grosse queue dans l'anus de maman qui se retient de hurler de plaisir.
Au bout d'un certain temps, la tension est trop forte et il se lâche dans le cul de ma mère en grognant. Ma mère accompagne l'homme en hurlant elle aussi de bonheur. En se retirant, on peut bien voir le trou du cul de ma mère dégouliner de foutre chaud.
En voyant cela, les autres décident de faire la queue pour la sodomiser. Ma mère n'attend que cela de toute façon car les lecteurs savent déjà qu'elle adore se faire prendre par le cul. Rassurez-vous sur ce point, tous, vraiment tous sans exception, ont pu enculer ma mère. La séance a duré une bonne heure.
J'ai pu voir ma mère se faire prendre par tous les trous et de toutes les façons possibles et inimaginables. Elle a même eu droit à un superbe bain de sperme digne des meilleurs films pornographiques.
Moi, je me suis masturbé comme le dernier des pervers bon à enfermer.
Le corps de ma mère est entièrement recouvert d'un amalgame de sueur, d'alcool et de sperme mélangés. Ses gros seins sont maculés de foutre. Son cul et sa chatte sont en feu et dégoulinent encore de sperme.
Malgré cet état d'intense dépravation, ma mère semble heureuse comme jamais d'avoir été traitée comme la dernière des putains. Mais comme dirait le vieil adage : « à force de jouer avec des allumettes, on finit par se brûler! ».
Ma mère m'a téléphoné et bien sûr, m'a demandé si elle pouvait faire un saut dans mon studio. On peut sentir à sa voix, son impatience à venir me rendre visite.
Mon père, quant à lui, ne se préoccupe pas de savoir pourquoi elle y reste deux jours, beaucoup trop absorbé par son travail. Elle prétexte du lèche vitrine, des visites de musées, d'expos en tous genres et le besoin affectif de retrouver son fils chéri.
De toute façon, je suis avec elle et il me fait entièrement confiance.
Comment pourrait-il imaginer que son fils soit le complice des dépravations de sa propre mère. Comment pourrait-il oser s'imaginer que moi, son propre fils, ait osé inciter ma mère à faire la pute sur le trottoir.
Pour ma part, je ne vois pas les choses de ce point de vue dans la mesure où maman était entièrement consentante. Mais trêve de justifications, de morales ou d'excuses bidons, voici la suite des exploits pornographiques de ma mère, Martine.
Martine, ma mère, m'a rejoint dans mon studio presque immédiatement après son retour de vacance du mois d'Août. Mon père a repris le travail sur Nantes et pense que c'est le besoin de retrouver son fils qui la motive à venir me rejoindre aussi rapidement.
Je me suis remis à potasser mes bouquins, réviser mes textes et mes cours de latin. Cette année va être dure et c'est sciemment que j'ai décidé de migrer de mon ancienne fac.
Ma mère sonne et je la reçois avec plaisir. Elle est souriante, fraîche et heureuse de ses vacances passées avec mon père.
Elle est habillée avec une robe estivale orangée au large décolleté mettant bien en valeur sa grosse poitrine. Elle a également des sandales à lanières.
Je la trouve un peu plus inspirée en ce qui concerne ses vêtements car en règle générale, elle met des jupes tailleurs. Nous parlons de ses vacances mais savons pertinemment ce qui l'emmène ici.
Il faut attendre le premier verre d'apéro pour que nous rentrions dans le vif du sujet. Nous en venons à ce qui s'est passé la dernière fois et de sa prostitution volontaire. Je précise « volontaire » car je le répète : Je ne cautionne pas ce genre d'activité et surtout pour cela que ça implique pour celles qui sont obligées de vendre leur corps.
Ceci dit, cette histoire n'est pas un procès des méfaits de la prostitution. Non, ce qui nous intéresse (surtout le lecteur puisque j'ai malheureusement vécu cette histoire), ce sont les dérives pornographiques de ma mère.
Nous reparlons donc de la soirée d'il y'a 15 jours. Elle m'avoue s'être un peu ennuyée en faisant le tapin sauf dans le bar et lorsqu'elle s'est faite baiser par les jeunes. Elle a également aimé tapiner complètement à poil (véridique mais sous l'effet de l'alcool) et souhaite vraiment le refaire.
Je la regarde un peu surpris :
-Maman, tu... tu n'es pas sérieuse. Tu veux recommencer à faire le trottoir?
