mercredi 17 août 2022

Train de nuit - Ch. 06

Texte de XMaster, 

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Sophie est encore plus humiliée.

Toujours soumise, elle laisse sa poitrine venir en contact avec le sol dur du compartiment, puis elle ramène ses mains sur ses fesses et les écarte alors impudiquement comme pour permettre une meilleure pénétration.

- Allez, tire bien sur tes fesses pour l'ouvrir, ton anus de pute !

Et Sophie écarte encore plus ses fesses pour se laisser fouiller les entrailles, mais elle ne peut pas voir à cet instant que François vient de se relever et se tient derrière elle les jambes fléchies.

- Mets-toi les index pour l'ouvrir ton cul de salope, vite !

Toujours sans répondre, la jeune fille s'exécute rapidement en se dilatant le trou du cul et en espérant le passage d'une bonne bite par cet orifice.

L'homme attend quelques instants que l'anus soit bien ouvert, toujours debout au-dessus des fesses, les jambes fléchies. Il tient sa bite pliée vers l'orifice béant. Puis, quand il estime que la femelle est à sa merci, il se lâche et pisse, tout debout, dans l'orifice ouvert.

La jolie brune se met alors à pousser un cri, tant elle est surprise de l'opération, puis elle commence à balbutier :

- Mais ça ne va pas...

- Ta gueule ou je te pisse dans la bouche, morue ! Se contente de répondre François en se vidant la vessie.

Le liquide jaune pale qui s'insinue dans ses entrailles procure une étrange sensation à la belle Sophie, ni vraiment agréable, ni vraiment désagréable. La seule chose qui la stupéfie encore c'est son absence de réaction face à ce monstre, bien sûr c'est un bel homme, mais comment a-t-elle pu en arriver à se laisser faire de telles choses, là est la question.

- C'est parfait, tu es une bonne pute bien docile ! Laisse tomber le contrôleur d'une voix devenue bienveillante tout en se rasseyant sur le bord de la couchette.

La jeune fille n'ose pas bouger de peur d'agacer le monstrueux personnage, mais aussi de peur que l'urine ne s'échappe de ses intestins. Elle se sent sale tout à coup.

Le mec contemple quelques instants sa proie soumise à ses caprices, puis il ajoute sur un ton redevenant impératif tout en gardant encore des traces de bienveillances :

- Maintenant, tu vas aller te vidanger les boyaux aux chiottes en bout de wagon.

À ce moment-là, la pauvre jeune fille commence à croire qu'elle arrive au terme de ses souffrances et que ce vicieux personnage va finir par se lasser d'elle, aussi, tout doucement elle se relève. Une fois debout, elle s'empare de sa petite robe d'été qui est posée sur la couchette en face de la sienne.

- Non ! Vas-y nue, tu es une bonne chienne, mais pas un toutou à sa mémère avec un petit manteau, donc tu vas aux chiottes nue comme une bonne chienne bien obéissante !

- Mais Monsieur, si quelqu'un venait...

- Je te protégerai, sois rassurée, mais je veux te voir nue dans le couloir !


Et encore une fois, la peur au ventre, la pauvre Sophie se remet à pleurer en balbutiant :

- Pitié Monsieur, pitié, je vous en prie !

- Allons donc ! Ça ne va pas te tuer de faire dix mètres, nue, d'ailleurs tu dois bien avoir l'habitude de t'exhiber, non ?

- Non Monsieur, je vous assure, je ne...

- Pas d'histoire, tu fais ce que je t'ordonne et c'est tout, sinon gare à ma ceinture !

La pauvre chérie se met à trembler en redoublant ses pleurs. Elle essaye encore inutilement de négocier en ajoutant entre deux sanglots :

- Mais pour qui je vais passer moi, alors ?

- Eh bien, pour ce que tu es ma belle, une vraie salope soumise qui a, en permanence, le feu au cul et qui a toujours besoin de se faire fourrer !

- Mais...

- Aller, hop, plus de discussion stérile, va aux toilettes, je te suis !

