Auteur inconnu.
Un gros camionneur black arrive.
Le black n’est pas spécialement gros mais plutôt très grand, c’est assez impressionnant. Il porte un débardeur blanc crado et un jean. Il a les tempes grisonnantes.
- Tu fais chier Michel j’arrive pas à dor….
Il n’arrive pas à finir sa phrase quand il voit Sarah et le gros. Ce dernier tourne la tête mais continue de limer ma femme à un bon rythme.
- Tu l’as trouvé où celle là ? tu fais plus partager les copains ?
- Chut ! Son cocu de mari dort dans la caisse. C’est une longue histoire mais je vais devoir la laisser. Ils sont venus manger chez Patrick et ils ont un peu trop picolé. Monsieur est allé se coucher juste là. Du coup tu me connais je me suis occupé de dresser cette petite chienne en chaleur. Il pense qu’elle dort pour cuver. J’ai promis de la ramener rapidement.
-Alors là c’est mort, je vais pas laisser passer un morceau comme ça !
Il attrape ma femme et je la vois chanceler sur ses talons la robe retroussée et les seins à l’air. Merde, elle ne va quand même pas se laisser faire. Et moi il faut que je réagisse.
Le black se colle à elle et caresse son cul.
- Tu es une bien belle salope, ta soirée tu vas t’en rappeler. Tu veux que ça continue ?
Pas de réponse, ouf je suis sauvé elle revient à la raison. Pas de réponse, le silence est assourdissant. Enfin le calvaire prend fin ils n’auront pas ma chérie comme ça. C’était bien qu’une passade, elle était sous son emprise mais là c’est fini. Je suis tellement soulagé mais un morceau de moi est un peu déçu que la pression retombe. Je fais comme si je dormais pour qu’ils ne se rendent compte de rien. Allez, c’est la fin, laissez là vous ne l’aurez plus. Je me vois déjà ramener ma douce tranquillement. Je fais celui qui dors et prépare mon réveil. Je suis déjà sur le chemin du retour.
Jusqu’à ce que Michel lui mette une claque sur le sein.
- Tu réponds à Franck ma chienne !
Comme un déclic elle hoche la tête doucement. Elle est totalement à la merci de ce gros porc qui a la queue à l’air. Je crois halluciner, je ne reconnais plus ma femme. Son regard n’est plus du tout embrumé par l’alcool, il est celui d’une chatte en chaleur. Le pire c’est que je recommence à bander inconsciemment.
Le black passe sa main entre ses jambes, je le vois rentrer deux doigts dans sa chatte et la branler avec vigueur. Comment peut-elle avoir encore envie. Je suis totalement KO pour ma part. Elle écarte les jambes, des « flocs flocs » sonores résonnent dans la nuit, seulement interrompus par les gémissements de ma douce devenue salope et des commentaires grivois de ses amants d’un soir. Michel lui demande de les branler. Elle prend son gros sexe dans sa petite main toute manucurée et commence à sortir celle de Franck. Je ne vois pas l’engin mais je sens un moment de flottement chez Sarah. Les deux salauds rigolent, je bouge un peu et j’aperçois le membre du black. Comment dire… il fait honneur à la réputation. Elle est longue comme celle du gros mais surtout elle est très épaisse très droite et pas encore au maximum. Sarah le branlote doucement, le contraste est saisissant entre sa peau blanche et le sexe noir. Son gland est noir lui aussi, on dirait un champignon.
Michel rentre trois doigts dans l’anus de Sarah qui se cambre. Prise des deux côtés elle gémit plus belle. Les deux sexes commencent à être bien dressés c’est assez impressionnant même pour moi qui suis bien gâté par la nature. Le black lui ordonne de se mettre à genoux, il y a un blanc puis une claque sonore et elle s’exécute. La situation devient obscène, Franck se branle entre les seins de ma femme qui crache sur son sexe noir qui bute sur ses lèvres à chaque aller-retour. En même temps Michel tapote son membre sur le visage de Sarah.
