vendredi 9 février 2024

La déchéance de Sophie Ch. 04

Récit de Monsieur_E (2016)

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La révélation.

J'étais réellement inquiète. Je ne savais absolument pas ce qu'était ce "colis" mais une chose était sûre, mieux valait que ce soit moi qui l'ouvre. J'avais la boule au ventre rien que de penser que David ou Sonia poussés par la curiosité ne regardent à l'intérieur et ne découvrent tout.

J'étais tellement pressée que je ne rentrai même pas la voiture dans le garage, la laissai dans l'allée et me précipitai à la boîte aux lettres... vide. A l'intérieur je fis un détour obligé par la salle de bain pour nettoyer les dernières traces de mes outrages et annonçai mon retour.

-"Je suis rentrée !"

Pas de réponse. J'entendais, à l'étage, de la musique s'échapper de la porte de David. Sa soeur devait faire ses devoirs. J'en profitai pour faire le tour du salon et de la cuisine et poussai un soupir de soulagement. Rien. Le paquet n'était pas arrivé aujourd'hui. Il me faudrait me montrer vigilante demain par contre. Je me retournai en entendant des bruits de pas.

-"Maman ?"

Sonia venait de descendre les escaliers, un livre à la main. Je fronçai les sourcils devant sa tenue. Depuis quelques temps, ou elle avait grandi, ou ses vêtements raccourcissaient à une vitesse spectaculaire. Un legging blanc pas des plus opaque la moulait de très près et son haut s'arrêtait juste sous le nombril, sa poitrine déjà généreuse (elle tenait de moi aucun doute) tendant le tissu de manière provocante.

-"Tu as reçu un colis !"

Mon coeur manqua un battement. Elle reprit.

-"Je l'ai mis dans ta chambre pour pas que Kaz le bouffe."

Je pris un air dégagé alors qu'en mon fort intérieur je n'en menais pas large.

-"Ah... tu as bien fait. Il faudra quand même qu'on discute de ta nouvelle mode vestimentaire jeune fille !"

Elle se retourna pour sortir de la pièce en haussant les épaules.

-"Hé mais..." 

Vu de dos c'était pire.

- "tu ne portes pas sous-vêtements !"

Elle agita la main comme pour signifier que ça n'avait pas d'importance tout en s'éloignant.

-"Juste un string, ça se voit trop sinon !"

Il faudra vraiment que je resserre les boulots me dis-je. Toutefois, pour l'instant, j'avais un sujet plus pressant de préoccupation. Je montai à l'étage où m'attendait le colis. Il avait la taille d'une boîte à chaussure et sur l'étiquette, le nom de l'entreprise expéditrice ne me dit rien.

Je vérifiai rapidement dans le couloir que personne ne me dérangerait et j'ouvris. A l'intérieur je découvris deux gadgets que je reconnus comme sexuel, ce qui ne m'étonna pas plus que ça. J'étais plutôt perplexe quand à leur utilisation, ne m'étant jamais intéressée à ce genre d'objets. Il y avait un message dans le fond de la boîte.

"Je te présente tes nouveaus amis : l'oeuf et le plug. Au cas où tu ne saurai pas t'en servir, je t'explique vite fait. Lundi matin avant de venir me voir tu te fourras l'oeuf et n'oublie pas de l'allumer avant. Tu m'apporteras le code qui se trouve avec. Le plug te servira plus tard. Evidemment tu porteras exceptionnellement un string. Ce serait dommage qu'il tombe."

Fébrilement je pris en main mes nouveaux sujets de torture. L'oeuf en question devait mesurer dans les 5 cm de long pour 3 de diamètre et le "plug" ressemblait à un petit cône avec une espèce de queue de chien au bout.

Je frémis à l'idée qu'il pourrait m'obliger à porter ça en public et j'imaginai toutes sortes de scénarii plus pervers les uns que les autres. A mon grand émoi je ressentis une pointe d'excitation. Me morigénant mentalement, je décidai de cacher tout ça et d'oublier mes malheurs pendant 2 jours.

