Histoire de George VI traduite par Coulybaca.
Une gentille épouse se sacrifie pour sauver son mari.
1° LE CHANTAGE
Le mari de Linda, Glenn lui confia ses craintes au cours du vol. Après le scandale financier, les chèques disparus, il risquait de devenir le parfait bouc émissaire.
Linda tenta de le rassurer, elle savait son mari d'une honnêteté scrupuleuse. Quelqu'un d'autre, de la compagnie avait du s'emparer des chèques. Mais elle était bien d'accord avec lui, seul Ron le grand patron pourrait le protéger désormais.
Tout dépendait de lui : allait-il couvrir Glenn, voire même le disculper, ou allait-il l'accabler, voir même le dénoncer pour détournement de fonds.
Linda savait que Ron avait toujours bien traité Glenn. C'était un homme corpulent, grand, un peu plus âgé que Glenn et Linda.
Glenn lui avait suggéré de le rencontrer. Virtuellement tous les employés du bureau régional de Glenn devaient passer le week-end à l'hôtel, mais Linda était la seule conjointe ayant accompagné son mari aux frais de la compagnie.
Linda devait passer le week-end à l'hôtel, mais la somptueuse ménagère, mère de trois enfants, se sentait légèrement embarrassée d'être la seule femme en proie aux compliments de Ron et des autres dirigeants. Elle avait toujours senti qu'elle devait entretenir des relations cordiales avec les membres de la société, mais dans ces circonstances elle se demandait si elle parviendrait à se montrer convaincante et décontractée
.
Ron avait ses habitudes dans cet hôtel, il s'était retiré dans sa chambre pour se changer dans la salle de bain lorsqu'il entendit Linda et Glenn entrer dans la chambre voisine de la sienne. Cette proximité n'était pas le fruit d'une coïncidence.
Ron avait ses habitudes dans cet hôtel, il s'était retiré dans sa chambre pour se changer dans la salle de bain lorsqu'il entendit Linda et Glenn entrer dans la chambre voisine de la sienne. Cette proximité n'était pas le fruit d'une coïncidence.
Ron avait déployé tous ses efforts pour convaincre Glenn d'amener sa ravissante femme, il s'était discrètement arrangé pour qu'ils occupent la chambre voisine de la sienne. Ron avait rencontré Linda deux ans plus tôt alors qu'ils arrivaient en ville et que Glenn postulait pour un poste de direction. Glenn était l'un des nombreux candidats encore en lice pour le poste, mais c'est la vue de sa ravissante et sculpturale femme qui avait fait pencher la balance en sa faveur. Il escomptait bien tirer les bénéfices de son choix ce week-end.
Ron n'avait pas averti délibérément Glenn qu'il était responsable de la disparition de ces foutus chèques qu'il avait personnellement encaissés, mais dès la découverte du détournement, Glenn était apparu comme le coupable idéal. C'est à ce moment que Ron décida de tirer avantage de la situation, de réaliser ses fantasmes concernant la ravissante femme de Glenn en profitant de ses charmes.
Linda était jolie et amicale, mais dire qu'elle était prude ne paraissait pas un terme trop fort pour décrire son comportement guindé de bonne grenouille de bénitier. Encore qu'il fut certain qu'elle passerait outre ses principes pour protéger son époux, sa famille et son standard de vie.
Ron frappa leur porte, et impulsivement jeta un œil au-delà de Glenn sur Linda mollement étendue sur le lit. Même son tee-shirt ample ne parvenait pas à dissimuler l'opulence de ses miches. Ses longues jambes étaient étendues sur le lit, il avait envie de repousser Glenn pour sauter sur sa femme si tentante. Il se contenta de prévenir Glenn que de nombreux employés se retrouvaient à la piscine de l'hôtel.
Il n'y avait pas d'activités programmées avant le repas de ce soir, Glenn et Linda acceptèrent de se joindre aux invités autour de la piscine.
Ron se tenait dans le jacuzzi de l'hôtel, il discutait avec plusieurs collaborateurs lorsque Glenn et Linda arrivèrent à la piscine. Immédiatement la conversation des baigneurs dans le jacuzzi porta sur Linda, chacun se demandait quel type de maillot elle pouvait bien porter sous son short et son tee-shirt. James et Larry deux collaborateurs de Ron du même niveau que Glenn reluquaient avec concupiscence les formes de la sculpturale beauté. James avança qu'il espérait qu'elle porte un bikini, mais Ron et Larry étaient d'avis qu'il était plus vraisemblable qu'elle porte un classique maillot une pièce qui correspondrait mieux à sa personnalité.
