Margot est une salope - récit érotique domination soumission professeur viol
Texte de Erosxx.
Le chantage.
- Oui !
Le chantage.
Marguerite
ou Margot est une femme âgée de 44 ans. Ses cheveux sont mi-longs et noirs et
lui descendent au niveau des épaules. Elle a un visage méditerranéen, le teint
mat avec des yeux noisette en amandes. Prof de français à mi-temps, elle
enseigne aussi la danse le jeudi soir. Grâce à ça, elle a pu garder un corps
souple, ferme et délicieux au niveau des formes : un ventre plat, des fesses
bien fermes et des cuisses musclées avec des mollets bien arrondis. Lorsqu'elle
met des mini-jupes l'été, c'est un bonheur de la voir marcher. En parlant de
formes, elle a aussi une sacrée paire de seins qu'elle n'hésite pas à mettre en
valeur. Ou en les moulants dans des bodies de sport ou en mettant des
décolletés hard.
Margot est
une femme assez libérée et qui le revendique. Toujours habillée sexy voire
assez provocante par moment, elle est souvent prise à partis par les jeunes de
la cité où on habite la semaine. C'est un plaisir pour elle que de provoquer ce
qu'elle appelle ‘ les machos ‘ de la cité, ces jeunes qui s'offusquent
lorsqu'une femme ose s'habiller sexy.
Elle était
pour moi, la maman idéale à la fois ultra sexy, moderne et attentive. Et oui,
cette femme, c'est ma propre mère. Mais hélas, j'ai découvert l'autre face de
Margot. Celle qui cocufie mon père, fume cigarette sur cigarette quand je ne
suis pas à l'appart et même, prend de la drogue avec un jeune toxico qui la
saute par la même occasion. J'ai appris qu'elle était libertine durant sa
jeunesse et qu'elle a participé à des partouzes. Mais, bon, c'était sa
jeunesse. Maintenant qu'elle est mariée, elle devrait être rangée. Mais non.
Depuis ce jour, ma vision sur maman a changé. La voyant par moment plus femme
que mère. Elle est devenue, à mes yeux, une véritable salope qui derrière ses
grands airs, n'hésite pas à écarter les cuisses et se faire tâter le nichon.
D'autant plus que ça me fait kiffer de la voir se faire sauter en webcam. Elle
a un corps incitant au sexe. Mais là, avec les bons conseils de mes
correspondants d'Internet, j'ai décidé de tirer profit de la situation et de la
faire chanter avec les vidéos de la webcam.
Je suis dans
ma chambre et j'entends la douche dans la salle de bain. Maman doit se laver.
Je repense à la nuit où j'ai osé lui peloter les melons pendant qu'elle cuvait
et se remettait de ses excès de drogues. Dieu que c'était bon de masser cette
poitrine énorme. Dire qu'elle n'a rien senti. Preuve qu'elle était sacrément
allumée. Je me souviens de la sensation que j'éprouvais au moment où mes doigts
s'enfonçaient dans ces masses de chairs opulentes. La chair de ses seins était
chaude, moelleuse. Mes mains semblaient toutes petites à côté de ses gros
seins. J'en ai profité pour tripoter ses tétons longs et bruns. J'ai encore les
souvenirs des cercles larges autour de ses tétons longs. C'était si bon de
laisser mes mains posées sur ses attributs volumineux.
Ah, la voilà
qui sort. Maman s'est bien habillée aujourd'hui. Longue robe noire fendue et
bas en résille moulant bien ses jambes. Elle porte des talons hauts. Malgré
qu'il fasse froid, elle tient un minimum à rester sexy. Là, elle va faire des
courses ou rejoindre son amant ou ses amants. Il faut dire que les parties de
jambes en l'air dans l'appart le mercredi, c'est fini. Elle a dû flipper par
rapport à la dernière fois.
Frustré, je
mets au point mon chantage mais je n'ose pas passer à l'acte. Passer du
fantasme à l'acte était dur. Puis, je repense aux vidéos et comment elle se
comporte. D'abord, lui faire peur un peu. Je décide alors de mettre une lettre
anonyme dans la boîte aux lettres. Une lettre tapée sur ordi pour ne pas
reconnaître l'écriture. La lettre indique que je suis au courant de son petit
manège en la menaçant de la dénoncer.
