lundi 2 juillet 2018

Ma mère Martine chapitre 05

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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Ma mère sur le trottoir – 1ère partie.

Bonjour à tous et merci à ceux qui m'encouragent à narrer les aventures pornographiques de ma mère Martine. Pour les remercier, je vais tenter de retranscrire au mieux les faits qui se sont produits deux mois après les fameuses vacances d'été que j'ai passé avec elle. Pour infos, sachez que ma mère ignore que j'écris sur elle et ses dépravations. Je n'ose pas lui dire car j'ai peur qu'elle le prenne mal. Mais trêve de palabres, voici l'histoire.

J'ai décidé avec l'accord de mes parents, de poursuivre mes études dans une autre faculté loin de ma ville natale. Aussi, me suis- je dégoté un petit studio non loin du centre de ma nouvelle ville d'adoption dans un quartier sans histoires.

Il est vrai que je ne connais personne mais j'ai vraiment envie de partir loin de chez nous. Cela me permettra d'oublier ma rupture avec Laetitia qui a décidé de vivre en Corée d'où ses grands-parents sont originaires.

Ma mère a décidé de venir m'aider à m'installer et j'en suis bien content. Je crois qu'elle a besoin de sortir de la résidence car depuis les vacances, elle passe son temps à faire du lèche vitrine ou à rester chez nous à siroter des cocktails.

Mon père est de moins en moins souvent à la maison et passe son temps à bosser sans s'occuper de d'elle.

Cela va donc la changer un peu de passer deux ou trois jours dans le studio. Je compte bien sûr, l'emmener faire un tour en ville comme à nos habitudes.

Une fois installé, je nous sers un petit apéritif et nous entamons une discussion. Nos conversations tournent beaucoup sur le sexe d'autant plus que nous sirotons quelques cocktails au rhum bien forts.

Ma mère est bien chaude, détendue et elle me demande si j'aimerais la voir habiller sexy ce soir. Chauffé par l'alcool, je lui réponds que oui. Ma mère reprend :

- Aah, que je suis contente d'être avec toi ce soir! Comme tu me fais vraiment plaisir en m'invitant à passer quelques jours avec toi, j'ai décidé à mon tour de te faire plaisir!

Je la regarde un peu surpris mais heureux qu'elle me demande cela. Ma mère continue toute souriante :

- hum, Il faudra faire un peu de shopping pour me trouver des vêtements sexy! Il faut se presser car les boutiques vont bientôt fermer!

En effet, il est 18h30 et il faut faire vite car je tenais à sortir et à ce que ma mère soit habillée de manière bien provocante ce soir.

Nous arpentons les rues et tombons sur un magasin spécialisé dans la lingerie de charme. Je l'attends dehors car cela ferait douteux de voir un fils choisir des tenues osées avec sa mère. Je lui fais confiance pour trouver ce qu'il faut. Les articles sont assez chers mais cela en vaut la peine et ma mère a les moyens. Je l'attends pendant une bonne quinzaine de minutes et elle ressort visiblement satisfaite avec deux grandes poches beiges.

Nous rentrons en vitesse au studio et mangeons un morceau. Nous buvons un petit martini et la voilà qui s'enferme dans la salle de bain à double tour. J'entends la douche couler et j'attends avec impatience de voir ses achats.

Au bout de vingt longues minutes, elle en sort toute radieuse et vêtue au-delà de toutes mes espérances.

Mais pour ceux qui ne connaissent pas encore ma mère, une petite description s'impose. Sachez que c'est une très belle femme bourgeoise d'1m64, très bien conservée pour ses 47 ans. (Elle paraît avoir 10 ans de moins). Elle est brune et aime se coiffer au carré. Ses yeux sont de couleur noisette et elle aime maquiller ses paupières de préférence en vert. Ses lèvres sont pulpeuses et sont mises en valeur par un fabuleux rouge à lèvres carmin (Elle aime pincer les lèvres pour bien attirer le regard).