Je terminais de tout dissimuler quand mon portable se mit à vibrer. Comme à chaque fois mon rythme cardiaque s'accéléra et je remerciais le ciel d'être seule.

"Je crois que tu as eu le temps de découvrir ton cadeau sale trainée. Je te laisse tranquille ce week-end. Profite bien mais n'oublie pas lundi où est ta place..."

Comment pourrais-je l'oublier; j'étais pieds et poings liés et je ne voyais pas comment en sortir. En soupirant je redescendis m'occuper du diner. Quitte à avoir du répit, autant en tirer le meilleur parti.

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Je fis tout ce qui était en mon pouvoir pour m'occuper de ma petite famille pendant ces deux jours. Les moments partagés avaient été rares la semaine dernière, et pour cause, aussi je multipliai les instants de complicité. Au programme, shopping avec Sonia samedi matin, ciné avec David et ballade en famille dimanche.

J'essayais surtout de me montrer particulièrement attentive à mon mari. C'était peu de le dire que je m'en voulais de tout ce qu'on me forçait à faire dans son dos. Le samedi soir, avant de me coucher, je décidai donc de mettre le déshabillé qu'il m'avait offert lors de ma fête et je lui fis comprendre mes intentions.

Mes efforts ne le laissèrent pas insensibles et nous fîmes l'amour, ce qui ne nous était pas arrivé depuis près d'un mois. Je pensai que ce rapprochement renforcerait notre couple mais ce fut pour moi une catastrophe autant qu'une révélation. Alors que, comme à son habitude, il me pénétrait en position du missionnaire, je ne pus m'empêcher d'avoir des flashs. Des visions de tout ce qui m'était arrivé pendant ces 3 jours. Les humiliations, les douleurs, le visage méprisant de mon tourmenteur, les orgasmes qui m'avaient terrassée et son sexe tendu, si fort... Finalement Michel se répandit en moi en grognant, repus et me laissa plus frustrée que je ne l'avais été depuis longtemps.Nous roulâmes dans le lit chacun de notre côté et nous endormîmes, lui satisfait, moi honteuse et désespérée.

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Ainsi passa cette parenthèse de paix et c'est plus nerveuse que jamais que je me préparai en ce lundi matin. Je n'oubliai rien de ce qui m'avait été ordonné : mes seins ballotaient librement sous mon chemisier blanc et sous ma jupe noire, un string rouge retenait en moi l'oeuf que j'avais eu toutes les peines du monde à insérer en moi.

J'évitai autant que possible de croiser les regards, j'avais tellement peur que tout ça ne se devine sur mon visage ! Dans la voiture je grimaçai en m'asseyant, je sentais ce corps étranger qui me mettait mal à l'aise.

Tant bien que mal le trajet se fit et les enfants entrèrent dans le lycée. Je me retrouvai donc seule avec cette, dorénavant familière, boule au ventre qui me donnait envie de fuir. Je me forçai, me donnai du courage et j'allai sortir de la voiture quand en me regardant dans le rétroviseur j'hésitai.

Mes mains se portèrent en haut de mon chemisier et un à un je défis 3 boutons. Je ne tenais pas à être une nouvelle fois humiliée et qu'il m'en donne l'ordre devant tous, alors résignée j'essayai d'anticiper ses caprices.

Faisant du mieux que je pouvais pour ignorer ses comparses je m'approchai à petits pas d'Eric.

-"Bonjour Monsieur !"

Il me détailla de la tête aux pieds, parut satisfait de ma tenue. Sur son visage je pouvais lire qu'il savait qu'il m'avait maté. Sans mot dire il tendit la main et je lui remis le papier où était inscrit le code. C'est à ce moment là que je me rendis compte que ses quatre copains étaient étrangement silencieux ce matin.

-"Sophie, il se trouve qu'en attendant ta visite, mes amis on fait un petit jeu. Vois-tu, à force de leur exhiber tes gros seins, ils ont commencé à parier sur leur taille. Puisque nous sommes entre nous, Ils vont à tour de rôle donner leur estimation et tu leur donneras la réponse".

Je restais un moment interdite. Une fois de plus il m'avait surprise.

-"Je n'ai pas entendu.." reprit-il d'un ton glacial.

