dimanche 17 octobre 2021

Isabelle Ch. 10

 Texte de Aldo37.

 *****

Soirée au restaurant et à l'hôtel avec Michel.

Isabelle monta dans la voiture de Michel. Le véhicule démarra sous les yeux de Marc, qui avait du mal à avaler sa salive Sa femme partait avec cet inconnu, et allait passer la nuit avec lui. Il n’eût pas le temps de réfléchir beaucoup. Jean-Paul arriva, et lui demanda de venir le voir.

— Eh bien ! J’attends ! Tu as le papier des tes congés ?

Marc fouilla dans sa poche, et tendit le papier signé de son chef de service.

— Très bien ! Tu es donc libre la semaine prochaine, c’est parfait. J’ai eu ton Maître au téléphone cet après-midi, tout est prêt pour ton séjour. Tu vas voir, cela va te changer radicalement. Tu peux rentrer chez toi ! Pense à ta femme qui va prendre de la queue toute la nuit !! Tu verras, tu vas être jaloux, mais tu finiras bien par te branler en pensant à eux.

Marc, attristé, rentra chez lui. Pendant ce temps, Michel se garait devant le grand hôtel-restaurant.

— Un 4 étoiles, monsieur Serge ne s’est pas moqué de nous, n’est ce pas, ma caille ?

Il lui caressa distraitement la cuisse, s’insinuant sous la robe.

— Tu as mis un truc transparent, c’est bien ! J’aime ça. Et puis au restaurant, les clients verront ta lingerie, c’est super.

Il ferma la voiture, puis ils entrèrent dans le restaurant chic, où le serveur les plaça. L’apéritif, un cocktail, fût servi. Michel regardait Isabelle, regardait le décolleté.

— Tu sais, Isabelle, tu m’excites Je t’en mettrais bien un coup avant le repas.

— Oh non attendez, Michel, nous aurons tout le temps ce soir.

Isabelle gagnait du temps Elle savait que Michel était obsédé, et n’attendait qu’une chose : jouir de son corps.

— Si tu ne veux pas monter dans la chambre tout de suite, on peut se retrouver aux toilettes, tu me feras une petite pipe. Ca va vite, et ça me fera du bien.

— Michel ! Je vous ai dit : gardez vos forces pour ce soir. Et puis sachez attendre un peu.

— Bon d’accord ça sera dur, mais je vais attendre un peu. Mais pour le repas, tire un peu sur les bretelles de ta robe, que je puisse mieux voir ta poitrine.

Isabelle tira légèrement sur ses bretelles, dévoilant un peu plus ses charmes.

— Allez ! encore un peu j’ai envie d’en profiter.

Elle tira encore sur les bretelles, la dentelle apparût.

— Je ne peux pas plus Michel !

— Bon ! Ca ira comme ça. j’ai de quoi me rincer l’œil !

Le repas débuta. Foie gras et langoustines, confit de canard aux morilles, fromages affinés. Le serveur vînt prendre la commande des desserts. Michel prît un soufflé aux framboises et nougatine, le serveur posa la question à Isabelle :

— Et pour madame ?

Michel prit la parole :

— Nous avons retenu une chambre chez vous, et nous passons la nuit ensemble. Alors, pour madame, je pense que la banane flambée s’impose !! Ca lui donnera des idées !!

Michel se mit à rire. Le garçon enregistra la commande, tandis que les autres convives regardaient Michel et Isabelle. Les desserts arrivèrent. Le garçon servit Isabelle, Michel s’esclaffa :

— Eh bien voilà, madame adore ce qui est gros, long et dur n’est-ce pas, ma petite cochonne ?

Isabelle rougit. Michel, tandis que le garçon le servait, ajouta :

— En plus, elle rougit comme une première communiante.

Une fois le dessert terminé, Michel commanda deux cafés.

— Dépêche toi de terminer, je commence à ne plus en pouvoir.

— Oh, Michel, nous avons cinq minutes.