Elle me répond l'air bien décidé :
-Oui, et ce sera ce soir, cette nuit! J'ai envie de me prostituer comme la dernière fois!
J'ai du mal à y croire mais au fond pourquoi pas.
-Tu m'as l'air troublé mon Julien, tu as honte de moi?
Je m'empresse de nier :
-Non maman, bien au contraire! Mais j'ai un peu peur pour toi. Tu pourrais tomber sur un psychopathe ou te faire embarquer par les flics. Imagine que cela se passe. Pense à Papa et à Cathy!
Ma mère réfléchit un peu et semble maintenant s'apercevoir des enjeux et des conséquences que pourrait entraîner son attitude sur son mariage, ses enfants. Ma mère tient à la cohésion familiale et ne voudrait en aucun cas la briser.
-Ecoute mon chéri. Pour éviter ça, on va retourner au bar de la dernière fois et je ferais la pute dans les chiottes! comme ça, pas de risque!
Ma mère m'embrasse tout en rajoutant :
-Ne t'inquiète pas, ta chère petite maman n'est pas folle!
Elle finit son verre puis se lève.
-Bon, sers-moi une petite vodka orange pendant que je me change!
J'entends la porte de la salle de bain se refermer. Je me demande quelles fringues elle va mettre cette fois.
Un quart d'heure plus tard, elle en ressort et j'ai vraiment l'impression que se tient devant moi une véritable prostituée. La différence c'est que la pute en question n'est autre que la femme qui m'a mis au monde, m'a allaité et élevé : ma propre mère.
Mais ne vous inquiétez pas, je vais vous la décrire le mieux possible. D'abord, je dois vous avouer que j'adore la voir se métamorphoser de la sorte, c'est à dire de la voir passer de mère de famille honorable à femme facile. Et effectivement, à la voir, il n'y' a pas de doute : une vraie salope (dans le sens noble du terme) pour mon plus grand bonheur et celui des lecteurs sans doute.
Maman s'avance vers moi et je peux la contempler à loisir. Ma mère est une femme bourgeoise très classe de 47 ans qui paraît en faire dix de moins (on lui donnerai entre 35-40 ans). Elle mesure 1m64 et a un très léger embonpoint au niveau des hanches (suite à ses deux grossesses). Ce qui frappe de prime abord, ce sont ses seins : Ma mère (et ce n'est plus un secret maintenant) a vraiment une poitrine énorme facilement comparable à celle d'une actrice de porno professionnelle.
Je l'ai souvent vu les seins à l'air ces derniers temps et en particulier cet été à la plage et croyez-moi, il y'a de quoi faire.
Au départ, avant qu'elle ne se découvre une passion débordante pour le sexe, elle en avait honte et elle cachait ses seins. Aujourd'hui, c'est une femme libérée et heureuse d'exhiber ses atouts et surtout son opulente poitrine. Elle a troqué son tee-shirt moulant de l'autre fois pour un body noir très provoquant. Ses énormes nichons sont compressés et débordent largement par le haut un peu comme deux ballons.
J'ai du mal à comprendre comment elle parvient à respirer mais ce qui est sûr c'est que, lorsqu'elle marche, ses énormes seins se soulèvent un peu et l'on peut voir une partie de ses larges auréoles brunes ressortir à la vue de tous.
Elle a remis la minijupe en cuir noir de l'autre fois. Elle est vraiment très courte, peut-être trop et lui arrive à ras les cuisses. De plus, sa minijupe est si moulante que l'on peut facilement voir les formes de son cul si souvent sollicité. Ses jambes sont nues car maman n'aime pas les bas. Ceci dit, elle met un point d'honneur à bien les épiler et à entretenir leur magnifique galbe.
Maman est une femme soignée qui aime plaire et est vraiment maniaque en ce qui concerne le soin de son corps plantureux. Normalement, elle est brune aux yeux noisette mais elle s'est teint récemment les cheveux en noir de jais et s'est maquillée vraiment outrageusement (pour plus de détail car je n'envoie pas de photo, elle ressemble de visage un peu à l'animatrice Evelyne.T.). Elle a mis un rouge à lèvre très vif qui marque ses lèvres et montre bien l'utilisation qu'elle peut faire de sa bouche goulue aux lèvres pulpeuses (d'ailleurs, les lecteurs connaissent sa dextérité dans l'art de pratiquer des fellations).
