lundi 23 août 2021

Comment je suis devenu cocu et ma femme soumise Ch. 01

Auteur inconnu.

 Repas au routier.

Cette histoire est le début du pourquoi nous sommes ici.

J'ai toujours eu le fantasme de voir ma femme Sarah coucher avec un autre homme devant moi. Je n'ai jamais su pourquoi. Elle est tellement belle : 25 ans, brune avec un carré à cette période (elle change souvent de couleur et de coiffure), la peau douce, 1m70, de longues jambes bien galbées, un petit cul bombé, un 90C à damner un saint, une bouche pulpeuse et gourmande, des traits fins, et très féminine en plus. On pourrait dire qu’elle est carrément une bombasse.

Lorsque je suis sorti avec elle il y a 6 ans, je lui parlais déjà de ce fantasme lors de nos parties de baise. Oui, je dis bien de baise, car je différencie le fait de baiser et de faire l'amour. Et il m'arrive plus souvent de la baiser que de lui faire l'amour. Il faut dire qu'elle préfère ça (même si comme toutes les femmes elle a besoin de sexe plus "doux" de temps en temps). Toujours est-il qu'elle ne voulait pas en entendre parler au début, me menaçant presque de me quitter si je continuais à la saouler avec cette histoire. Mais quelques années après, cette idée ne m'ayant pas quittée, je réintroduisis ce vœu pendant nos ébats, et je remarquais qu'elle mouillait vraiment quand je lui parlais de ça. Et petit à petit c'est elle qui introduisait le fantasme de « l'inconnu la baisant » mais sans jamais vouloir franchir le pas séparant le fantasme de la réalité. 

Puis un jour j'ai vraiment eu l'envie de franchir le cap du fantasme. J'avais déjà, pendant nos parties de baise, évoqué l'envie de la voir se faire prendre devant moi par un routier bien vicieux dans sa couchette, mais cette idée ne l'enchantait guère, au vu du stéréotype du routier barbu et bedonnant. Mais nous savions par des amis, qu'on mangeait très bien dans certains relais routiers. J'eus donc l'idée de rechercher un relais faisant une formule avec vin à volonté. J'en trouvais un pas mal, mais un peu loin de chez nous. J'allais donc voir mon épouse, lui proposant un week-end en amoureux sans lui parler bien sûr de mes projets. Elle accepta évidemment sans se faire prier. 

Et nous voilà partis pour le week-end. Je lui parle du programme et donc du dîner dans le relais routier en lui disant qu'il m'a été conseillé par un couple d'amis. Elle ne percute pas et me donne son accord. Je commence déjà à avoir des pensées cochonnes. La journée du samedi se passe, nous flânons dans les boutiques de la ville, elle trouve un petit haut "top-jupette" rose très près du corps et sans bretelle à mettre avec un jean ou un leggins car un peu court seul. Nous rentrons pour nous préparer pour le dîner. Elle essaye son haut devant moi juste en string, et je tente de la convaincre de sortir comme ça juste avec des talons. Elle fait un essai et je fais tout pour la persuader qu’elle est trop sexy comme ça.

- Mais bien sûr ! Comme ça tout le monde verra mon cul quand je me pencherai en avant. Je ne suis pas une pute tu sais. Me dit-elle.

Et elle enfile un leggins noir qu'elle associe avec des talons à lanières. Elle se rend compte alors qu'elle a oublié son soutien-gorge sans bretelle.

- Mince j’ai oublié mon soutif. On voit mes seins sans rien ? Me demande-t-elle.

- Non ! Lui réponds-je.

- T'es sûr ? dit-elle pas convaincue.

- Un petit peu, mais c'est sexy !

Après une hésitation de 10 minutes elle se décide quand même à rester ainsi pour mon plus grand bonheur. C’est vrai que le haut est un peu transparent par moment, selon la lumière. Elle se maquille : fard à paupières, mascara, blush et rouge à lèvres rose.

Maquillée, coiffée et habillée comme ça, elle me fait déjà bander. Et la voir marcher devant moi ne fait qu’empirer la situation. La soirée s’annonce bien.

Lorsque nous arrivons au relais, il est 22H00 et il commence à faire nuit. Il faut dire que nous nous sommes arrêtés dans un bar sympa pour prendre l'apéro en terrasse. Ma femme a eu droit à des regards appuyés par les hommes nous entourant durant tout le temps que nous avons passé dans ce café. J’adore voir les gens la dévorer des yeux

Je décide de garer ma voiture sur le parking réservé aux poids lourds, ce qui entraîne la désapprobation de ma chérie :

- Tu n'as rien à faire là, c'est réservé aux camions ! On va avoir des problèmes.

Je ne l'écoute pas et nous descendons de voiture. Des rideaux sont déjà tirés sur certains pare-brises de camions, ce qui signifie que leurs propriétaires dorment sûrement. Le restaurant est à 100 mètres, et encore une fois j'essuie les reproches de mon épouse.

- Tu aurais pu te garer devant, au lieu de te mettre sur le parking POIDS LOURDS, ça m'aurait évité de marcher.

