lundi 22 octobre 2018

Juge Kimmy Ch. 01

Juge Kimmy- récit érotique  domination soumission viol chantage Interracial

Traduction d'un récit de Doctor_devon.

**************

Début de soumission à un homme noir.                 

Je n'oublierai jamais le jour où ce colis est arrivé par la poste, une petite boite qui allait changer ma vie pour toujours. Tout d'abord, laissez moi vous parler de moi. Je m'appelle Kimberly. Je suis une femme blanche âgée de 38 ans qui, bien que travaillant énormément, s'applique à garder un corps ferme et tonique. Je fais du droit depuis 17 ans et je n'ai jamais pris le temps de penser à fonder une famille. De puis longtemps maintenant, j'ai un petit ami qui s'appelle Éric et qui s'est résigné au fait que nous ne nous installerions jamais pour élever des enfants.

Diplômée en droit avec mention, je suis devenue la plus jeune femme à être nommée juge à la Cour Suprême de l'Etat. Je mentionne cela, car c'est la cause pour laquelle je me retrouve dans la situation où je suis maintenant.

L'année dernière, dans mon tribunal, un homme a été reconnu coupable de cinq viols. Le jury a rendu son verdict. Et j'ai condamné l'homme à la peine maximale, la prison à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. Lenny WILSON ne verrait plus jamais la liberté. Je me souviens du regard qu'il me lança quand il sortit de la salle d'audience. Même si j'étais satisfaite du résultat, son regard me donna des frissons dans le dos.

Il y a quelques mois, je participai à une grosse réunion avec des avocats, des juges, et des universitaires en droit de haute réputation. C'était sensé être un congrès sur des questions qui concernent notre communauté. Mais comme d'habitude, ça a fini par un repas où les gens se rencontrent et boivent un peu plus que raison. Bien que je sois sobre, il est agréable de temps en temps de boire un peu pour oublier les conneries que je traite dans mon tribunal tous les jours. C'était un vendredi et je pouvais souffler un peu durant trois jours avant de reprendre le travail lundi.

Alors que ce type d’événements se terminent toujours de la même façon, celui-ci se termina différemment. Comment pourrais-je l'expliquer autrement ? Je me suis réveillée dans une chambre de motel, nue, avec des signes évidents que j'avais fait l'amour. Avec quelqu'un... mais qui ? Je me souviens avoir pensé à mon réveil que j'avais été trop loin avec les boissons cette fois-ci.

Comme je n'avais jamais expérimenté les pertes de mémoire, je m'inquiétais comme on peut s'en douter : Mon copain allait-il l'apprendre ? Était-ce quelqu'un de mon bureau ? Je ne craignais par d'être enceinte car je prenais la pilule depuis toujours. Et je ne risquai pas de maladies vénériennes car les gens qui assistaient au congrès n'étaient pas du genre à en avoir.

Les semaines passèrent, et même si cette histoire me traversait parfois l'esprit, j'essayai d'oublier ce souvenir. La seule chose que j'avais retenu était de moins boire à ces occasions.

Puis vient ce vendredi où le colis est déposé devant ma porte et je le trouve en arrivant à la maison. Je l'emmène à l'intérieur puis je me déshabille, enfile un peignoir en soir, me verse un verre de vin. Enfin j'ouvre le paquet. A l'intérieur se trouvent une cassette vidéo et une enveloppe. Sur celle-ci est écrit « Regarder la vidéo d'abord ». Eh bien, ce n'est pas la première fois que je reçois du courrier à la maison concernant les affaires traitées dans mon tribunal. Je mets la cassette dans le magnétoscope et j'appuie sur « play ».

Je me fige. Sur le grand écran du téléviseur, je me vois, nue, en train de baiser avec deux blacks. Mais ce n'est pas le pire, mon sang se refroidit quand je reconnais l'un des garçons sur la vidéo. Il s'agit de Devon WILSON, le jeune frère de Lenny WILSON. Je me souviens de lui dans ma salle d'audience. Oh mon Dieu! Il a 18 ans. Mes yeux sont fixés sur la scène à l'écran. Ces deux garçons m'utilisent comme une pute et on dirait que j'apprécie. Comment ça se fait? Puis je reconnais la pièce. C'est la chambre du motel dans laquelle je me rappelle m'être réveillée. Je suis étourdie, mon cerveau est embrumé, mon cœur bat à cent à l'heure. Je n'arrête pas de me poser des questions. Comment...? Alors je déchire l'enveloppe et y trouve une lettre. C'est court, écrit par la main de Lenny WILSON. Elle dit :

« A présent tu te rends compte de ton erreur salope! Les deux garçons dans cette vidéo ont 18 ans et l'un d'entre eux est mon frère. Tu sais ce qui peut t'arriver d'avoir une relation avec un membre de la famille d'un condamné dans ton tribunal. Mon frère est prêt à dire que vous avez offert d'alléger ma peine s'il avait des relations sexuelles avec vous. Donc voilà ce que je te propose : Cette cassette deviendra publique à moins que tu ne fasses tout ce que je te dis à partir de maintenant. Et je veux bien dire TOUT. Tu retourneras à cette chambre de motel ce soir à 20 heures. Quelqu'un t'attendra et tu feras tous ce qu'il te dit, comme si ça sortait de ma propre bouche. Si demain on me rapporte que tu ne t'es pas montrée, alors tu feras les gros titres des journaux demain soir.

