Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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Jessica subit encore les stagiaires vicieux.
En quittant le bureau des stagiaires je suis nerveuse. J’ai à peine survécu au test du rouge à lèvres et je ne veux pas savoir ce qui m’attend ensuite. De plus, je dois m’assurer que Matt ne fasse rien de stupide et ne nous cause pas d’ennuis ;
En me rendant à mon bureau, je croise mes collègues qui arrivent au travail. En chemin je remarque que plusieurs d’entre eux me regardent d’un air curieux en passant. Je sais qu’ils voient mes bijoux sur les poignets et mes bracelets de cheville scintillants. Je crois que j’ai même vu quelques sourires cachés.
Émotionnellement, je suis complètement harassée. d’une part je voudrais ramper dans un trou et m’y cacher. D’un autre côté, je veux qu’ils m’admirent. Je veux que mes subordonnés me respectent en tant que dirigeante d’entreprise, mais en même temps je veux me sentir jolie et attirante.
Quand enfin je regagne mon bureau, je m’assois sur mon siège et j’essaie de me calmer, ce qui s’avère difficile. Embrasser des chaussures sales dans un bureau ouvert est la chose la plus avilissante que j’ai jamais endurée. Si bien que ma chatte dégouline et mon esprit est si brumeux qu’il m’est impossible de me mettre au travail. Je ne peux pas me concentrer. Pourtant il faut que j’assiste à une réunion importante.
Assise dans la salle de réunion, mon état ne s’améliore pas. Je suis complètement distraite et je passe la plupart du temps à penser à ce qui va m’arriver dans ce défi du rouge à lèvres. Les membres de mon équipe me surprennent plusieurs fois à rêvasser. Ça me gêne de ne pas pouvoir répondre à leurs questions avec autant d’éloquence que d’habitude. Pourtant j’essaie, mais je n’y arrive pas.
Mon manque de concentration est particulièrement gênant, car cette réunion est cruciale pour mon prochain voyage d’affaires. Le projet de changement le plus important de l’entreprise arrive sur la fin et je dois présenter un projet pour la phase suivante. Ce projet a consommé une grande partie du budget alloué à mon service et il est essentiel à la prospérité de la société. Dont ça doit être un succès.
J’entends Damon chuchoter à Eric :
- Je parie qu’elle pense à de nouvelles tenues et bijoux. Elle fait une liste dans sa tête au lieu de suivre les présentations.
Eric répond en faisant allusion à mes bijoux scintillants. Il ne peut réprimer un petit rire :
- Notre patronne si sévère a trouvé sa vraie vocation hé hé hé ! Qui aurait pensé qu’elle soit si intéressée par tous ces accessoires.
Pour montrer que je suis toujours la directrice, je me racle la gorge bruyamment pour calmer mes deux subordonnés et je leur jette un regard méchant. Cependant mes yeux doivent avoir l’air plus vitreux que fâchés, car les deux gars me font un sourire lubrique en réponse. Bon sang, leur conversation me fait tellement mouiller que j’ai peur qu’une tache sombre n’apparaisse sur ma jupe.
Leurs commentaires désobligeants me poussent également plus loin dans mes pensées de soumission. Je ne veux pas critiquer la présentation de mon équipe, mais je veux me mettre à genoux, ramper sous la table et sucer toutes les bites présentes. Pour la première fois, je ne veux pas me sentir comme leur supérieure qui leur assigne des tâches. Au lieu de ça, je veux les servir et leur plaire comme une salope de bureau.
Même si je sais que mes subordonnés se sont rendu compte de mon manque d’attention inhabituel, leur dernière question m’a surprise. Je n’avais pas écouté. En bégayant je cherche une réponse, mais je n’en trouve pas. Le visage tout rouge, je m’excuse et je demande à celui qui a posé la question de venir dans mon bureau plus tard pour discuter du problème.
En sortant de la salle de réunion, je pousse un grand soupir de soulagement, même s’il n’y avait pas grand-chose à soulager. J’avais à peine réuni quelques informations. Ma prestation avait été horrible. Ça ne doit plus se reproduire. A la prochaine réunion je dois être mieux préparée et plus attentive. Je ne peux pas prendre le risque que O’BANNON ou ORTEGA soit au courant de mon inattention.
Merde, il faut que j’aie la tête claire et les pensées rapides. En allant vers les escaliers, je tombe sur Justin. Un dossier dans les mains il est visiblement en route vers la salle du photocopieur pour faire des copies.
- Mademoiselle ADDAMS ! Appelle-t-il quand je le croise.
Pendant un moment, je me demande si je dois simplement continuer à marcher et l’ignorer. Mais ça ne fera que le mettre en colère. Après le jeu dans le bureau des stagiaires, je me dis qu’il vaut mieux que je joue le jeu. Alors je me retourne et je lui souris.
- J’ai des questions concernant un travail ! Me dit-il.
Bien sûr, c’est une couverture et nous le savons tous les deux. Alors je joue le jeu et je lui explique le contenu du dossier jusqu’à ce que le reste des participants à la réunion ait disparu dans leurs bureaux. Quand nous sommes seuls dans le couloir, Justin attrape mon bras et me tire rudement dans la salle de photocopie. Là il me dit :
- Il est temps pour moi d’avoir une autre marque de rouge à lèvres, Miss BRATZ. Et cette fois-ci ça sera sur ma bite ! Mais d’abord, amusons-nous avec ces chaînes.
Je remarque que Justin est devenu plus agressif. Il a vu comment Daniel et Matt me traitaient. Mais comme j’ai pu le remarquer hier, il est moins dans l’humiliation que dans le traitement rude et brutal de mon corps. Il vit pleinement ses fantasmes.
L’étudiant en commerce est un lèche-bottes qui fait des courbettes à tous les autres employés, mais pas à moi. Au contraire, il me traite comme un vulgaire morceau de viande qu’il peut brutaliser comme il le veut. Cette différence de traitement est encore plus dégradante pour moi.
La salle de photocopie est aussi utilisée comme salle de stockage pour divers équipements de bureau et appareils qui ne sont pas utilisés pour le moment. Me tirant par le bras, Justin me conduit au milieu de la pièce.
- Allez poupée, sors-moi ces gros nichons ! Ordonne-t-il simplement.
Résignée à mon sort, j’ouvre ma veste de costume en cuir bordeaux et je la laisse glisser au sol. Secouant mes épaules, mes gros seins rebondissent dans le satin noir.
C’est incroyable, un seul ordre et je me change en mode soumise immédiatement. Et je fais un strip-tease sexy.
Même si au fond de moi ça me gêne, je continue. Balançant doucement mes hanches, j’ouvre les boutons du chemisier en satin en commençant par le haut. A chaque bouton la chair de ma poitrine serrée apparaît. Et je me retrouve devant le jeune stagiaire seulement vêtue de mon corset en satin noir, d’une jupe en cuir bordeaux, de bas noirs, de talons hauts rouges et des bijoux scintillants.
- Sors ton rouge à lèvres et prépare-toi pour ton défi Miss BRATZ. Me dit-il d’une voix autoritaire.
Daniel m’a ordonné d’exécuter tout ordre concernant le défi à tout moment et n’importe où au travail. Je ne peux donc vraiment pas discuter. Au moins, Justin m’a traînée dans une pièce qui est rarement utilisée par mes collègues. Ce sont les stagiaires qui y viennent. Justin saisit mon sac, sort le rouge à lèvres et me le tend. Alors que je commence à l’appliquer, il m’arrête.