- On va te ravager ma salope. Michel, je ne sais pas ce que tu lui as fait mais elle est accro on va se régaler.
- Tu sais que c’est ma spécialité de dénicher les putes.
- Tu me fais trop bander salope, suce-moi !
Il enfonce alors son membre dans la bouche de ma femme qui manque de s’étouffer. Le gros se masturbe contre son visage et lui ordonne :
- C’est ça, suce bien comme je t’ai appris. Dis que tu es un trou à bites… Dis le !
Mon épouse essaie de répondre mais ils la rabrouent en lui disant qu’on parle pas la bouche pleine. Et pour le coup sa bouche est bien pleine.
- Putain c’est du velours sa bouche.
- Y’a pas que sa bouche qu’y est comme ça !
- Arrête Michel ! Tu sais que je ne vais pas pouvoir me retenir de tout essayer.
- Tu crois que j’ai fait quoi moi ?
Ils parlent comme si elle n’existait pas. Pour eux, c’est juste un objet pour leurs fantasmes. En même temps elle ne leur donne pas tort. Elle passe d’un membre à l’autre en y mettant tout son cœur. Ses joues sont creusées et sa mâchoire déformée. Elle réussit à prendre toute la queue du gros alors que normalement elle déteste que j’essaie de lui faire faire une gorge profonde. J’ai une gaule du tonnerre quand je vois cette grosse bite luisante sortir de sa bouche.
- Mais ça craint ici, on devrait aller chez Patrick, on sera au calme.
- Ouais, si tu as peur on peut faire ça.
Ils relèvent ma femme et la font marcher le cul et les seins à l’air en direction du relais. Je vois la main de Franck bouger sur le cul de ma femme. L’enfoiré il doit lui doigter le cul, ils n’en ont jamais assez. Apparemment non, car Franck prend ma femme, l’assoie dos au pare choc de son camion qui est sur le chemin, et lui baise la bouche quelques instants. J’entends de mon poste d’espionnage tous les bruits et commentaires désobligeants. Le pire ? c’est que ma femme se masturbe en même temps. Je ne la reconnais absolument plus. Cette femme bien sous tous rapport dans les bras de ces routiers répugnants. Elle est pleine de sueur, de salive, son maquillage a coulé et ses cheveux sont ébouriffés. Elle essaie juste de refaire un peu d’ordre dans sa tenue alors que les deux lascars sonnent et que la porte s’ouvre.
Ils s’engouffrent dans le relais. Je ne peux pas sortir tout de suite mais je ne veux pas laisser Sarah sans surveillance (comme si elle avait encore besoin de moi). Je finis par sortir et me dirige vers la porte. Par chance aucun autre camion n’est allumé. Le relais est verrouillé et les rideaux tirés. J’entends juste des rires à l’intérieur. Que dois-je faire ? Retourner à la voiture faire comme si je ne savais rien ? Ma curiosité est trop forte je veux savoir. Je fais le tour du bâtiment. Une fenêtre discrète est ouverte, j’ai une vue imprenable sur toute la salle. Là c’est un nouveau choc, j’aurais peut-être dû rester dans la voiture.
Les chaises et les tables sont rangées, la salle est vide. Il n’y a que 4 personnes, le patron, le gros, le black et bien sûr Sarah. Ils sont tous les trois autour d’elle qui a les mains liées dans son dos. Un sein est sorti de sa robe qui a des taches blanchâtres un peu partout. Je les entends parler.
- Putain les gars, je pense que c’est la plus belle salope qu’on ait eue depuis longtemps.
- Roger en a ramené une pas mal quand même, en plus elle encaissait bien.
- La blondinette de 20 ans ? Elle était trop bonne ! On l’a ravagé ! Mais toi ma salope t’es encore meilleure et tu en veux de la bite.