Je me suis assise, complètement abasourdie, incapable de détourner les yeux de l'écran de télévision. Je regarde les deux garçons se relayer pour glisser leur bite dans ma bouche. Ils rigolent et me demandent de me masturber. Je le fais sans poser de questions.

Soudain, je suis choquée. Je réalise que ma main est entre mes jambes et distraitement je caresse ma chatte à travers la culotte. Mon Dieu, je mouille un peu aussi. L'humiliation me submerge et je cours vers le magnétoscope pour l'éteindre. En appuyant sur le bouton « arrêt », je remarque qu'un des garçons a éjaculé sur mon visage. Ma tête commence à tourner et la dernière chose dont je me souviens avant de m'évanouir est que mes jambes sont faibles.

Quand je me réveille, le téléphone sonne. Je panique car je n'ai aucune idée de l'heure. Je regarde l'horloge tout en attrapant le téléphone. Il est presque 19 heures. Et c'est mon copain Éric qui appelle.

- Hé Kimmy, es-tu prête? Demande-t-il.

J'ai complètement oublié que nous avions rendez-vous. Je bégaie :

- Euhhh... Éric... J'ai un contretemps, je vais devoir reporter notre rendez-vous.

Je sens qu'il est déçu et ça me brise le cœur. Mais je ne peux pas lui dire ce qu'il se passe. Comment le pourrais-je? Même si nous nous aimons, il n'est pas question que quelqu'un voit cette bande. Et il n'est pas question qu'elle soit rendue publique.

Dans ma tête, je sais que j'ai été violée, qu'un produit a dû être versé dans mon verre lors du congrès mais plus rien ne compte, je n'ai pas le temps d'examiner toutes les options qui peuvent se présenter.

Rapidement je me douche et je m'habille. J'enfile un costume de travail. Pourquoi? je ne peux pas l'expliquer. Peut-être est-ce parce que je m'habille ainsi sous ma robe de juge. Cela me donne un sentiment de pouvoir. Il est bientôt 19 heures 30 et je monte dans ma voiture pour aller au motel.

J'y arrive à 20 heures presque. Je ne perds pas de temps pour me diriger vers la chambre au rez-de-chaussée à l'arrière du bâtiment. Je vois que les rideaux sont ouverts et il y a une lumière dans la pièce. Ma montre fait un bip pour m'indiquer qu'il est 20 heures. Je frappe à la porte.

Je suis mortifiée lorsque c'est Devon WILSON qui ouvre la porte. Je regarde à l'intérieur et je ne vois personne d'autre.

- Entre chienne! Dit-il simplement.

J'entre dans la chambre, la colère commençant à surmonter la peur que j'éprouve. Je lui dis :

- Ecoutez jeune homme, vous êtes en train de vous impliquer dans un crime. Voulez-vous vraiment finir comme votre frère?

Je ne le vois même pas bouger mais je sens une main me frapper durement le visage. Je tombe en arrière sur le lit. Il me dit méchamment :

- Tu vois salope, mon frère était toujours là pour moi jusqu'au moment où tu l'as envoyé en taule pour toujours. Maintenant tu vas payer avec ta chatte.

Je commence à dire quelque chose quand une autre gifle tombe, plus fort cette fois-ci. Je tombe par terre à côté du lit. Devon met en route un film sur le magnétoscope dans la chambre. Avec horreur et honte, je suis confrontée de nouveau aux images de moi avec les deux garçons. L'effet est immédiat, je reste figée devant la télé.

Pendant que je regarde Devon m'explique que Lenny « possède » des gens dans la police, l'administration pénitentiaire et même dans le système judiciaire. Cependant, il n'avait pu m'influencer à l'époque de son jugement. Maintenant il utilise ses contacts pour mettre en place ce chantage et je n'ai pas de chance de m'en sortir. Je regarde la télé. Je ne dis rien, mais je sais qu'il a raison. Je suis impuissante. Alors je commence à pleurer.

- S'il vous plaît Devon, j'ai de l'argent, je paierai pour la cassette.

Il attrape mes cheveux et tire ma tête vers lui, m'empêchant de regarder la télé.

- Je ne veux pas de ton argent salope! Je vais faire de ta vie un enfer pour nous avoir gâché notre vie à Lenny et moi.

La peur revient dix fois plus forte.

- Maintenant chienne, mets-toi en culotte!