Le ton est devenu complètement contraignant, la jeune fille est entièrement perdue et, ne sachant plus quoi dire, finit par entrouvrir la porte du compartiment. Elle hésite, jette un regard à droite, puis à gauche, essaye de reculer quand elle sent deux mains puissantes sur ses hanches qui la poussent dans le couloir assez peu éclairé.

- Et ne tâche pas de cacher tes seins ou ta moule, hein !

Alors, les bras le long du corps, elle se hâte vers le bout du wagon en priant mentalement que personne ne passe pendant son trajet. Très heureusement pour elle, la pièce est libre et elle entre prestement dans le petit réduit en refermant la porte sur elle. Elle est persuadée que le contrôleur est derrière la porte à l'attendre, aussi se dépêche-t-elle de s'asseoir sur la lunette.

François est finalement resté dans le compartiment et attend que sa proie revienne. Il s'amuse beaucoup intérieurement à voir comment et combien cette jeune créature est à sa merci. Il se rend compte qu'il a poussé le bouchon très loin cette fois-ci, mais il se doit bien de reconnaître que ces jeux l'excitent aussi beaucoup, et que plus il va loin, plus de nouvelles idées germent dans son esprit.

Sophie pisse littéralement par le cul. Elle sent également ses propres excréments qui partent avec le liquide, heureusement que le bruit du train couvre entièrement les sons qu'elle laisse échapper. Elle pense qu'elle se sentirait encore plus honteuse si elle savait que quelqu'un pouvait l'entendre. Seule maintenant, elle essaye de retrouver ses esprits et de comprendre comment elle en est arrivée là.

Au bout de cinq minutes, le contrôleur ne voyant pas réapparaître sa soumise, il se décide d'aller jusqu'aux toilettes pour voir de quoi il en retourne. Arrivé devant la porte, il tend l'oreille mais ne perçoit aucun son, il tape alors à la porte avec sa pince et annonce en déguisant sa voix :

- Billet s'il vous plaît.

Le bruit fait sursauter la jeune fille sur son siège. En s'essuyant rapidement, elle lâche :

- Oui, j'arrive Monsieur.

Comme elle est entièrement nue, elle en profite pour laver ses fesses toutes maculées. Après un rapide séchage, elle entrouvre la porte pour voir si personne d'autre n'est présent.

- Allez, dépêche-toi, je n'ai pas que ça à faire moi !

Baissant la tête, Sophie repart vers son compartiment sans mot dire. Sans oublier qu'elle est nue, elle se sent soulagée que l'homme la suive de près. Au moins, pense-t-elle, si quelqu'un m'aperçoit ainsi, il comprendra ce que j'endure et viendra peut-être me délivrer de ce monstre.

Malheureusement, personne ne passe à cet instant dans le wagon, et la jeune femme soumise entre dans son compartiment suivi de près par le pervers contrôleur.

Dès que la porte est refermée, il ordonne d'un ton des plus sec en lui attrapant le bras et en commençant à lui imprimer le mouvement qu'il souhaite lui voir faire :

- À quatre pattes par terre !

Toujours sans broncher, la pauvre fille s'exécute, elle pose ses genoux sur le sol et prend la position demandée, les mains bien à plat devant elle.

- Parfait, tu vas rester dans cette position le temps que je finisse mon service maintenant, je passerai de temps à autre, gare à toi si tu as bougé, ma ceinture est toujours prête, elle… !

Et sur ces mots, il sort du compartiment en refermant derrière lui avec son trousseau de service.

Sophie essaye de comprendre tout ce qui vient de se passer. Les idées tournent dans sa tête à grande vitesse. Pour le moment, elle ne sait même plus si ce fût excitant ou carrément dégoûtant, bien sûr, la fessée lui a fait mal, mais cette douleur est maintenant bien loin, bien sûr elle a été injuriée, mais ces injures n'ont-elles pas été aussi excitantes quelque part ? Et n'a-t-elle pas rêvé parfois de situations assez semblables ?

A suivre...

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