dimanche 28 octobre 2018

Ma mère Martine - La réalité. Ch. 01

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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Les pervers du net envahissent notre maison.

Bonjour, mon nom est Julien, 22 ans et je suis l’auteur de la saga des aventures de Martine. Pour ceux qui ne connaissent pas mes histoires, sachez que l’héroïne est en fait directement inspirée de ma propre mère.

Ma mère est une femme bourgeoise, rangée et bien conservée pour son âge. Elle a le formidable avantage de posséder une grosse poitrine qu’il me plait d’exhiber et de mettre en valeur dans mes histoires. J’aime le fait qu’elle se déprave et devienne une véritable salope allant jusqu’à se prostituer volontairement. J’aime aussi l’idée de la conduire ou d’être responsable de ses diverses mésaventures pornographiques. Bref, je suis fier d’elle dans les histoires.

Jusqu’à peu, ce que j’ignorais, c’est que Martine faisait fantasmer énormément les pervers du net qui finirent par correspondre entre eux et imaginer les idées les plus salaces à l’encontre de ma mère.

Devenue une sorte de putain du net, elle suscite, par ma faute, les plus vils fantasmes et, au fur et à mesure, les internautes finirent par former un groupe échangeant des propos salaces sur elle. Pensant être bien à l’abri derrière mon ordinateur portable, je continuais à la prostituer dans les histoires tout en ignorant que les pervers du net avaient décidé de bien me punir de les faire fantasmer au plus haut point.

Une bande d’une vingtaine de lecteurs se réunirent afin de discuter sur un moyen de me faire payer mon exagération. D’abord, ils voulurent envoyer des emails à ma mère indiquant que j’écrivais des histoires porno sur elle. Mais ils se rétractèrent car cela ne servirait qu’à la prévenir d’une éventuelle visite dont elle serait l’objet. Puis, rapidement, ils en arrivèrent à fomenter un complot afin de me punir. Ils veulent aussi et par-dessus tout, vérifier que ma mère correspond à l’image que j’en fais dans les histoires de cul. Par une manipulation que je ne comprends pas, certains parvinrent à localiser mon adresse et à trouver la résidence cossue de mes parents sur Nantes.

Il s’avère que deux d’entre eux habitent dans ma ville. Ils se mirent à espionner la demeure de mes parents en se relayant et purent enfin voir ma mère en chair et en os. Ils prirent des photos d’elle qu’ils diffusèrent à leurs amis sur le net et ils décidèrent de se réunir à nouveau. Ces salopards purent voir cette femme bourgeoise qui ressemblait à peu près aux descriptions que j’en faisais dans les histoires.

Oui, elle porte des tailleurs jupes la plupart du temps, elle est brune et à leur plus grande joie possède effectivement une opulente poitrine. Elle semble malheureusement bien moins salope que dans les histoires et elle porte des lunettes. Elle est, dans la réalité, secrétaire de mairie et elle se doit d’être habillée bien comme il faut.

Ils étudièrent ses va-et-vient et s’aperçurent que le mercredi et jeudi soir, mon père, Dominique était absent car il est cadre commercial et doit souvent se déplacer dans les quatre coins de la France. Le complot s’organisa et ils furent bien décidés à réaliser leurs ignobles fantasmes (vous devinez lesquels).

Cet après-midi-là, je suis le premier à rentrer de la fac. Etant en licence, j’ai peu de cours et je termine tôt. A peine rentré, j’entends sonner à la porte. Naïf, j’ouvre. Deux hommes encagoulés se jettent sur moi et me poussent dans la maison. N’étant pas assez costaud, je ne peux résister et je me retrouve bâillonné et ligoté à une chaise.

Ma mère arrive de son travail à 17h30. Elle ne prête pas attention à la camionnette garée devant chez nous. Au moment où elle pénètre dans la maison, les deux hommes la saisissent et la bâillonnent à son tour. Ils ont des couteaux et nous menacent :

 - Voilà putain, maintenant, si tu veux que ton fils s’en sorte indemne, il va falloir que tu la fermes et que tu fasses ce que l’on te dit !