Ils la lorgnèrent tous trois passant son tee-shirt au-dessus de sa tête dévoilant un maillot une pièce bleue des plus classiques. Ils grognèrent de convoitise lorsqu'elle dégrafa la ceinture de son short, se penchant en avant pour s'en dépouiller. Son maillot était d'une coupe très classique, cependant il était destiné à des jeunes femmes ayant des petites poitrines, ce qui fait que lorsqu'elle se penchait, elle exposait en grande partie ses avantages mammaires.
Glenn et Linda se joignirent au groupe batifolant dans le jacuzzi. Il n'y avait pas assez de place pour qu'ils soient tous assis confortablement, aussi Ron invita-t-il Linda à se serrer contre lui, alors que Glenn s'asseyait à l'autre extrémité du bain bouillonnant.
Linda mit un pied dans l'eau chaude, et resta jambes grandes écartées le temps de reprendre son équilibre. Dans cette pose une petite touffe de poils bruns s'était échappée à l'entrejambe de son maillot, tous les hommes l'avaient remarquée, sa toison était de la même tonalité que sa chevelure.
Comme Glenn discutait boutique à l'un des bouts du jacuzzi, Ron, James et Larry se mirent rapidement à flirter avec Linda. Linda discutait timidement avec eux, consciente de se trouver dans une étroite proximité de ces hommes avec presque rien sur le dos. Les trois hommes avaient les yeux rivés sur ses miches. Le haut de son maillot de bain révélé ses nibards pressés l'un contre l'autre, exposant la démarcation blanche de la peau non bronzée du haut de sa gorge.
Ron et James, assis de chaque coté de sa petite personne, pressaient leurs hanches contre les siennes. Linda n'avait suffisamment de place pour esquiver leurs présences envahissantes et comme elle n'offrait aucune résistance, Ron posa sa main sur sa cuisse.
Linda était extrêmement gênée de ce geste, mais la précarité de la situation de son mari l'obligeait à ne pas risquer de mettre en colère Ron en protestant à haute voix contre ce geste par trop intime. Tandis qu'ils conversaient Ron lui caressait nonchalamment sa cuisse nue, cette caresse lascive affolait Linda, mais elle n'osait pas protester. Finalement, comme la main de Ron atteignait sa fourche sexuelle, Linda se leva d'un bond et piqua une tête dans la piscine.
C'était une petite victoire pour Ron, il savait maintenant qu'il pouvait se permettre certaines privautés avec Linda, elle n'oserait pas faire de scène, encore moins créer de scandale.
Glenn et Linda remontèrent dans les étages pour se préparer pour le banquet. Dans le jacuzzi, les trois hommes reprirent leur conversation concernant Linda, elle semblait être chaude mais si traditionaliste.
- Elle fera une entorse à ses beaux principes ce week-end ! Se vanta Ron.
- Ca m'étonnerait fort que ce soit le genre de femme à déroger à ses convictions. Le contra Larry.
- Il faut juste savoir sur quel bouton appuyer pur subjuguer une femme. Poursuivit Ron.
- Vous allez regarder travailler le maître les gars ! Après ce week-end, Linda vous apparaîtra bien différente d'actuellement !
Ron se pressa de retourner dans sa chambre, il faisait maintenant assez noir, il se glissa sur son balcon et jeta un coup d'œil dans la chambre de ses voisins au travers d'une petite déchirure du rideau. Il était arrivé au bon moment pour voir Linda parader dans la chambre en petite culotte et soutien-gorge. Il braqua les yeux sur son ample soutien-gorge blanc qui maintenait ses nichons, sa culotte de coton blanc épousait étroitement la forme de sa chatoune et de son cul tout rond. Elle portait des sous-vêtements particulièrement conventionnels qui correspondaient à son caractère des plus traditionalistes.
Elle s'assit sur son lit pour enfiler des collants, lorsqu'elle se penchait ses nibards débordaient largement de ses bonnets. Elle se releva et glissa ses collants sur sa culotte de coton, tortillant des hanches pour faciliter l'opération.
Ron ne se sentait pas trop frustré de ne pas l'avoir vu nue, il savait pertinemment qu'il en aurait l'occasion d'ici la fin du week-end.
2 ° LE BANQUET
Ron s'était arrangé pour que Linda soit assise à coté de lui pendant le banquet. Ils étaient attablé autour d'une grande table ronde, le dos au mur.
La majorité des femmes qui participaient au banquet, femmes de clients, femmes d'employés d'autres divisions, portaient des robes élégantes et coûteuses, mais Linda, toujours dans son rôle, portait une petite robe de coton fermée par une fermeture éclair dans le dos. Elle était à mi-jarret avec un décolleté au ras du cou, mais elle ne parvenait toutefois pas à dissimuler l'opulence de sa poitrine.
