Texte de Aldo37.
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Le mari veut se rebeller, mais il n'aurait pas dû.
Lorsque Marc rentra du travail et qu’Isabelle lui raconta son après-midi, il entra dans une colère noire.
— Cette fois, ça suffit !! Je vais leur casser la gueule Je ne peux plus supporter ça !!!
Isabelle le calma, ils se couchèrent tôt, et, lorsqu’elle se réveilla, elle pût constater que son mari avait disparu. Mais il fallait se préparer pour aller travailler. Isabelle faisait sa toilette lorsque le téléphone sonna. C’était Serge, son patron, qui était furieux. Marc avait fait irruption dans la société, et menaçait de tout casser. Il avait été maîtrisé par le service de sécurité.
— Plutôt que d’appeler la police, je laisse le soin à mon père de lui trouver la juste sanction de ses actes ! Quant à toi, tu seras punie pour n’avoir pas su le calmer ! Dès ce soir, tu passes une nuit complète avec Michel ! J’ai déjà retenu votre chambre à l’hôtel Miréna. Avec toi toute une nuit dans son lit, Michel ne va pas s’ennuyer.!!!
Il se mit à rire. Isabelle entendit Marc, qui était dans le bureau de Serge, hurler.
— SALAUD !!! Salaud...
— Tu vas la fermer, oui ??? Raccompagnez-moi cet énergumène chez lui, et qu’il se tienne à carreau !
Serge reprit le téléphone :
— Quant à toi, dépêche-toi de rappliquer, et en tenue très sexy Les événements de ce matin m’ont excité, et j’ai envie de t’en mettre un coup.
Marc fût ramené chez lui par les vigiles, et partit au travail, très énervé. Isabelle arriva au bureau, vêtue d’une robe noire légère, moulante et décolletée, avec juste un porte-jarretelles et des bas, sans soutien-gorge et sans slip. Après l’avoir sermonnée pour l’incident avec Marc, il ordonna :
— ALLEZ ! A POIL !!
Isabelle n’eût qu’à faire glisser la robe.
— Humm tu as mis le minimum, c’est bien. Alors, puisque tu es prête, A GENOUX !!!
Isabelle obéit. Serge se plaça devant elle, et dégrafa sa braguette. Il présenta son sexe déjà dur.
— Hummffff hummfff slurpslurpp.
Isabelle entreprenait une savante fellation, tandis que Serge lui flattait les cheveux, ou lui maintenait la nuque, et, quelquefois, se baissait pour lui peloter les seins.
— Humm. toi, tu suces bien. Oui comme ça, j’adore voir ta langue sur ma queue. ohhh. oui fais la bien bouger, que je la voie bien humm sur le gland, oui ! Attends je vais te prendre la bouche.
Serge maintient alors Isabelle par la nuque et entreprit d’aller et venir rapidement.
— Ahhh oui je te lime la bouche ! oui ma bite bien à fond ! Oh salope c’est bon. hummmm..AHHHH ! AHHH, tu vas me faire jouir.
Il sortit rapidement sa queue de la bouche pour diriger le gland vers le visage.
— Ahh, je JOUIS. JE JOUIS..! TIENS prends tout ! prends tout ! tiens !
Le sperme jaillissait, Serge avait une éjaculation très abondante. Le premier jet atterrit sur la paupière et le nez, les suivants sur les joues, les lèvres, le menton. Isabelle était maculée. Le sperme coulait sur ses seins et sur ses cuisses.
— Oh tu es bonne ma pute ! Tu es une bonne cochonne. Prends tout !
A ce moment, Michel amenait le courrier dans le bureau du directeur. Il découvrir le spectacle.
— Eh bien, monsieur, vous commencez fort, ce matin !
— J’ai une bonne nouvelle à vous apprendre, Michel Je vous prête ma petite salope TOUTE UNE NUIT ! Ce soir, vous passez la nuit avec elle, je vous ai déjà retenu une chambre.
— Vous êtes sérieux, monsieur ???
— Tout à fait sérieux, Michel, tout à fait sérieux.
— Humm c’est un beau cadeau, monsieur. M’envoyer en l’air toute une nuit avec elle, c’est vraiment super . Mais je vais être fatigué, le lendemain, pour venir travailler !!
— Ne vous inquiétez pas, Michel, je vous donne votre matinée. Mais elle, elle devra être là à l’heure, je veux qu’elle me raconte en détails vos ébats.
— Je peux vous garantir, monsieur, qu’elle va prendre quelque chose.
— Continue à me pomper, toi ! Nettoie moi la queue, lèche le sperme !
Isabelle obéit, lécha le sperme qui restait sur la verge, sur le gland, et enfourna la queue encore dure et suça.
— Dites donc, vous lui avez mis quelque chose, elle en a partout !
— Oui, elle m’a bien vidé les burnes.
Serge se retira, frotta sa queue sur la joue gauche d'Isabelle, dans la plus épaisse flaque de sperme, en prit sur le gland et le long du membre, et força de nouveau la bouche.
— Allez, bouffe !!
Isabelle fût bien obligée d’obéir, et engouffra le membre souillé.
— Humm ta petite langue ! Oui bouffe bien le foutre !
Serge lui maintenait bien la tête et s’enfonçait à fond. La queue devenue molle, il arrêta.
— Relève-toi et vas te laver tu en as bien besoin !!
Isabelle se leva, du sperme coula de son menton sur ses seins, et les flaques tombées sur la poitrine dégoulinèrent le long des seins. Elle avait même du sperme sur la cuisse gauche. Elle se dirigea vers le petit cabinet de toilette.