- Je n’ai pas dit où n’est-ce pas ? Maquille ta chatte pour moi salope ! Ricane-t-il.
Je gémis en réponse. Je n’aime pas le tour que prennent les évènements. Pourtant j’obéis et je recouvre d’une épaisse couche de rouge vif les lèvres de ma chatte. C’est vraiment obscène, mais Justin adore.
Satisfait de mon maquillage, il attrape mon bras et me conduit près d’un tableau à feuilles mobiles couché et appuyé contre le mur pour le ranger. Il le saisit et le pose au milieu de la pièce, puis il m’ordonne de le chevaucher.
Ensuite il tire mes bras derrière mon dos et il accroche les attaches ensemble, mes poignets à mes chevilles. Enchaînée ainsi mes jambes se soulèvent du sol et mon corps descend sur le côté du tableau. C’est à ce moment que je réalise ce que fait Justin.
- Ooooohhhh ! Qu’est-ce que vous faites ?
Je laisse échapper un petit cri lorsque le métal s’enfonce dans ma chatte sensible.
Tout mon poids ne repose que sur mon entrejambe. Ma chatte et mes fesses sont pressées contre le bord métallique. La seule chose que je peux faire pour protéger mes parties intimes est de me soulever sur la pointe des pieds. Mais les bras attachés à mes jambes, je ne peux pas descendre du tableau.
- C’est un appareil de torture appelé « Spanish Donkey ». Tu vas apprendre à aimer salope ! Tu restes dessus jusqu’à ce qu’il prenne la marque de ton rouge à lèvres. Me dit le jeune salaud.
Satisfait de son travail, Justin se retourne et commence à faire des photocopies. Il accomplit sa tâche sans même faire attention à moi. Je reste sur la pointe des pieds au milieu de la pièce, le visage brûlant de honte. Tout ce que je peux faire c’est d’attendre, complètement impuissante. Les minutes s’écoulent. Le temps me parait très long.
La sueur s’accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C’est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.
Je n’en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.
- Aie ! Grogné-je quand j’ai l’impression d’être fendue en deux.
- Ne te plains pas et sois contente qu’il s’agisse que d’un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C’est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.
Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n’ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.
Luttant pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d’une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d’une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu’auparavant. Mes mollets cèdent d’eux-mêmes. Avec toute la force qu’il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.
- Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur mon cul.
Ce n’est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.
Le temps où j’arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s’installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l’appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu’à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.
En haut ! En bas ! En haut ! en bas !
- Ohhhh… Aiiieee… Ohhhh… Aieeee !
Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l’unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.
La peut m’envahit. Le bruit est si fort que quelqu’un dans le couloir peut l’entendre. A chaque seconde je m’attends à ce que la porte s’ouvre et qu’ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.
- Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n’es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.
Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose qu’il a apprise de Daniel.
- Mmmmppphhhhh… Mmmmppphhh…
Mes gémissements sont étouffés. Même si le jeune stagiaire imite mon homme, je suis reconnaissante, car la cravate étouffe le bruit, donc réduit les chances que je sois découverte.
En haut ! En bas ! En haut ! en bas !
Je suis obligée de continuer à chevaucher le tableau de feuilles mobiles pendant les prochaines minutes. Je rebondis si fort que le cœur en strass « Missy » se soulève de haut en bas et cogne ma peau douce et bronzée au-dessus de mon nombril. Ça doit être vraiment comique.
Justin me laisse comme ça une bonne vingtaine de minutes pendant qu’il finit de photocopier le dossier complet. De temps en temps en temps, il me regarde et rigole de me voir essayer de me relever. La douleur se mélange à la honte d’avoir à accomplir cette tâche infernale pour ce salaud de lèche-bottes alors qu’il me prête à peine attention.
CRIIIIIIIII
Soudain la porte s’ouvre avec un grincement.
Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas après que mes cris ont été étouffés ! Pas après tout ce que j’ai vécu ! Je crois que je vais m’évanouir et m’effondrer. Je suppose que j’aurai glissé du tableau si je n’avais pas été enchaînée.
Mais la porte s’ouvre et se referme aussitôt. Avant que je m’en rende compte, deux autres personnes se trouvent dans la salle de photocopie.
- Nous vous cherchions partout !
Il s’agit de Matt et Taylor. Je pousse alors un soupir de soulagement. Je n’ai jamais été aussi contente de voir leurs visages. Ici et tout de suite je les aurais embrassés si j’avais pu me sortir de cette position infernale.
Puis je réfléchis. Je ne devrais pas être contente que Matt soit là ! Surtout sans Daniel ! De plus, attachée comme je suis, il peut faire ce qu’il veut de moi et en profiter.
- Oh je vois, tu prends l’animal de compagnie avec toi lorsque tu travailles. Dit Matt à Justin en m’ignorant.
- Je parie qu’elle t’a supplié de la laisser monter sur ce tableau. La salope n’en a jamais assez hein ? Et elles disent que c’est nous qui pensons tout le temps avec nos bites ! Ajoute-t-il pour recommencer à se moquer de moi
- Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Voyons à quel point elle aime ça ! Je parie que je peux la faire mouiller sur le tableau. S’exclame Justin pour garder l’initiative.
N’attendant pas la réponse des gars il s’approche de moi et saisit mes gros nichons. Il commence à tripoter ma chair molle et la pétrit fermement. Quand il commence à me pincer les mamelons en rythme avec mes mouvements, je commence à me tortiller en gémissant.
Bon sang, ce salaud joue avec mon corps comme avec un violon. Je sens des vagues de plaisir déferler dans mon corps et se mélanger avec la douleur dans mes reins.
La façon dont Justin me manipule si facilement est embarrassante. J’ai très mal sur cet appareil. Pourtant mon corps devient excité par son simple toucher.
Maintenant Justin tient fermement mes mamelons en place sans bouger. De cette façon c’est moi qui agite mes seins en sautant sur le tableau. J’ai l’impression que mes seins sont enfilés sur une brochette. La traction sur mes tétons tendres est à peine tolérable. Et ça conduit mon excitation à de nouveaux sommets malgré la douleur dans ma chatte et mon cul.
Lorsque mon corps est levé, Justin se penche soudainement et gifle mon clitoris. Une décharge explose dans ma chatte et traverse mon corps. Mes jambes tremblent si fort que je redescends instantanément sur le tableau ? Je sais que je dégouline de mon jus.
Ce jeune lèche-bottes a su m’amener à l’orgasme malgré la torture du tableau de feuilles mobiles. Il a réussi en si peu de temps que j’en suis ébahie. Ses camarades stagiaires sont encore plus impressionnés et sifflent d’admiration avant que Justin ne détache mes chaînes et me libère du dispositif infernal. Il me montre alors le tableau et me dit :
- Je te l’ai dit poupée que tu allais aimer ! Regarde le gâchis que tu as fait !
Je remarque alors que le tableau est collant de mon jus. Quelques traces de rouge à lèvres sont encore visibles, mais elles ont été recouvertes par mon jus de chatte. C’est trop pervers !
- Tu es trop stupide pour laisser une trace de rouge à lèvres décente Miss BRATZ ! Me réprimande Justin.
Bon sang, j’avais complètement oublié le défi. D’une certaine manière il avait raison. J’étais tellement excitée que je n’avais pas été en mesure de réaliser son défi correctement. Daniel va être déçu.
- Nettoie ça idiote ! Je ne peux pas laisser sale notre matériel de bureau ! Dit cet enfoiré en retirant sa cravate de ma bouche.