Bien évidemment, elle ne porte aucun soutif car elle se sent mieux de la sorte et c'est plus pratique pour sa nouvelle activité. Elle porte des mules noires à talon et comme la dernière fois, a utilisé un vernis couleur crème pour ses ongles de pieds.
Maman est vraiment superbe et je suis fier d'avoir une mère aussi sexy pour son âge. Elle a avec elle un petit sac en cuir noir qui complète sa panoplie de femme de la nuit. La voilà donc prête à arpenter les rues chaudes une fois de plus.
Il m'arrive parfois de penser à mon père qui se fait cocufier sans arrêt depuis presque un an est demi et à ma sœur qui pense que ma mère est une femme honorable et une pieuse mère de famille. Ils sont loin de se douter de la véritable nature de maman.
Ceci dit et c'est ce qui me rassure, je sais que ma mère aime mon père. Mais elle aime énormément le sexe. De toute façon, cela la regarde, c'est son cul après tout. Elle est grande et je trouve dommage qu'elle doive cacher son corps superbe et surtout que d'autres hommes n'en profitent pas.
Nous sortons du studio et nous nous orientons vers le centre dans le bar où elle a fait le tapin la dernière fois. Dans les rues (car nous sommes à pieds), les regards fusent sur son corps voluptueux et provoquant car non seulement maman a vraiment l'air d'une pute qui suinte le sexe mais en plus elle en rajoute plein pot. Sa démarche est terriblement explicite.
Elle roule du cul et claque ses talons au sol tout en bombant bien le torse afin de montrer la taille de ses gros melons qui ballottent outrageusement à chaque pas.
Je croise les regards des hommes qui la matent sans vergogne tout en proférant des quolibets bien salaces.
Nous arrivons dans la petite rue dans laquelle se trouve le bar et sans l'ombre d'une hésitation, elle entre. Certains clients reconnaissent ma mère et certains la sifflent.
-Alors, t'es de retour ma salope! Hurle un homme dans le bar.
La majorité des clients, c'est à dire à 90%, est masculine. Les autres femmes semblent pratiquer la même activité que ma mère sauf qu'elles n'ont souvent pas le choix contrairement à maman qui vend son corps pour son plaisir.
Elle se dirige vers le comptoir où sont entassés des clients avinés qui reluquent ses gros nichons provocants pendant qu'elle commande.
D'autres hommes se lèvent et convergent vers le comptoir afin de pouvoir parler à maman. Enfin parler... ou plutôt espérer bénéficier de ses charmes. Maman commence à discuter et vide son verre de whisky presque cul sec. Revigorée, chauffée, elle en commande un autre et les clients se bousculent pour le lui offrir. Les verres se succèdent devant le regard satisfait du patron heureux que cette pute à gros seins lui ramène un maximum de monde.
Au fil des verres, la conversation tourne crue, les mains se font baladeuses et commencent à peloter ses cuisses tendres. Maman se laisse faire et les gars s'enhardissent. Cette fois ils palpent carrément ses gros nichons qui débordent du body et comme ma mère est très sensible des seins, elle commence à sentir ses tétons se durcir et elle gémit de plaisir.
L'un d'entre eux risque sa main en dessous de sa minijupe moulante et s'aperçoit que maman ne porte pas de culotte. Il insinue lentement son doigt dans sa chatte tout en palpant une de ses fesses à travers la mini-jupe.
Trois paires de mains s'acharnent à soupeser, malaxer et palper ses grosses loches encore emprisonnées dans le body noir.
Un autre se penche et lui embrasse le nombril. Un grand moustachu lui roule un patin baveux de chien en rut. Ma mère commence à s'exciter à force sentir toutes ces mains tripoter son corps de femelle en chaleur et elle sent sa chatte s'humidifier.
Elle se laisse carrément enlever son body au milieu du bistrot. Ses gros seins laiteux tombent lourdement. La taille de la poitrine de maman impressionne et excite les mâles. Les mains s'empressent de soupeser, toucher, triturer ses loches aux larges auréoles brunes qui m'ont jadis allaité.
Ces symboles maternels sont devenus des jouets de luxure pour le plus grand bonheur de maman et de ses partenaires. Son body lui est finalement entièrement retiré et se perd parmi les clients.
On lui enfourne une bouteille de bière dans la bouche histoire de bien la faire boire pour la chauffer davantage.