Je sortis en sursautant de ma torpeur.

-"Bien Monsieur".

-"Commence Kev" intima t-il.

-"90 D" proposa un grand black poussé trop vite, à sa droite.

- "A toi Ahmed"

-" 100 D" récita un jeune beur qui avait des mains poilues comme je n'en avais jamais vu.

-" Fred, ton tour"

-"95 E" tenta un petit gros aux cheveux sales.

- "Et Mike"

-" 95 D" paria enfin le plus petit de tous d'une voix douce.

- "Les jeux sont faits. La réponse, miss grosses loches ?" conclut Eric.

Je baissai les yeux cramoisie, autant par l'insulte que par le fait de devoir dévoiler mes mensurations intimes.

-"...95E..."

-"Ouééé j'ai gagné les mecs !" s'exclama le petit gros sur un air de triomphe.

Eric acquiesça en souriant.

-"Nous avons un gagnant... seulement voilà mes amis sont sceptiques. Ils ne croient pas qu'ils sont vrais."

Un silence.

-"Montre leur tes seins !"

Son ordre claqua comme un coup de fouet. Même les autres garçons semblaient surpris. Je relevai les yeux totalement paniquée, je le suppliai du regard de ne pas faire ça mais en vain. Sans se concerter ses amis se positionnèrent en demi cercle, m'entourant et me protégeant quelque peu des possibles regards.

Nous étions un peu à l'écart et le flux s'atténuait mais nous étions tout de même devant un lycée. Mes lèvres remuèrent en une prière muette et je sentis des larmes me piquer les yeux. Devant mon hésitation, une expression de colère se peignit sur son visage et d'une voix vibrante il me proposa :

-"Je peux t'aider si tu veux !"

Comme malgré moi, mes mains tremblantes tâtonnèrent vers le 4ème bouton. Je dus m'y reprendre à 3 fois pour l'ouvrir. Autour de moi le silence était pesant et 4 paires d'yeux épiaient intensément le moindre de mes gestes. Le 5ème découvrit en partie mes mamelons bruns.

6ème... 7ème... il ne me restait plus rien à ôter.

Je murmurais des "je vous en prie... je vous en prie" qui restaient lettres mortes et finalement, par peur de représailles que j'imaginais pires encore, j'écartai en grand les pans de mon chemisier, m'exposant totalement à la vue de ces ados lubriques.

Je préférai fermer les yeux mais j'entendis des halètements et des sifflements. Je restai ainsi ce qui me parut des heures, n'osant pas bouger ou refermer sans y être conviée.

-"Tout ça ne nous dit pas si se sont des vrais. Une vérification s'impose et le gagnant a droit à son prix il me semble". 

J'ouvris les yeux et les écarquillai. Eric me fixait froidement et je compris qu'il comptait me faire payer mon hésitation de tout à l'heure.

-"Fred, tâte nous la marchandise".

Choqué par cette aubaine, le petit gros semblait incrédule, son regard passant alternativement de son ami à moi.

-"Je vois que tu as besoin d'encouragement. Sophie, demande poliment à mon ami Fred ici présent de venir palper tes gros melons !"

Je résistai à une violente envie de pleurer et d'une petite voix j'implorai pour qu'on en finisse.

-"S'il vous plait Fred... palpez mes seins, je vous en prie".

Le poings serrés sur le tissu, les pans largement écartés, j'exhibais mes trésors et venais d'encourager un jeune garçon à venir me toucher. Et le pire c'est que je sentais mes mamelons se gonfler d'anticipation. A cet instant j'aurais voulu mourir.

Le fameux Fred en tout cas ne se le fit pas dire deux fois. Il en bavait presque et je pouvais voir les regards envieux que lui jetaient les autres. Il passa derrière moi et sans aucune délicatesse empoigna mes deux globes dans ses mains. Je poussai un petit cri. Il les soupesa puis se mit à les malaxer, les triturer et les violenter en tout sens. Il n'arrêtait pas de dire :"Oh putain! oh putain !" et quand il se saisit de mes tétons, je sentis ces derniers se tendre et mes jambes flageoler. Après quelques minutes de ce traitement mon supplice prit fin.