Ma femme a les yeux mi-clos et ne répond pas. Elle se contente de se trémousser sous les caresses. Les trois continuent leur discussion sur comment ils vont la baiser (le terme est bien léger par rapport à ce qu’ils disent) comme si elle n’était pas là. Je ne comprends pas comment ma femme peut rester là, ne rien dire alors qu’ils la traitent comme une pute de bas niveau. Le pire dans tout ça ? Elle semble prendre du plaisir car elle ouvre ses yeux par moment avec un regard plus que chaud qui se perd dans les yeux d’un de ses amants (souvent avec le gros…). Elle va jusqu’à se passer sa langue sur ses lèvres pulpeuse. Une vraie chaudière.
- Oui t’es belle ma pupute !
Le gros lui attrape le visage et le lui lèche comme un chien. Elle cherche sa langue et lui roule une énorme pelle baveuse. De la bave coule sur son menton et vient un peu plus tacher sa robe.
- Tu veux des grosses queues… hein ma petite chienne ? Demande le gros.
Sa seule réponse est de frotter son petit cul bien moulé dans sa robe contre l’énorme bosse qui s’est formée dans le jean du black. A force de se tortiller comme une anguille, sa jupe remonte et laisse maintenant apparaitre une grande partie de ses fesses et sa chatte. Cette dernière est luisante de mouille. Je ne l’ai jamais vu comme ça.
- Putain elle est trempée cette salope !
Le gérant vient de rentrer trois doigts dans la minette de ma femme. Cela a pour conséquence de la faire gémir de plus belle. Il prend sa jambe droite et la pose sur son épaule. La chatte de Sarah est totalement ouverte. Il la branle très vite maintenant. Elle a du mal à tenir sur ses talons.« Non ce n’est pas vrai ! Elle ne va pas jouir comme ça !» Je suis atterré de voir ce qu’il se passe. Elle jouit dans un râle roque. Elle vient de jouir juste avec les trois doigts de ce porc qui sent la friture.
- Tu en veux plus ? Hein ma salope ? Glousse le gros.
Il lui tient le visage par la gorge et lui met des petites claques. Elle hoche délicatement la tête.
- J’ai pas entendu… dis le !!!
- Oui… je le veux… Miaule ma douce.
Elle est si jolie et désirable entre ces trois gros porcs. Ils sont tout ce qu’elle déteste, gras, pas très soignés, vulgaires. Mais elle est la, les fesses collées à la braguette d’un gros black, les yeux dans ceux du gros et avec trois doigts dans sa petite chatte qui ne doit plus être si serrée que ça.
- AHHHH… Voilà ce qu’on aime entendre !!!! Michel à toi l’honneur, c’est ta petite. S’esclaffe le black.
Il la retourne d’un coup et la courbe bien. En moins de temps qu’il faut pour le dire elle se retrouve avec la tête au niveau de la braguette du black et le cul vers le gros. Ce dernier lui baisse le string maculé de sécrétions au niveau des genoux. Le gérant défait les mains de ma chérie pour qu’elle puisse sortir la matraque du black. Elle descend le jean puis doucement le boxer de ce dernier. La tige tendue lui saute au visage et la surprend. Les deux compères rigolent grassement. Le gros, lui, n’a pas perdu de temps et enfourne déjà ma chérie. Juste le gland au début. Elle commence à couiner et d’un coup il s’enfonce jusqu’à la garde. Elle pousse un petit cri et le black lui présente sa queue énorme et bandée bien droite directement dans sa bouche grande ouverte. Ils mettent un petit moment à se synchroniser mais on finit par entendre le ventre du gros claquer sur son cul. Le black va toujours plus loin dans sa bouche. La bave coule abondamment.
- Et moi ! Râle Patrick.
Le gros s’arrête et dit :
- C’est bon, vas-y, je finirais après.
Le gérant se défoule dans le con de Sarah qui gémit de plus en plus fort. Elle se lâche complétement. Après quelques minutes le petit gérant se bloque et explose en elle. Le gros revient avec une chope de bière vide et fait couler le sperme dedans avec un gros flot de mouille. « Mais qu’est qu’il fait ? » Je sais plus quoi penser de cette situation.