Ce fut un
plaisir d'écrire ça. Je glisse la lettre dans la boîte en attendant qu'elle
relève le courrier le soir. Quand je reviens de cours, le courrier est sur la
petite table du salon mais pas la lettre anonyme. Maman est là, toujours en
robe. Elle me sourit et fait comme si de rien était. Petite maligne. Je décide
de poster une nouvelle le lundi suivant et le Jeudi. Je me mets à rajouter des
insultes ainsi que des phrases blessantes du style : si votre fils ou votre
mari vous voyaient, vous êtes une putain en manque etc...
Au bout de
trois semaines d'harcèlement, je vois qu'elle ne rit plus trop et qu'elle est
salement préoccupée. Qui peut bien l'avoir vue ? Le jeudi, elle ne va pas
au cours de danse car trop préoccupée. Par moment, je me trouve sadique, mais
après tout, n'a-t-elle pas provoqué ça ? Je décide de passer à l'étape
suivante : lui dire que je suis le maître chanteur. Etape cruciale. Et j'y
réfléchis beaucoup. Elle a cocufié papa et elle s'est vraiment comportée comme
une putain avec ses amants. Je voulais que ce soit dans un lieu neutre pour
éviter tout débordement. Je me mets à rédiger la lettre lui donnant rendez-vous
dans un bar à 18 heures le mercredi soir. Rien que l'idée de la savoir à ma
merci me fait bander. Et au moment où je l'imprime, une idée me passe par la
tête. Je suis excité à fond. Oui, autant en profiter des maintenant. Je rajoute
alors : je veux en plus que vous veniez à ce rendez-vous avec la minijupe que
vous ont offert vos amants avec des bas résilles, des talons hauts. Je veux
aussi que vous mettiez un tee-shirt moulant, sans soutien-gorge, avec un
décolleté avantageux.
Voilà. Je
vais au rez-de-chaussée. La boîte est devant moi. A ce moment, je vais passer à
l'acte. Dès que j'aurai mis cette lettre, ce sera irréversible. Je lâche
l'enveloppe. Ça y est. C'est parti. Je suis tout excité à l'idée de cette
rencontre. Qu'elle va être sa réaction quand elle va découvrir que c'est son
propre fils qui l'a menacée de la dénoncer ? Va-t-elle s'habiller comme je
le lui ai indiqué ?
Le soir, ma
mère ne réagit toujours pas, faisant comme si de rien était. On se prépare à
rentrer pour le week-end. Repas de famille traditionnel. Le mercredi arrive, je
rentre et me prépare. J'ai décidé de me faire beau : douche, Tee-shirt blanc et
jean. En me regardant dans la glace, j'ai l'impression d'être attifé comme un
homo. Pourtant, ce soir, j'ai rendez-vous avec une femme ultra sexy. Dire que
c'est ma mère. Plus ça va, plus je la vois comme une femme sexuelle. Je prends
une copie du cd, et je file au bar en question.
18h00,
j'attends mais rien. Au bout de dix minutes, la voilà qui rentre. Putain, elle
l'a fait. Elle a mis la mini-jupe et les bas résille. Elle a un blouson à cause
du froid. C'est vrai que je n’ai pas réalisé qu'elle risquait d'attraper froid.
Mais mon désir de la voir comme ça était trop fort.
Son entrée ne passe pas inaperçue. Des regards
de clients fixent ses jambes, longues et musclées, en dessous la résille. La mini-jupe
lui arrive à un tiers de cuisse. Autant dire que c'est comme si elle était en
short par ce temps. Elle observe et me voit enfin. Je secoue le cd. Elle porte
sa main à la bouche et son visage se décompose. Et oui, c'est moi. Je lui fais
signe d'avancer. Elle le fait complètement surprise. J'ai commandé une boisson
pour elle. Je reste à la regarder avec mépris. Elle me chuchote en bafouillant :
- Alors
c'était toi, mon dieu ! Ce n’est pas possible, pas possible ? Tu, tu sais,
tu as vu ! Je suis désolée, tu ne vas rien dire à ton père ?
- Je ne sais
pas, maman, je sais pas du tout.