— Non, il faut que tu comprennes que j’ai une furieuse envie de tirer un coup ! Alors dépêche-toi de finir ton café, et on monte dans la chambre.

Il se passa quelques minutes.

— BON ! cette fois-ci, on y va ! Tu finiras ton café une autre fois, on monte s’amuser !

Ils sortirent, pour gagner le hall de l’hôtel, où le réceptionniste leur donna la chambre 458.

— 4ème étage à droite, bonne nuit messieurs-dame !

Michel commanda le petit-déjeuner en chambre, à 7 H 30. L’ascenseur les conduit vite à destination. La chambre était belle, spacieuse, meublée avec goût : canapé, minibar, télévision, et une chambre attenante avec un grand lit. A peine arrivés, Michel saisit Isabelle par les épaules, et, dans son dos, commença à l’embrasser dans le cou.

— Vite déshabille-toi montre moi tes charmes. VITE, Bon Dieu. A POIL !!

Le ton n’admettait aucune contestation. Isabelle dégrafa sa robe dans le dos, la fit glisser, et apparût en sous-vêtements.

— HUMMM...

Encore une fois, il l’embrassa dans le cou, sur le dos, et, prestement, dégrafa le soutien-gorge.

— Enlève-moi ça dépêche-toi !

Isabelle obéit, le soutien-gorge atterrit sur le canapé. Michel empoigna les seins à pleines mains et se mit à les peloter, tout en continuant à l’embrasser dans le cou.

— Humm humm.

Sa main descendit vers le ventre, et s’insinua dans la culotte. Il caressa la toison et commença une lente masturbation.

— Ahh ! 

— Oui tu vois que tu aimes.  Allez ! vire le slip, et vas t’allonger sur le lit .je te rejoins tout de suite.

Isabelle fît glisser une jambe puis l’autre, et enleva son slip. Elle se retrouvait maintenant nue, n’ayant plus que ses hauts talons. Elle obéit et alla s’allonger sur le lit. Pendant ce temps, Michel s’était mis nu lui aussi, et arriva dans l’entrebâillement de la porte, la queue collée au ventre. Il mit une poignée de préservatifs sur la table de nuit, et rejoignit Isabelle.

— Je vais te bouffer la moule !

Joignant le geste à la parole, il la rejoignit sur le lit, lui embrassa le ventre, descendit jusqu’à la toison et commença le cunnilingus.

— AHH !

— Humm, tu aimes ça, hein, chienne... Tu aimes qu’on te bouffe la moule. tu commences à mouiller.

Pendant 10 minutes, la langue avide fouilla le sexe de la jeune femme, la pénétrant, titillant son clitoris.

— Ahhh humm..AHH !

Isabelle se tordait sous les coups de langue, pour le plus grand plaisir de Michel. Tout à coup, il se releva, enleva les escarpins, et s’allongea aux côtés d’Isabelle, non sans lui avoir tété les seins.

— A toi de me donner du plaisir maintenant, SUCE-MOI !

Isabelle se leva, plongea vers le sexe dressé, et entreprit la fellation.

— Humm oui oui SUCE BIEN. Oui comme ça, bien avec ta langue oui.

Isabelle avait le sexe en bouche. Elle donnait de savants coups de langue, l’engloutissait, le ressortait, léchait la verge.

— Ah salope, tu suces bien ! continues oui comme ça OUIIIII !

N’en pouvant plus, Michel se leva :

— Ca suffit comme ça ! Je vais te prendre.

Il enfila prestement un préservatif, et d’un coup de genoux, écarta les jambes d’Isabelle. Il prit sa queue à la main, la dirigea vers la chatte offerte.

— Allez ! pour commencer, on va faire ça à la papa-maman !

Isabelle fût pénétrée.

— AHH !

Il commença immédiatement un furieux va-et-vient.

— AHH. ahhhh ! doucement doucement.

Il limait furieusement.