Ron était assis à sa gauche, Glenn à sa droite, Linda détestait ce genre de dîner, elle écoutait les conversations, encore alarmée par les caresses de Ron dans le jacuzzi. Alors qu'il lui parlait, il glissa sa main sous la table et la posa sur une de ses cuisses.
Linda ne pouvait pas se permettre le luxe de le rabrouer sèchement avec son mari à coté d'elle. Elle dut l'autoriser à la caresser au travers de sa jupe et de ses collants.
Le repas et les discours terminés, un orchestre se mit à jouer, les gens commencèrent à danser. Comme à son habitude, Glenn circulait parmi les invités, saluant les clients invités et les chefs de service d'autres sections, de ce fait Linda se retrouvait seule avec Ron.
- Etes vous au courant des problèmes de Glenn au boulot ? Demanda soudain Ron.
- Oui, il m'en a parlé... Répliqua Linda inquiète de le voir aborder ce sujet.
- Si cette histoire venait à être connue de tous, ce serait la fin de la carrière de Glenn ! Il aurait beau dire, beau faire, il serait accusé de détournement de fonds !
Tout en discutant Ron lui pelotait la cuisse, affermissant son emprise, il la caressait en petits gestes circulaires qui se rapprochaient de son entrejambe. Lorsqu'il atteignit sa fourche sexuelle, Linda sursauta et se releva vivement.
- Je vous prie de m'excuser, mais je dois aller me rafraîchir au cabinet de toilette.
- Dansez avec moi ! Lui intima Ron d'une voix autoritaire.
- Oh, non merci, plus tard peut-être !
- Juste une danse !Insista Ron sèchement affichant un masque sévère.
Linda accepta à contrecœur, ayant soudain peur de cet homme qui avait entre ses mains le sort de son mari. Il l'emmena dans un coin éloigné de la piste de danse, un coin obscur de la salle. Dès le début du slow, Ron avait serré étroitement Linda contre lui, il sentait battre son opulente poitrine contre son torse, il lui caressait cyniquement la croupe et poussa sa jambe entre ses cuisses.
- Glenn vous a-t-il dit qui pourrait le sortir de ce gâchis ? L'interrogea-t-il.
- Il m'a dit que vous le pouviez !
- C'est exact ! Je suis le seul à pouvoir le tirer d'affaire. J'aime bien votre mari. Je ne voudrai pas voir sa vie professionnelle ruinée. Mais ce serait prendre un bien grand risque que de le couvrir !
- Je vous serai extrêmement reconnaissante d'intervenir pour le sauver !
- J'espérai bien que vous me diriez cela ! Mais je demande quelques faveurs en compensation...
Affolée Linda lui demanda d'une voix sourde :
- Et... Que... Que devrais-je faire ?
Ron empauma ses fesses avec avidité. Elle sentait ses doigts suivre les courbes de son cul, il avait plaqué ses deux mains sur ses rotondités avenantes et les malaxait lascivement. Linda était abasourdie, mais se tut.
- Tout ce que je te dirai pendant ce week-end ! Je veux que tu sois mienne pendant tout le week-end ! Glenn n'en saura rien ! Et lundi, en retournant au bureau, je trafiquerai les écritures et vos problèmes s'évanouiront.
Linda jeta un coup d'œil circulaire histoire de voir si quelqu'un pouvait voir Ron lui tripoter les fesses. Son dos était tourné vers le kiosque, de ce fait seuls les musiciens pouvaient voir ce qu'il lui faisait. Le fin tissu de sa robe ne prêtait guère de résistance aux privautés qu'il s'octroyait, mais l'épais collant qui lui maintenait les fesses le gênait beaucoup dans ses entreprises.
Ron remonta sa main sous son aisselle, son pouce suivait la bretelle de son soutien-gorge. Il avança sa main la passa dans l'emmanchure de sa robe et empauma rudement son gros nibard bien ferme au travers de son soutien-gorge, il titilla du pouce son mamelon érigé.
Linda se tenait coite alors qu'il lui pelotait le bas du dos et le nichon droit tout en pressant sa bite déployée contre ses cuisses. Son cœur battait la chamade alors que son visage la brûlait. La danse lui semblait avoir duré une éternité lorsqu'en fin le slow se termina et que Ron la ramena à sa chaise.
Comme son époux n'était toujours pas revenu, Linda s'assit avec Ron en bout de table. Ron ne perdit pas de temps pour glisser sa main sous la table, sous sa longue robe. Il lui palpait les cuisses au travers de ses collants, baladant sa main sur la face interne de ses cuisses. Il aimait le contact du nylon gainant ses jambes.
- Etes vous d'accord avec mon marché ? L'interrogea Ron suavement.
