Texte degkcdqho
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Nicole est baisée chez elle par Marcel.
Samedi matin après les courses alimentaires, je cherche en ville une petite pharmacie discrète. Je la trouve dans une petite rue avec une pharmacienne au comptoir. Nous sommes seules, je lui raconte ce que m'a fait mon amant et la gêne que j'éprouve en ne voulant pas que mon mari le sache. Compatissante elle me vend une crème apaisante et une anesthésiante pour la récidive.
Nous bavardons pendant un bon moment sur les amants un peu trop envahissants, je ne parle pas de mon chantage. Je ressors un peu réconforté sur les hommes et leurs agissements égoïstes.
Plusieurs fois dans la semaine, Marcel passe à côté de moi en chuchotant :
- A vendredi !
Vendredi matin, une enveloppe sur mon poste de travail ? J'ouvre ! Une photo prise dans la réserve. Il a peur que je ne revienne pas ou que je porte plainte pour viol. Avec la vidéo de son portable je serais discréditée, il me tient et le sait, je n’ai plus qu'à subir sa libido, ses fantasmes. Je ferme la maison, j'ouvre la portière de ma voiture. Je reste figée, une voiture vient de passer le portail ouvert, elle remonte l'allée et s’arrête a côté de moi, un homme descend, c'est Marcel !
- Je suis venu à ta rencontre puisque nous sommes là, ouvre ? On va le faire chez toi aujourd'hui.
Je vois Marcel avancer vers moi, un sac de sport a la main. Il me prend la main pour que je monte les marches avec lui ce que je fais comme une automate. J'ouvre machinalement la porte. Il me pousse dans le couloir, referme la porte derrière lui comme s'il était le maître ici.
- Montre-moi ta chambre à coucher, c'est là que nous serons le mieux. Me dit-il.
Je vais dans notre chambre à coucher, Marcel ne m'a pas lâché la main ni son sac de sport. Il tient à celle qui va être sa soumise. Dès que je pénètre à l'intérieur de la chambre, il s'empresse de sortir son membre et sans ménagement me fait lui tailler une pipe, ma bouche est envahie par l’énorme mandrin.
Je suce, lèche, gobe ses grosses couilles. Puis il me saisit par la taille, le bougre veut finir ce qu’il a si bien commencé. J'essaie bien de me défendre, mais Marcel d’une main, maintient mes poignets au-dessus de ma tête et de l’autre main il déboutonne complètement ma robe qui bientôt se retrouve à terre. Je me retrouve en petite culotte, l'homme ne sait plus où poser ses mains, entre mes seins aux mamelons flasques, ma petite grotte à peine dissimulée par la culotte, les fesses, tout est tentant.
Il me retourne face au mur d’entrée, me fait mettre en appui sur mes avants bras et m'ordonne de me cambrer.
– Cambre-toi bien ! OUII !! C’est ça, OOOH !! Quel cul !
Il pelote, malaxe mes deux globes fessiers. Puis il pose ses deux mains bien à plat sur chaque fesse et doucement les écarte au maximum, découvrant par cette manœuvre toute mon intimité. Se positionnant à genoux dans mon dos, il écarte ma petite culotte et approche son visage de mon cul.
Sa langue se pose directement sur mon petit œillet, qu’elle agace de petits coups légers pendant qu’un doigt glisse sur mes grandes lèvres puis pénètre ma grotte inondée. Je suis très sensible à ses caresses, je cambre encore plus ma croupe et gémit de bonheur. Marcel s’en donne à cœur joie, sa langue tourne autour du petit trou et enfin s’enfonce petit à petit dans ma caverne secrète.
Je gémis de plus en plus fort, surtout que Marcel enfonce maintenant deux doigts dans ma chatte et qu’un troisième doigt vient les rejoindre. Marcel délaisse quelques instants mon petit cul, sa main gauche vient me saisir un sein gonflé par le plaisir.
Imaginez la scène, moi en appui sur mes mains, face au mur de ma chambre conjugale, la croupe cambrée qui se tortille sous les caresses de mon maître chanteur qui a une main entre mes fesses, trois doigts qui fouillent mon intimité et l’autre main qui caressent alternativement mes deux seins qui ballottent doucement.
