Récit de Atortetadore (2010)
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On en parle.
Avant toute chose, je vais tenter de vous expliquer comment j’en suis venu à me confesser ici.
Je suis marié depuis vingt ans avec Mathilde. Ses dix ans de plus, je vais en avoir quarante, n’ont jamais été un problème. En effet, elle fait plus jeune que son âge et moi un peu plus mûr. Petite brune d’1m55 et de 55 kg. Elle a pris quelques rondeurs ces dernières années qui l’ont transformée avantageusement. Du moins, de mon point de vue. Sans être grosse, elle fait, maintenant, un 40 en pantalon, mais un magnifique 90D. Seul inconvénient, depuis le départ des enfants, une grosse dépression et la prise d’antidépresseurs, elle a perdu goût au sexe. Elle adore ça, mais elle n’en a pas l’envie. Un peu comme lorsqu’on dit que l’appétit vient en mangeant. Eh bien, pour elle, ça fonctionne comme ça. Pour s’habiller, le problème est le même. Il est très difficile de lui faire mettre des choses qui sortent un peu de l’ordinaire. Elle est toujours habillée très classe, parfois un peu sexy, mais uniquement au boulot. Pour moi, le week-end c’est pyjama en pilou et couverture chauffante.
Bref ! Tout ça, c’était avant. Avant que j’aie cette idée pour le moins destructrice de vouloir la montrer, la partager, l’offrir, la dévergonder. Attention, j’ai bien dit l’idée. Car dans la réalité, je n’avais pas vraiment envie de la partager, je voulais juste créer un choc psychologique. Seulement, il y a un moment donné où je deviens fou. Oui, je dis bien : FOU ! Le manque de sexe donne aux hommes des idées obscènes. Quand je suis en manque, je ne peux m’empêcher de l’imaginer dans des situations impensables, obscènes, humiliantes, en un mot : pornographiques. Alors ?
Alors, vous serez peut-être parfois choqué, outré de la façon dont je vais parler à ou de ma femme. Mais sachez que je l’aime plus que tout et que je ne l’ai jamais obligée à faire quoi que ce soit. Elle a toujours été consentante et à la fin même, volontaire.
Dans ce texte, je vais essayer de vous faire partager ce qu’on peut ressentir dans ma situation et comment on interprète les agissements de son conjoint lorsque la communication n’est pas son fort et qu’il ne vous laisse que ses actes pour conversation.
Aujourd’hui ma femme a changé. Je ne profite pas du tout de ce que j’ai initié, bien au contraire. Pour preuve, il est 23 h 05, je vous écris et me confie à vous alors qu’elle est sortie.
Mais commençons par le commencement :
Ça fait longtemps, maintenant, que je la tanne pour qu’on aille faire un tour en boîte échangiste. Juste pour nous changer les idées. Boire un verre, rencontrer des gens, etc... Je me dis qu’avec un peu de chance, je rencontrerai des gens sympas et que de fil en aiguille, j’arriverai à la décoincer et peut-être même à baiser une autre femme que la mienne faisant ainsi d’une pierre deux coups. Si l’on peut dire. Mais systématiquement, j’essuie un refus catégorique. Elle me dit que je suis un pervers, un cochon. Mais bon. Elle n’est pas réellement surprise, j’étais déjà comme ça quand on s’est mariés et ce n’était pas pour lui déplaire.
Il y a quelque temps, le ton a bizarrement changé. Cette fois-là je n’ai pas essuyé de refus mais cette réflexion :
— Méfie-toi ! Qui sait ? Une fois là-bas, tu me connais, si ça me plaît, je vais être intenable et je voudrai y retourner même si ça te plaît pas.
Je suis resté, pour une fois, scotché dans mon fauteuil. Et puis par fierté j’ai répondu :
— Qui te dit que ce n’est pas ce que j’attends… Hein ? J’ai envie qu’on te fasse plaisir ! On n’est pas obligé de consommer. Dans un premier temps, on y va juste pour voir comment c’est.
— Oui, mais n’empêche…
Et là, alors qu’elle me défie du regard, je sens qu’elle me provoque et qu’elle avance ses arguments pour me dissuader d’insister. Mais je suis trop fier ou trop con, je ne sais pas, je l’ai prise au mot.
— Oui, je suis prêt à prendre le risque, sexuellement on se fait vraiment trop chier.
Elle n’a pas répondu. La discussion était close.