- Tu vas
détruire notre famille, ne fais pas ça s'il te plaît, pense à ça ! Si tu veux,
tu pourras revenir au cours de danse, je te donnerai de l'argent à la fin du
mois, mais ne dis rien.
Je me
délecte de ce moment. Ma mère est vraiment à ma merci. Elle panique, honteuse,
surprise et écœurée sans doute. D'habitude, elle est autoritaire, sûre d'elle.
- Je ne sais
pas, maman, je me pose des questions ! Je réfléchis et je crois que l'argent ne
m'intéresse pas !
- Mais tu
veux quoi alors ? Dit-elle tout haut
- D'abord
enlève ta veste !
- Hors de
question, tu es malade. Tu veux que tout le monde voie mes seins ou quoi ?
J'ai fait ce que tu as dit en croyant que c'était un autre qui me faisait
chanter.
- Je te dis
enlève ta veste !
- Sylvain, Me
supplie-t-elle les larmes aux yeux, je n'ai pas de soutien-gorge, s'il te
plaît, je suis ta maman. Ne me fais pas ça, s'il te plait. Pas devant tout le
monde.
- Bon, alors
je vais poster une lettre avec ces cd pour papa.
Elle est
rouge de honte et de dégoût. Elle souffle et enlève sa veste à contrecœur.
C'est terrible. Elle a mis un tee-shirt gris à manche longue ultra moulant. Son
décolleté est terrible. Elle a mis un collier doré. En dessous, ses deux nénés
sont pressés par le tissu fin du tee-shirt moulant.
Le serveur
arrive. Il reste à regarder le décolleté, la fente des deux seins pressés bien
visible et ressortant de façon provocante. On distingue aisément la pointe de
ses tétons qui déforment le tissu fin. Ma mère est au bord de la crise de
larmes tellement elle a honte. Exhibée par son propre fils. Le serveur devient
rouge et nous file les consos et la note. Il repart.
- Tu as fait
ce que je t'ai dit : C'est bien. Tu sais j'ai longuement regardé les vidéos.
- Tu m'as
espionné, tu es ignoble et pervers.
- Et toi, tu
es quoi ? Tu as fait cocu papa, tu fumes, te drogues même. Alors pas de
morale, plus de morale. Désormais, on va passer à de nouveaux rapports.
- Tu es fou,
Sylvain, je suis ta mère, par pitié. Reprends-toi. On va discuter de ça à la
maison tranquillement et...
- Et une
belle femme aussi. Tu aimes le cul, je le sais. Et bien maintenant, tu n'auras
plus à te cacher de moi.
- Que veux-tu
dire ? Mais ça ne va pas ! Tu es malade.
- Si, ça va
très bien, au contraire ! Tu m'as dit de trouver une copine et bien, je t'ai
trouvée toi. Maintenant à toi de réfléchir : Si je dis tout à papa, notre
famille vole en éclat. Si tu deviens ma soumise, alors tu prendras ton pied en
toute sécurité.
- C'est un
cauchemar ! Tu es incestueux.
- Et non,
maman, c'est la vérité ! Finis ton verre et va payer.
Elle se lève
alors, gênée, devant tous les clients. Vêtue de sa mini-jupe aux bas résilles
et de son tee-shirt gris. Ses seins tombent en dessous du tee-shirt et comme ils
sont libres et énormes, ça bouge lentement et lourdement. Floc, floc. Elle
s'avance. Le serveur et le barman regardent à en baver la rondeur de sa
poitrine et les tétons qui déforment le tissu. Elle leur fait un petit sourire
sans conviction, prend la monnaie devant le regard envieux des deux hommes et
revient vers moi. Ses seins bougent toujours. Elle enfile sa veste et nous
partons.
- Bon, ce
soir, nous allons sortir ensemble.
- Hein ?
Mais tu es fou ? Je suis ta mère pas ta copine.
- Ce soir,
on sort ensemble. On va aller au resto puis en boîte.
- En boîte !
Mais c'est pour les jeunes de ton âge. Tu ne vas pas m'emmener en boîte, tout
de même.
- Et si, et
je veux que tu restes habillée comme ça.
- Tu te
rends compte Sylvain ?