Heureux de voir sa victime apprécier le traitement, Marcel délaisse mes seins lourds de désir et fait glisser lentement ma petite culotte le long de mes cuisses et moi je ne me défends pas. Une fois que le bout de tissu est enlevé, Marcel écarte de nouveau mes fesses et reprend son travail de langue, pour mon plus grand plaisir. Je tortille mon fessier en gémissant de plaisir. Marcel continue pendant plusieurs minutes à me bouffer le cul tout en faisant coulisser ses doigts dans mon sexe inondé.
- A ton tour ! Au travail et mouille-la bien ! Dit-il en sortant sa grosse bite.
Sans discuter, j'ouvre la bouche et à nouveau avale lentement la barre palpitante au grand plaisir de mon tourmenteur. Pendant quelques instants on entend plus que le bruit de succion et quelques commentaires flatteurs, puis Marcel m'interrompt :
- Doucement, je ne veux pas jouir encore dans ta bouche, j’ai d’autres idées.
Puis il m’entraîne dans le salon, il a pris son sac de sport à la main.
- Mets-toi à quatre pattes sur la table de salon !
J'obéis et me met en position de levrette, Marcel saisit mes hanches et approche son dard brûlant de ma chatte faite pour l'amour.
- Vas-y doucement, tu es tellement gros !
- Ne t’inquiète pas, tu es tellement trempée que ça va rentrer tout seul !
Me saisissant les hanches, il fait pénétrer doucement le gland entre mes grandes lèvres puis il s’arrête, puis il pousse brutalement et sa bite s’enfonce d’un trait.
- OOOOHH !! Salaud je t’avais dit d’y aller doucement !
J'essaye de me libérer. Une grande claque retentit sur ma fesse droite.
- OOOUUIIILLLE !! Tu me fais mal !
- Mais non, je sais que t’aimes bien te faire un peu prier ! Enfin si tu ne veux pas que je prenne ta chatte, tu sais ce qui va arriver !!!
- Oh non pas ça !
Marcel sort sa bite et pose le gland sur la petite porte de mes reins.
- Non je t’en prie, pas ça, tu vas me déchirer.
- T'inquiète cette fois-ci j'ai du gel.
Marcel s’empresse de fouiller dans son sac et sort du gel et des paires de menottes. Prenant celles-ci il m'attache les poignets en ignorant mes protestations.
- Je sens que l’on va bien s’amuser, je vais te prendre par le cul et tu en redemanderas ma salope.
– Non, non ! Pas ça !
N’accordant aucune attention a mes gémissements, il m’allonge sur la table à plat ventre tout en glissant un gros coussin sous mon ventre. Saisissant deux paires de menottes il m'attache la cheville droite au pied de la table et fait de même avec l’autre cheville avec une troisième paire de menottes, il fait de même avec mes poignets.
Je suis maintenant à plat ventre, les poignets et les chevilles attachées et maintenus bien écartés, le coussin sous mon ventre, j'offre ainsi ma croupe !!!
- Défais-moi ça, enlève-moi les menottes, je ferais ce que tu veux, je t’en prie !!
Marcel fouille encore dans son sac et sort un gros gode à ceinture, pas très long mais par contre d’un diamètre impressionnant. Il contemple longuement le gode puis s’approche de ma tête. Prestement, il passe la ceinture derrière ma tête brune et ordonne :
- Ouvre la bouche !!
- Que VEHHUUUMMMMPPFFF ????
Avec dextérité il a enfoncé le gode énorme dans ma bouche ouverte sur mon cri de protestation. Je me tortille de colère, il n’en a cure, il contemple son œuvre : Moi entièrement nue, et au bout de l’un de mes escarpins ma petite culotte est resté accroché. La scène doit être d’un érotisme !! A ce moment-là, j'aperçois que Marcel sort une caméra et la pose sur la table.
– Sourit ma salope, je vais tout filmer.
– HOOOMMMM !!! HOOUUUMMMM !!!