Elle a mis de petites boucles d'oreilles blanches et un collier doré très fin qui pend sur son opulente poitrine. Pour les amateurs de grosse poitrine, ils doivent savoir que ma mère a vraiment de très gros seins et elle a conscience que c'est un atout majeur voire essentiel pour séduire et provoquer.

Elle a mis un tee-shirt blanc très moulant aux fines bretelles et avec un large décolleté qui dépasse largement le raisonnable.

Pour couronner le tout, cette fois ci, elle ne porte pas de soutien-gorge car elle me dit souvent qu'elle se sent mieux lorsque ses gros seins flottent librement sous ses chemisiers ou tee-shirt. Cela est gênant pour elle de porter de lourds soutien-gorges à armatures qui en plus lui compriment les nichons.

Le problème, vu que sa poitrine est énorme, est que l'on voit facilement qu'elle ne porte pas de sous-tif et on distingue effectivement ses tétons pointer à travers le tissu (on peut même deviner les larges auréoles sombres tout autour).

Elle porte également une mini-jupe en cuir noir extrêmement courte qui moule bien les formes de son cul et qui lui arrive au ras des cuisses. Certes, maman a un peu d'embonpoint au niveau des hanches à cause de ses grossesses mais elle a de très belles jambes. Elles sont bien lisses, bien épilées et elle porte des sandales en cuir. Elle s'est vernie les ongles avec un blanc crème éclatant.

Son corps dégage un fort parfum de femme et je dois avouer que j'ai une légère érection en la voyant. Elle a beau être ma mère, c'est aussi une superbe femme sensuelle, aux formes plantureuses, facilement comparable à une actrice de porno professionnelle.

Je suis toujours scié de la voir habillée comme une femme facile alors que devant mon père et ma sœur, elle porte des tailleurs-jupes classes. Elle n'a pas du tout le même comportement qu'ici. J'aime le fait qu'elle se déprave en ma présence et se laisse aller à sa véritable personnalité : celle d'une femme provocante, sans tabou et avide de sexe.

De toute façon, elle sait bien que j'ai de drôles de fantasmes et surtout en ce qui la concerne particulièrement. La voir se dépraver me flanque chaque fois une gaule pas possible car je l'ai connu austère et puritaine, bien loin de la femme qu'elle est devenue aujourd'hui.

Maman me dit avec un sourire éclatant :

- Alors, mon Julien chéri, toujours partant pour aller boire un verre en ville?

Nous sortons donc faire la tournée des bars comme à notre habitude. Ce qui est bien, c'est que personne ne risque de nous reconnaître car nous sommes loin. Inutile de vous décrire les regards des hommes sur maman. Elle roule bien des fesses en marchant et ses gros seins, libres sous son tee-shirt, ballottent d'une manière indécente et provocatrice.

Ma mère et moi buvons un peu trop dans les bars où nous nous arrêtons et rapidement toutes nos inhibitions sont levées. Nous pénétrons enfin dans un bar bien glauque et enfumé. L'odeur du tabac et de la sueur sont mélangés et il est bondé de monde.

Il y'a essentiellement que des hommes imbibés d'alcool et tous ont les yeux rivés sur le corps plantureux de ma mère. Elle le remarque bien et semble en être plus que satisfaite car elle aime séduire et se faire désirer.

Elle est invitée à une table et, complètement ivre et ingénue, maman se joint aux clients. Je reste en retrait pour bien mater la scène. Ils sont trois gars costauds d'environ une quarantaine d'années. Ils payent un verre à ma mère qui commence à vraiment se laisser aller.

Elle rigole bêtement à leurs blagues stupides et ne voit pas (ou elle feint d'ignorer) les yeux lorgner sur ses gros seins que l'on remarque aisément sous son tee-shirt moulant.

Lorsque je vois l'un des gars sortir des billets et lui chuchoter quelque chose à l'oreille, je comprends tout de suite : Ils prennent maman pour une prostituée. Elle devient toute rouge et me regarde. Je me dirige vers les trois hommes. Ma mère me regarde un peu surprise et me dit :

- Julien, ils...ils me prennent pour une prostituée!