Saisissant mes cheveux châtains, il pousse mon visage sur le tableau. Je lèche mon jus sucré sur le métal tout en pensant que Justin m’avait si facilement fait jouir et juter sur le dispositif infernal. Et comme s’il devinait que ma chatte est toujours excitée, il pousse deux doigts dedans et commence à me baiser avec pendant que je suis penchée.
- Ohhhhh…. Ohhhhh…
Je me retrouve vite à gémir les dents serrées. Juste au moment où je suis au bord de l’orgasme, il s’arrête et donne deux grosses claque sur mes fesses, enterrant ainsi mon excitation.
- il ne faut pas que tu oublies le défi, petit animal de bureau. Je devrais te remettre sur le tableau pour que tu recommences. Dit-il avec un petit rire.
Puis il m’attrape une nouvelle fois par les cheveux et s’exclame :
- Il est temps de laisser une marque de rouge à lèvres sur moi.
En me tirant par les cheveux, il me conduit au fond de la pièce. Une table est placée contre le mur. Il fait demi-tour et me pousse pour que je m’allonge sur le dos sur la table. Puis il la contourne et tire mes épaules pour que ma tête pende du bord.
Je réalise enfin ce qu’il fait. Il veut baiser ma bouche. Dans cette position malaisée, je n’offre presque aucune résistance. Avec ma tête en arrière, ma gorge s’ouvre d’elle-même. Quelle position odieuse !
Justin aggrave encore les choses quand il prend ma jambe droite, la soulève du sol et la plie au genou. Puis tenant ma jambe sur la table, il attrape mon bras droit et le tire pour le placer à côté. Et enfin il utilise mes bracelets de poignets et de chevilles pour les accrocher ensemble.
Après avoir fait de même avec ma jambe et mon bras gauche, je me retrouve allongée sur la table, la tête pendante au bord et ma chatte grand ouverte. Tous mes orifices sont complètement exposés.
Debout devant mon visage, Justin prend mon rouge à lèvres et barbouille ma bouche jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Puis il baisse son pantalon. Me regarder chevaucher le tableau l’a tellement excité que sa bite est déjà bien raide. Il saisit ma tête et tire mon corps dans la bonne position. Il me bouge comme une poupée gonflable jusqu’à ce que son membre soit contre mes lèvres. Je suis complètement impuissante. Tout ce que je peux faire c’est de regarder sa grosse bite bien dure planer au-dessus de mon visage. Il m’explique alors :
- Je n’arrêterai pas tant que tu n’auras pas laissé ta marque de rouge à lèvres sur mon entrejambe, salope. Tu as compris ?
Je hoche la tête pour signifier mon accord. Ma position est vraiment dégradante. Pourtant je veux lui montrer que je ne suis pas stupide et que je peux supporter ça. Je suis trop fière pour ne pas lui montrer que je ne suis pas idiote et que je peux réaliser le défi.
Avec un grognement, le jeune stagiaire pénètre ma bouche. Je ferme rapidement mes lèvres peintes autour son sexe dur. Ma langue joue avec son gland, mais il pousse sa bite plus profondément. Je me concentre sur mon réflexe nauséeux et je baisse ma tête plus bas pour ouvrir ma gorge. Je sens son bâton de chair presser contre ma luette.
Puis la bite de Justin glisse profondément dans ma gorge. Il me faut quelques instants pour réaliser que je ne peux plus respirer. Néanmoins ce salaud garde sa queue dans ma gorge jusqu’à ce que ma vision se trouble. Je manque d’air.
Je commence à lutter et je m’agite dans mes entraves. Toutefois, je ne peux presque pas bouger. Je dois vraiment avoir l’air ridicule de me débattre dans mes liens.
Finalement Justin retire son membre pour me permettre de reprendre mon souffle. Mais seulement pour une courte période, car il empale de nouveau ma gorge avec son sexe. Il recommence le même jeu, il garde sa bite au fond de ma bouche jusqu’à ce que je recommence à me débattre. Cette fois, il reste plus longtemps, me laissant me secouer dans tous les sens. Les bracelets s’enfoncent profondément dans mes poignets alors que je me tortille sur la table comme une anguille hors de l’eau. Les autres stagiaires s’amusent de me voir aussi impuissante.
Justin montre ainsi son pouvoir dominant. Il a vraiment vite appris. Il a trouvé le moyen de me faire sentir comme son simple objet sexuel. Je m’étais attendue à ce que Matt prenne le contrôle dès qu’il est entré dans la salle. Mais c’est ce jeune lèche-bottes qui garde le commandement et se révèle un dominant capable.
J’essaie de rester calme. Je veux montrer aux stagiaires que je peux être une poupée de luxe. Cependant, plus la bite de Justin reste enfouie au fond de ma gorge, plus je suffoque et j’ai besoin de respirer. Donc finalement, je commence à me débattre avec force comme un poisson hors de l’eau. C’est épuisant pour moi, mais amusant pour les garçons. Et c’est tout ce qui compte, non ? Après tout, ici je suis leur jouet, non ?
Après avoir testé ma résistance, Justin commence finalement à baiser ma bouche, lentement, profondément et régulièrement. Encore et encore, il pilonne ma gorge serrée jusqu’à ce que son sexe chatouille mes amygdales et ses couilles reposent sur mon nez. Malgré mon entraînement d’hier, ses profondes pénétrations me font étouffer et cracher pitoyablement au rythme de ses poussées.
- Urggghhh… Urgggghhhh… Urgggghhhh…
Ma gorge réagit en produisant des quantités extrêmes de salive et de bave. Ça coule de ma bouche en torrents. Une fois de plus ma position n’arrange rien. La bave coule sur mon visage, sur mes joues et jusque dans mon nez.
Cependant, soudainement Justin s’arrête et retire sa bite de ma bouche. Il la tient directement au-dessus de ma tête et il me laisse la regarder. Puis il donne un coup sec à sa queue avec son doigt.
- Aiiiee ! Crié-je en me débattant une seconde plus tard.
La bave sur sa bite est tombée sur mon visage. Elle a frappé mes yeux ouverts et ça m’a piqué. Bon sang, qu’est-ce que ça fait mal ! Mais ma douleur, mon cri et ma grimace ne font qu’amuser encore plus les stagiaires.
Quand j’arrête de bouger, Justin donne un autre coup à sa bite. Mais cette fois, je suis préparée et je ferme rapidement les yeux. Cet enfoiré ne va pas me surprendre une nouvelle fois. Toutefois il n’est pas d’accord.
- AIIIIEEE ! Crié-je quand il donne une grosse claque sur mon sein droit.
La gifle a envoyé mon sein droit s’écraser sur mon sein gauche. Le coup est si brutal que je suis sûre qu’il a dû laisser la trace de sa main sur ma peau tendre. Comme je n’ouvre toujours pas les yeux, il gifle mon autre sein.
- AIIIEEE ! OUILLE ! Crié-je.
Je gémis de douleur alors que Justin fouette mes seins avec sa main de gauche à droite.
Il ne s’arrête pas avant que j’ouvre les yeux. Puis il donne un autre petit coup à sa bite chargée de ma bave.
- Aiiieeee !
Je pousse un nouveau cri alors que la bave tombe dans mon œil gauche.
Putain de merde, ça pique et ça fait mal ! Néanmoins je fais de mon mieux pour garder les yeux ouverts jusqu’à ce que Justin fasse tomber pour la troisième fois de la bave qui tombe cette fois-ci sur mon œil droit.