Ma mère ne
dit rien et me suit. Elle a froid. On se trouve un resto chic. Il est temps car
il gèle et maman a les jambes peu protégées. Margot fait son petit effet en
entrant. Surtout lorsqu'on nous enlève nos manteaux car maman se retrouve alors
les nénés à moitié exhibés. On se trouve une table classe avec bougies. On
passe commande :
- Pour
madame ce sera ?
- Un plat de
fruit de mer.
-Et pour
votre ami ?
- La même
chose avec une bouteille de vin : Un bordeaux.
Il nous a
pris pour deux amants. La différence d'âge est peu flagrante car maman est
maquillée et physiquement, elle fait trente ans. Il doit m'envier de dîner avec
cette femme. Mais il ignore que c'est ma mère. J'ai remarqué ses coups d'œil
sur l'échancrure du décolleté. Lui aussi, il apprécie les gros seins. Nous
prenons un verre de vin. Margot semble plus détendue.
- Tu es
vraiment belle maman, je ne te l’ai jamais dit ?
- Non
Sylvain, mais ta façon de le dire est malsaine.
- Il n'y a
rien de malsain à trouver sa mère sexy.
- Arrête, ça
suffit, j'ai honte de moi, de toi, de tout. Je suis désolée que tu aies vu tout
mon corps. Tu as été choqué, on peut aller voir un psy si tu veux.
- Et ça, je
doute que papa n'aie pas la puce à l'oreille si on va consulter tous les deux.
Non, moi, ça me plaît que tu t'éclates à la baise.
- Stop !
- Plus de
secret entre nous maintenant ! Tu vas me raconter ta vie sexuelle que tu avais
à mon âge.
La
discussion est lancée durant le repas. Là, maman se détend peu à peu et me parle
de plus en plus facilement. Je lui raconte aussi mes relations avec mes deux
petites amies d'avant. Ça l'encourage à me dévoiler son passé. Au début, elle
me parle de ses premières amourettes puis au bout de quelques verres de vin,
elle me raconte sa période fac, la meilleure. J'en reviens pas. Elle s'est
tapée au moins une vingtaine de mecs durant ses études jusqu'à ce qu'elle
rencontre papa. Je lui demande si sa poitrine était aussi grosse avant ?
Elle me dit qu'elle avait déjà une grosse poitrine et une apparence svelte. Ses
seins ont grossi encore un peu plus après l'allaitement mais leur poids les a
fait tomber un peu. C'est là qu'elle a connu l'alcool et la drogue. Une période
dure et festive.
Son récit me
passionne. Elle me raconte ses pires soirées arrosées, où avec son groupe
d'amies, elles allaient en boîte où dans des fêtes étudiantes. Bien sûr,
toujours habillée sexy. Elle m'avoue que c'était elle la plus chaude du groupe
et que déjà, elle usait de décolletés du feu de dieu. Comme elle avait la plus
grosse poitrine du groupe, elle se faisait draguer sec et avait acquis une
réputation de fille facile. Mais vu ce qu'elle me raconte, ça ne m’étonne pas.
Son but, c'était de s'amuser le plus possible, profiter de sa jeunesse. La
plupart des fêtes se terminaient quasiment tout le temps dans le lit du premier
venu.
Elle me raconte
aussi la partouze qu'elle a eue avec des bidasses ainsi que les nombreuses fois
où elle faillit être enceinte. C'est à 24 ans qu'elle a rencontré papa et s'est
calmée. Elle s'est mariée un an après. Ensuite elle est tombée enceinte de moi.
Décidément, j'ai une maman avec un passé bien rempli. Je bande à fond. Surtout
qu'avant que je la surprenne à l'appart, jamais je n'aurai pu la soupçonner
d'avoir un tel passé. On dirait que sa confession lui fait du bien. Comme si
elle se débarrassait d'un fardeau.
- Bon,
maintenant, on va partir ! On va aller boire quelques verres dans un bar avant
d'aller en boîte !
Elle me
regarde avec une espèce d'air triste pour me culpabiliser. Mais ça ne marche
pas avec moi.
- Sylvain,
on devrait arrêter là ! Je comprends que tu sois dégoûté de moi mais...
- Non, pas
dégoûté ! Je veux m'exhiber en public avec toi à mes côtés. Je veux qu'on te voie
comme ma copine !
- Sylvain,
stopppp ! Tu es fou où quoi ?
