Suite au décès de son père, Marie-Hélène, la distinguée épouse du maire d’une ville huppée de la région parisienne (dont vous avais déjà lu les récits de quelques unes de ces aventures sexuelles plus ou moins consenties) Madame, donc, avait hérité d’une maison de campagne. En très piteux état. Elle avait donc fait appel à une entreprise pour la remettre en état. Le chantier avait commencé depuis plusieurs mois quand Madame décida un week-end d’aller voir si les travaux avançaient.
Madame arriva le vendredi vers 16h00 et gara son cabriolet BMW devant la maison. Elle sortit de son véhicule et avança en faisant une moue dégoûtée. Il avait plu la veille et il y avait de la boue. Faisant bien attention de ne pas tacher ses escarpins italiens, elle se dirigea vers la maison. Elle entend la radio et les rires des ouvriers ce qui l’agace au plus au point. « Et voila ! Je m’en doutais ! Ils sont là à rigoler au lieu de bosser ». Elle rentre dans la maison et tombe nez à nez avec le peintre qui est en train de boire une bière. Elle explose de fureur.
- Au lieu de picoler, vous ne pouvez pas bosser non ? Où est votre patron ?
Le peintre lui montre l’étage sans paraître comprendre. Elle sait que le patron de l’entreprise emploie beaucoup d’ouvriers d’origines étrangères : portugais, espagnols, yougoslaves. Sont ils déclarés au moins se demande t’elle en montant les escaliers.
Elle ne se rend pas du tout compte par contre que le peintre, resté en bas, lorgne sur ses jambes gainées de bas cubains. Sa dernière folie en matière de sous-vêtements sexy…
Elle arrive en haut et découvre les trois autres ouvriers, dont le patron, qui eux aussi se prélassent.
Là c’est trop ! Madame est folle furieuse ! S’adressant au patron, un homme aux cheveux blancs, gros et sale, un cigare dans le bec, elle hurle :
- Mais où vous croyez vous ? Vous n’avez pas avancé d’un pouce depuis ma dernière visite ! Vous vous imaginez que je vais vous régler la note sans rien dire ?
Le patron s’avance suivi d’un de ses ouvriers.
- Allons ma p’tite dame, ce n’est pas la peine de s’énerver. Je vais vous montrer, on a bien avancé vous savez…
Madame étouffe, il se fout d’elle en plus ! Elle fait demi-tour et lance :
- Je vais vous faire une réputation ! Vous pouvez la fermer votre entreprise ! Vous ne savez pas qui je suis, j’ai des relations ! Et je vais voir les flics, je suis sûre qu’ils ne sont pas déclarés vos employés…Qu’ils retournent dans leurs pays !
Et Madame, faisant claquer les talons aiguilles de ses escarpins sur le plancher fais mine de sortir de la pièce, aussitôt rattrapée par les ouvriers. Le patron lui saisit le bras l’agrippant par la manche de son élégant tailleur noir. Elle se retourne et le gifle.
Plusieurs mains s’emparent de Madame et on l’approche d’un petit échafaudage qui est situé au milieu de la pièce. Madame crie, gesticule. Elle sent qu’on lui caresse les seins par l’échancrure de la veste de son tailleur. Dessous, elle ne porte rien a part un soutien-gorge, selon les instructions de sa bonne, Alexia, dont elle est devenue la soumise. Les ouvriers s’exclament :
- Putain, elle a rien sous sa veste… Quelle salope de bourge !
On ouvre la veste et on baisse les balconnets du soutien-gorge ; Les gros seins de Madame apparaissent, aussitôt malaxés par des mains avides. On tire sur la pointe des tétons. Madame gémit.
On retourne Marie-Hélène et on lui attache les mains avec une corde sur les barres de l’échafaudage ainsi que les chevilles. Elle se retrouve à la merci de ses ouvriers, qui doivent se régaler à l’idée de baiser une bourgeoise bourrée de fric, ça leur changera de bobonne. Un des ouvriers, un moustachu, retrousse la jupe du tailleur. Les bas cubains apparaissent ainsi que le porte-jarretelles. Il écarte le string de Marie-Hélène. Madame rue, et crie.
Le patron monte sur l’échafaudage et enfonce dans la bouche de Madame un chiffon sale roulé en boule. Madame gémit, poussant des cris indistincts à travers son bâillon improvisé. Pour la faire taire, un des ouvriers, prénommé, Carlos, lui frappe le cul.
- Tais-toi, salope ! On va te baiser ma chienne, tu verras ça va te changer de tes petits minets de la haute de te faire ramoner par de vrais mâles.
Il se retourne et se saisissant d’un de ses pinceaux, il enfonce le manche dans la chatte de Madame. Un autre des ouvriers, un Yougoslave s’appelant Milan, prend des photos avec son portable, mort de rire de voir l’épouse du Maire avec un pinceau dans sa chatte.
Carlos fait coulisser le manche du pinceau. Pendant ce temps là, le peinte qui était resté en bas est monté, attiré par les cris. Marie-Hélène gesticule dans ses liens faisant trembler l’échafaudage. Elle sent le pinceau qui s’agite de plus en plus vite, puis on le retire, on installe un autre objet, plus gros. Elle gémit.