-"ça suffit comme ça. Je crois qu'on a la preuve qu'on a affaire à une bonne laitière 100% bio. Le spectacle est fini !"

Dépité, Fred reprit sa place. J'étais aubergine et je tremblais comme une feuille. Mon maître-chanteur m'humilia encore un peu plus.

-"Tu voudrais quand même pas qu'elle nous trempe le trottoir cette chienne en chaleur." 

Puis s'adressant à moi :

- "On dirait que tu y a pris goût. Tu attends quoi pour te rhabiller et te barrer ?"

Mortifiée, je m'aperçus que je continuais de maintenir mon chemisier ouvert, leur offrant le spectacle de ma poitrine gonflée et de mes tétons dressés. Je rabattis les pans d'un coup et me sauvai le plus vite possible.

Une fois de plus, ma voiture m'offrit le sanctuaire dont j'avais besoin. Je m'en voulais tellement de ne pas avoir mis fin à ce petit jeu quand il en était encore temps. Il était bien trop tard pour ça maintenant, tout ce qu'il possédait sur moi suffisait amplement à briser ma carrière et ma vie.

Toujours perturbée par cette séance d'exhibition forcée, j'étais sur le point de démarrer quand quelque chose me fit bondir de mon siège. L'oeuf qui était en moi et que j'avais presque oublié s'était soudain mis à vibrer. 10 secondes puis plus rien.... 20 secondes plus tard ça recommençait et ainsi de suite.

Pendant 5 bonnes minutes le jouet se joua de moi et si au début je trouvais cette sensation nouvelle simplement curieuse et maîtrisable, je déchantai vite. Au fur et à mesure que ces vagues de vibrations passaient en moi, une chaleur m'envahissait, mon souffle s'accélérait et je sentais mon sexe s'humidifier.

Je jetais des regards affolés par les vitres craignant d'être observée sans pour autant pouvoir m'empêcher de remuer sur mon siège au rythme du plaisir qui montait lentement. D'un coup, tout s'arrêta. J'attendis quelques instants pour être certaine et au moment où à nouveau j'allais tourner le contact, je reçu un sms que je m'empressais d'ouvrir.

"J'espère que tu as apprécié cette séance. ça n'est que la première crois moi. Tu vas passer toute la journée ainsi. Je t'interdis de te toucher pour te faire jouir et bien sûr de l'enlever. Tu sais que si tu le fais je le saurais et tu sais aussi ce qui t'attend si tu me désobéis. Comme tu t'es comportée en bonne chienne je te laisse faire un choix : soit tu gardes l'oeuf dans ta moule jusqu'à demain matin, soit tu me demandes de venir me voir pour que je l'arrête. Mais si tu viens attends-toi à être punie... Fais comme tu veux... ou comme tu peux..."

De rage je balançais mon téléphone sur le tapis de sol. C'était incroyable, même par sms cet ado parvenait à être sadique! C'est tout juste si je n'entendais pas son ricanement dans mes oreilles. En tout cas il était hors de question que je craque.

Je parvins finalement à démarrer en me jurant de supporter cette nouvelle épreuve. 

Je venais de passer devant le vigile quand la deuxième salve débuta. De surprise je manquais de lâcher mes dossiers. Cette fois c'était différent, des petites pulsations, suivies par de plus longues et ceci en boucle. Je me réfugiais précipitamment aux toilettes pour m'isoler en attendant la fin. Comme plus tôt dans la voiture, je sentais mon corps réagir. La journée venait à peine de débuter et mes nerfs avaient déjà étaient mis à rude épreuve. La frustration que j'avais ressenti ce week-end n'arrangeait pas les choses et augmentait encore mon excitation. Je mis plus de temps à récupérer de cette deuxième série et plus difficilement que de la première.