Ma mère est abasourdie, ne comprenant pas trop ce qui se passe. Au bout d’à peine cinq minutes, six autres gars sonnent et pénètrent à l’intérieur de la maison. Nous sommes dans le salon, ma mère et moi, apeurés.

Enfin, ils nous détachent et enlèvent nos baillons. L’un d’eux, un grand cagoulé dit :

- Voilà ! Si nous sommes ici, c’est pour punir ton fils de ses actes ! C’est un gros pervers !

Ma mère fronce ses beaux sourcils et demande :

- Comment cela ? Mon fils n’est pas un pervers, il est bien élevé et studieux !

L’homme esquisse un sourire :

- Ah bon, et ça alors !

Cet ignoble salopard a imprimé toutes mes histoires et il les tend à ma mère.

- Maintenant lis, ça te concerne, salope !

Ma mère jette les papiers au sol et se rebiffe, mais une gifle la calme. Elle frotte sa joue endolorie. L’homme crie :

- Lis maintenant ce que ton pervers de fils a écrit !

Pendant presque une heure, ma mère lit les récits de ses aventures pornographiques et n’en croit pas ses yeux. C’était bien d’elle dont je parle dans les histoires, la mettant dans les situations les plus perverses et inimaginables, la transformant en salope, en prostituée et même en véritable truie soumise allant se livrer à de parfaits inconnus. Elle peut lire ses multiples aventures dans les caves des cités, dans les bars et dans les lieus les plus ignobles. Elle lit également l’histoire de sa propre fin la transformant littéralement en droguée de sexe à la fois pute, hardeuse et truie prise par tous les orifices, tous les jours.

Elle ne manifeste pas d’émotion sur le coup, mais tombe en sanglot. Moi, je n’en mène pas large, humilié et dénoncé par ces fumiers. Ma mère est désormais au courant que je l’ai transformée en putain du net.

- Trop tard pour pleurer maintenant ! Il va falloir payer ta perversité ! Me dit un des ravisseurs avec un sourire qui en dit long.

Ma mère essuie ses larmes. Elle est vraiment humiliée, elle se sent bafouée et salie par son propre fils. L’homme en cagoule s’en fiche royalement :

- Ce soir, ça va être la nouba ici !

Entre temps, des hommes sont sortis et ont ramenés des packs de bières en grande quantité. Ils me forcent à prévenir les voisins que ce soir, j’organise une fête entre amis. Ainsi, ils ne se douteront de rien et la fête spéciale pourra se dérouler sans anicroches.

Au fil du temps, d’autres hommes arrivent. Ce sont d’autres pervers qui ont fomenté cet abominable complot. Tout était bien préparé et aucune chance qu’il n’y ait le moindre problème. Ma mère ne bouge pas et me regarde méchamment voire avec du mépris mais elle ne se doute pas que cette fête est organisée autour d’elle

Vers 19h00, ils versent des apéros. Les hommes ont allumé la chaîne hifi et dansent. Ma mère est tirée par les bras et est forcée de danser avec ses ignobles ravisseurs. De temps en temps, on la fait boire. Tous reluquent surtout sa grosse poitrine qui les a faits tant fantasmer dans les histoires. Il faut dire que ma mère est une très belle femme bourgeoise d’1m64, étonnement bien conservée pour ses 48 ans bientôt. Elle est brune aux yeux noisette. Ses lèvres sont naturellement pulpeuses. Son visage n’a presque pas de rides et ressemble effectivement un peu à celui de la présentatrice de télévision Evelyne T. Elle porte une belle veste chinée bleu. En dessous, on peut voir son t-shirt blanc moulant ses gros seins qui malgré le soutien-gorge à armature, bougent au moindre de ses mouvements. Elle porte également une jupe bleu assortie qui lui arrive sobrement aux genoux ainsi que des escarpins noirs.