Linda bégaya :
- Euh... Ou... Ou... Oui...
Elle jeta un nouveau coup d'œil, vérifiant que personne ne leur prêtait une attention particulière. La main de Ron s'approchait de son entrejambe.
- Ecartez vos cuisses ! Lui commanda-t-il entre ses dents.
Sans un mot, elle s'exécuta misérablement lui livrant un accès aisé à son entrejambe protégé par le fond du collant. Elle se tenait raide sur sa chaise, légèrement penchée en avant alors qu'il lui palpait rudement la chatte au travers du collant. Choquée, bien qu'abritée par la lourde nappe, elle se sentit rougir alors que le patron de son mari lui palpait la chatte pendant ce qui lui sembla durer des heures.
Humiliée bien plus que furieuse, elle réalisait que ces caresses subies à contrecœur commençaient à l'exciter. Et plus elle cherchait à l'ignorer, plus son excitation grandissait, elle respirait avec de plus en plus de peine, et avait bien du mal à s'empêcher de se trémousser sur sa chaise.
Elle comprit qu'elle était sur le point de jouir, elle avait une peur intense d'attirer l'attention sur elle aussi tentait-elle de toutes ses forces de repousser cet orgasme non désiré, mais il était trop tard. Elle avala sa salive et gémit sourdement, elle se tortilla sur sa chaise refermant les cuisses sur la main de Ron et frissonna longuement.
- Mais tu jouis comme une salope ! Commenta Ron hilare.
Humiliée comme jamais, Linda se redressa vivement, se releva et se dirigea rapidement vers les toilettes. Elle trouva les toilettes réservées aux dames en bas du hall dans un recoin du vestiaire de la salle des banquets. Elle s'enferma dans une cabine et se mit à pleurer silencieusement alors qu'elle essayait d'essuyer l'entrejambe de ses collants et de sa petite culotte empesé par sa cyprine.
3° LE LOCAL DU CONCIERGE.
Linda avait assez repris ses esprits pour sortir du cabinet de toilette, elle était déterminée à opposer plus de résistance aux avances de Ron. Peut-être que si elle se montrait plus ferme avec lui, il cesserait ses intolérables privautés, cependant elle avait une telle peur de le courroucer.
Comme elle tournait au coin du couloir désert, elle rentra en collision avec Ron. Il lui saisit la main
Elle voulut protester mais Ron posa son doigt sur ses lèvres et lui murmura :
- Chuuuuuuuuuuutttt...
Il l'entraîna en arrière dans le couloir et ouvrit une porte, ils se trouvaient dans le local du concierge, il la poussa à l'intérieur alluma la lumière et ferma la porte dans son dos. Avant qu'elle eut le temps de dire quoi que ce soit, Ron la repoussa contre la porte et pressa ses lèvres contre les siennes. Il lui roula un patin, visitant sa bouche de la langue et Linda étourdie de tant d'audace entrelaça sa langue autour de la sienne. Il posa sa main droite sur ses nichons et les palpa au travers de son corsage et de son fin soutien-gorge. Ron serrait et pétrissait les grosses mamelles.
Linda entendait des gens parler dans le couloir, elle n'avait qu'une peur, que quelqu'un ouvre la porte. Elle aurait voulu protester, mais elle avait peur de faire le moindre bruit qui révélerait leur présence.
Ron tendit sa main libre dans son cou, et dégrafa sa robe, descendant la fermeture éclair au bas de son dos. Gentiment mais fermement il repoussa sa robe sur ses épaules, ses bras et enfin sur sa taille.
Linda se retrouvait maintenant la poitrine uniquement voilée de son affriolant soutien-gorge. Il abaissa les bretelles de son soutien-nénés, il sortit alors ses gros nibards de leurs bonnets. Il admira rapidement ses grosses mamelles, ses larges aréoles bruns foncés, coiffées de ses longs tétons dardés.
Il reprit ses embrassades tout en la caressant lubriquement. Sa bouche se promena dans son cou puis il s'attarda sur ses mamelons capturant son téton droit entre ses lèvres. Le buste de Linda se soulevait au gré de son souffle alors qu'il mâchouillait son mamelon. Elle entendait clairement les clapotis provenant du léchage de ses tétons, Ron allait rapidement d'un téton à l'autre.
Sa main droite glissa sur la hanche de Linda et trouva l'ourlet de sa robe, il remonta sa main sous sa robe atteignant rapidement son entrecuisses. Il empoigna fermement sa croupe et lui pelota rapidement les fesses.
Il la poussa contre la porte et profita de son déséquilibre pour lui écarter les cuisses en grand palpant ainsi aisément sa chatte au travers de ses collants et de sa petite culotte.