Le black l’attrape par la taille, la prend dans ses bras, lui met la tête en bas et fait un 69 des plus torride. Il finit par la poser à quatre pattes. Il la prend comme ça à même le sol. Il claque son cul. Sa robe n’est plus qu’une bande de tissu à laquelle il s’accroche pour la pilonner avec force. Comme je vous l’ai dit on aime la baise avec Sarah. Mais là, il atteint un niveau que je n’ai jamais eu. Je le vois commencer à mettre un doigt dans l’anus de Sarah et faire des mouvements circulaires.
- Hummm ton petit trou de blanche est bien étroit, je vais me régaler. Hein que tu veux que Francky t’encule ma salope ?
Il retire son pieux dans un bruit de succion et le positionne sur l’anus de ma chère et tendre. Elle se cambre et essaye de se soustraire à la pénétration. Le black appuie sur son dos et l’oblige à mettre sa tête sur le sol. Je vois petit à petit la queue disparaitre dans le fondement de ma chérie. Elle a le visage crispé. Elle ne semble pas prendre de plaisir mais sa moule luisante la trahit. A côté le gros se branle devant la scène.
- Voilà enfin un copain pour bien la prendre. C’est pas Gilbert ou Patrick ça ma salope. Rigole le gros.
Le black est debout et descend pour faire rentrer sa bite. Ses aller-retours sont lents mais très profonds. Quand il sent que le trou est assez dilaté et que Sarah commence à prendre du plaisir il accélère. Tout les oppose autant physiquement que moralement mais il y a comme une alchimie entre eux. Elle est sa pouliche et lui son étalon. Cette image provoque une trique d’enfer dans mon slip. Je suis jaloux de ces deux mecs qui prennent ma femme mais en même temps ils me font bander.
Le black tient la position un moment avant de laisser le gros prendre le relais. Celui-ci râle :
- C’est bon, je suis fatigué, allez ma pute de Sarah (c’est la première fois qu’il l’appelle par son prénom et ça me fait drôle) viens sur moi.
Il est assis et elle vient docilement se poser sur sa queue tendue vers le ciel. Elle se met à sauter, ses seins rebondissent devant les yeux du gros. Quand elle ralentit la cadence, il lui met une petite fessée
- Allez, on ne mollit pas petite trainée.
Il attrape ses gros seins et les malaxe. Il tord les tétons et Sarah penche sa tête en arrière. Sa queue coulisse bien dans sa vulve. Elle est tellement grosse que j’ai l’impression que même si Sarah se levait, le gland resterait dedans.
La position passive finit par ennuyer le gros qui tout la gardant bien plantée se lève pour la pistonner. Comme une poupée de chiffon il la fait sauter avec ses bras. Elle qui se retenait encore il y a quelques minutes de faire trop de bruit gémit maintenant sans retenue. Le black vient alors se positionner derrière elle.
- Tu vas connaitre le grand frisson ma chérie. Ricane-t-il.
Et d’une traite il s’enfonce en elle. Le spectacle est trop bandant, je finis par jouir sur le sol. La quantité de sperme me surprend moi-même. Je repasse la tête et vois le bouquet final. Sarah jouit pour la énième fois. Ils la font mettre à genoux par terre et jouissent sur son visage. Elle déteste ça mais là, elle ouvre grand la bouche et, sous les ordres du gros, elle se touche les seins. Le premier jet arrive directement dans ses cheveux puis sur le front, le nez, et enfin la bouche. Ils lui tendent alors la chope déjà un peu remplie pour recracher.
Je vois alors le black fouiller dans son jean, sortir son portable et prendre une photo. Jamais elle n’aurait accepté ça normalement, elle est totalement sous leur emprise. Je lâche alors un « Putain la salope ! » un peu trop sonore.
Je me cache vite. M’ont-ils vu ?
A suivre…
J;attends avec curiosité la suite de ce récit hard de chez hard.Le mari cocu va-t-il se faire lui aussi démonter?
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