Tant bien que mal j'atteignais mon bureau et la première chose que je fis fût d'annuler tous mes rendez-vous en prévision de qui m'attendait aujourd'hui. Je ne me voyais pas rencontrer des clients avec cette épée de Damoclès au dessus de la tête. Je passais donc la quasi totalité de mon temps à relire des dossiers, taper sur mon ordi et traiter mes mails en attendant qu'arrive ce qui devait arriver. Ce qui se produisit une heure plus tard. Je venais de raccrocher le téléphone (il fallait quand même bien que je prenne les appels) quand une vibration crescendo me fit piquer un fard. Je mis la tête entre mes mains faisant semblant d'être absorbée par mon travail et fermais les yeux en me mordant la lèvre.

Heureusement Jessica était absente et le reste de mon équipe avait suffisamment de quoi s'occuper pour ne pas prêter attention à moi. La vibration douce devint plus puissante jusqu'à devenir frénétique avant de s'éteindre doucement et reprendre de plus belle. Mon corps qui peinait à récupérer de toutes ces stimulations réagit au quart de tour et mon string commença à se tremper. La panique me prit quand une chaleur bien connue maintenant commença à monter en moi telle une vague.

Mon Dieu ! Tout mais pas ça, je ne peux pas jouir ainsi, devant tout le monde ! Je réprimais un gémissement, ma volonté commençait à fondre comme neige au soleil quand tout cessa. Pour un peu j'en aurai sangloté de soulagement bien que je fus frustrée au possible.

La journée entière se déroula ainsi alternant semblant de travail et séances intensives. Même mon siège était humide et bien des fois je m'étais retrouvée au bord d'un orgasme foudroyant sans jamais l'atteindre. Je ne déjeunais même pas ce midi là. A 15h00, je priais pour que ça s'arrête et à 16h00 je capitulais. Fébrilement je pris mon téléphone et envoyais le message suivant à mon marionnettiste.

"Je voudrais venir vous voir ce soir Monsieur."

Une demi-heure passa sans qu'il me répondit. Entre temps de nouvelles secousses manquèrent me terrasser. Je recommençais, honteuse de ma faible volonté.

"Je vous en prie Monsieur il faut vraiment que je vous vois !"

Enfin une réponse me parvint :

"Tu sais ce que je t'ai promis si tu viens... Si tu le veux vraiment demande-le comme la bonne salope que tu es !"

Je m'empressais de le satisfaire. Je n'en pouvais tout simplement plus ni moralement, ni physiquement.

"Je vous en supplie, punissez moi comme je le mérite Monsieur, je ferais tout mais arrêtez cette torture !"

Ce que j'écrivais aurais du me faire horreur mais vous ne pouvez pas imaginer ce qu'une journée entière de stimulations avait fait de moi. Je ne pouvais plus me concentrer sur quoi que ce soit et c'était tout juste si je pouvais parler de manière cohérente. Il n'arrêta pas mais se fendit d'un simple "OK".

Tant pis, il n'était pas tout à fait l'heure mais je décidais de tout plaquer et de partir. C'est à cet instant que mon poste sonna. J'hésitais mais fini par décrocher.

-"Sophie ?" fit la voix de Richard dans le combiné. "Vous pouvez venir ?"

C'était bien ce que je redoutais. J'aurais dû satisfaire mon supérieur hiérarchique, mais mon besoin d'en terminer avec mes tourments fût le plus fort. Je n'eus pas à me forcer pour prendre une voix faible et fatiguée.

-"Désolée Richard... je ne me sens vraiment pas bien... j'ai besoin de rentrer !"

Un silence, puis sur un ton agacé.

-"Très bien puisqu'il le faut. Nous en reparlerons demain".

Il raccrocha sans me laisser le temps d'ajouter quoique se soit, ce qui m'arrangea bien. Je me levais alors et en me détaillant, je constatais les dégâts qu'avait occasionné cette longue journée. Mon corps était en sueur ce qui avait eu pour effet de coller mes seins tendus au tissu blanc. Rien n'était plus laissé à l'imagination. Mon siège était bel et bien trempé, mon léger string n'ayant pas pu absorber toute la cyprine que mon sexe malmené avait produit. Me protégeant pudiquement de mes éternels dossiers, je me ruais plus que je ne marchais vers le parking.