Je regarde les trois hommes qui commencent à s'énerver. J'essaye de calmer le jeu en leur disant que ma mère avait un peu trop bu et qu'elle ne pratique pas ce genre d'activité. L'un d'eux me dit :

- On pourrait croire que ta mère est une pute, t'as vu comme elle est fringuée.

Je vide cul sec mon verre et l'alcool me monte à la tête :

- Ecoute maman, tu devrais un peu te détendre!

Je commande un verre pour elle. L'un des hommes indique au barman que c'est lui qui offre. Ma mère le vide rapidement et les gars se risquent à la peloter. L'un d'eux pose une main sur sa cuisse nue et la caresse tandis que celui de droite lui palpe directement ses énormes nichons en passant sa main en dessous le tee-shirt blanc.

Chaude, maman se laisse faire et commence à gémir lorsqu'elle sent des doigts s'insinuer dans sa chatte car une chose que j'ai oublié de préciser : elle ne porte pas de culotte.

Les deux gars la soulèvent discrètement et l'entraîne vers les toilettes d'où émane une forte odeur d'urine. Je les suis ainsi que le troisième homme.

A peine arrivée dans les chiottes malodorants et sales, ma mère est mise à genoux. Les trois sortent leurs bites et instinctivement, ma mère commence à les sucer.

Pour ceux qui ont lu les précédentes histoires, vous devez savoir qu'elle est devenue une experte en fellation. Les grosses queues rentrent dans sa bouche qui semble être adaptée à ce genre d'activité. Elle pompe celui du milieu et branle les deux autres de ses mains diablement expertes. Elle semble assoiffée et continue à bien sucer.

Celui du milieu éjacule le premier et maman s'empresse de tout avaler sans en laisser une miette. Sa langue lèche le gland de l'homme qui grogne de plaisir.

- Enlève ton tee-shirt salope! Je veux voir tes grosses loches!

Ma mère s'exécute sans broncher et enlève enfin son tee-shirt blanc. Ses énormes seins apparaissent donc devant les yeux stupéfaits des trois hommes encore plus excités. L'un d'eux s'empare de ses nichons et les malaxent à pleines mains tout en souriant de bonheur.

Ma mère, très sensible des seins, commence à gémir de plaisir. L'autre veut sa part et tous deux s'emparent d'un gros sein chacun et s'amusent à les palper, les soupeser et pincer les tétons dressés.

Puis ils commencent à les embrasser et à les téter. Ma mère plaque leur tête contre ses deux énormes nichons et les incite à continuer. On a l'impression d'une mère allaitant ses deux grands enfants.

Au bout de quelques minutes, tour à tour, ils forcent maman à leur faire une branlette espagnole. Ainsi, à tour de rôle, ils insinuent leur gros sexe entre les énormes loches de ma mère et commencent à faire des va et vient. Maman, experte en branlette espagnole, s'empare de ses gros nichons et les pressent autour de la queue du gars.

Ne pouvant se retenir, ils éjaculent tous les deux rapidement et le sperme coule abondamment sur les seins de ma mère et son ventre. Elle tente d'en avaler un peu et s'en badigeonne le corps, heureuse de cette semence libérée grâce à elle.

Les gars, vidés, sortent des billets et les donnent à maman :

- Bordel, tu dis que tu n'es pas une pute et pourtant j'ai rarement été sucé aussi bien!

Ma mère est étonnée et flattée d'être payée pour avoir procuré du plaisir à des hommes.

Ils sortent des chiottes, repus. Moi, j'ai réussi à me retenir de me branler en voyant ma propre mère piper ces gars et se faire grassement payer. La soirée n'est pas terminée et loin s'en faut.

Ma mère fait un brin de toilette et remet en vitesse son tee-shirt moulant qui lui colle un peu à cause du sperme sur ses gros seins. Je la regarde et une idée absurde me passe par la tête. Et, l'alcool aidant, je lui demande :

- Dis donc maman, et si tu faisais le trottoir cette nuit? On pourrait voir combien de personnes payeraient pour tes charmes.