Mes yeux me brûlent, ma poitrine est en feu et je veux toujours continuer à servir ces salauds comme une poupée de luxe. C’est bien le comportement d’un animal de compagnie soumis non ?
Satisfait de ma soumission, Justin remet sa queue dans ma bouche et recommence à me baiser.
- Vas-y, frappe tes couilles contre sa tête vide ! Commente Matt pendant que les testicules de son copain frappent mon nez pendant qu’il me baise la bouche.
Sa remarque ne fait qu’augmenter la situation humiliante dans laquelle je suis, et je grogne d’envie. Putain , je me perds complètement dans la luxure. Je suis concentrée sur mon plaisir. Matt a raison, ma tête est vide, toute pensée est bloquée. Tout ce qui compte c’est de servir ces jeunes stagiaires.
La bave m’a fait fermer les yeux et je ne peux plus rien voir. Maintes et maintes fois, je sens Justin retirer sa bite de ma gorge et étaler sur mon visage le flot de liquide épais qui sort de ma bouche. C’est aussi désagréable qu’humiliant. Mais ça rend le jeu amusant pour les gars non ?
Tout en me baisant la gorge, Justin attrape mes seins et commence à les tripoter avec rudesse. Attachée, je ne peux rien faire d’autre que de laisser me maltraiter. Mon visage recouvert de bave, ses coups de reins s’accompagnent de bruits humides qui se mélangent avec mes sons de suffocation.
Justin a pris possession de mon corps méthodiquement. Il m’a pris et me possède. J’ai l’impression que c’est exactement ce qu’il est censé faire. Je ne suis qu’un bout de viande pour le plaisir des stagiaires, pour qu’ils me baisent où et quand ils le veulent. Je sais que c’est ma place, dominée par Daniel et utilisée par les stagiaires.
- Je ne vois pas encore de rouge à lèvres sur mon entrejambe Miss BRATZ ! Me dit soudainement Justin.
Je n’en reviens pas. Avec mes yeux couverts de bave, je ne peux pas le voir non plus. Je suis obligée de le croire. Bien qu’il m’ait baisé la bouche avec vigueur, il n’avait pas entré complètement sa bite.
- Fais donc un petit effort pour réussir ton défi, salope ! m’encourage-t-il.
Et merde, je veux vraiment réussir. Après avoir chevauché le tableau, je veux montrer aux stagiaires que je suis un bon animal de bureau.
Justin garde sa bite à mi-chemin dans ma bouche, il veut que je fasse moi-même la dernière partie. Sans réfléchir davantage, je pousse mon visage vers le haut et je laisse glisser son membre plus profondément à l’intérieur.
Même si j’étouffe, je ne réussis pas encore à sentir la peau de son ventre contre mes lèvres. Encore une fois, je pousse vers le haut, et encore une fois ses couilles me frappent le visage. C’est tellement dégradant. Cette fois cependant, je sens mes lèvres et mon menton presser sa paroi abdominale.
- Oui, c’est ça, embrasse mon ventre avec tes lèvres de salope !
Justin me fait comprendre que j’ai réussi.
- Maintenant, tire la langue et chatouille mon ventre ! Ordonne-t-il.
J’arrive à peine à respirer. Pourtant je fais ce qu’il me dit et je pousse ma langue. Ça suffit à m’ouvrir encore plus la gorge et un autre torrent de bave jaillit et tombe sur mon visage déjà barbouillé.
C’est trop dégoûtant. Mon visage est enduit de bave et de bile.
Splash ! Splash ! Splash !
Justin frappe sa bite contre mes joues trempées de bave, provoquant des bruits mous et humides. Je comprends que mon visage doit être vraiment un gâchis. Comment vais-je pouvoir sortir de la pièce dans cet état.
- Hé hé, quels sons agréables ! Mais ça devrait être plus fort ! Fait remarquer Matt
- Arggghhh ! Gémis-je soudainement.
En réponse au commentaire de Matt, Justin vient de me cracher au visage ! Un gros mollard a atterri sur ma figure, s’ajoutant à la bave et me faisant sursauter de dégoût.
Splash ! Splash ! Splash !
Une fois de plus cet enfoiré gifle mes joues avec sa bite pour faire des bruits humides. Puis il remet sa bite dans ma bouche et me baise avec un bon rythme.
Splash ! Urghhhh ! Urggghhh ! Splash ! Urgghh ! Urgghhhh !
Il s’amuse avec mon visage. Il alterne entre me gifler avec son membre et m’étouffer pendant que mon corps se débat sur la table. La quatrième fois, il termine la séquence avec deux grosses claques bien appuyées sur chacun de mes seins. Je grimace, mais je sens une décharge dans ma chatte.
- Hé hé, bravo ! Tu as trouvé une utilisation parfaite pour cette chienne. Sa tête est aussi creuse qu’un tambour de toute façon. Ricane Matt.
- Ouais, c’est ce qu’on dit, ce sont les contenants creux qui font le plus de bruits. Laisse échapper Justin.
J’ai l’impression que les deux jouent au jeu de savoir qui pourra le plus se moquer de leur animal de bureau stupide. Ils ne se soucient pas de mes gémissements ou de mes petits cris en réponse à leurs moqueries. Justin continue à utiliser mon visage comme il le désire.
Splash ! Urghhhh ! Urggghhh ! Splash ! Urgghh ! Urgghhhh !
CLAC ! CLAC !
Cette fois, Justin gifle deux fois ma chatte pour terminer la séquence. Ces claques inattendues me font mal, mais me font aussi presque jouir de suite. Se penchant en avant, il enfouit son sexe au fond de ma gorge et il commence à éjaculer. Sentant les jets de foutre, je n’ai même pas à avaler, ça tombe directement dans mon estomac. Après quatre giclées, Justin retire son sexe de ma bouche et me laisse respirer. Ma gorge est grande ouverte et j’ai l’impression qu’elle ne se refermera plus.
- Ohhhhh ! Crié-je soudainement de surprise.
Je ne peux toujours rien voir, car mes yeux sont fermés sous la couche de bave qui les recouvre. Pourtant je sens une sorte de matière lisse et douce glisser sur mon visage. Je comprends que Justin a dû prendre mon chemisier en satin pour essuyer mon visage.
- Non ! Arrête ! Crié-je en me débattant dans mes chaînes.
Il utilise mon chemisier comme un chiffon de nettoyage. Il ruine ma tenue en la recouvrant de bave et de bile. Comment pourrais-je continuer à la porter le reste de la journée ?
Bien sûr, Justin ne m’écoute pas. Il continue à essuyer mon visage avec le chemisier jusqu’à ce qu’il trouve que je suis propre. Maintenant, je peux ouvrir les yeux de nouveau. Mais je n’aime pas ce que je vois.
Il jette mon chemisier en satin sur le sol et remonte son pantalon, puis il détache mes poignets et mes chevilles. Enfin il quitte la pièce après Matt et Taylor.
Je suis seule et je peux bouger de nouveau. La position que j’avais sur la table était plus qu’inconfortable. Je dois étirer mes jambes pour retrouver un peu de sensation. Il me faut plusieurs minutes avant d’être prête à descendre de la table.
Je m’approche de mes vêtements et je ramasse mon chemisier pour l’inspecter. Le tissu est complètement trempé. De grandes taches sombres recouvrent le tissu et d’épais brins de bave s’y accrochent. Même après avoir utilisé du papier pour essuyer la bave, les taches humides restent en évidence sur le chemisier. Je ne peux plus le porter ! C’est foutu pour la journée ! Une conséquence désagréable du défi du rouge à lèvres !