Il y'a cinq hommes qui s'affairent sur le corps de ma mère. On peut voir deux ivrognes lui téter les seins comme des bébés. Je dois vous dire qu'elle aime se faire téter ou mordiller délicatement ses tétons durcis. Elle empoigne ses seins par en dessous et les offre à ces deux hommes avides de retrouver les joies de leur plus tendre enfance.
Un peu pris de court par l'attitude consentante de maman, le patron commence à calmer tout le monde.
-Ecoutez, je n'ai pas envie d'avoir de problème avec les flics, merde!
Mais personne ne l'écoute. Il me regarde et me demande :
-Dis à ta mère d'aller au premier pour se faire baiser, il y'a une piaule pour ça!
Mais maman a entendu et repousse difficilement les clients avinés et en particulier ceux collés à ses gros seins. Elle parvient, cependant, à s'extirper de la foule de ses admirateurs. On commence à lui tendre des billets pour pouvoir la baiser chacun son tour.
Ma mère monte et est suivie par quatre hommes (Malheureusement, je n'ai pas osé pas aller la mater en train de sucer ces alcoolos et donc je ne peux vous décrire la scène). Au bout d'un petit quart d'heure, les clients descendent visiblement satisfait de la prestation de maman qui redescend pieds nus, ses énormes seins toujours à l'air en réclamant de l'alcool. Elle va directement au bar et ne porte que sa courte mini-jupe noire comme seul vêtement.
Un gars d'une cinquantaine d'année se met derrière elle et passe ses deux mains en dessous ses bras afin de malaxer ses nichons qu'il pelote avec délice. On tend un verre à ma mère, puis un autre et un autre.
Le patron décide alors de fermer à clef la porte du bar. De toute façon, il ne pourra plus empêcher ses clients de baiser ma mère complètement saoule dans son propre bar.
Des mains agrippent maman et la plaquent sur une table. Sa minijupe est violemment arrachée et on lui écarte bien les cuisses. Son sexe est exhibé et tout le monde a les yeux rivés sur cette chatte brune si bien entretenue. Ma mère, telle une marionnette se laisse manipuler.
Les commentaires fusent :
-Regardez-moi cette chatte! elle est superbe et au moins, elle est bien rasée et entretenue!
Son sexe est inondé de liquide vaginal surtout lorsqu'elle sent des doigts écarter ses lèvres pour le montrer à tout le monde.
-Je me demande combien de queue ont fourré cette chatte en feu!
L'un des gars dans la salle s'écrie :
-Montre-nous son trou du cul! je suis sûr que cette salope a dû se faire enculer des centaines de fois!
Le barman décide de se joindre au groupe. Il la retourne et écarte délicatement les fesses de maman pour bien montrer son trou du cul.
-Regardez-moi ça les mecs, un vrai garage à bite cette bourgeoise!
Soudain le barman écarte les yeux. Il a remarqué l'alliance de ma mère.
-Ooh, mais t'es encore pire qu'une pute toi! tu fais cocu ton mari et tu ne retires même pas ton alliance, en plus!
Un grand brun au teint mat prend la parole :
-Bon, ce sera chacun son tour maintenant mais il faudra bien payer cette salope!
Le patron récolte donc les billets et me les donne. Les clients font la queue pour pouvoir se vider les couilles. Quant à moi, je suis là, comme un pourceau en train de bander à l'idée de voir ma mère faire la pute et se faire baiser à la chaîne en plein milieu de ce bar immonde, enfumé et à la chaleur écrasante. Le barman dit :
-Attendez, on va la baiser dans les chiottes cette salope! elle mérite que ça!
Les clients amènent ma mère dans les toilettes malodorantes et la mettent à quatre pattes.
L'état des lieux est vraiment repoussant. L'odeur d'urine est omniprésente et l'état du sol carrelé témoigne d'un fort manque d'hygiène. Les urinoirs sont infects et certaines chiottes bouchées. Des détritus divers jonchent le sol poisseux : mégots de cigarettes, papier toilette, cendre humide et même des préservatifs utilisés.
Ma mère est donc à poil, à quatre pattes et est entourée par six hommes parmi lesquels se trouve le patron. Ils sortent leurs queues en érection qu'ils pointent vers la bouche de maman. Affamée, elle se jette sur ces bites qu'elle enfourne dans sa bouche.
Elle se met à genoux et branle vigoureusement deux de ses clients tout en suçant avidement le patron. Les mouvements de va et vient de ses bras font ballotter ses gros seins. Avec sa langue experte, elle lèche le gland du barman tout en le toisant d'un regard de chienne.