- Ne t’inquiète pas, je la montrerais qu'à mes amis, je ne vais pas la mettre sur un site porno sauf si tu refuses ce que je vais te faire…
Alors tranquillement il positionne le caméscope de manière à pouvoir filmer toute la scène puis satisfait du résultat, il s’approche doucement et me caresse longuement le dos puis les fesses au milieu desquelles, il glisse sa main pour une caresse possessive. Enfin il se glisse entre la fourche formée par mes jambes écartelées, puis prenant le gel il commence à enduire doucement mais copieusement la petite porte de mes reins, que j'essaie tant bien que mal de contracter.
- Pas la peine de lutter ma belle, je vais t’enculer, je vais profiter de ton petit cul, magnifique c’est vrai, je vais en profiter toute l'après midi.
– FFF IL E PLAIIITT !!! NOONN NOOON !!!!!
Je le supplie d’une voix à peine audible, mais mon bourreau n’en a cure.
- Je sais que t’aimes ça, je t'ai entendu gémir de plaisir l'autre jour et avec un cul pareil, n’importe quel mec qui te voit à envie de t’enculer et je ne vais pas me priver. En attendant tu vas bien sucer ce beau gode. Joignant le geste à la parole il fait le coulisser légèrement d’avant en arrière dans ma bouche largement distendue.
Ne sachant ce qui m’attend, j'écarquille les yeux et supplie du regard mon bourreau. Celui-ci prend la camera en main et fait revenir le film en arrière puis met en lecture en prenant soin d’orienter l’écran vers moi.
– Regarde comme tu es bandante ! Comment veux-tu que je n’ai pas envies de te prendre le cul quand on voit ça ?
Il me montre toutes les images, puis il remet le film en position départ, replace la caméra et redémarre le film.
Tranquillement il se replace entre mes jambes écartées, pose ses mains sur mes fesses, les écarte fermement et reste un moment à contempler le sublime spectacle. Pendant ce temps je cherche désespérément à m’échapper. A moitié étouffée par le gode je ne peux produire que de faibles gémissements. Le pire c’est qu’en me tortillant, je ne me suis pas rendu compte qu’involontairement je me cambre de plus en plus pour la plus grande joie de Marcel.
Celui-ci en profite pour introduire son pouce dans mon cul ainsi offert, après l’avoir préalablement copieusement enduit de gel lubrifiant.
– HHHOOOMMMPPFFF !!!
Je gémis en appréciant quand même l’intromission.
– Déguste bien ma belle ça c’est l’apéro !!
Alors il se relève, il repositionne le coussin sous mon ventre, de ses deux mains il écarte fermement les deux globes de mes fesses, pose son gland sur ma corolle et commence à peser doucement mais fermement.
Réussissant à libérer ma bouche du gode monstrueux, je lui crie :
- NOONNN !! Marcel NOOONN !!! Pas encore !!
Pendant quelques secondes mon anneau résiste vaillamment à l’envahisseur, il ne se passe rien. J'ai le visage envahi par une sueur trahissant ma peur et soudain :
– NOONN !! AIIIEEEE !!! Ça fait mal, salaud, ARRREEEETEEEEE !!!
Le gland, en buté contre ma corolle humide est soudain comme aspiré et disparaît dans mon petit trou soudain distendu.
– AAAAAARRGGGH !!! AAAARREEETTTTEEEEE !!!!! J’ai MAALLLL !!!
Marcel s’est soudainement arrêté, il replace le gode au fond de ma bouche en l'attachant derrière ma nuque, puis il recommence à forcer mon étroit conduit. Insensible à mes gémissements, il reprend son lent forage. Centimètre par centimètre, sa grosse bite s’enfonce. Au bout d’un long moment, elle est enfin en butée au fond de mon petit cul dilaté.
Au cours de cette terrible intromission, je n'ai cessée de gémir, le souffle coupé par la douleur. J'ai l’impression qu’un énorme fer rouge s’est introduit jusqu’au fond de mon ventre. Le gode qui envahit ma bouche m’empêche de respirer convenablement, des larmes de douleurs envahissent mes yeux grands ouverts et des gouttes de sueur coulent le long de mon visage.
Lorsque Marcel s’arrête, je crois que mon supplice va prendre fin, hélas non.
- Putain, t’es trop bonne, tu me serres bien, je vais faire de ton cul, un cul de pute.
– HHHOOOORRRRRGGGGGG !!!!!!