Mon visage rouge de honte, j’ouvre la porte de la salle de photocopie et je jette un coup d’œil. Je viens de fourrer mon chemisier souillé dans mon sac à main et j’ai remis ma veste en cuir bordeaux. Même si j’ai fermé tous les boutons, je me sens nue. Sans le chemisier, la veste couvre les deux tiers de mes seins, mais c’est tout. Mon décolleté descend jusqu’à la courbe inférieure de mes seins.
Heureusement le couloir est vide alors je me faufile jusqu’à mon bureau aussi vite que possible. Avec le corset sans bonnets poussant ma poitrine vers le haut, j’ai l’impression que mes nichons vont sortir de ma veste à chaque fois.
Merde, je ne peux pas rencontrer mes subordonnés comme ça ! Ma multitude de bijoux fait que tous les gars du bureau me regardent longuement. Et s’ils regardent de plus près, ils verront que je ne porte rien en dessous.
Il me faut une pause. J’ai besoin de me vider la tête. J’ai besoin de revenir en mode travail. Tout ça devient incontrôlable. Mon excitation constante affecte ma capacité à travailler et diminue mes performances. Pire encore, ça me fait perdre tout intérêt pour mon boulot. Et au contraire, ça me fait fantasmer sur des jeux plus coquins. J’ai le sentiment que ça ne finira pas bien.
De retour à mon bureau, j’invente une réunion avec un client imaginaire. Je n’ai jamais fait ça et j’ai toujours respecté mon travail. Cependant il est très important de faire attention à ne pas voir certains collègues. Je suis absolument certaine que je vais me perdre dans l’excitation et la luxure si les stagiaires commencent un autre tour avec le jeu du rouge à lèvres.
Je n’ose pas rester dans mon bureau, mais je ne sais pas où aller. Alors j’attrape mon ordinateur et je me faufile avec précaution hors du bâtiment. Je vais dans un café assez loin pour qu’aucun de mes collègues ne me voit.
J’y reste quelques heures. Même si je reçois des messages sur mon téléphone, je ne les regarde pas. J’essaie plutôt de me concentrer sur le projet que je dois livrer demain. Mais malgré tous mes efforts pour accomplir cette tâche, mon esprit continue à vagabonder sur le défi du rouge à lèvres et sur la tentative de Matt de faire virer Daniel.
Assis à la terrasse au soleil, je remarque un groupe d’hommes s’arrêtant pour me regarder. Il y a même un groupe de jeunes qui me sifflent et m’apostrophent en passant. Ça me fait sourire et je me penche en avant pour attraper ma tasse de café et leur donner une bonne vue sur mon décolleté profond. Leur attention me réjouit et me fait sentir belle. Mais comme le tatoueur de ce matin, ils ne peuvent s’imaginer que je suis une directrice d’entreprise n’est-ce pas ?
Finalement, je me dis que je dois retourner au bureau pour assurer mes collègues de ma présence. Je regarde mon téléphone et je vois que j’ai reçu quatre SMS de Daniel. Il me cherche et n’est pas trop content que je ne réponde pas. Je lui envoie donc un rapide message lui disant que je viens d’assister à une réunion importante et que je rentre.
A mon arrivée au bureau, je reçois un autre message de Daniel. Il me dit de venir les voir dans la salle de détente des stagiaires. J’ai l’impression que les gars attendent avec impatience leur animal de bureau pour commencer un nouveau tout du défi du rouge à lèvres. En entrant dans la salle, je vois les quatre gars se prélasser sur les canapés. Des sandwichs traînent sur la table.
- Nous t’attendions pour que tu déjeunes avec nous. Nous avons même reporté notre pause déjeuner. Mais tu nous as fait attendre si longtemps que nous avons partagé ton sandwich. Dommage ! Me dit Daniel.
- Mais par contre, tu peux nous divertir pendant notre pause. Après tout, c’est pour cela que nous gardons un animal de compagnie au travail non ? Intervient Matt.
Puis il continue :
- Pourquoi ne pas utiliser ce moment pour mon tour ? De toute façon tu es impatiente que ce soit moi n’est-ce pas Miss BRATZ ?
Je ne réagis pas à ses paroles, mais Matt ne s’y attendait pas de toute façon. Pendant que les autres stagiaires prennent leurs sandwichs et commence à manger, il se lève du canapé et se dirige vers moi.
Je reste complètement immobile pendant qu’il commence à enlever les boutons de ma veste en cuir bordeaux. Il la fait glisser de mes épaules et la laisse tomber au sol. Puis il remonte ma jupe sur mes hanches. Il a fallu moins de trois minutes avant que je me retrouve au milieu de la salle de détente avec mes seins et ma chatte à l’air.
Je suis tellement nerveuse que j’ai du mal à rester immobile tandis que ce salaud arrogant fait le tour de mon corps. A chaque instant qui passe, je m’attends à ce qu’il me gifle ou me pince, ou trouve une humiliation perverse.
De toute évidence Matt apprécie la situation. Il savoure pleinement le pouvoir qu’il a sur moi. Très lentement, il passe doucement ses mains sur mes seins et effleure mes mamelons. Encore plus lentement il fait courir ses mains sur mes cuisses et mon monticule pubien. De temps en temps il feint de me gifler. Il me fait alors sursauter et me contracter.
Ce suspense me rend folle. Je suis sur le point de le supplier de gifler ma poitrine ou de pincer mon clitoris. Tout sera mieux que cette attente insupportable.
Mais soudainement il attrape ma chevelure châtain et me pousse en avant sur la table basse. Saisissant mes hanches il me soulève facilement et me retourne pour que je sois allongée sur le dos sur la table.
- Ces attaches sont très bien faites. Ce serait dommage que nous ne les utilisions pas n’est-ce pas Miss BRATZ ? Me demande-t-il tout en sachant que je n’aime pas être attachée.
Encore une fois, je choisis de l’ignorer bien que ses mots font battre mon cœur plus vite de nervosité. De toute façon, ce salaud n’attend pas de réponse et il se met immédiatement en action. Il attrape mes jambes et les soulève jusqu’à ce que mes genoux soient de chaque côté de mes seins et mes pieds en l’air. Puis il prend mes bras et les lève jusqu’à mes chevilles.
CLIC ! CLIC !
A l’aide des attaches, il accroche mes bracelets de poignets aux bracelets de cheville et à la table. Une fois encore mon bras droit est attaché à ma jambe droite et mon bras gauche à ma jambe gauche. Toutefois, ils sont cette fois-ci attachés au-dessus de ma tête. Je suis enchaînée comme un cochon à un poteau.
Dans cette position, avec mes jambes à côté de ma tête, ma chatte est complètement ouverte et exposée. Quoi que Matt veuille faire de moi, je suis à sa merci et il le sait. Mais il ne fait rien. Il rejoint les autres sur les canapés et commence à manger son sandwich.
Les quatre stagiaires sont contents de déjeuner et ils discutent du prochain grand matche de football tout en me laissant attachée sur la table basse. Tous mes trous sont facilement accessibles à tous et pourtant ils m’ignorent complètement.
Ils préfèrent leurs sandwichs à moi ! c’est pire que n’importe quel acte sexuel pervers que Matt puisse imaginer. Même ramper sous une table pour lécher du ketchup sur leur bite vaut mieux que d’être ignorée ainsi.
