Histoire d'Eko (ou Géronimo)
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Je devais récupérer ma voiture que j'avais laissée pour le contrôle technique obligatoire. J'arrivais donc chez le garagiste juste avant la fermeture. Ce qui ne parut pas emballer le propriétaire. Le patron du garage, un certain Robert était vraiment monstrueux. La soixantaines, gros, limite obèse, sale, bref repoussant au possible. Et en plus, il n'arrêtais pas de me mater.
Je portais ce jour la, une jupe en cuir noir sur des bas coutures et un haut moulant. Mes escarpins rouges vifs allongeait encore plus mes jambes. Bon, tenue un peu sexy pour aller chez le garagiste mais je devais retrouver mon amant juste après. Mon mari était en voyage d'affaire à l'étranger et nous en profitions pleinement. A 47 ans, j'étais devenue la maîtresse d'un de mes étudiants à la fac ou j'enseigne le français. Immorale mais tellement bon...
En plus du dénommé Robert, il y avait 3 autres employés qui me reluquaient. On m'annonce que ma voiture est prête et je dois aller dans le bureau de Mr Robert pour régler la facture. Je m'assois croisant mes jambes dévoilant une bonne partie de mes cuisses. Je réalise que Robert matte mes jambes sans aucune gêne. Confuse, je me rends compte qu'on aperçoit la lisière des bas que je porte et je tire maladroitement sur ma courte jupe. Il me tend la facture et là, je m'aperçois, horrifiée, que j'ai oublié mon portefeuille à la maison. Agacé, Mr Robert soupira :
- Ben vous repasserez demain ma ptite dame...
- Mais, ce n'est pas possible , j'ai un rendez-vous impératif ce soir, sans voiture comment je fais ?
- Y a les taxis...
- Allez soyez gentil, laissez moi reprendre ma voiture et je vous jure, je repasse vous régler demain.
- Hors de question !
Le garagiste se lève et s'approche de moi.
- Remarquez... On pourrait s'arranger.
Je mets quelques secondes à comprendre.
- Mais ça va pas non ! Lançai-je, outrée.
Mr Robert me leva de ma chaise et me poussa contre le mur. Son halène sent l'alcool et je détourne le visage. Je pousse un cri quand je sens sa main qui se faufile sous ma jupe.
- Putain, je le crois pas, t'as rien la dessous !
C'est vrai, je voulait tellement exciter mon amant que je n'ai pas mis de string. Ses doigts prennent possession de mon vagin. Il agite ses doigts en me traitant de bourgeoise salope. Je tente de me dégager, je gémis, me débats sans y parvenir. Mr Robert me titille le clitoris et je commence à ressentir une douce chaleur dans mon bas-ventre. Le garagiste s'empara d'une paire de ciseaux et je fus effrayée.
- Que faites vous? Bafouillais-je.
Il me coupa mon haut sous mes protestations. Il coupa également mon soutien-gorge. Il se pencha et me suça la pointe des seins qu'il malaxe sans douceur. Il me força à me mettre à genoux.
- Sors ma bite, chienne !
Terrorisée, je m'exécute. Son membre est impressionnant. Épais, long. Il m'agrippe les cheveux et m'enfonce sa bite dans la bouche me provoquant un haut le cœur. Je le suce tant bien que mal, lui titillant le gland avec ma langue. Il m'enfonce sa queue dans ma bouche. Il m'ordonne de lui lécher les couilles et j'obéis, soumise. Je suis trempée et il s'en aperçoit.
- T'es toute mouillée petite salope, viens on va en faire profitez les copains aussi !
- Oh non, pitié! S'il vous plaît!
Mais, me tenant par les cheveux , il m'oblige à sortir du bureau à quatre pattes et m'emmène au milieu du garage. Les seins à l'air, la jupe enroulée autour de la taille dévoilant ma chatte et mon cul. Ses trois collègues s'approchent.
- Qu'est ce que tu fous Robert ?
- Venez les gars, j'ai une bourgeoise en manque de bites qui n'attends que ça !
Un des garagistes me présenta son sexe le tenant à pleines mains et me l'enfourna dans la bouche. Un autre me donne des claques sur les fesses me faisant couiner. Le dernier m'enfonce ses doigts dans ma chatte.