Ma mère me regarde et se lèche les lèvres encore imbibées de sperme.

- hum, c'est bientôt la fermeture des bars! Je vais sortir et attendre que l'on m'aborde dans la rue!

Décidée, maman se dirige vers la sortie en roulant du cul sans gêne et en se cambrant pour que l'on voie bien ses gros seins ballotter en dessous du tee-shirt moulant. Tous les hommes la regardent en proférant de multiples quolibets bien salaces à son sujet.

Ma mère commence à attendre comme une professionnelle près d'un lampadaire. Au bout de cinq minutes à peine, une voiture s'arrête et ma mère lui indique les conditions. Elle veut se faire baiser sous une porte cochère que nous avions aperçue.

Je me mets dans un coin masqué dans la pénombre afin de surveiller maman et de mater bien sûr.

L'homme sort du véhicule garé près de la porte cochère et commence à peloter le corps ma mère. Il s'excite rapidement et finit par la baiser contre le mur. Cela est très rapide et il finit rapidement de la besogner.

Maman récupère les billets et se poste de nouveau près du lampadaire. Un autre client se présente et il exige une pipe cette fois. Ma mère le satisfait et l'homme repart après avoir payé la somme convenue.

Deux voitures s'arrêtent pour profiter des charmes de ma mère. L'une d'elle a un siège bébé à l'arrière indiquant que son occupant cocufie honteusement sa femme. Ma mère ne se pose pas ce genre de questions mais commence à se lasser de ces passes aussi rapides.

Le bar ferme et des clients ivres l'abordent sans complexe. Elle se fait donc baiser par une bonne dizaine de clients avinés qui lui offrent même des restes de bouteilles qu'elle s'empresse de finir. Elle se contente juste d'écarter les cuisses, à moitié saoule et excitée tandis que les autres se vident les couilles misérablement.

La scène est pathétique dans la mesure où elle ne prend même plus de plaisir à se faire prendre et en arrive à se vendre pour des fonds de bouteilles.

Je commence à m'ennuyer ferme et j'envisage de rentrer au studio lorsqu'une bande d'une dizaine de jeunes l'aborde. Ils ont entre 18 et 25 ans maximum et semblent bien ivres eux aussi. Ma mère est un peu effrayée mais elle sent qu'ils veulent la baiser. Ils s'emparent d'elle et l'entraînent vers un véhicule stationné près d'une poubelle dégueulasse. Il doit appartenir à l'un d'entre eux. Ils ordonnent à maman de virer son tee-shirt moulant pour qu'ils puissent voir ses gros nichons. Elle le fait et de nouveau, elle se retrouve les seins à l'air pour le plus grand bonheur de tous.

Rapidement, ils la déshabillent complètement et pelote tout son corps nu en se la passant comme un vulgaire pantin. Ils s'affairent principalement sur ses énormes loches laiteuses aux larges auréoles brunes. On palpe son cul, caresse ses jambes, des doigts s'insinuent dans sa bouche, son vagin et même dans son trou du cul. On la traite de putain en chaleur, de salope à gros seins, de dépravée... et bien d'autres insultes très crues et humiliantes.

Ce petit jeu dure un bon moment et ma mère est malmenée de la sorte jusqu'à ce qu'elle soit plaquée de nouveau sur le capot de la voiture. Là, on lui écarte bien les cuisses et les jeunes commencent à faire la queue pour la baiser. Le corps de ma mère subit donc les assauts des jeunes queues fougueuses et désireuses de cracher leur semence.

La voiture est animée de secousses provoquées par la vigueur des jeunes. Elle sent les sexes turgescents ramoner l'intérieur de son vagin qui est une véritable fontaine maintenant. Le sperme chaud inonde sa caverne et cela lui procure une jouissance infinie. Ma mère commence à gémir et moi, dans mon coin sombre, je sors ma queue et commence à me branler.