— Lave-toi bien, tu es toute collante !!
Michel la regarda marcher et rentrer dans la petite pièce.
— Quel petit canon ! Dire que je vais passer toute la nuit avec elle dans mon lit, rien qu’à moi. Quel plan d’enfer !!
Serge rit :
— Tout aux frais de la maison !! Je vous offre même le restaurant de l’hôtel, histoire de la mettre en condition.
Isabelle faisait sa toilette, les hommes pouvaient entendre le clapotis de l’eau. Michel alla la rejoindre. Tandis qu’elle se lavait le visage, il se colla à elle, colla son bas-ventre contre ses fesses, empoigna ses seins à pleines mains.
— Oh toi tu me donnes la trique. Si je ne me retenais pas, je te sauterais maintenant. Mais il vaut mieux que je garde mes forces pour cette nuit.
Il lui caressa la chatte, la toison.
— Tu vas voir, je vais t’en mettre. Tu vas en redemander.
Il abandonna Isabelle, pour aller discuter avec son directeur. Isabelle sortit de la pièce, les deux hommes parlaient en riant. Nul doute qu’elle était le sujet de la conversation.
— Fais-nous un café, Isabelle. Ca nous remettra de nos émotions.
Isabelle obéit, resta nue, car elle savait bien que Serge ne la laisserait jamais se rhabiller. Elle offrit donc le spectacle de son corps entièrement nu, livré aux regards salaces des deux hommes. Serge s’exclama en la montrant du regard :
— Il n’y a vraiment rien à jeter vous ne trouvez pas, Michel ? Tout ce qu’il faut là où il faut, une vraie poupée.
Michel en rajouta :
— Oui, elle a ce qu’il faut dans le soutien-gorge, et un cul d’enfer, ce qui ne gâte rien.
Serge ordonna :
— Bon, rhabille toi, et vas travailler ! Michel passera te chercher chez toi ce soir à 20 heures !
Isabelle se rhabilla devant les hommes. Michel lui dit :
— Tu mettras un truc transparent, j’ai envie de voir ton soutien-gorge et ton slip. Ca m’excitera et ça me mettra en forme pour la soirée !
Pendant ce temps, Marc avait été reconduit chez lui par les vigiles et était partit à son travail. Quand il revînt le soir, il n’était pas arrivé depuis 10 minutes que le téléphone sonna. C’était Jean-Paul.
— Dépêche-toi de venir chez moi, j’ai deux mots à te dire.
Marc savait pourquoi son voisin voulait le voir. Il sortit et alla sonner à côté.
— Entre.
Marc entra, tandis que son voisin fermait la porte. A peine dans le salon, Jean-Paul lui envoya deux claques retentissantes.
— Ca, c’est pour ton bordel de ce matin !! Je ne tolérerai plus le moindre écart de conduite ! Mon fils voulait virer ta femme, avec tout ce que cela entraînerait pour vous. Petit con va ! J’espère que tu regrettes ce que tu as fais ?
Marc se taisait.
— De toutes façons, tu n’auras plus l’occasion de recommencer, crois moi. Parce que mon fils m’a demandé de te punir sévèrement. Eh bien, pour être puni, tu vas être puni.
— J’ai décidé que tu allais aller passer 10 jours chez un Maître !!
— Comment ?
— Tu as bien compris : chez un Maitre ! Un dominateur ! Il va t’apprendre l’obéissance et la docilité. Quand tu reviendras, tu seras soumis et docile, tu verras, ce sera mieux pour tout le monde.
— Mais je ne veux pas !!
Une nouvelle paire de claques claqua sèchement.
— Petit imbécile !! Tu crois que tu as le choix ???
Marc se mit à sangloter.
— Ce n’est plus maintenant qu’il faut regretter. Nous sommes mardi, tu vas poser la semaine prochaine en congés. Tu me montreras la feuille d’acceptation de tes congés signée par ton patron ce soir, compris ??
— ...
— J’ai dis ce soir, COMPRIS ????
— Oui. oui.
— BIEN ! Et vendredi, tu quittes à 16h00, je te laisse une heure pour te préparer, et ensuite, tu viens chez moi, je t’emmène chez lui. Je l’ai eu ce matin au téléphone, il est d’accord, il t’attend. Je reviendrai te chercher le dimanche de la semaine suivante, vers 18 heures. Bon, maintenant dégage de ma vue, et tâche de te tenir tranquille. Je t’attends demain, pour voir tes congés.
Marc s’en alla. Isabelle rentra plus tard, et lui raconta sa matinée, et ce qu’elle devait faire le soir même. Marc lui raconta ce que lui avait ordonné Jean-Paul. De toutes façons, ni l’un ni l’autre n’avaient le choix, ou plutôt si : un seul choix : OBEIR.
Michel devait arriver vers 20 heures pour venir chercher Isabelle. Elle se prépara : Soutien-gorge dentelle blanche, à balconnets, slip assorti en dentelle blanche brésilien. Elle choisit une robe d’été, moulante et courte, et transparente, comme l’avait exigé Michel. On voyait effectivement nettement le soutien-gorge et le slip, dont le blanc contrastait avec la couleur crème de la robe. Elle était de plus décolletée, ne cachant rien de la dentelle du soutien-gorge, ni de la profondeur du balconnet. Isabelle compléta le tout avec une paire d’escarpins à talons hauts.
Marc, en constatant cela, fût pris d’un accès de jalousie, mais Isabelle le calma aussitôt. Il fallait ACCEPTER. A 19 heures 50, Michel s’arrêta devant la maison et sonna. C’était l’heure.
A suivre...
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