Au prix de quelques efforts, il parvint à glisser sa main dans la ceinture de ses collants, dan sa petite culotte, il entreprit alors d'explorer d'une main avide la fourrure fournie qui cachait sa fentine. Il la parcourait maintenant d'un doigt agile, ils furent tous deux surpris de constater que sa chatte inondée de cyprine.
Linda posa sa main sur ses épaules, elle voulait le repousser mais ses efforts furent vains. C'est alors qu'elle entendit des voix familières résonner de l'autre coté de la porte.
Ron plongea ses deux mains sous sa robe, agrippa les ceintures de ses collants et de sa petite culotte, et les lui tira sous les fesses. Il les tira lentement au bas de ses cuisses, puis au-delà ses genoux, et enfin sur ses chevilles, il agrippa sa cuisse et releva son pied droit pour que les deux sous-vêtements passent l'obstacle, lui permettant de lui ouvrir les cuisses en grand. Collants et petite culotte étaient maintenant tirebouchonnés autour de sa cheville gauche.
Il s'agenouilla, la tête au niveau de son ventre, remonta sa jupe à sa taille, pour la première fois il s'offrait le spectacle de sa chatte dénudée elle était couverte d'un buisson fourni de poils bruns foncés. Lui empoignant à deux mains ses fesses nues, il plongea son visage dans son entrecuisse, et parcourut avidement sa fentine de la pointe de la langue enfonçant sa langue aussi profondément qu'habilement dans sa foufoune soudain embrasée.
Linda s'efforçait de respirer profondément alors que la tête de Ron avait disparu sous sa jupe et qu'il avait entrepris de lui lécher lubriquement la chatte. Elle refoulait de grosses larmes, et cependant écartait ses cuisses en grand s'arc-boutant pour offrir un accès plus aisé à sa langue dont les caresses l'enivraient.
Elle entendait toujours des gens parler dans le couloir, ce qui l'empêchait de protester.
Ron refit surface et se leva, il déboucla sa ceinture, descendit la fermeture éclair de sa braguette et laissa tomber son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Linda ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil curieux sur son pénis, c'était la plus grosse bite qu'elle ait jamais vue, bien plus grosse que celle de Glenn.
Ron lui prit la main droite et la plaça sur son glaive la guidant de bas en haut sur sa hampe. Comme elle le caressait par saccades, elle sentit la grosse mentule se déployer dans sa main. Aussitôt il releva à nouveau sa jupe, pointa sa bite sur sa chatoune, la pénétra vivement et se mit à la ramoner tout de go. Linda se mordit les lèvres alors qu'il glissait en elle, il s'engouffra tout d'abord lentement puis plus vivement dans son utérus accueillant.
Linda se pressa contre la porte, cuisses grandes ouvertes, cherchant surtout à éviter de faire du bruit. Il donna un puisant coup de rein, elle releva sa jambe la posant sur un évier pour lui offrir un angle plus propice.
On n'entendait que le frou-frou soyeux des vêtements et les clapotis de la grosse verge dans sa chatte détrempée. Des gens discutaient toujours de l'autre coté de la porte, à quelques centimètres d'eux à ce qu'il lui semblait.
En dépit de sa peur, de son angoisse Linda sentait un intense orgasme monter dans ses reins, elle respirait irrégulièrement, cherchant surtout à ne pas crier.
Ron était au septième ciel, cela faisait si longtemps qu'il rêvait de baiser cette charmante femme. Il baissa son regard ses nibards dénudés, toujours sortis de leurs bonnets de soutien-gorge, ils se balançaient et secouaient au rythme de ses coups de boutoir. Il adorait la voir afficher un sourire navré, démontrant la faiblesse de sa chair, empoignant ses hanches il la ramona sauvagement.
Soudain Linda reconnut la voix de Glenn dans le couloir, il discutait boutique avec des clients, juste de l'autre coté de la porte de la petite salle où elle se faisait sauter par son patron. Elle cessa littéralement de respirer le temps que sa voix s'éloigne dans le couloir.
Elle perdit soudain tout contrôle de ses sens et le second orgasme de la soirée la terrassa toute, elle se mordait les lèvres pour s'empêcher d'exprimer sa jouissance. Ron donna encore plusieurs puissants coups de boutoir puis éjacula au cœur de son utérus, le remplissant de son foutre brûlant.
Ils haletaient tous deux peinant à reprendre leur souffle, enfin requinqué, il remonta caleçon et pantalon. Il la regarda remettre ses nichons dans leurs bonnets, remettre en place les bretelles de son soutien-gorge et repositionner le corsage de sa robe. Il la fit tourner et remonta sa fermeture éclair dorsale. Puis elle remonta petite culotte et collants sur ses fesses.