Ma mère est ballottée en tous sens et change de cavaliers constamment. Jamais je n’aurai imaginé que la fiction rejoindrait la réalité. A présent, c’est devant moi que tout se passe et je suis maintenant persuadé que ces ignobles salopards n’en resteront pas à quelques enlacements et pelotages de seins. J’assiste donc, impuissant à la revanche des pervers du net décidé à profiter réellement du corps de ma mère. Ils en ont vraiment rien à foutre et ont même enlevé leur cagoule maintenant.

Ma mère tente d’échapper à leurs étreintes, de les repousser mais rien n’y fait. Elle sent les mains palper ses fesses rondes, passer entre ses cuisses et masser avidement ses deux gros seins à travers le tee-shirt. Elle tente d’empêcher ces mains si perverses mais ne le peut pas et elle pleurniche. La fête bat son plein et les hommes s’excitent de plus en plus pour le plus grand malheur de ma mère (et le bonheur des lecteurs).

Certains des hommes relisent les histoires, avachis et bien chauffés par l’alcool dans les canapés du salon. Ils lisent tout en sortant leurs grosses queues gonflées à bloc et en se masturbant sans honte en jetant des coups d’œil vicieux sur cette femme à gros seins qui n’est autre que ma génitrice. Elle est là, en face d’eux, cette femme sur qui ils ont fantasmé pendant des heures. Elle est enfin à leur merci prête à subir les derniers outrages.

Mais ils préfèrent ne pas précipiter les choses et jouissent à l’idée de pouvoir bien l’humilier avant de passer à l’acte. Car contrairement à la Martine des histoires, elle est loin d’éprouver le moindre plaisir à se faire souiller par tous ses hommes. Ma mère est une bourgeoise bien élevée et cela ne lui plait pas du tout d’être considérée comme une putain. Mais de toute façon, elle sait au fond d’elle-même ce qui l’attend.

- Bon, la salope va nous montrer la marchandise. Elle va faire un strip-tease. Oui, tu vas d’abord enlever lentement ta veste de bourgeoise !

Ma mère reste immobile à pleurnicher et l’homme lui crie dessus. Lentement, elle enlève sa veste chic et se retrouve en tee-shirt. Il est terriblement moulant et je remarque que j’avais à peine tort d’exagérer la taille de sa poitrine. Ma mère a vraiment des seins énormes, il faut le reconnaître. Je comprends l’excitation de ces hommes même si je les méprise. On devine aisément les deux protubérances mammaires à travers le tee-shirt. Elle tend la veste à son ravisseur qui s’en empare aussitôt.

- Toi la salope, tu sais te fringuer.

Il montre la veste à tous les autres qui se passent leur trophée.

- Maintenant, vire tes chaussures une à une.

Ma mère obéit et enlève ses jolis escarpins. Ils sont pris par les pervers puis ceux-ci versent de la bière dedans. Ils boivent dans les chaussures de luxe et de façon vulgaire. Ils épient la moindre réaction de ma mère pour voir ce qu’elle ressent. Du dégoût visiblement.

- Mmh, voyons voir...Vire ta jupe maintenant. On a tous envie de voir ton cul et tes cuisses. On va voir si ton fils avait raison dans ses histoires.

Ma mère se rebiffe :

- Ça suffit maintenant ! Je...je refuse !

En guise de réponse, elle reçoit une paire de gifles et l’homme réitère sa demande avec force :

- Alors, tu le fais ou cette fois on tabasse ton pervers de fils !

Elle finit par céder.

- Fais le lentement, ma salope !

Elle fait glisser la jupe et se retrouve en culotte et t-shirt. Sa jupe fait le tour de l’assemblée, puis finit par être mise en morceau devant ma pauvre mère apeurée.