N'en pouvant plus, il éjacule malgré lui sur le visage maquillé de maman. Le sperme est chaud et gicle par grosses saccades. Il coule le long du visage de ma mère et sur une bonne partie de ses énormes seins.
Elle se pourlèche les babines et plaque ses deux mains sur ses loches qu'elle macule de foutre. Ensuite elle se pince les tétons qui pointent dur et commence à se masser les seins avec toujours la queue du barman en bouche. Il grogne de plaisir.
-Fais-moi une branlette espagnole! ' Demande l'un des gars qu'elle branlait.
Ma mère se cambre au mieux et englobe le gros sexe entre ses énormes loches luisantes de sperme. Elle presse donc ses deux melons et effectue des va et vient de plus en plus rapides pour bien branler son client.
Il finit par jouir sur les seins de maman, heureuse de cette semence chaude qui lui coule avec délice sur le corps.
Ma mère décide alors de s'occuper des autres et se met à les sucer. Les queues rentrent dans sa bouche à la chaîne et elle n'en finit pas de pomper. Ceci dit, elle s'applique à la tâche en tentant d'avaler le plus de foutre possible. Le sperme coule à flot et maman ramasse giclées sur giclées en pleine figure. Son visage, son cou, ses nichons et une partie de son ventre dégoulinent de sperme chaud. Son maquillage se défait et se mélange au foutre maculant sa figure.
Ses gros nichons en sueur sont inondés de semence féconde. Inutile de vous dire que les hommes sont excités au plus haut point et là, on la relève.
-Maintenant, on va voir si t'es vierge du cul. Mais ça m'étonnerait! ' Dit le moustachu en ricanant.
Ils incitent ma mère à sortir des chiottes. Elle est dans un piteux état et ce n'est pas fini.
Maman est remise à quatre patte mais au centre du bar cette fois. Elle cambre son cul comme si elle connaissait la suite.
Le grand moustachu sort sa grosse queue et encule ma mère sans la moindre préparation.
De toute façon, ce n'est pas la première et sans doute pas la dernière fois. Il ramone le cul de ma mère en poussant des grognements bestiaux sous le regard envieux et concupiscent des autres clients.
De toute façon, ceux-ci comptent bien enculer cette salope à gros seins qui n'est autre que ma mère. En professionnelle expérimentée, elle ondule du cul pour bien accompagner le mouvement de va et vient. Le moustachu a les mains sur les hanches de ma mère et accélère le mouvement à grands coups de boutoir. Il rentre sa grosse queue dans l'anus de maman qui se retient de hurler de plaisir.
Au bout d'un certain temps, la tension est trop forte et il se lâche dans le cul de ma mère en grognant. Ma mère accompagne l'homme en hurlant elle aussi de bonheur. En se retirant, on peut bien voir le trou du cul de ma mère dégouliner de foutre chaud.
En voyant cela, les autres décident de faire la queue pour la sodomiser. Ma mère n'attend que cela de toute façon car les lecteurs savent déjà qu'elle adore se faire prendre par le cul. Rassurez-vous sur ce point, tous, vraiment tous sans exception, ont pu enculer ma mère. La séance a duré une bonne heure.
J'ai pu voir ma mère se faire prendre par tous les trous et de toutes les façons possibles et inimaginables. Elle a même eu droit à un superbe bain de sperme digne des meilleurs films pornographiques.
Moi, je me suis masturbé comme le dernier des pervers bon à enfermer.
Le corps de ma mère est entièrement recouvert d'un amalgame de sueur, d'alcool et de sperme mélangés. Ses gros seins sont maculés de foutre. Son cul et sa chatte sont en feu et dégoulinent encore de sperme.
Malgré cet état d'intense dépravation, ma mère semble heureuse comme jamais d'avoir été traitée comme la dernière des putains. Mais comme dirait le vieil adage : « à force de jouer avec des allumettes, on finit par se brûler! ».
La conclusion de cette histoire est un peu moins réjouissante que d'habitude. Il doit être trois heures du matin et nous sortons tous du bar. Ma mère est toujours à poil dans la rue, toute en sueur, ivre et recouverte de sperme de la tête au pied.
A ma grande stupeur, elle continue à faire la pute et malgré l'état de dépravation de maman, des passants acceptent de la baiser gratos.