- On est arrivé ma chérie. Lui réponds-je.

Je peux une nouvelle fois admirer son petit cul moulé dans sa tenue.

Nous entrons, l'intérieur est propre, mais quasiment désert.

- Bonsoir jeunes gens ! Installez-vous j'arrive ! Nous lance le patron avant de disparaître dans la cuisine.

Nous nous asseyons à une table de trois places contre le mur, l'un en face de l'autre.
 
- Sympa ton resto ! Me lance ironiquement mon épouse en voyant celui-ci presque vide.

Je regarde autour de moi, nous ne sommes que cinq. Deux hommes à une table, la cinquantaine, moches, surtout l'un d'entre eux, qui m'a l'air bedonnant, mais ils semblent bâtis comme des armoires à glaces. Ils regardent dans notre direction, enfin dans celle de ma femme, et le plus gros me fait un signe de la tête. Je lui réponds timidement. Un autre est seul, dos à nous et dîne tranquillement. Il s'en va d'ailleurs peu de temps après notre arrivée en saluant les deux autres, ce qui me laisse penser qu'ils sont tous les trois camionneurs. Vu la tronche des mecs, mon plan s'annonce très mal.

- On va bien manger ! Dis-je à mon épouse.

Pour seule réponse, j'ai droit à un haussement d'épaules. Le patron revient avec les cartes, très souriant et sympa. Nous choisissons la formule avec vin rosé à volonté. Je me fais déjà à l'idée de dîner et rentrer. Nous vidons deux pichets et demi de rosé, mangeons très bien, rigolons beaucoup. C'est juste un peu long, car le patron est souvent dans sa cuisine. Ma femme est déjà un peu pompette avec tous ces verres que nous avons bus en l'attendant, et balbutie déjà sur des phrases. Nous nous apprêtons à régler la note et partir, lorsqu'on voit le patron ressortir de sa cuisine avec deux verres.

- Tenez jeunes gens ! Prune maison ! Dit-il avec la même voix enjouée.

Nous nous regardons avec ma chérie.

- Merci ! Lui dis-je.

- Oh, mais ce n’est pas moi ! C'est le monsieur là-bas ! Répond-il en me montrant du doigt le gars qui m'avait salué.

Nous le remercions avec ma femme, ce à quoi il lève son verre en la regardant dans les yeux. Celle-ci me glisse tout bas ou du moins essaie de me glisser :

- Je ne peux pas le boire, je suis bourrée.

Je lui réponds :

- Bois-le sinon il va mal le prendre !

Et pan ! D'une traite elle le boit en grimaçant. Je fais de même et regarde la tête de ma femme. Elle n'est vraiment pas en forme. Nous payons le patron qui file à nouveau dans sa cuisine, et nous sommes prêts à partir. 

- Je vais aux toilettes ! Me dit-elle.

Elle se lève, et la voyant tituber un peu, je me lève à mon tour et l'accompagne dans le couloir. Elle rentre dans les toilettes dames. Je regarde en direction de la salle, le gros n'en a pas perdu une miette visiblement. Je vais pisser aussi, je ressors, pas de trace de mon épouse. Je pousse la porte des toilettes, entre, avance un peu, ma femme est assise sur la cuvette des toilettes, la porte grande ouverte, le leggins et le string en bas des chevilles, la tête contre le mur du fond, les yeux fermés.

- Ma chérie, ça va ?

Elle ne répond pas. Je lui repose la question, elle balbutie :

- C'est pas la forme.

Et là en une seconde une idée perverse me traverse l'esprit. Je m'approche d'elle, m'accroupis et lui enlève son leggins. Je pense que c’est à ce moment que mon esprit a dévié et que je ne pouvais plus faire marche arrière. Elle me demande ce que je fais, les yeux à moitié fermés, ce à quoi je lui réponds qu'elle aura moins chaud comme ça. Je la lève des toilettes, tire un peu sur son haut. C'est vrai qu'il est court, il cache juste le bas de son cul. Elle est magnifique comme ça, perchée sur des talons hauts, ses longues jambes bronzées, son petit haut qui ne cache presque rien de son anatomie si parfaite.

Nous sortons des toilettes. J'espère juste que le patron sera encore et toujours dans sa cuisine. C'est le cas. Ma femme titube un peu, je lui propose de s'asseoir un peu avant de partir et nous nous posons à notre table. Je l'aide à s'asseoir, elle croise les jambes, on voit presque son cul. Je m'assieds et regarde en direction des deux camionneurs. Le gros est bouche bée. Il dit un mot à son pote qui regarde dans la direction de ma femme et sourit. Ce dernier lui répond un truc à son tour et reprend la dégustation de son dessert. Le gros ne peut plus détacher son regard des jambes de ma femme et a même sa main sur sa braguette. Sarah le voit et balbutie :

- Quel gros porc !

Il croise mon regard, pas gêné, se lève, vient vers nous, et sans rien demander s'assied entre ma femme et moi et engage la conversation :

- Alors les tourtereaux, elle était bonne ma prune ? Lance-t-il dans ma direction tout en matant ma chérie.