L'un d'entre eux finit par la retourner et sans crier gare, sans même la préparer, l'encule sauvagement. Heureusement pour elle, c'est loin d'être sa première sodomie et elle est heureuse d'être possédée de la sorte.

Ma mère commence à vraiment gémir de bonheur. Voyant cela, les autres décident à leur tour de l'enculer.

L'un des jeunes gars me voit en train de me pignoler lamentablement. Il vient vers moi en ricanant et m'invite à venir enculer ma propre mère. Je refuse mais il ne me laisse pas le choix. Cela m'apprendra à jouer les voyeurs incestueux, lâche et pervers.

Je me retrouve devant le trou du cul dégoulinant de sperme de maman, rouge comme une tomate. Je suis honteux et réalise à quel point je suis un pervers. Ma mère attend, nue, ivre, toujours sur le capot de cette voiture, le cul en feu.

Devant les incitations des jeunes, je me lance et mon sexe, en érection comme jamais, ramone le cul de cette bourgeoise en manque. Je l'encule sauvagement moi aussi et elle réagit en poussant des hurlements de jouissance. Je finis par éjaculer par grosses saccades et très rapidement.

Ma mère est bien pleine et ses deux orifices sont en feu, dégoulinant de foutre chaud.

Les jeunes se marrent et emmènent ma mère près du lampadaire où elle attend. La différence, c'est qu'elle fait le tapin complètement nue maintenant. Elle se tient droite à coté de ce fameux lampadaire, bien cambrée, ses grosses loches bien en vues des clients potentiels.

De temps en temps, lorsqu'une voiture passe, elle se met sur la pointe des pieds et fait un sourire bien vicelard en faisant un signe de la main droite. A la voir, on peut se rendre compte du plaisir qu'elle éprouve à exhiber son corps et à faire le tapin à poil. Elle se prend au jeu et semble une superbe professionnelle.

Elle est bien loin, la femme mariée, mère de famille puritaine et honorable qui m'a donné naissance et élevé. J'ai même du mal à croire que cette femme à l'opulente poitrine, qui est en plus ma propre mère, m'a jadis donné une éducation si stricte.

Inutile de vous dire que beaucoup de voitures s'arrêtent et ma mère doit pomper et écarter les cuisses à de nombreuses reprises afin de bien satisfaire ses clients.

Il doit être environ quatre heures du matin lorsque les jeunes, revigorés, décident de remettre ça.

Cette fois, elle leur taille quelques pipes et effectue quelques branlettes espagnoles entre ses gros nibards. Mais elle n'échappe pas à une nouvelle séance de sodomie ni à un bain de sperme offert gracieusement par ces jeunes si infatigables.

Au final, Ma mère se retrouve recouverte de sperme qui se mélange à sa sueur car elle a pas mal travaillé ce soir. Elle s'en badigeonne le corps et en imprègne bien sa grosse poitrine. Les jeunes payent maman et nous laissent en partant dans le véhicule sur lequel ils ont baisé.

Nous décidons de rentrer au studio. En arrivant, ma mère, complètement souillée mais néanmoins heureuse, se déshabille devant moi et prend une douche. Elle en sort au bout de 5 minutes, nue et elle me regarde bizarrement.

- Tu devrais te laver toi aussi petit cochon!

Elle se frotte les cheveux et ses gros seins ballottent à nouveau provoquant en moi une nouvelle érection du feu de dieu. Je file à la douche me laver de toutes ces honteuses dépravations.

Maman, toujours nue, s'allonge sur le lit et compte ses billets d'un air satisfait. Il y'en a facilement pour 1200 euros et en même pas une nuit.

Heureuse, elle finit par s'endormir, toujours à poil sur le lit, en s'allongeant sur cet argent facile.

Moi, je ne suis pas très fier et j'ai des scrupules car je n'ai jamais cautionné la prostitution. J'ai honte car je pense à toutes ces pauvres femmes exploitées ou qui vendent leur corps pour survivre. J'ai atteint un haut degré de perversité en incitant ma propre mère à se prostituer. Je me console en me disant une chose : Après tout, elle était largement d'accord!

à suivre...

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