- Bon allez, maintenant enlève ton tee-shirt. On a tous bien envie de voir tes grosses loches.

Avec peine, elle enlève son tee-shirt moulant blanc. Elle le lance au pied de ses ravisseurs. Elle est maintenant en culotte et soutien-gorge assortis devant ces pervers qui, cela est sûr maintenant, ne s’arrêteront pas là. Ils restent un moment à la reluquer avec leurs yeux brillants et vicelards qui me dégoûtent.

- Vire ta culotte et donne la nous !

Là, ma mère refuse à nouveau. Elle est à nouveau giflée et on me menace avec un couteau. Elle n’a plus le choix et elle le sait. Ils sont déterminés. Elle descend donc sa culotte beige en dentelle révélant son sexe bien entretenu. L’action semble interminable pour elle. Jamais elle n’a autant été humiliée de toute sa vie rangée. Sa culotte lui est arraché des mains et on se la passe, on la renifle. Ma mère pleurniche et se cache le sexe avec pudeur ce qui agace les hommes.

- Allez la bourgeoise, montre-nous tes gros nichons ! enlève ton soutien-gorge et vite !

Elle le dégrafe, toujours honteuse, et enlève les bretelles lentement. Le soutien-gorge est magnifique, bien brodé et en dentelle. Il est à armature car il doit soutenir une sacrée paire de seins. D’ailleurs, ceux-ci tombent lourdement et ballottent un peu. Tous les hommes sont subjugués par les mamelles lourdes, blanches et aux larges auréoles brunes. Mais les plus viles insultes fusent à son égard.

- Regardez-moi cette bourge à gros seins. Quelle honte de les cacher. Tu ne devrais jamais porter de soutien-gorge !

- Oui, une vraie vache à lait. Tu as bien dû nourrir tes mômes. Aujourd’hui, il va falloir nous faire téter nous !

Ils éclatent de rire et continuent à plaisanter sur les gros seins de ma mère. Ils n’ont rien de bébés innocents et loin s’en faut. Ce sont de véritables salopards pervers et irrespectueux. Ils restent là, à bien lorgner sur les énormes nichons, mater son cul et son sexe avec un désir salace. Voilà ma mère totalement nue dans le salon entourée d’une bonne vingtaine de gars prêts à la baiser. Certains se branlent et éjaculent déjà en la voyant. Ils essuient leurs grosses queues avec les histoires. Le sperme coule sur le canapé et il y en a aussi sur le sol. Ma mère a envie de vomir en voyant la scène.

Bientôt elle est saisie par les bras. Elle est mise à terre et on lui écarte bien les cuisses. Elle veut hurler et se débattre mais rien n’y fait. On lui montre le couteau pour la dissuader. Un des gars fourre sa tête entre ses cuisses et lui broute le sexe comme un porc. Sa bouche est prise par un autre larron qui lui insinue sa langue baveuse tandis que deux de ses amis tète un nichon chacun.

Il faut préciser que l’un des pervers à un camescope numérique et filme toute la scène depuis le début. Il fait des gros plans sur son sexe en train de se faire dévorer par un de ses ravisseurs.

Malgré toute sa volonté, son corps finit par céder au plaisir de la langue de cet homme. Ses tétons durcissent sous les succions et elle commence à gémir de plaisir. Gros plan sur sa bouche qui se fait rouler une pelle de folie et qui reçoit une bonne gorgée de bière pour la saouler. Sa bouche est à nouveau prise. L’homme filme les deux compères qui la tètent si fort que l’on voit des marques de succions autour des auréoles. Sa chatte est inondée, une vraie fontaine et l’homme décide de la baiser. Sa queue énorme rentre dans la chatte et entame des va-et-vient. Ceci est filmé toujours en gros plan.