- Oui, mais elle nous a achevé, surtout ma femme. Elle est bourrée et a très chaud !

Je le vois sourire. Et de me demander si on vient souvent dans le coin, d'où on vient, un tas de banalités, alors que je vois son bras droit qui bouge, me laissant à penser qu'il est en train de caresser les cuisses de ma femme qui ne réagit que par à-coups maladroits en le repoussant timidement. Je fais le mec bourré et je lui dis que nous allons rentrer. Le mec, pas démonté, nous lance :

- Je vous raccompagne !

Et il se lève. J'aide ma femme à se relever, tandis que le gros lance à son pote :

- Salut Gilbert, bonne nuit, je raccompagne les jeunes à leur voiture. Ne te branle pas trop ce soir ! 

Nous sortons. Ma femme me glisse :

- On rentre ?

Je lui réponds :

- Oui, oui ma chérie !

Le gros me demande où nous sommes garés, je lui réponds que nous sommes sur le parking poids lourds. Et là la phrase que j'attendais et que je n'espérais plus fuse :

- Ah bon, vous êtes sur mon parking ? Dit-il comme s’il lui appartenait.

Puis il ajoute :

- Venez je vais vous faire visiter mon camion.

Je lui réponds que je ne suis pas sûr, que nous sommes bourrés et fatigués. Il insiste en me disant que ce sera juste un petit coup d'œil. J’hésite encore et il devient presque menaçant. Nous arrivons à son camion qui n'est pas loin de ma voiture. Un gros camion. Le type me dit qu'il est transporteur indépendant, me parle de son bébé (son camion bien sûr), et nous montons à bord. Il fait monter ma femme en premier et mate son cul sans gêne. C’est comme si je n’existais plus. Il faut dire que la vue sur son string noir est plus que belle. Il me semble qu’il va jusqu’à lui mettre une main au cul. Je suis à la fois choqué et terriblement excité.

La cabine est immense. A mon regard le mec est tout fier. Et surtout de la partie couchette. Un grand lit surélevé, un frigo, une douche, la grande classe quoi. Ou presque ! Quelques posters de nanas à poils ou en petites tenues sont affichés sur un pan de cloison. Il voit que je les regarde et me lance en rigolant un :

- Ça ce sont mes petites chéries. Elles sont toutes passées dans mon lit.

Il nous propose une boisson fraîche en nous disant qu'elle nous fera du bien. Il ferme les rideaux qui séparent la couchette du pilotage en balançant :

- Voilà on est tranquille là !

Nous nous asseyons sur le lit. Ma femme à encore le réflexe de tirer un peu sur son haut, mais toujours maladroitement, ce qui couvre juste le haut de ses cuisses. Bourrée elle n'a même pas percutée qu'elle n'avait plus de leggins. Le gros s'installe vers nous. Nous buvons, discutons, mais pas ma femme qui cuve un peu. Il reluque ses cuisses et ses seins, qui de ma position et de la sienne sont presque visibles entièrement par transparence due à la lumière. Je fais alors semblant de ne pas être bien, et je lui dis qu'on va partir. Il me rétorque alors que je ferais bien de dormir un peu, car ce n'est pas prudent de prendre le volant dans mon état. Il ajoute qu'on peut dormir dans sa couchette une heure ou deux si on le veut, et que lui dormira dans le poste de pilotage. Je lui réponds que je préfère aller somnoler dans ma voiture, mais que je veux bien que ma femme dorme un peu sur un lit plus confortable. Je ne sais pas pourquoi je dis ça, je la jette en plein dans la gueule du loup. Sarah ne réagit pas trop sur le coup, puis me bafouille un :

- On rentre mon amour ?

Je lui réplique alors qu'elle va se reposer un peu là, et que je ne suis pas loin, que je viens la chercher dans peu de temps. Je dis au gros que je vais à ma voiture et qu'il vienne me réveiller dans une heure. D'un ton tout mielleux il m'assure que ce sera fait, et sort une couverture pour ma femme. Ma femme me demande un bisou, me redemande de venir la chercher vite. Michel le camionneur rigole et dit :

- Ne t’inquiète pas je ne vais pas te faire de mal.

Je fais deux pas, tire le rideau, regarde le gros qui fait mine de déplier la couverture, mon épouse me regarde tristement, les yeux embués par l'alcool. J'hésite presque à tout arrêter et partir avec elle, je dis au gros que je claque la porte. Celui-ci me répond :

- Pas de soucis je la bloquerai en me couchant !

Finalement je referme le rideau, me glisse vers la porte passager, et fait mine à mon tour de partir, l'ouvrant et la claquant quelques secondes après. Je ne bouge pas pendant quelques instants tout en craignant que le gros ne surgisse de la couchette. J'ai le sang qui bouillonne au niveau de mon visage, les jambes qui flagellent un peu. J'attends. Rien. Je me rapproche de l'ouverture des rideaux, et les écartent un peu...

A suivre…

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