Deux mois passèrent, sans qu’on en reparle. Nous sommes au mois d’août. Il fait beau et chaud, nous sommes en vacances et comme chaque année, nous allons passer quelques jours dans ma famille, que nous voyons peu à cause de la distance qui nous sépare. En général, nous prenons ce qu’on appelle le chemin des écoliers. Tout par la route. On prépare les casse-croûte, les boissons et on s’arrête dans un coin sympa pour pique-niquer. Mais cette fois-là – le hasard fait parfois de drôles de choses – j’ai chopé une crève d’enfer. Mais impossible de reporter le départ, sous peine de tout décaler. Il y a environ une centaine de kilomètres jusqu’à l’entrée de l’autoroute. Pendant le trajet, ma femme aperçoit une pancarte.
— T’as vu cette pancarte ? Elle est bizarre non ?
Elle n’avait pas fait le rapprochement, mais moi au premier coup d’œil j’ai reconnu deux femmes enlacées et lui ai dit :
— Ça doit être un club échangiste, regarde, c’est sympa, on dirait un moulin. Et le nom en dit long.
— Toi évidemment…
— Si je te le dis. On regardera sur Internet.
— Pfff…
Je vous laisse imaginer que je n’ai cessé de penser à ça tout au long du trajet.
Nous arrivons à destination, fatigués. Après avoir mangé et, bien évidemment, raconté notre quotidien à mes parents, nous allons nous coucher. Visite dans la famille, le lendemain passe vitesse grand V.
Notre chambre se situe en face de celle de mes parents. Ils habitent un appartement dont les murs sont en papier à cigarette. Je vous laisse imaginer qu’on profite fréquemment de la vie en communauté. Ne partant jamais sans mon ordinateur portable, je profite de la connexion Internet pour faire mes petites recherches. Et j’ai trouvé.
— Tiens, tu vois je te le disais.
— Quoi ?
— Bah le club !
— Décidément t’as du flair pour ça.
— Que pour ça ? dis-je en m’approchant d’elle en reniflant ses seins, son ventre, faisant mine de descendre vers son nombril.
— Allez t’excite pas… Tu vas encore dormir sur la béquille.
Elle éclate de rire.Un peu vexé, je retourne à mon club et visite par l’intermédiaire des photos.
— T’es fâché ?
— Non pourquoi ?
— Allez montre-moi ton moulin, je veux voir à quoi ça ressemble.
Et nous voilà partis à délirer sur les photos du club, sauna, hammam, coin câlin, etc.
Mathilde porte, ce soir-là, une petite nuisette noire ras-la-moule, dont le haut est transparent. Ses gros seins ne demandent qu’à sortir de leur emplacement. Oui, parce que j’ai oublié de vous dire une chose importante. Mathilde n’est excitée que quand nous sommes chez les autres ou à l’hôtel. Et dans ces situations, elle est toujours très excitée. D’où l’idée, en partie, de l’emmener ailleurs qu’à la maison, comme je lui ai déjà dit : elle aurait dû faire pute, jamais dans le même hôtel. Je vous avouerai que ça ne la fait pas vraiment rire.
Sa tenue m’excite vraiment, je m’aventure à sortir un sein et à le malaxer doucement, je joue avec le téton et me penche pour le prendre entre mes lèvres. Elle soupire. J’ai son feu vert. Je sais quand elle en a envie. Ma main glisse entre ses cuisses qui s’ouvrent en grand comme par enchantement. Elle est déjà trempée. J’adore quand elle est dans cet état. Quand je vous dis qu’elle mouille, ce n’est pas un vain mot. Elle dégouline de mouille. Pendant que je lui bouffe les seins, ma main gauche s’affaire à titiller son microscopique clito, mais ô combien sensible. Instantanément, elle se cambre, sa respiration s’accélère, elle gémit. Elle adore ça. Je glisse entre ses cuisses et pose ma bouche en grand sur sa chatte. Doucement, je l’aspire, la lèche, la mordille. Elle grimpe comme une flèche et commence déjà à s’énerver.
Une autre caractéristique particulière de ma femme, c’est qu’elle ne supporte pas les préliminaires. Ça la rend complètement dingue. Si vous vous aventurez à la tripoter trop longtemps, vous avez 99 chances sur 100 de vous faire violer.
Alors, vous comprendrez que j’ai rarement l’occasion de lui bouffer sa belle grosse chatte qui est pourtant étroite, j’ai du mal à lui mettre deux doigts. Et déjà elle me tire les cheveux pour que j’arrête de lui lécher la chatte et que je vienne la baiser.