— Tiens, salope. Prends bien ma queue, prends la bien :

Le lit grinçait en cadence du coït.

— Ah, tu l’aimes ma bite, hein ? Tu la sens bien, je te la mets bien dans la chatte, je te remplis, salope !

Isabelle gémissait, la bite lui arrachait des râles.

— ohhh AHH. ohh.

Tout à coup, il se retira.

— A 4 pattes ! je veux te fourrer en levrette, dépêche toi !

Isabelle se mit en position.

— TIENS ! Prends ma bite  ! Tiens salope, prends-la à fond !

Michel limait en cadence, cramponnant Isabelle aux hanches, lui pelotant les seins qui balançaient. Isabelle ne pût se retenir. Au bout d’un moment, la nature fit son œuvre.

— AHHH ! oui oui OUIIIII ! c’est bon ! Continue ! Encore ! Mets moi la bien ! Oui comme ça ! baise moi bien ! Continue !

Michel, fier de sa prestation, limait encore plus fort, claquant son bas-ventre sur les fesses de la jeune femme.

— Tu l’aimes, hein, ma queue ? Elle te fait du bien ! Eh bien prend la ! Tiens ! TIENS !

— Ah oh salaud ! Oui tu vas me faire jouir ! Continue  ! OUI ! OUI ! OUIIIIIII ! JE JOUIS... JE JOUIS !!!

Isabelle criait maintenant, pendant que Michel accélérait encore le rythme. Tout à coup, après qu’Isabelle eût joui, il se retira, et, très rapidement, passa ses doigts sur la chatte trempée pour en recueillir la mouille, et les passa sur l’anus. Pour compléter cela, il cracha deux fois sur la rondelle, et la massa légèrement.

— NON PAS CA ! je vous en prie NON !! Michel NON JE VOUS EN PRIE !

Michel n’écouta pas les supplications. Le gland se présenta bientôt devant le petit trou, qu’il força immédiatement.

— AHHH AIE ! AIE  ! Doucement, faites doucement, je vous en prie ! Aie !  doucement !

Michel pénétrait l’anus qui était maintenant dilaté. La verge était entrée à moitié. Cramponnant Isabelle aux hanches, il donna un grand coup de reins.

— Ahhhhhh !!!! AIE ! NON !

Michel n’avait que faire des supplications. La verge était maintenant entrée toute entière dans le cul de la jeune femme, et son baiseur s’en donnait à cour joie, il allait et venait dans l’anus dilaté.

— Tiens, prends la bien dans le cul, salope ! Tu aimes ça, hein te faire défoncer le cul comme une pute ! Eh bien, tu aimes, alors prends en, fais toi bien ENCULER !

Isabelle était au bord de l’évanouissement, elle ne pouvait même plus crier, elle supportait la sodomie, à moitié affalée sur le lit.

— Si ton mari te voyait, petite salope, en train de te faire tringler à l’hôtel, comme une putain. En train d’en prendre plein le cul ! De jouir d’une bite plantée dans ton cul ! Dis le que tu aimes ça ! Dis le, ou je t’explose le cul. DIS-LE !!!

Isabelle dût obéir. Elle savait que Michel lui ferait mal.

— Oui j’aime ça ! Je suis une salope et j’aime ça !

— Sois plus hard cochonne, sois plus crue !

— Oui, j’aime la bite ! J’aime me faire baiser comme une catin  ! J’aime les grosses bites dans ma chatte et mon cul ! Baise moi, fait moi mal, casse moi le cul !

— Voilà, salope, tu vois que tu es douée, quand tu veux !

Au bout d’un moment, et après avoir encore fait hurler Isabelle, il se retira. La queue était souillée.

— Tu me l’as faite au chocolat. Tu mériterais que je te fasse sucer. Tu iras bien te laver le cul, tout à l’heure, que je puisse t’enculer un peu plus proprement cette nuit. En attendant, vas te mettre à genoux sur la moquette ! Je vais te finir comme le patron ce matin !

A suivre...

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