Milan fait coulisser le goulot de la bouteille de bière. Carlos sort sa queue et se masturbe, très vite sa bite prend des dimensions impressionnantes. Il pousse Milan, retire la bouteille et pénètre Madame en s’agrippant à ses hanches.
Madame pousse un cri étouffé. Elle sent la bite qui la martèle. Ses gros seins gigotent dans tous les sens. Le ventre de l’ouvrier vient cogner contre ses fesses. Madame sent sa chatte s’humidifier. Le patron monte sur l’échafaudage et retire le chiffon de la bouche de Marie-Hélène qui aspire une goulée d’air. Il ne lui laisse même pas le temps de protester et lui enfourne sa bite dans sa bouche pulpeuse. Il prend un plaisir pervers à faire coulisser sa queue entre les lèvres rouges de cette femme si distinguée en tailleur chic. Madame, la bouche déformée par la bite, émet des borborygmes. Elle enroule sa langue autour du gland de son ouvrier. Pour ne pas s’étouffer, elle le recrache et le patron la force à lui sucer les couilles.
Carlos s’agite de plus en plus dans la chatte de Marie-Hélène. Il sent le plaisir monter de ses reins. Il sort précipitamment et éjacule libérant des torrents de sperme sur la jupe tire bouchonnée. Aussitôt il est remplacé par Milan.
Tenant Madame par les cheveux, le patron enfonce son sexe aussi loin qu’il le peut dans la bouche accueillante de Madame... Celle ci a les larmes aux yeux, étouffée par l’épaisseur de la bite. Le patron sortit sa queue et éjacula sur le beau visage de Marie-Hélène. Le sperme gicla allant s’écraser sur les cheveux et le front de notre pauvre bourgeoise.
Milan bourre la chatte de Madame comme un fou, haletant, il fait claquer voilement son ventre. Les fesses de Madame tressautent à chaque coup de reins. L’épouse du Maire gémit, secouant sa tête dans tous les sens. Elle balbutie des mots sans suite :
- Non…Oh ! Non…Mon dieu…Ah, Ah, Ah…
Jouissant sous les coups de reins de Milan, Madame poussa un cri sauvage, la laissant pantelante. Elle se serait écroulée si elle n’avait été attachée.
On détache Madame et les ouvriers l’obligent à se mettre à quatre pattes sur le sol crasseux. Ses bas sont filés. Elle doit avancer dans la pièce, ses gros seins ballottant. Elle doit se déplacer ainsi jusqu’au dernier ouvrier, le peintre. Elle aspire la bite noueuse et commence sa fellation, aspirant la queue, donnant de petits coups langue sur le gland, léchant la hampe puis les couilles du peinte qui donne des coups de reins.
Le peintre la repoussa en arrière et, Madame étant tenue par les autres afin qu’elle reste prosternée sur le sol, il fit le tour et s’enfonça dans sa fente. Madame poussa un feulement rauque. Son corps est secoué par les coups de reins violents du peintre qui halète en insultant Madame.
- Salope, je te défonce comme une chienne…
Madame gémit, ondule de la croupe, son corps répond aux coups de reins du peintre, le visage ravagé, elle subit les assauts de son ouvrier.
Le peintre s’agita encore dans la chatte de l’épouse du maire et il se retira, se positionnant devant le visage de Madame, il lui ordonne de le sucer. Docile, domptée, elle ouvrit la bouche et avala la bite dressée. De nouveau, elle lui tète le gland, lui caresse les couilles.
A ce rythme là, il ne tarde pas à libérer sa semence qui va s’écraser sur le visage de Madame qui tire la langue pour en avaler un peu.
Les ouvriers relèvent Marie-Hélène, qui a du mal à retrouver son équilibre, les jambes coupées. On la pousse vers la sortie en lui claquant les fesses et en lui lançant des commentaires salaces.
- T’es vraiment une bonne salope, reviens quand tu veux…
- Une super pipeuse, reviens vite nous voir !
Elle s’enfuit, sous les quolibets des ouvriers qui ricanent.
Madame est de retour chez elle. Heureusement, son époux est absent. Elle sort de sa voiture et avance, ses talons faisant crisser le gravier. Son tailleur est maculé de traces de sperme, elle a nettoyé tant bien que mal son visage. Elle tombe sur sa bonne qui l’interroge sur sa tenue. Rouge de honte, Marie-Hélène lui explique sa mésaventure. Alexia ricane :
- Madame s’est encore comportée comme une vraie pute, on ne peut pas la laisser seule 5 minutes !
Marie -Hélène veut protester mais sa bonne lui intime le silence d’un geste autoritaire.
- Ça suffit ! Tais toi salope ! Demain, tu seras punie, je sais exactement ce qu’il faut a des bourgeoises salopes dans ton genre.
Madame ne répondit pas, craignant le pire, et monta dans sa chambre pour se changer avant l’arrivée de son mari.
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