Ron sortit le premier, et une fois sur que personne ne venait, il fit signe à Linda de sortir à son tour du petit local.
4° LE COUP DE CANIF DANS LE CONTRAT :
Lorsque que Linda revint des toilettes après s'être nettoyée et avoir repris une attitude naturelle, Ron lui glissa quelques mots :
- Je veux que tu fasses encore une chose pour me faire plaisir ce soir !
- Je ne veux pas que me fassiez de nouveau l'amour !
Ron sourit hilare.
- Ce n'est pas ce que je veux ce soir ! Je veux que tu baises avec ton mari !
Linda le regardait abasourdie.
- Je veux que tu entraînes Glenn dans votre chambre et vous baisiez avec passion !
- Et pourquoi ? Murmura Linda effarée.
- Il y a un trou dans les rideaux des baies donnant sur les balcons, et comme je suis dans la chambre à coté...
Linda comprit enfin :
- Vous voulez nous mater ?
- C'est ça ! C'est pourquoi je veux que tu baises avec ton mari. Je vais te dire ce que tu dois faire. Quelle que soit la façon de t'y prendre, tu dois insister pour que Glenn te saute. Quelque soit son degré de fatigue, tu feras tout ce que tu peux pour le séduire.
Linda le regardait affichant une expression vivement choquée, mais ne dit rien.
- Quelques détails encore que tu devras te rappeler : tu devras te déshabiller face aux rideaux, lumière allumée et lorsque tu seras nue tu ne devras rien cacher de tes charmes !
- Mais... C'est ma vie privée... Je...
Ron la coupa secouant la tête.
- Je veux que tu nous offres un formidable spectacle !
Alors qu'il la quittait la laissant de plus en plus choquée, elle lui jeta un regard égaré, cherchant visiblement à assimiler ses derniers mots, elle s'indigna dans son fort intérieur :
- Nous... Qui sera dehors à me regarder me foutre à poil et baiser avec mon mari ?
La pensée de se donner en spectacle à des pervers, l'humiliait profondément. Elle avait l'intention de fermer les volets et de se mettre au lit dès arrivée dans sa chambre.
Mais, en sentant le foutre de Ron s'écouler de sa petite chatte engorgée, elle comprit qu'elle avait franchi le point de non retour, qu'elle devrait maintenant endurer toutes les humiliations que lui infligerait Ron pour sauver Glenn et son couple du déshonneur.
Elle retrouva Glenn buvant et discutant avec ses collègues James et Larry. Elle ne remarqua pas leurs regards rampant sur ses charmes, la dévorant littéralement des yeux. Elle parvint à persuader Glenn qu'il était temps de remonter dans leur chambre.
A peine entrée dans leur chambre, Linda sut qu'elle devrait travailler son mari au corps pour le séduire tant il paraissait fatigué et éméché.
- Ne te couche pas tout de suite chéri ! Lui susurra-t-elle.
- Je voudrai batifoler un peu !
- Je suis trop fatigué ! Répliqua Glenn en baillant.
- J'en ai follement envie ! Le supplia Linda.
Elle lui roula un patin enfiévré, de la même façon que le patron de son mari l'avait embrassée quelques heures plus tôt. Elle jetait des coups d'œil sur le rideau par dessus son épaule et effectivement elle vit une déchirure dans le coin. Elle distinguait des mouvements lents dans l'obscurité parfois même la lumière réfléchie par le verre d'un de ses admirateurs. Elle savait qu'ils étaient plusieurs à la mater, mais elle devait repousser ces pensées au fin fond de son esprit pour se consacrer uniquement à séduire son mari avant qu'il ne s'écroule sur le lit épuisé de fatigue.
Elle tendit la main et agrippa son entrejambe, sa bite était molle.
- Je suis vraiment crevé... Avança Glenn.
Il se détacha d'elle et se laissa tomber à la renverse sur le lit, qui se trouvait contre le mur opposé au balcon. Linda s'agenouilla sur le lit et dégrafa sa braguette. Elle sortit sa bite molle de son caleçon et se mit à la branler avec conviction.
- Contente-toi de rester étendu sur le dos, je ferai le reste... Annonça Linda les doigts serrés sur la hampe de sa bite.
Elle amplifia le rythme de sa branlette, il durcit enfin entre ses mains.
Sur le balcon, Ron vidait un godet avec Karl le grand patron, ce dernier avait 60 ans, des cheveux gris et portait des lunettes. Lorsque Ron avait bâti son plan pour faire chanter Linda il avait tout de suite décidé de consolider sa place au sein de la société en se servant d'elle. Ron savait que Karl était un grand amateur de chair fraîche et qu'il convoitait Linda, lors d'une réunion postérieure ils avaient eu une grande conversation portant sur ses charmes.