Justin est le premier à terminer son déjeuner. Il se lève du canapé et passe devant la table basse. En passant il crache nonchalamment sur ma chatte ouverte. Mais il ne me regarde même pas.
Tandis que son crachat coule lentement sur la chair rose de ma chatte, Taylor finit de déjeuner. Quand il passe devant moi, il pince rapidement mes deux mamelons avant de se diriger vers la porte.
Il ne reste que Daniel et Matt. Ils se positionnent chacun d’un côté de la table basse, faisant battre mon cœur plus rapidement. Enfin ça va commencer. Ils sont sur le point de m’utiliser. Mais je me réjouis trop tôt.
Les deux gars ont d’autres plans. Daniel approche sa main entre mes jambes alors que Matt tend la main vers mon visage. Le latino gifle mon clitoris en même temps que l’autre salaud me donne une gifle sur la joue. Je me débats alors sur la table. Mais Daniel donne une autre claque à ma chatte tandis que Matt frappe mon autre joue. Je ressens de la douleur, mais c’est mieux que rien. Pourtant c’est tout ce que j’obtiendrai pour le moment.
- C’était pour nous avoir fait attendre salope ! Me dit Daniel sévèrement.
- Maintenant c’est à ton tour de nous attendre petite pute ! Ajoute Matt.
Puis ils se détournent tous les deux et quittent la pièce.
Ils s’en vont vraiment. Je n’arrive pas à le croire. Je reste seule dans la salle de détente des stagiaires allongée sur le dos sur une table basse, les jambes et les bras attachés au-dessus de ma tête, ma chatte bien exposée.
Je suis leur animal de compagnie. Je suis leur poupée de luxe avec laquelle ils jouent comme ils le veulent. Pourtant ils viennent de me mettre de côté. Ils me jettent comme un objet inutile dont on a plus l’utilité.
Je passe la prochaine demi-heure dans cette position. Je reste immobile sur la table basse et j’écoute tous les bruits du sous-sol. Chaque fois que j’entends quelque chose, mon cœur se met à battre plus rapidement et j’espère que ce sont les stagiaires qui reviennent.
Je n’ai jamais autant désiré être baisée. Je n’ai jamais autant rêvé de servir ces salauds. L’attente me rend folle.
Finalement la porte s’ouvre et je crie presque de joie quand je vois Justin et Matt entrer dans la pièce. Le moment est venu pour continuer le défi du rouge à lèvres. C’est trop vicieux, pourtant je l’attends comme un enfant la veille de Noël.
Matt s’approche de moi tandis que Justin reste à l’arrière-plan pour observer la scène. Quand ce salaud sort le rouge à lèvres, je comprends que le défi commence. Je lève la tête et le regarde dans l’expectative. Où va-t-il le mettre ? Que va-t-il faire ?
Sans rien dire, il commence à peindre les lèvres de ma chatte. C’est donc là. Il passe et repasse sur mes lèvres intimes jusqu’à ce que ma chatte soit collante de rouge vif. Je suis un peu déçue. Mon sexe ne ressemble pas à un endroit extraordinaire non ? Je m’attendais à quelque chose de vraiment spécial de sa part. Mais encore une fois, je me réjouis un peu trop vite.
Pour s’amuser, Matt passe ses mains sur mes cuisses avant de lever rapidement sa main droite comme s’il était sur le point de me gifler à nouveau. Je tressaille et sursaute en prévision du coup. Mais le garçon arrête sa main avant qu’elle ne touche ma chatte sensible.
Rigolant de mes craintes désespérées, il attend que je redevienne immobile. Puis il met quatre doigts dans ma chatte couverte de rouge à lèvres. Tenant sa main verticalement, il remplit ma chatte d’un coup.
- Ummmm ! Gémis-je sous la pression soudaine.
Putain, ses quatre doigts étirent vraiment ma chatte. Mais Matt n’a pas fini. Pressant ses doigts l’un contre l’autre il commence à les pousser dans et hors de mon sexe. Il commence même à tourner sa main d’une position verticale à une position horizontale pour étirer encore plus les parois de ma chatte.
- OHHHHH ! AAAHHHH !
Dans ma position, je ne peux que gémir en réponse.
Plusieurs fois il sort ses doigts pour cracher sur ma fente avant de les remettre à l’intérieur. Sa salive se mélange à mon jus et crée des bruits de succion tandis qu’il continue à me baiser avec ses doigts tout en tournant la main. Quand il commence à utiliser son pouce pour frotter mon clitoris, mes gémissements deviennent plus forts.
- UMMMMMMMM ! Grogné-je soudainement.
Ce salaud a plié son pouce pour le placer dans sa paume et il pousse ses cinq doigts dans ma chatte. Les parois de mon sexe serrent fermement ses premières phalanges et s’étirent.
- Je n’ai jamais dit que le rouge à lèvres irait sur ma bite n’est-ce pas ? Me demande triomphalement Matt.
Puis il ajoute :
- Il ira sur mon poignet !
Avant que ses mots aient le temps de monter à mon esprit pour que je comprenne ce que ça implique, il me fait réaliser le sens de ses paroles en maintenant la pression. Les parois de ma chatte sont étirées au maximum. Et mon sexe lutte contre l’invasion. Ma chatte est trop serrée et les jointures de Matt ne glissent pas à l’intérieur.
- AIIIEEEEEAIIIEEEE ! Crié-je en essayant désespérément d’étouffer mes cris.
L’arrogant stagiaire n’est pas satisfait. Il retire brutalement ses doigts de ma chatte distendue et crache une nouvelle fois dessus. A présent je sens la froideur de sa salive.
S’approchant de ma tête, Matt tient sa main devant mon visage et me dit de cracher dessus. L’idée d’aider ce salaud autoritaire à fister ma pauvre chatte me fait grimacer. Mais il n’est pas d’humeur à discuter alors il me donne une grosse gifle sur la joue.
Quand j’ouvre mes lèvres avec précaution, il pousse deux doigts dans ma bouche et il les enfonce immédiatement dans ma gorge. Ça me fait régurgiter et instantanément je produis une grosse masse de bave dans ma bouche. Quand elle est sur le point de déborder, Matt retire ses doigts et la bave jaillit pratiquement avec.
Avec sa main enduite de ma salive, Matt la replace sur ma chatte et commence à pousser aussi fermement qu’il le peut. Quatre doigts entrent facilement à l’intérieur et il ajoute rapidement le cinquième. Cependant, alors qu’il continue de pousser, ma chatte cherche à se fermer. C’est vraiment trop serré.
Il commence alors à sortir et à enfoncer les cinq doigts pour essayer d’étirer progressivement les parois de ma chatte. Comme il ne réussit pas, il tourne la main à l’horizontale et cesse de pousser.
- AIIIIIIEEEEE ! OOOOOHHHHH !
Une seconde plus tard, il remet sa main à la verticale et pousse du plus qu’il peut. Enfin les parois de ma chatte cèdent et s’étirent. La main de Matt entre dans mon sexe. J’ai l’impression d’entendre un claquement lorsqu’elle me pénètre.
- AIIIEEEEE ! OUILLLE ! AIEEEEE !
Je continue à crier de douleur quand Matt commence à tourner sa main à l’intérieur de mon sexe. Elle se trouve enterrée jusqu’au poignet et maintenant il essaie de racler du rouge à lèvres de ma chatte sur sa peau.