Après
quelques verres, on file en boite. Passablement éméchés, maman et moi commençons
à nous détendre et la voilà qui se laisse aller. L'ambiance est festive et
c'est cool. Bien que ma mère soit bandante, personne ne vient la draguer et
respecte le fait que je sois avec elle. Ils me prennent pour son amant.
On va danser
sur la piste. Elle est souple et à chaque mouvement, sa poitrine gigote
librement sous son tee-shirt. Ça attire le regard, une femme avec d'aussi gros
atouts. Tout le monde est excité et ça danse et hurle. Le son est infernal mais
l'alcool nous a à moitié désinhibé. On reste à danser jusqu'à n'en plus
pouvoir. Je reste à fixer sa grosse poitrine qui bouge lourdement. De temps en
temps, elle tourne sur elle-même et je reste à me délecter de la vue de son cul
et de ses jambes. Malgré la fatigue de la danse, j'ai toujours la gaule et le
fait de voir les mecs mater ma mère avec envie m'excite. Vient le slow. Elle
prend les devants et s'accroche à moi. Nous sommes humides de sueur. Le
tee-shirt de maman moule ses deux seins en lui collant à la peau. Ses tétons,
longs, se voient à travers le tissu fin. Elle ne semble pas s'en apercevoir.
Moi, je me contente de danser avec elle. Je sens sa poitrine contre moi, et
j'ai la gaule pas possible. On sent qu'il est temps de partir, non seulement on
est naze mais en plus on a remarqué des mecs louches qui la regardent avec
perversion.
On arrive à
la cité. Il n’y a pas un rat parce qu'il fait froid. Maman tremble et pour
cause. La chair de ses cuisses et mollets est soumise à ce froid. Et son manteau
ne doit pas trop la protéger. Passer du chaud au froid n'est pas conseillé pour
la santé non plus. On monte. On rentre et on s'assoit sur le canapé.
- Sylvain,
il va falloir discuter de ces vidéos et sérieusement. Je déteste le chantage !
- On va voir
mais pour l'instant, je les garde et j'ai des doubles cachés alors pas la peine
d'essayer de les piquer.
Je nous
verse un petit remontant. Maman refuse mais à force d'insister, elle boit son
verre. Là, je regarde ses cuisses mis en valeur par la mini-jupe et surtout ses
bas en résille. Ses belles cuisses musclées ainsi que ses mollets ronds. Vive
le sport. Ah, dire qu'il y en a eu des hommes à en profiter. Elle a enlevé ses
chaussures sur le canapé. Je me mets derrière elle en passant par derrière le
canapé.
- Sylvain,
mais tu fais quoi là ?
- Un petit massage
pour la reine de la soirée !
- La reine
des putes, tu veux dire ! Je n'ai jamais eu honte comme ça ! Pff ! A la limite,
quand j'avais vingt ans, ok mais là. Je me sens sale et humiliée.
- Tu sais, il
n’y a pas d'âge. Je te trouve super sexy et tu as vu qu’on n’a pas arrêté de te
regarder toute la soirée.
- J'espère qu’on
ne m’a pas reconnu.
Elle se
cache les yeux mais apprécie mon massage. Sa peau est froide de dehors. Elle se
détend. Sa poitrine se gonfle et se dégonfle. Elle respire à grande bouffée.
Elle penche sa tête en arrière et elle met ses mains sur les miennes.
- Allez
Sylvain, je vais me laver et me changer, j'ai sommeil.
Elle se
prend une douche chaude afin de se détendre. Elle y reste un bon quart d'heure.
J'entends tousser. Elle sort de la salle de bain en se pinçant légèrement le
nez. Elle est en peignoir de bain. Elle se met à tousser à nouveau en portant
ses mains vers sa poitrine. Machinalement, elle va vers son sac et en sort un
paquet de cigarettes.
-Maintenant,
tu sais que je fume, ce n'est plus la peine de se cacher mais ne le dis pas à
ton père.