Le trajet jusqu'au repère de mon bourreau fût un véritable supplice. Les salves de vibrations se succédaient de plus en plus rapprochées et plus d'une fois je faillis manquer mes virages. Je me garais n'importe comment, devant un arrêt de bus je crois mais je m'en fichais. Dans l'escalier une dernière série manqua me mettre à genoux. Je gémissais et bavais même.

Quand je frappais avec empressement à la porte, j'étais devenue une loque. Il prit son temps bien entendu et moi je tambourinais de plus en plus fort, au point que la porte d'à côté s'ouvrit. Un homme d'une cinquantaine d'années avec un ventre à bières et un marcel constellé de tâches de graisses me regardait l'air de se demander ce que je fabriquais. J'arrêtais momentanément de cogner sur la porte et détournais les yeux, l'air gêné.

-"Entre à quatre pattes, chienne !"

L'ordre qui venait de l'autre côté avait été sec et puissant. Nul doute que le voisin l'avait entendu lui aussi. Je rougis comme une écolière mais dans mon urgence me laissais tomber sur le carrelage sale et entrais sous son regard perplexe.

C'est donc en position de suppliante que je parvenais dans le salon. Eric était assis sur le canapé et achevait de se confectionner un sandwich. Il était nu et son sexe pendait entre ses jambes écartées. Devant lui, la table basse était encombrée de victuailles et au mur la télé jouait un air déjà vu ou très ressemblant à ce que j'avais aperçu la dernière fois.

Tout en terminant de préparer son repas il m'indiqua du doigt le sol à ses pieds. Je me positionnais à genoux là où il le voulait et attendit son bon vouloir. Je ne disais rien et le simple fait de réfléchir m'était d'une difficulté extrême.

-"Enlève ton haut et ta jupe, garde le reste !"

Alors que je faisais mine de me relever pour me déshabiller, il m'appuya sur l'épaule et me rabaissa au sol.

-"Je ne t'ai pas dit de te lever je crois." dit-il

-"Pardon Monsieur !" Répondis-je instantanément.

J'ôtais tant bien que mal mon chemisier trempé et me déhanchais de manière impudique pour me libérer de ma jupe. Je me réinstallais dorénavant plus vêtue que de mes bas, porte-jarretelles et du chiffon qui était autrefois un string. Incapable de décrocher les yeux de son sexe, je constatais que ma soumission commençait à l'exciter. Et d'une manière inexplicable, moi également.

Il se leva alors et se saisit de son téléphone. A nouveau l'électricité parcourut mon corps à la limite de la rupture et je gémis sans retenu. Mes cuisses s'ouvrirent un peu plus et sa verge aussi raide que dans mes souvenirs, m'hypnotisait à seulement quelques centimètres de mon visage. Satisfait il déclara :

-" On dirait que la journée t'a bien profité, elle n'est plus aussi fière la bourge modèle. Tu as pigé où se trouvait ta place cette fois ?"

Il avançait et reculait. Instinctivement j'entrouvais la bouche, je ne pensais plus qu'à sa longue tige et à jouir, jouir, jouir, par tous les moyens.

-"REPONDS !! ELLE EST OU TA PLACE SALOPE ?"

Je balbutiais !

- " oui... oui.. ma place est à vos pieds Monsieur... je l'ai enfin compris Monsieur..."

-"T'en as envie de ma queue pas vrai ?"

-"oui... oui... oh oui !"

J'essayais de la saisir mais il repoussa mes mains, je m'humiliais même à essayer de la prendre dans ma bouche mais n'y parvins pas. C'était son jeu, ses règles. Ma frustration n'avait d'égal que mon excitation. Il défit mon chignon, me saisit les cheveux et de son autre main promena sa verge sur mon visage. La forte odeur de sexe mâle qui émanait de lui me rendait folle.

-"Tu serais prête à faire quoi pour l'avoir ?"

Je n'hésitais pas une seconde.

-"Tout... tout ce que vous voudrez, je ferais tout.. .je vous sucerais, j'avalerais votre semence... tout ce que vous désirez".

Et à cet instant je pensais mes paroles, je n'avais plus de conscience, je n'étais qu'un objet pétrit de plaisirs douloureux. Il eut un rire gras et vulgaire.