Je ne me suis jamais sentie autant remplie auparavant. Et plus le stagiaire tourne sa main, plus mes parois intimes s’étirent. Je ne peux pas m’arrêter de trembler dans mes liens. Mon corps entier se tortille sur la table dans des tentatives désespérées de soulager mon inconfort.
La pression ne diminue pas du tout. Cette pression constante et la sensation d’être remplie font lentement leur effet et ajoute du plaisir à la douleur. C’est une impression étrange que je ressens alors que la douleur et le plaisir se mélangent et commence à former une seule sensation écrasante.
- AIEEEEEE ! Ai-je de nouveau crié.
Juste au moment où l’inconfort diminuait et que je m’habituais à ce fisting, Matt retire sa main. Cela force l’entrée de ma chatte à s’ouvrir brutalement et ça laisse mon sexe béant.
- Je ne vois pas de rouge à lèvres sur mon poignet. Tant pis pour toi salope, ce n’est pas fini ! S’exclame Matt en inspectant son bras.
Donc, insatisfait du résultat, ce salaud remet ses cinq doigts dans ma chatte béante. Mais la poussée est si puissante que je suis presque entraînée hors de la table basse. Liée comme je le suis, je ne peux rien faire d’autre que de laisser le stagiaire pilonner ma chatte.
- OOOHHHHH ! AIIIIIIIIEEEE ! OOOOOOHHHH !
Je crie quand Matt ferme sa main et qu’il y a maintenant un poing dans ma chatte.
J’ai l’impression que sa main s’est transformée en une énorme boule dans mon ventre, étirant encore plus mon sexe. Encore une fois, il tord et tourne son bras avant de commencer à le pousser dans et hors de ma chatte. Il est en train d’agrandir grossièrement mon sexe avec son poing en poussant mon corps sur la table.
- c’est ouvert comme une porte de grange ! Commente Justin en voyant ma chatte béante alors que Matt a retiré son poing une nouvelle fois.
- Ouais, mais je n’ai toujours pas beaucoup de rouge à lèvres sur mon poignet. Répond Matt, pas trop content du résultat.
Pendant que j’essaie de reprendre une respiration normale, je suis sur les nerfs. Différentes sensations me submergent. Malgré la douleur cuisante, je veux à nouveau que quelque chose remplisse ma chatte. Je me sens tellement vide et insatisfaite, même si ce n’est pas depuis longtemps.
- Oooooohhhhhh ! Gémis-je quand je sens Matt presser sa bite contre mon trou du cul.
Il utilise le jus de ma chatte qui recouvre son poing pour lubrifier mon trou du cul et rendre sa bite bien glissante. Et même si mon anus résiste un peu au début, c’est quand même une diversion agréable au fisting.
Avec un coup de rein puissant, sa queue plonge dans mon cul. Il commence à m’enculer avec des coups puissants et profonds. Maintenant c’est au tour de mon trou du cul de s’étirer. Je sens toujours ma chatte béante alors qu’il me sodomise. C’est tellement de sensations différentes dans mon esprit que je me transforme en masse de chair qui balbutie de façon incohérente.
- Aaaaaahhhhh ! Ummmmmm ! Oohhhhh !
Finalement Matt retire sa bite de mon cul seulement pour ramener sa main sur ma chatte et la serrer en poing. Je fais face à ce nouveau fisting avec une grosse vague de cris tandis que le mélange de douleur et de plaisir me traverse à nouveau.
Cette fois cependant, des sons humides accompagnent le poing de Matt. L’intensité et la force de la pénétration fait déborder ma chatte. Mon jus qui s’échappe se mélange au rouge à lèvres de ma chatte et s’agrippe au poignet du garçon.
A présent, non seulement ma chatte fuit, mais elle est si relâchée que le poing du stagiaire glisse facilement dedans et dehors. Il peut enfoncer sa main dans ma fente sans résistance. Et il le fait plusieurs fois pour amuser Justin. Il plonge son poing formé dans mon sexe et le retire plusieurs fois avant de se retirer et de montrer mon trou béant.
Après avoir répété cette action cinq ou six fois, il positionne son sexe sur l’entrée de mon cul et pousse d’un coup. Tout en me sodomisant activement, il utilise deux doigts de chacune de ses mains pour écarter les parois de ma chatte.
- Regarde, cette garce est tellement ouverte que tu peux voir ma bite s’enfoncer dans son cul par là. Dit Matt à Justin
Apparemment, ça doit être un spectacle vraiment excitant pour ce salaud, car la sève monte dans ses couilles. Il n’a besoin que de quelques poussées de plus dans mon cul pour que sa bite commence à gicler son foutre. Il se retire rapidement de mon cul et utilise ma chatte béante comme cible. Il tire un premier jet dans mon sexe ouvert avant de gicler les suivants dans mon cul lui aussi ouvert.
- Je suppose que tu as besoin de repos après une séance de baise aussi épuisante, hein chienne ? Me demande Matt en rangeant sa bite dans son pantalon.
- Tu peux avoir ça Miss BRATZ ! Ajoute-t-il.
Oh non ! Il ne va pas faire ça ? Pas encore ! En colère je jette un mauvais regard à ce salaud arrogant. Mais il ne fait que rire.
- C’est encore plus amusant quand tu me regardes comme ça, petite pute de bureau. Me dit-il avant de se détourner et de quitter la salle de détente, Justin à sa suite.
Encore une fois, je reste seule au sous-sol. Est-ce la deuxième partie du plan de Matt pour faire découvrir le chantage de Daniel ? Veut-il envoyer un collègue ici pour me trouver et faire virer le latino ?
Je peux bouger autant que je veux, je n’ai aucune chance de m’échapper. Les bras et les jambes attachées au-dessus de ma tête, je peux à peine remuer. Tout ce que je peux faire, c’est écouter les bruits du sous-sol et d’espérer avoir de la chance. Cependant mon cœur bat si fort que j’ai de la peine à entendre autre chose.
Dix minutes plus tard, la porte s’ouvre. Paniquée, je ferme les yeux.
- Justin vient de me dire que Matt t’a laissé ici !
C’est Daniel ! Il vient à mon secours. Il enlève mes chaînes et me délivre de ma position inconfortable.
- On m’a également dit que tu avais appris une nouvelle compétence, petite chatte. Tu n’es pas seulement une pute à enculer, mais aussi une pute à fister. Me dit-il.
Puis il me montre de nouveau son côté attentionné :
- Tout va bien ?
Même si ma chatte est béante et douloureuse comme jamais, je hoche rapidement la tête. J’ai accompli le défi, c’est la chose la plus importante. Le jeune latino m’informe alors :
- Je pense avoir trouvé un plan. Matt va fêter son anniversaire ce week-end et je pense que nous pouvons utiliser ça à notre avantage. Mais aujourd’hui continuons à nous conduire normalement. D’accord ?
Encore une fois, je hoche la tête rapidement. Oui je vais continuer. Au moins le tour de Matt sur le défi est terminé, c’est déjà ça.
Après m’avoir laissé étirer mes jambes et reprendre des forces, Daniel me tend ma veste en cuir bordeaux et il me renvoie dans mon bureau. L’après-midi est bien entamé et je n’ai pas terminé mon travail. J’ai subi deux tours du défi du rouge à lèvres, pris un café et visité le sous-sol, mais je n’ai pas réussi à répondre à mes mails quotidiens. A présent, exécuter les défis ressemble plus à du travail que ce que je dois faire réellement.