Pendant
qu'elle l'allume, on sent encore la gêne de toux et son nez la gratte. Et c'est
là que je comprends. Et oui, elle a dû se taper de la poudre. Je verse à
nouveau deux verres. Elle reprend du poil de la bête et s'avachit sur le
canapé. Elle croise ses jambes nues et encore humides de la douche. Sur sa tête
une serviette et elle ne possède qu'un peignoir pour masquer ses attributs
sexuels. Ses jambes sont musclées, lisses. Ses cuisses sont magnifiques et je
reste à les regarder, à les dévorer du regard. Ses mollets sont ronds et ses
pieds fins aux ongles vernis en blanc. Elle reste à fumer sa cigarette, assise
mollement sur le canapé, les jambes croisées. L'alcool la travaille on dirait.
Je retente un massage et là, elle semble apprécier.
- Sylvain,
tu sais quoi ?
- Non ?
- Si on se
regardait ces vidéos ?
- Tu veux
dire, celles de la webcam ?
- Oui !
Elle avale
son verre et se lève direction ma chambre. J'allume l'ordinateur et j'insère le
cd où sont gravées les précieuses données. J'ai pu faire une compil regroupant
ses ébats avec son amant Jacques ou Nico. Je lance. J'observe avec attention
les réactions de maman. Elle est assise sur mon lit. Elle ne dit rien et
s'observe en train de baiser et de se droguer. J'en profite pour aller chercher
la bouteille de rhum, des glaçons et deux verres. Elle tousse et se rallume une
cigarette. Ma chambre va sentir la clope mais peu importe. Le regard de maman
change et elle a des frissons. Je profite pour la masser. Son frisson se
poursuit. En regardant les vidéos, on s'excite tous les deux. En la massant,
j'essaie de dénuder son épaule.
- Tu masses
bien, sylvain ! Je vois que tu as le coup de main.
- Oui maman
mais bon, tu as la peau douce.
- Je vois
que tu as fantasmé sur moi alors ! C'est pour ça que tu étais dans les douches
du vestiaire. Les vidéos n'ont pas arrangé les choses.
- C'est vrai
mais bon, j'étais content et fier d'avoir une maman aussi sexy.
Ces mots me
sont sortis sans que je fasse attention. Elle reste bouche bée.
- Le fait de
voir ta mère se comporter comme ça ne t'a pas choqué ?
- Au début
mais après, j'ai pris mon pied à te voir.
Elle
réfléchit un peu à mes propos. La situation la trouble de s'avoir que son fils
prenait du plaisir en la voyant se donner à ses amants, peut-être qu'il se
masturbait même. En attendant, j'ai dénudé ses deux épaules et mes massages
deviennent des caresses. Elle se lève d'un coup et ôte sa ceinture de peignoir
de bain. Elle fait glisser son peignoir et se retrouve nue devant moi. Je reste
paralysé par la surprise. Ma mère est nue devant moi et je reste à contempler
son corps. Son visage magnifique avec ses yeux en amande de couleurs marron.
Elle enlève la serviette de ses cheveux mouillés. Ils lui tombent sur les
épaules. Là, je m'attarde sur sa poitrine. Enfin devant moi. Elle a vraiment
des gros seins avec des tétons longs. Cette poitrine que j'ai massée il n’y a
pas si longtemps pendant qu'elle dormait. Là, ils me sont offerts. Je regarde
alors son sexe. Sa chatte touffue si souvent doigtée, pénétrée et léchée. Ses
cuisses, ses mollets magnifiques. J'ai l'impression de rêver. Mais non, c'est
la réalité. Ce corps de femme si provocant, celui de ma propre mère, m'est
offert là.
Elle
s'aperçoit que j'ai la gaule et elle sourit comme si elle était contente. Elle
s'allonge sur le ventre sur mon propre lit et je comprends qu'elle veut que je
la caresse. Au début, j'ai du mal à y aller. J'ai encore peur de l'inceste et
lorsque je commence à la toucher, je la perçois plus comme une femme que comme
ma mère. Je caresse son dos lisse. Son dos doux sent encore l'odeur du gel
douche. Je monte, je descends en faisant des va et vient avec ma main le long
de son dos. Je veux à tous prix masser ses fesses. Je descends et elle me
laisse faire. Je l'entends souffler, gémir un peu. Elle apprécie mes caresses.
J'empoigne ses deux fesses que je malaxe. Je pelote ses deux masses de chair
fessier. J'écarte un peu les deux fesses pour regarder son anus qui n'est plus
vierge depuis bien longtemps.