Aussi lorsque Ron informa Karl qu'il avait sauté Linda dans le local du concierge, qu'elle se trouvait dans la chambre adjacente à la sienne, qu'il y avait une déchirure dans les rideaux qui permettraient de la mâter évoluant en petite culotte et soutien-gorge, il n'eut pas grand mal à retenir Karl pour venir vider un dernier godet en sa compagnie.
Ils étaient assis tous deux sur le balcon, et regardaient silencieusement Linda branler son mari. A leurs cotés se trouvaient James et Larry, deux proches collaborateurs de Ron.
Lorsqu'elle vit qu'elle ne parvenait pas à faire bander correctement son mari, Linda sut que faire. Elle se pencha en avant, emboucha la bite en semi-érection et entreprit de la sucer avec habileté. Elle était tentée de tourner le dos vers le balcon, cachant ainsi ce qu'elle faisait, mais elle préféra permettre aux spectateurs assis sur le balcon de la voir aller et venir sur la hampe de son mari, elle était bien consciente que pour la première fois de sa vie, celle taillait une pipe à son homme, en public !
Non seulement son mari se mit à bander dur, mais il tendit la main et se saisit de ses tétons au travers de sa robe.
Ron et Karl voyaient clairement la tête de Linda s'élever et s'abaisser sur la bite dressée de Glenn.
- Allez chérie, fous-toi à poil... Soupira Karl impatient d'assister à son effeuillage.
- Montre-nous tes nichons !
Comme si elle les avait entendus, Linda se releva et face à son mari et au balcon dégrafa la fermeture dorsale de sa robe. Elle rabattit le corsage sur sa taille, dévoilant son affriolant soutien-gorge. Elle réalisa alors qu'un étrange cocktail d'émotions l'agitait : elle était extrêmement humiliée de devoir se foutre à poil devant Ron et ses comparses qui se trouvaient sur le balcon, mais elle se sentait étrangement excitée de devoir se déshabiller pour plusieurs hommes, ce qui ne lui était jamais arrivé bien sûr.
Elle se dépouilla de sa robe et se redressa, se tenant en petite culotte, collants et soutien-gorge elle faisait des efforts démesurés pour ne pas tourner les yeux vers le balcon. Elle glissa ses pouces sous la ceinture de ses collants et de son slip et les descendit doucement, comme elle se penchait, Ron Karl et leurs acolytes virent ses nichons, bien qu'emprisonnés dans leurs bonnets soyeux, leur jaillir au visage, Larry en gémit de concupiscence.
Linda se cambra, et tendit une main dans son dos, elle put ainsi dégrafer la fermeture de son soutien-nénés, elle rabaissa les bretelles sur ses coudes et ôta le soutien gorge. Elle se redressa tout de suite, ses gros nibards bien fermes pointant vers les spectateurs enchantés du spectacle. Ils admiraient tous quatre ses superbes nichons, bien ronds, aussi blancs que pouvaient l'être des nibards de femme, avec la surprenante taille de ses aréoles brunes. Karl susurra à Ron :
- Vous au moins, vous savez choisir vos employés ! Ce sont les plus beaux nichons que j'ai vus depuis bien longtemps...
Ron se réjouissait tout autant du spectacle, il était fier d'avoir impres-ionné son patron.
Linda agrippa sa petite culotte de chaque coté de sa ceinture et la tira lentement vers le bas. Comme elle se penchait pour l'enlever, ses gros nichons se balançaient mollement. Lorsqu'elle se redressa entièrement nue, Ron se réjouit de revoir sa toison broussailleuse, mais à son grand désappointement son boss n'appréciait pas.
- Chérie, j'aimerai que tu disciplines ta fourrure ! Chuchota Karl.
Ron soupira :
- Moi j'aime son buisson fourni !
- Et moi non ! Répliqua sèchement son patron.
- Elle ferait mieux de le tailler ou mieux encore le raser entièrement, j'adore les monts chauves !
Avant même que Linda ne grimpe dans le lit, Glenn intervint :
- Fais-moi cette chose que tu fais avec tes nibards !
- Oh chéri, pas ce soir !
Elle savait parfaitement ce qu'il voulait. Elle lui avait accordé cette faveur en de rares occasions, mais en fait, elle trouvait cela dégradant.
- Allez chérie, juste une minute !
Linda saisit son nichon gauche à deux mains, baissa la tête, allongea le cou et posa la langue sur son téton.