Ainsi, je peux la voir se faire prendre à plusieurs reprises dans la rue sur des capots de voitures, contre des vitrines et même contre une poubelle. Je ne pensais pas que ma mère était si avide de sexe et si endurante.
Le comble de la perversion, c'est lorsque deux grands blacks l'entraînent de force dans une cabine téléphonique éclairée et décident de se la faire à deux. Elle est donc obligée de sucer l'un tandis que l'autre la prend par derrière, à la vue de tous.
La scène dure une bonne dizaine de minutes.
A un moment, on peut voir ma mère debout dans la cabine, plaquée contre la vitre en train de se faire baiser par derrière par le black qu'elle suçait. Ses énormes seins sont aplatis sur la vitre et ses tétons écrasés par le volume de ses nichons.
Les deux noirs lâchent quelques billets sur son corps, satisfaits de s'être tapé cette bourgeoise blanche, et s'en vont bien repus.
Moi, Je commence à piquer du nez et je vois maman qui s'éloigne avec trois autres hommes qui n'avaient surement pas eu leur dose de sexe ce soir. Sans doute qu'ils vont la baiser sauvagement dans une ruelle sordide.
Incapable de les suivre à cause de ma trop grande consommation d'alcool, je m'assoie en luttant contre le sommeil. Au bout de dix minutes, je parviens à récupérer et je repense à ma mère. Elle en met du temps, que lui est-il arrivée?
J'attends cinq minutes et toujours rien. C'est alors que je repense aux faits d'actualités : Et si elle était tombée sur un malade mental ou une bande de psychopathes qui l'aurait enlevée pour la séquestrer dans un coin sordide.
Les idées les plus atroces et perverses traversent mon esprit et je décuite rapidement. Je me maudis de l'avoir laissée toute seule et dans cet état avec des inconnus. Ma perversion se retourne contre moi et c'est une fois de plus ma mère qui risque d'en faire les frais.
Je me mets à courir dans tous les sens, les larmes aux yeux tout en imaginant le pire. Mais après une vingtaine de minutes de recherche, je dois me rendre à l'évidence, ma mère a bel et bien disparu...
A ma grande stupeur, elle continue à faire la pute et malgré l'état de dépravation de maman, des passants acceptent de la baiser gratos.
Ainsi, je peux la voir se faire prendre à plusieurs reprises dans la rue sur des capots de voitures, contre des vitrines et même contre une poubelle. Je ne pensais pas que ma mère était si avide de sexe et si endurante.
Le comble de la perversion, c'est lorsque deux grands blacks l'entraînent de force dans une cabine téléphonique éclairée et décident de se la faire à deux. Elle est donc obligée de sucer l'un tandis que l'autre la prend par derrière, à la vue de tous.
La scène dure une bonne dizaine de minutes.
A un moment, on peut voir ma mère debout dans la cabine, plaquée contre la vitre en train de se faire baiser par derrière par le black qu'elle suçait. Ses énormes seins sont aplatis sur la vitre et ses tétons écrasés par le volume de ses nichons.
Les deux noirs lâchent quelques billets sur son corps, satisfaits de s'être tapé cette bourgeoise blanche, et s'en vont bien repus.
Moi, Je commence à piquer du nez et je vois maman qui s'éloigne avec trois autres hommes qui n'avaient surement pas eu leur dose de sexe ce soir. Sans doute qu'ils vont la baiser sauvagement dans une ruelle sordide.
Incapable de les suivre à cause de ma trop grande consommation d'alcool, je m'assoie en luttant contre le sommeil. Au bout de dix minutes, je parviens à récupérer et je repense à ma mère. Elle en met du temps, que lui est-il arrivée?
J'attends cinq minutes et toujours rien. C'est alors que je repense aux faits d'actualités : Et si elle était tombée sur un malade mental ou une bande de psychopathes qui l'aurait enlevée pour la séquestrer dans un coin sordide.
Les idées les plus atroces et perverses traversent mon esprit et je décuite rapidement. Je me maudis de l'avoir laissée toute seule et dans cet état avec des inconnus. Ma perversion se retourne contre moi et c'est une fois de plus ma mère qui risque d'en faire les frais.
Je me mets à courir dans tous les sens, les larmes aux yeux tout en imaginant le pire. Mais après une vingtaine de minutes de recherche, je dois me rendre à l'évidence, ma mère a bel et bien disparu...
A suivre...
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