Lentement,
elle se remet sur le dos et je me retrouve face à sa chatte poilue. Je plonge
la tête dedans, entre ces deux cuisses musclées qu'elle referme aussitôt. Elle
mouille déjà depuis longtemps, probablement excitée par les vidéos. Je lape sa
mouille tout en sentant les deux mains de maman qui m'incite à la boire en me
prenant la tête. Ses cuisses se referment sur moi et s'écartent. Elle adore
qu'on la lèche.
C'est là que
j'aperçois ses deux seins énormes qui frémissent. Depuis le temps que je les
désire. Je me retire tout en la doigtant et plonge mon visage entre les
mamelles monstrueuses. Hors de moi, je m'excite grave sur ses nichons. Mes
mains s'enfoncent dans la chair moelleuse et chaude. Je mordille ses longs
tétons et je l'entends gémir. Là, je me redresse et sors ma queue en
l'insinuant entre les deux melons. Elle connaît la pratique et presse les lolos
autour de ma queue qui semble ridicule à côté de ses mamelles. La chaleur de
ses seins entoure mon sexe pendant que je frotte. A chaque frottement, c'est
dur de ne pas juter. Elle redresse sa tête et avec sa langue lèche mon gland
qui va et vient entre sa grosse poitrine. Sa bouche forme un rond, prête à
sucer. Je lui saisis la tête et enfourne mon sexe dans sa bouche.
Là, je
réalise que je suis en train de me faire sucer par ma propre mère. Elle se
comporte comme une vraie salope en cet instant. Le lien mère fils a dépassé les
limites. Je tiens ma bite pendant qu'elle me suce comme une salope. Je suis
toujours au-dessus d'elle, me faisant sucer par maman, sur mon propre lit. Elle
est belle la maman modèle, la prof de danse, la prof de français. Si ces
collègues ou ses élèves la voyait baiser son propre fils. En tous cas, c'est un
bonheur de se faire sucer par elle. Sa langue est une merveille quand elle entoure
mon gland décalotté. Je sens le jus monter mais je désire la prendre. Je sors
de sa bouche. Elle retient mon sexe avec ses deux mains et le remet dans sa
bouche. Elle malaxe mes bourses pleines à ras bord. Elle me malaxe à m'en faire
mal aux couilles. Elle a englobé mon sexe jusqu'au fond de sa gorge. Elle veut
ma bite, c'est clair.
A ce moment,
elle écarte les cuisses pour que je la prenne. La vision de sa chatte touffue
m'excite encore plus. Je lui retire ma queue de sa bouche et là, je lui rentre
dedans comme un fauve. Mon gros sexe dans sa chatte qui est humide comme une
cascade. Je la bourre encore et encore en écartant ses cuisses. Elle gueule de
plaisir et ça m'excite encore plus. C'est trop bon, trop bon. J'y vais fort en
claquant mes couilles contre elle. Je la prends par les pieds et j'écarte ses
jambes. Toujours en elle, la limant comme un forcené. J'y vais tellement fort
qu'elle en a mal. Ses seins rebondissent sur sa poitrine. Elle hurle, un
mélange de cri de plaisir et de douleur. Je finis par gicler en elle. La
pression est énorme tant je suis excité. Elle doit ressentir ça, jusque dans
ses entrailles. Je jute pendant au moins cinq minutes après l'avoir limée comme
une bête. J'en peux plus. Maman se tortille sur mon lit en gémissant, sentant
en elle le sperme. Elle se caresse machinalement les seins. Sa chatte endolorie
lui fait mal. J'ai trop forcé sans doute. Je finis par m'endormir sur elle. Ma
tête entre ses seins, sentant son cœur battre à une vitesse folle suite à
l'excitation. Elle se laisse aller au sommeil elle aussi, épuisée par cette
soirée inoubliable. Je reste donc vautré entre les seins de maman toute la nuit
en rêvant des futures saloperies que je lui ferai faire maintenant que je la
tiens au chantage.
Oui déjà, je sais que la prochaine fois, on sera plusieurs à s'occuper d'elle. Ce sera le pied...
Oui déjà, je sais que la prochaine fois, on sera plusieurs à s'occuper d'elle. Ce sera le pied...
A suivre...
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