Celui que je suce m'agrippe la tête et il fait coulisser sa bite dans ma bouche à toute vitesse me provoquant des hauts le cœur. Robert s'empare de son portable...
- Je suis en train de faire un super film les gars !
- Allez montre nous tes talents d'actrice porno ma belle.
Tout le monde éclate de rire. Je tente de protester mais je suis étouffée par la bite du garagiste. Robert décide de jouer les metteurs en scène et il donne des directives :
- Roger, enfonce lui ta main dans sa chatte !
Le dénommé Roger obéit et je sens sa main envahir mon vagin. Il active sa main et je pousse un gémissement.
- Bruno, va te faire sucer avec Fifi.
Je me retrouve donc à sucer deux queues à la fois, parfois il m'enfonce leurs deux bites dans la bouche me déformant la mâchoire. Roger retira sa main et me contraignit à la nettoyer. Je m'exécute lui suçant les doigts un par un.
Je suis relevée et poussée vers une voiture. Courbée en avant, les seins écrasés sur le capot, Robert confie son portable à Roger. M'agrippant les hanches, il me pénètre brutalement me faisant pousser un petit cri. Il me pilonne comme un fou, son gros ventre vient claquer contre mes fesses. Fifi m'oblige à avaler sa bite pendant que Roger fait des gros plans. Je gémis sous les coups de reins de Robert qui exulte.
- Elle prend son pied cette salope ! Je vous l'avais dit les gars, sous ses airs de bourgeoises, une grosse chienne à dominer.
Il se retira et fut remplacer par Bruno. Il me releva, me coucha sur le capot et relevant mes jambes à la verticale, il me pénétra. Robert m'enfonça sa bite dans la bouche. Je suis défoncée comme une chienne par Bruno. C'est plus fort que moi, je sens l'orgasme arriver et je pousse un cri.
- On va l'enculer ! Lance Robert.
Je proteste énergiquement Mais rien n'y fait. Je suis de nouveau positionnée à quatre pattes sur le sol crasseux du garage. Mes bas sont déchirés, j'ai des traces de cambouis sur le corps. Pour me préparer, ces pervers décide de m'enfoncer dans l'anus le talon aiguille de mon escarpin. Je dois faire le tour du garage avec le talon de ma chaussure plantée dans le cul sous les lazzis de mes tourmenteurs...
Fifi versa de l'huile sur sa bite et pointa son gland sous l'ouverture de mes reins. Il força et je sentis sa bite s'enfoncer dans mon trou du cul. Haletante, les yeux fous, les cheveux en bataille, je pousse un long gémissement.
Fifi agrippe mes hanches et m'encule sauvagement. Puis ce fut le gros Robert qui m'encula. Je fus enculée à tour de rôle par ces pervers qui ne me laissent aucun répit. Empalée sur la bite de Bruno, enculée par Mr Robert, les deux bites de Fifi et Roger dans la bouche, je suis leur chose, leur poupée de chair dont ils font ce qu'ils veulent...
Cela dura une bonne partie de la soirée. Je fus mise à genoux au milieu du garage et mes quatre pervers se masturbent au dessus de mon visage. Fifi éjacula le premier m'aspergeant de son foutre. J'en ai sur le front, le menton. Roger libéra son sperme dans mes cheveux. Bruno sur mes seins. Mr Robert m'ordonna d'ouvrir la bouche et lâcha un torrent de sperme dans ma bouche m'ordonnant de tout avaler.
Je suis rhabillée et je m'apprête à partir quand Mr Robert vient me voir.
- Comment tu t'appelles?
- Claudine.
- Écoute Claudine, si tu veux pas qu'on diffuse tes petits exploits sur internet, tu viendras nous voir régulièrement. Je suis sur que t'as apprécié notre petite séance.
Honteuse, je ne réponds pas, le chantage est en place... Je sors du garage en courant et récupère ma voiture; le rendez vous avec mon amant est foutu maintenant, je lui envoie un texto lui disant que je ne peux pas venir.
Le pauvre... Y va être déçu....
FIN
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