La bouche laisse place à une énorme queue qui rentre jusqu’au fond de la gorge de ma mère qui, naturellement se met à pomper dur. Les deux gars qui s’occupaient de ses seins sortent leur queue et se branle entre les deux énormes loches. Ils giclent sur sa grosse poitrine. Le sperme dégouline partout sur elle. Elle en a sur les seins, le ventre et les cuisses.

D’autres prennent le relais et se branlent entre ses seins. Sa poitrine ne ressemble plus à rien tant elle est inondée de foutre chaud. Sa bouche accueille d’autres queues et elle se voit obligée d’avaler le sperme en énorme quantité. Son beau visage est éclaboussé. Ses beaux cheveux sont collés de foutre.

Puis on la retourne et la plaque sur la table du salon. Son cul bien en évidence. Des doigts lui écartent l’anus et on crache sur la rondelle pour la lubrifier. Certains s’essuient la bite avec les sous-vêtements de ma mère. Ils veulent eux aussi participer à la sodomie.

L’homme au camescope, un ignoble pervers fait un gros plan sur le trou du cul de ma mère. Il n’a pas arrêté de filmer. La première bite s’enfonce dans l’anus lentement et arrache un cri de douleur à ma pauvre mère dont c’est la première sodomie. Pauvre bourgeoise qui jamais n’aurait imaginé subir ce qui lui arrive. Puis l’homme lui ramone le cul de plus en plus vite. Il finit par gicler avec force. Ma mère sent se répandre dans ses entrailles le foutre de cet étranger qui la prend. Son anus est en feu et lui fait horriblement mal mais de toute façon, elle doit continuer à subir les assauts des amis de celui-ci.

Tout est filmé. Elle se fait enfiler tour à tour, la semence se répandant dans son corps. Sa bouche, de temps en temps, doit accueillir un sexe gonflé à bloc afin de faire patienter ses enculeurs. Malgré sa réticence, elle a quand même un certain savoir-faire dans l’art de la fellation. Tout le monde y a droit de toute façon. Son anus dégouline de partout, son visage et ses seins sont collés de sperme. Elle est à nouveau prise mais par les trois orifices à la fois et toujours dans le salon. Les bites s’enfoncent en elle et le sperme gicle à fond. Ses énormes seins sont malaxés, triturés et soupesés à de nombreuses reprises.

La séance de cul se déroule jusqu’à 23h30. Finalement, ils laissent ma mère reprendre son souffle. Elle est à terre, à poil et recouverte de sperme de la tête au pied en plein milieu du salon. Elle gémit de plaisir tout en étant honteuse d’avoir cédée à celui-ci. Moi, je suis écœuré. Je n’ai pas éprouvé autant de plaisir comme lorsque j’écrivais les histoires. La réalité est terrible et bien plus perverse. Ces salauds ont eu ce qu’ils voulaient. Ils se refroquent :

- Bon, tu avais raison à propos de quelques trucs sur ta mère. C’est vrai qu’elle est bien bonne à baiser et qu’elle a des seins énormes ! Dommage qu’elle soit moins salope, c’est tout.

Et ils rigolent tous à nouveau.

- Maintenant, on s’en va ! on va emmener ta mère avec nous pour bien la finir dans un coin. T’as pas intérêt à moucharder aux flics sinon on diffuse les images sur le net. On va les garder entre pervers. On te la ramènera bien baisée demain soir peut-être. T’auras qu’à dire qu’elle est malade et qu’elle ne pourra pas bosser demain. Elle sera bien trop occupée.

Les pervers du net embarquent ma mère à poil et toute souillée dans la fourgonnette. Elle ne résiste pas car elle est vaincue, humiliée et résignée à ce qui va lui arriver. Elle se laisse porter comme un vulgaire sac de patate prête à accepter l’idée d’être traitée comme la pire des truies pendant des heures et des heures. Ils s’en vont donc lui faire subir les derniers outrages quelque part. Moi, je reste comme un misérable en me maudissant d’avoir écrit cette saga qui a fini par se retourner contre moi.

A suivre...


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