— Dis donc ça a l’air de t’exciter tout ça.
— Tout ça quoi ?
— Bah le club.
— Non c’est toi.
— Allez va, regarde comme tu mouilles, cochonne.
— Ne commence pas.
— Commence pas quoi ?
— À m’insulter.
— Je t’insulte pas, je dis que t’es une cochonne. Regarde.
Je glisse un doigt dans sa chatte puis deux et commence à la branler avec vigueur, elle démarre au quart de tour. Elle ferme les yeux, soupire, gémit.
— T’as raison, c’est pas une cochonne que t’es, c’est une petite salope.
— Je ne suis pas une salope.
— Si t’en es une, dis-je en m’enfonçant d’une seule poussée en elle.
Selon une récente étude réalisée du 7 au 14 avril 2008, les Français auraient en moyenne les pénis les plus longs au sein de l’Union européenne, soit 15,48 cm et les plus épais avec 13,63 cm de circonférence, soit 4,34 cm de diamètre.
Je n’ai pas une queue très longue, 16 à 17 cm mais par contre elle est plutôt large, genre 5.5 cm de diamètre. J’ai toujours du mal à la pénétrer mais alors, après je vous dis pas une fois dedans, je la dilate bien et elle adore ma queue épaisse. En principe les femmes apprécient plutôt bien. Enfin la mienne apprécie et c’est quand même l’essentiel. Cette entrée en matière, si l’on peut dire, lui fait pousser un petit cri qu’elle étouffe tant bien que mal. Elle n’est généralement pas très expressive au lit mais encore moins quand on n’est pas chez nous.
À la missionnaire. Je descends doucement, centimètre par centimètre, jusqu’au fond, jusqu’à ce qu’elle grimace parce que je lui tape dans le fond. Me voilà bien au fond, je joue un peu en remuant puis ressors quasiment totalement, rejoue un peu avec le gland. Elle me griffe les fesses pour me tirer vers elle. Puis je recommence tout aussi lentement quatre ou cinq fois. Puis soudain je lui mets un grand coup. Puis un autre. Je me retire pour ne pas éjaculer trop vite et j’en profite pour lui mettre trois doigts, quand je vous disais que je la dilate bien, la branle vigoureusement. Elle se tortille, geint, soupire, elle va jouir. Puis je lui relève bien les jambes sur la poitrine, mes mains aux creux des genoux et là je me mets en position de pompe, ne tenant que par la pointe des pieds et les mains qui lui écrasent les genoux contre le torse. Elle me regarde dans les yeux, me défie. Je joue avec mon gland doucement à l’entrée de sa chatte, ça la rend folle.
— Je vais te défoncer.
— Oui, viens.
— Demande-moi de te défoncer.
— Viens.
— Dis-le !
— Défonce-moi.
Je me mets à la défoncer de tout mon poids (100 kg). Le lit craque un grand coup et là je lui imprime un tempo de fou. Ressortant quasiment complètement pour me renfoncer à fond. Je transpire comme un bœuf. Sa chatte fait des clapotis obscènes. Je lui déboîte sa grosse chatte de salope.
C’est dans ces moments-là, quand je suis en manque, que je deviens fou, que ma personnalité change.
— Tiens, tiens, prends ça salope. Je te défonce bien la chatte. Hein salope.
— Je ne suis pas une salope, dit-elle en hoquetant.
— Si t’es une petite salope. Han, han, han !
— Nan.
— Une grosse salope, je te baise et tu aimes ça. Je te défonce ta sale grosse chatte de salope.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Puis je me lâche dans sa chatte en râlant, déversant toute ma semence dans son con inondé de mouille. Nous roulons enfin sur le côté. Épuisés.
— Salaud, tu m’as tuée.
— Et moi je suis mort, à deux doigts de l’infarctus. T’es quand même un bon coup, c’est dommage de pas partager, c’est égoïste, je trouve.
— T’es con. Allez, arrête de rêver. Dors !
Nous rions, nous nous embrassons comme des fous.
Le reste des vacances a été plutôt calme, on n’en a même pas reparlé, même si déjà j’essayais d’échafauder un plan pour l’emmener dans cet endroit. Le chemin du retour sera parfait. Il faut que je regarde les heures d’ouverture afin de préparer notre retour et d’arriver au bon moment. Le club est apparemment ouvert le jeudi et ça m’arrange bien. De plus, c’est gratuit pour les couples. C’est décidé, je tenterai ma chance en passant devant.
À suivre…
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