-"Regardez moi la maman à ses chéris. Quelle salope tu es en réalité, tu ne peux plus nier maintenant".

De son ton sadique il ajouta :

- " Très bien, puisque tu veux tout faire tu vas la mériter cette queue".

Il se renfonça dans le canapé, écarta les jambes et les remonta le long de son torse. Ses fesses écartées me faisaient maintenant face.

-"Amène-toi et lèche bien ou repars comme tu es venue..."

Mon esprit en miette mit du temps à m'exposer l'horreur de la situation. Je restais interdite. Au fond de mon ventre les saccades de plus en plus violentes finirent de détruire mes dernières réticences. Je m'avançais et timidement poussait ma langue à l'entrée de sa raie.

A genoux, quasi nue, je léchais le fessier d'un ado qui m'avait soumise. Poussée par l'urgence je me rapprochais de son petit trou jusqu'à ce que d'une poussée sur le crâne il ne me fasse y planter ma langue. Le goût était acre mais pas aussi terrible que je le craignais. Pendant de longues minutes je restais ainsi: ses testicules sur mon nez, le visage enfoncé entre ses globes et lui grognant de plaisir.

C'était fini, je n'avais plus aucune fierté et quand il me tendit son pieu comme on récompense un chien d'une sucrerie, je me jetais dessus et le dévorais en geignant de bonheur. J'étais folle, perdue, mais c'était comme si je n'avais jamais rien goûté d'aussi bon. Cet acte que je pratiquais rarement et sans entrain avec mon époux je le réalisais avec mon tortionnaire en y mettant toute mon âme. Ma tête montait et descendait le long de son sexe et ma langue jouait avec son gland violacé. Parfois j'avais des hauts le coeur quand je le sentais buter à l'entrée de ma gorge alors même qu'à peine la moitié de sa hampe se trouvait dans ma bouche.

Soudain, il me tira en arrière et me jeta littéralement à quatre pattes. J'étais l'image même de la chienne en chaleur. Ma mouille coulait le long de mes cuisses, ma poitrine était douloureuse tellement elle était gorgée, mon bassin ondulait follement de manière impudique. De la salive s'échappait de ma bouche jusqu'au carrelage.

Lui pendant ce temps s'était emparé du pot de mayonnaise et d'un coup enfonça son sexe dedans. il vint ensuite se positionner derrière moi et d'une manière autoritaire m'écrasa le visage au sol, m'obligeant par la même occasion à me cambrer au maximum.

-"Espèce de petite pute ! Ne crois pas t'en tirer avec une pipe de débutante. Il y a du travail mais quand j'en aurais fini avec toi tu pourras avaler la queue d'un cheval !"

Je ne réagissais même plus, j'attendais la délivrance que je savais se rapprocher. D'une main ferme il écarta la ficelle de mon string, offrant à sa vue mon oeillet vierge. Seul un fin triangle de tissu protégeait mon antre et quand je sentis son gland se promener le long de ma fente, je crus défaillir. Il me frappa la croupe et m'intima.

-"Dis moi ce que tu es ! Dis moi ce que tu as envie ! Avoue !"

Je poussais mon cul vers lui pour mieux le sentir, le string s'enfonçait même entre mes grandes lèvres. Je lui donnais tout ce qu'il voulait.

-"Je vous en prie... baisez moi... baisez moi... je veux votre queue en moi... je suis une salope je l'avoue, une chienne qui veut votre bite... s'il vous plait..."

Je sanglotais, quémandais comme je savais qu'il voulait que je le fasse. Je faisais tout pour le faire fléchir.

-"Tu te rappelles ce que je t'avais dit ? Que si tu venais tu serais punie ?Tu sais comment je punis les petites allumeuses telle que toi ?"

Son sexe remonta de quelques centimètres et je sentis son gland enduit de mayonnaise presser contre mon anneau affolé.

-"Noooon je... AaaaAaaaHHHH !"

Je criais quand il me pénétra.

-"Pitiéééé... s'il vous plaaaait..."

Il marqua une pause.

-"Oui ça me plait... pétasse !".

-" AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRGGGGGGGGHHHHHHHHH"

Cette fois je hurlais si fort que tout le quartier devait l'entendre.

D'un coup il s'était enfoncé de toute sa longueur. Sans plus m'accorder de répit il se mit à me pilonner de plus en plus vite, de plus en plus fort, je sentais son membre fouiller mes entrailles. Il m'insultait, me crachait dessus et peu à peu la douleur s'atténua.Stimulée par l'oeuf dont les vibrations étaient poussées au maximum, j'allais bientôt au devant de ses coups de boutoirs, m'empalant entièrement, ses couilles, frappant contre mon vagin que le string ne défendait plus du tout. Je sentais monter en moi une vague phénoménale, je compris que j'allais avoir un orgasme d'une pratique que je n'avais jamais expérimenté et je me mis à lui répondre en hoquetant. Incapable de m'en empêcher je scellais mon destin.

-"Oui Monsieur... baisez moi, sodomisez moi... je suis une trainée, une chienne....VOTRE chienne. Je suis à vous, je vous appartiens, je ferais tout pour vousssss !!!!"

Plus de rédemption possible pour moi, j'acceptais mon destin. Alors que je prononçais ces mots, la déferlante m'emporta toute entière. Mon corps tressauta, je criais, pleurais, toutes les frustrations accumulées avaient leur exutoire.

-"OOOOHHH JE JOUIIIIIIISSSSSS !!!!!"

Par la puissance de mon plaisir, l'oeuf fut éjecté de mon antre et involontairement je resserrais mon anneau sur sa verge. Eric cria à son tour et un flot tiède envahit mon fondement décuplant encore mes sensations. Je ne sais combien de temps nous restâmes ainsi et quand il se retira, il inséra vivement le jouet dans mon petit trou béant.

-"Tu le garderas en toi toute la nuit comme ça tu dormiras à côté de ton mari avec mon sperme en toi !".

-"Oui Monsieur !"

-"Plus maintenant !"

-"???"

-"Tu t'es donnée à moi. C'est oui Maître !".

J'acquiesçais. Il était trop tard pour les faux semblants.

-"Bien Maître".

Je sentais pourtant qu'il doutait de ma soumission alors sans réfléchir, je m'approchais de lui toujours à quatre pattes, ouvrais ma bouche et sans qu'il me le demande, je lui suçotais le gland. Sa réaction me surpris. Il éclata de rire. M'indiquant l'écran du doigt il annonça :

-"Telle mère, telle fille !"

Je levais les yeux et les écarquillais. Le visage de la jeune fille qui se faisait baiser avec tant de violence était maintenant visible. un visage que je connaissais depuis sa plus tendre enfance. Ma fille.

J'essayais de me dégager mais il maintint ma tête contre son pénis. Excité par cette révélation, il avait repris de la vigueur et m'obligeait à lui faire une fellation express. Il donnait le rythme, j'avais du mal à suivre, il me violait littéralement la bouche et je manquais m'étouffer. 

Ce fût très vite terminé. Il éjacula à l'entrée de ma gorge et docilement j'avalais jusqu'à la dernière goutte. Il me relâcha et je restais inerte.

-"J'ai un cadeau pour toi" me dit-il "puisque tu es ma chienne il est normal que tu portes ceci".

Il se pencha et m'accrocha un fin collier de chien en cuir autour du cou.

-"Tu le porteras dès que tu quitteras ta maison. Bien sûr, je garde la laisse..."

Beaucoup plus tard, quand je commençais à rassembler mes esprits et me rhabillais il mit les choses au point une bonne fois pour toute.

-"Maintenant tu m'appelleras Maître en privé comme en public et tu obéiras sans discuter peu importe ce que je te demande de faire et où. C'est clair ?"

Servilement je répondais.

-"Oui Maître"

-"Et ne parle pas de tout ça à ta fille compris ?" il ajouta avec un sourire malsain "elle a été beaucoup moins difficile à convaincre que sa mère !".

A suivre...

1 commentaire:

  1. Une suite avec mère et fille en chiennes côte à côte à se faire baiser

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