Il me saisit fermement par les hanches puis passe ses mains sous mes seins et commence doucement à se retirer. Quand il ne reste plus que le gland il s’arrête et se renfonce dans mon cul sans défense.
- AAAARRRGG !!!! FFFAIIS MAAALLL !!!
Quand son bas ventre bute sur mes fesses, il se retire alors d’un seul coup.
- OOOOOOHHH !!! Gémis-je de soulagement en pensant qu'il arrête cette fois-ci la sodomie.
- Ah je vois que tu commences à aimer !!
Il replace son gland sur mon anus, que j’arrive encore à refermer, il pèse légèrement. Voyant que je me crispe, il m'assène une formidable claque sur la fesse. Surprise, je me relâche et il en profite pour s’enfoncer d’un seul coup au fond de mes reins.
- AAAAARRRRGGGG !!! AAAAARREETTEEE !!!!
- Oh que c’est bon ! J’adore enculer une petite pute comme toi, hein c’est bon, t’aimes la grosse bite de Marcel ?
- AAARRRGGGG !!!! OUUUUHH !!!
Maintenant Marcel va et vient dans mon conduit dilaté, il s’en donne à cœur joie, en me fessant. Malgré moi, mes cris se sont mués en gémissements où la douleur se partage avec le plaisir et bientôt mes fesses partent à la rencontre de sa grosse bite pour mieux être empalées.
- MMMHH !! CH’EST BOOOONNN !!!
Soudain Marcel s’arrête, il se penche vers son sac, en sort un gode de taille moyenne et le présente devant ma chatte délaissée. Il enfonce le gode et met le moteur en marche, fait quelques va-et-vient puis il l’enfonce complètement. Satisfait, il recommence ses allers-retours dans mon cul dilaté.
-Te voilà bien emmanchée, c’est bon une bite dans chacun de tes trous !
- MMMHUUOOUUIII !!!
Pendant de longues minutes on entend plus que mes gémissements et les han de bûcheron de Marcel avec les vibrations du gode dans ma grotte inondée. Marcel vérifie que la caméra enregistre bien, il la prend en main et filme en gros plan sa bite enfoncée dans l’étroite porte de mes reins.
- Mes voisins seront contents de te voir si bien emmanchée.
Puis reposant la caméra il reprend son piston-nage intensif.
- C’est bon d’être serré comme ça, je sens que ça monte.
- MMMOUIIII !! ON...TIII..NUUU!!!!
Soudain la bite envahissante se gonfle encore plus dans mon rectum, il va jouir dans mon ventre.
- NOOONNN !!!!!
Avant que son plaisir ne soit complètement monté il se retire. Tenant la base de son sexe serré, il se relève et contournant la table, il m'arrache littéralement le gode qui envahit ma bouche et enfonce sa bite congestionnée dans mon orifice buccal.
Je n’ai pas le temps de dire ouf que ma bouche et ma gorge sont envahies par de puissantes giclées de sperme onctueux. Le débit est si fort que je ne peux tout avaler et de longues traînées de sperme mélangées avec ma salive s’écoule de la commissure de mes lèvres. Pendant ce temps Marcel a plongé le gode dans mon anus entrouvert, la bouche complètement obstruée je ne peux même pas gémir et doit subir jusqu’au bout l’éjaculation sauvage. Enfin le flot se tarit, il m'oblige à bien nettoyer sa queue qui commence seulement à ramollir.
- Salaud tu m’as fait mal, en plus je ne voulais pas te sucer après que tu m’aies sodomisée.
- Je vais t’enculer encore et encore et tu me suceras quand je le désirerais, c’est moi qui commande et en plus n’oublies pas que tu es attachée !
Tout l'après-midi il me baise dans tous les sens, par tous les trous. Ma bouche, ma chatte et mon cul sont en permanence occupés soit par la bite de Marcel soit par ses godes. Je ne compte plus les orgasmes que j'ai eus. L'après midi ne m'a pas paru très long tellement j'étais excitée avec tous ses jouets.
Marcel me détache après avoir rangé ses affaires et le caméscope. Avant de partir en me laissant complètement groggy, il me demande :
- Tu aimerais encore être baisée comme cet après midi ??
Je lui avoue dans un souffle que oui, j'aimerais encore subir sa volonté de me baiser.
A suivre...
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