Les spectateurs sur le balcon se prirent d'un intérêt soutenu pour cette scène incongrue, pas un d'entre eux n'avait vu, jusqu'ici de femme lécher ses propres tétons. Ils observaient cette femme si conservatrice enrouler sa langue autour de son mamelon dressé et le sucer lascivement, puis l'autre, puis de nouveau le premier, puis...
Elle grimpa alors dans le lit tout contre Glenn et s'appuya sur un coude, toujours faisant face au balcon. Elle caressa de nouveau la bite de son mari. Elle s'était toujours satisfaite de la taille de la bite de son mari, mais après avoir goûté à celle de Ron ce soir même, elle était navrée de voir qu'elle était bien plus petite.
Glenn tendit la main et empoigna un de ses nichons. Il emboucha langoureusement un de ses tétons dardés, Linda avait peur que Glenn se rende compte qu'elle avait appartenu çà un autre homme cette nuit, mais il était bien trop éméché pour réaliser quoi que ce soit.
La main de Glenn rampa vers la chatoune de sa femme, Elle leva un genou et écarta ses cuisses en grand pour lui faciliter l'accès à ses charmes. Elle craignait qu'il se rende compte que sa chatte était engorgée de foutre lorsqu'il introduisit son majeur dans sa fentine, mais une fois de plus Glenn ne fit aucune remarque.
Linda roula sur le flanc, sachant que des hommes l'observaient en train de branler son mari alors qu'il la doigtait lubriquement. Elle voulait que cette épreuve se termine rapidement, mais en même temps cette situation scandaleuse l'excitait au plus haut point. Glenn triturait son clito comme elle adorait qu'il le fasse.
- Allez, bordel baise-la bien, Susurra James.
Les quatre hommes assis silencieux, la bite érigée regardait la performance sexuelle de la gentille petite ménagère dodue.
Linda dépouilla Glenn de son pantalon et de son caleçon, et l'enfourcha. Elle s'accroupit la minette pointée sur sa bite dressée, et chaloupa des hanches pour se disposer dans l'axe. Elle s'empala sur lui et entreprit immédiatement une sarabande endiablée, s'abaissant et se relevant langoureusement sur sa bite.
Les spectateurs sur le balcon avaient les yeux braqués sur ses langues jambes étreignant les flancs de son mari. Lorsqu'elle se redressait ses gros nichons se balançaient paresseusement.
- Regardez-moi ses gros nichons danser ! Chuchota Karl ravi du spectacle.
Les mains de Glenn rampaient sur les flancs et les cuisses de son épouse, puis il étreignit ses fesses alors qu'il remuait voluptueusement des hanches. Il tendit les mains et attrapa ses nibards qu'il malaxa amoureusement, étirant lubriquement ses mamelons. Linda haletait. Elle baisait avec autant d'ardeur qu'elle le pouvait. Elle était bien consciente de tous ses mouvements, mais elle voulait pas que ses spectateurs pensent d'elles qu'elle n'était qu'une minable amante. Elle se pencha en avant s'appuyant sur les mains, ses gros nichons oscillaient sur le visage de son mari au rythme de ses gestes.
Les spectateurs sur le balcon la regardaient chalouper des fesses alors que ses nichons bringuebalaient dans tous les sens.
Glenn redressa la tête comme il aimait le faire et chopa à pleines dents un des tétons qui dansait devant ses yeux. Sa langue allait d'un mamelon à l'autre alors qu'il pressait ses nibards l'un contre l'autre.
Il tendit la main entre les cuisses de sa femme dénicha son clito qui surplombait sa bite et le tritura lascivement. Cela suffit à faire jouir Linda, elle se mit à girer des hanches serrant les cuisses sur le torse de Glenn secouer de frissons spasmodiques. Ses yeux étaient fermés, son visage crispé, sa tête rejetée en arrière. Il n'était nul besoin qu'on vienne dire à ses mateurs qu'elle jouissait, Larry commenta :
- Ca y'est, elle jouit !
Linda sentit son époux cracher son foutre au fin fond fin de son fourreau d'amour, elle chaloupa encore plus des hanches et hurla son plaisir. Ses admirateurs entendirent ses cris au travers des vitres de la baie.
- Hé bien ! S'esclaffa Glenn.
- Jamais tu ne t'es montrée aussi bruyante auparavant !
Toujours sous l'emprise de son orgasme, Linda pensa aux spectateurs sur le balcon, elle avait joui devant des tiers et était maintenant terriblement honteuse qu'ils aient pu l'admirer sa performance. Elle descendit du lit, offrant à ses voyeurs une dernière vue enchanteresse de son corps dénudé et ferma la lumière. Elle retourna dans le lit dans l'obscurité, et distingua trois ou quatre silhouettes qui se relevaient de leur siège et quittaient le balcon.
A suivre...
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