Daniel me laisse une heure pour me remettre du défi avec Matt avant d’entrer dans mon bureau. Je suis au téléphone pour discuter avec le client dont je suis en trains de finaliser le projet.
Mais le latino s’en fiche. Il s’approche simplement de moi pendant que je fais de mon mieux pour parler avec mon interlocuteur tout en observant ses mouvements. Bien sûr, je ne peux me concentrer sur deux choses à la fois et je n’écoute pas la réponse de mon client.
- Je suis désolé Monsieur, j’ai été distraite. Je ne suis pas douée pour le multitâche, hi hi hi ! Dis-je au téléphone avant de demander à l’homme de répéter sa réponse.
Une fois de plus, j’essaie de couvrir mon erreur d’un rire stupide. Bon sang, la simple présence de Daniel suffit à transformer la dirigeante d’entreprise que je suis en pute de bureau à la tête vide. La façon dont le latino glousse à mon rire stupide m’excite en un rien de temps.
Pendant que je fais de mon mieux pour écouter la réponse de mon client, Daniel s’approche de moi et me saisit les jambes. Il les écarte largement jusqu’à ce que ma jupe en cuir bordeaux soit remonté sur mes cuisses et dévoilent ma chatte nue.
Je ne lutte même pas, le laissant se débrouiller avec mon corps tout en essayant désespérément de continuer ma conversation téléphonique. Il replie mes jambes écartées derrière les pieds de ma chaise de bureau. Puis il les attache ensemble avec les bracelets de cheville.
- Oh putain ! Laissé-je échapper.
Daniel vient de m’attacher à ma chaise de bureau. Je ne peux pas me lever ! Je ne peux pas fermer mes jambes ! Je suis piégée dans mon bureau avec ma chatte exposée.
Je ne me suis même pas rendu compte que j’avais crié au téléphone jusqu’à ce que mon client me demande ce qu’il se passe. Encore une fois, je me retrouve à m’excuser en gloussant. A la hâte je termine l’appel. Dès que j’ai raccroché je dis à Daniel :
- C’est quoi ce bordel ? Vous ne pouvez pas m’attacher comme ça ! Pas avec Matt qui veut vous éjecter !
Mes protestations ne font que faire sourire Daniel pendant qu’il enfonce ses mains dans ma veste pour commencer à tripoter mes nichons.
- Ne t’inquiète pas petite chatte ! Matt est occupé avec LAMBERT en ce moment. M’explique-t-il l’humeur détendue.
- Mais… Mais… Vous ne pouvez pas m’enchaîner dans mon bureau… Ohhhh… Pas ici ! Oohhhh ! Je ne peux pas me lever ! Oohhhhh….
Mes protestations se transforment en gémissements quand le latino commence à manipuler mes mamelons.
Ils cessent de les pincer quand ils sont durs comme du roc et pointent sous ma veste en cuir bordeaux. Même si mes bras ne sont pas attachés, je les laisse pendre à mes côtés. Je ne pense même pas à arrêter Daniel alors que nous sommes dans mon bureau.
Tout ce que je suis capable de faire c’est de rester aussi silencieuse que possible, ce qui est assez difficile dans mon état d’excitation. Surtout quand le stagiaire enlève sa main droite de mon sein pour aller titiller mon clitoris. Faisant un pas en arrière, Daniel me demande :
- Tu en veux plus petite chatte ?
Il connaît parfaitement la réponse.
- Bien sûr que tu en veux plus, petite pute de bureau gourmande.
TOC TOC !
Avant que je ne puisse répondre, nous sommes interrompus par deux coups sur ma porte de bureau. Paniquée je me fige. Que dois-je faire ? Dois-je faire semblant d’être partie pour une réunion ? Ou dois-je répondre comme si de rien n’étais ?
Avant que je me décide, la porte s’ouvre. C’est ORTEGA, il passe sa tête à l’intérieur de mon bureau.
- Mlle ADDAMS ? Je dois quitter le bureau pour l’heure qui vient et Mlle KEELAN vient de partir chez le médecin. Me dit mon rival d’un ton neutre.
Surprise je me contente de le regarder la bouche ouverte. Je me rappelle que mes jambes sont attachées à ma chaise.
- Je serai absent pendant une heure environ et je vais rediriger mes appels vers votre téléphone. Vous serez gentille de répondre pour moi. Me dit-il simplement.
Hein ? Quoi ? Il veut que je sois sa secrétaire pendant la prochaine heure. Est-ce qu’il est fou ? Nous sommes tous les deux cadres, au même niveau. Il a toute une équipe de subordonnés qui travaillent pour lui. Et puis il ne me demande pas, il me l’annonce comme si c’était décidé.
Je vois ORTEGA me regarder. Il me dévisage. Heureusement mes jambes grandes ouvertes sont cachées derrière le bureau en bois. Mais s’il regarde de plus près, il pourra voir que je n’ai plus de chemisier. Et s’il entrait et s’approchait ? Je ne peux pas bouger. Il verrait mes mamelons dressés pousser ma veste.
Mon cœur bat à cent à l’heure. Je regarde ORTEGA puis Daniel et je reviens vers mon rival. Je vois son regard intransigeant alors que le stagiaire sourit.
- Euhhh… Oui… D’accord… Balbutié-je en essayant de retrouver mon calme.
Mon esprit est tellement embrumé que je n’ai pas réussi à contrer ORTEGA et à le remettre à sa place comme je l’aurais fait habituellement. Avec Daniel présent, je ne me sens même pas en position de rabrouer mon rival pour sa goujaterie.
- Ok merci ! Dit ORTEGA sans attendre ma réponse complète.
Lorsque qu’il repart et s’éloigne, Daniel le suit rapidement et ferme la porte sans me dire un mot. Putain de merde, ORTEGA vient de me confier une tache de subalterne et je n’ai même pas protesté. Nous somme sur un pied d’égalité en ce qui concerne notre statut dans la société. Mais le fait qu’il me charge de cette tache exprime clairement son point de vue. Et le fait que je n’ai pas rouspété dit tout sur mon changement de situation.
Il y a quelques jours à peine, je me serai levée pour le regarder en face et je l’aurai renvoyé manu militari. Mais aujourd’hui, je n’ai même pas réussi à trouver une réponse cohérente. Je suis simplement contente qu’il n’ait pas remarqué mon chemisier manquant et mes jambes écartées.
Je parie qu’il va se vanter auprès de son équipe que j’ai accepté de jouer le rôle de sa secrétaire. Probablement il va même dire à O’BANNON que je ne suis pas un successeur convenable pour la société. Après tout, il faut s’affirmer pour être PDG non ? Même si ce n’est que pour une heure, ça ruine ma position dans l’entreprise. Toutefois, c’est toujours mieux que s’il avait découvert ma tenue et ma chatte exposée. Accepter cette tâche subalterne me pousse encore plus loin dans la soumission. Je passe la majeure partie de l’heure suivante à penser que je sers de pute de bureau officiel pour les employés.
Daniel me laisse seule toute l’heure. Mon téléphone sonne deux fois. Comme je n’ai pas reconnu le numéro, ça devait être un appel pour ORTEGA. Même soumise, il y a encore de la fierté en moi. Donc, même s’il m’avait prise au dépourvu, je ne me plierai pas si facilement à sa volonté, je ne serai pas sa secrétaire. Je ne décroche pas le téléphone. Après tout, ce n’est pas de ma faute si ORTEGA rate un appel important. Je ne travaille pas pour lui.
A suivre…
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