Sans vraiment en être consciente, je commence à enlever mes vêtements, en pleurant encore plus fort. Quand j'en suis à la culotte, il prend le reste de mes vêtements et quitte la chambre en me disant de ne pas bouger. Je deviens consciente des rideaux ouverts et j'ai encore plus peur. Je me dis que quelqu'un pourrait passer et me voir ainsi exposée, un juge respecté, un huissier de justice.

Mais mon attention est attirée par la télévision. La scène qui passe est celle après que le jeune gars m'ait giclé sur le visage. Devon m'a courbé et me baise en levrette. Bien que n'étant pas une personne ayant des préjugés, je n'avais jamais envisagé de coucher avec un homme noir. Pourtant sur la bande ils sont deux. Je ressens de l'excitation. Non! Ce n'est pas possible! J'ai été violée par deux garçons noirs et je suis devenue le pion d'un autre violeur que j'ai mis en prison pour la vie. Pourquoi suis-je excitée alors? Mes pensées augmentent mon humiliation ce qui semble affecter mon excitation, la rendant plus intense. Mon Dieu!

Mes pensées sont interrompues par Devon qui revient de l'extérieur.

- J'ai mis tes vêtements et tes clés dans le coffre de ma voiture petite garce! Tu ne peux pas partir d'ici à moins que tu ne veuilles sortir nue.

Puis sans d'autres paroles, il glisse un doigt dans ma culotte jusqu'à ma chatte.

Comme je le craignait, je mouille un peu. Il rit.

- Putain de salope, tu apprécies ce traitement.

Je commence à protester, et pour une raison stupide à nier, quand il me gifle à nouveau.

- J'ai dit que tu appréciais ça. N'est-ce pas salope?

Les larmes recommencent à couler et je dis simplement :

- Oui.

Une autre gifle tombe sur ma joue.

- Quoi salope? je ne t'entends pas!

- Oui Monsieur. Dis-je plus fort.

Je ressens une nouvelle forme d'humiliation. Je suis ici, maltraitée par quelqu'un vingt ans plus jeune que moi. La pensée traverse mon cerveau et je sais que je mouille encore plus.

- Joue avec ta chatte petite chienne! Montre-moi comment tu sais t'occuper de toi!

Ma main descend dans ma culotte, je suis trempée. Alors que je caresse mon clitoris, je pense aux rideaux ouverts, à la porte déverrouillée, à la télé qui me montre subir les assauts sexuels de deux hommes noirs. Je suis complètement excitée. Je fais tout ce que je peux pour rester debout. J'ai chaud, ma tête tourne, mon visage rougit, l'humiliation me submerge.

Puis je jouis. Oh mon Dieu! Je ne me rappelle pas avoir eu un orgasme aussi intense de ma vie. C'est alors que je remarque le caméscope dans la main de Devon. Merde, il enregistre ça aussi! il aura maintenant deux enregistrements sur moi.

Alors que bizarrement, j'ai eu un orgasme, je n'arrête pas pour autant de frotter ma chatte. Je remarque même que je frotte plus fort. Jamais dans ma vie, je n'avais été multi-orgasmique, mais là, dans cette pièce avec ce garçon qui me domine, je jouis de nouveau. L'orgasme est surement plus intense que le premier car je tombe à genoux.

Quelques secondes plus tard, mes pensées s'éclaircissent et je remarque que même avec ce qui vient de se passer, je continue à me masturber. Je le fais si violemment que ça me fait mal, surtout que ma chatte est encore plus sensible après les deux orgasmes. Pourquoi fais-je cela? Pourquoi je n'arrête pas? Je me rends compte alors, pour la première fois de ma vie, que j'ai peut-être besoin d'être abusée d'une manière ou d'une autre. Depuis toujours, j'ai été une femme prude et convenable, contrôlant tous les aspects de ma vie. Maintenant je suis impuissante et quelque chose à l'intérieur de moi s'est cassé. Je sens qu'un autre orgasme est sur le point de me traverser. Mais Devon dit :

- Arrête!

Je pleure presque en retirant ma main. Mais cette fois parce que je n'ai pas le droit de continuer. Le garçon me demande de monter sur le lit. Je le fais sans poser de questions. Il jette un sac de marin à côté de moi et me dit de l'ouvrir. A l'intérieur je vois plusieurs godes de différentes tailles et d'autres objets dont, bien que je ne sois pas naïve, je n'ai aucune idée de leur utilisation. Devon filme toujours. Il m'ordonne de dire à quiconque regarderait la cassette ce que je suis. Je reste muette un moment... Puis les mots jaillissent de ma bouche :

- Je suis une salope, une salope pour bites noires.

Je ne me suis pas touchée depuis que le jeune homme m'a dit d'arrêter, mais mes mots m'ont presque fait jouir. Je sais que n'importe qui pourra voir ça et entendre ce que je viens de dire, sans être forcée par Devon. J'ai juste admis que je suis une salope. Que penseraient mes collègues? Mon Dieu, et Éric... mes parents...?

Le jeune noir me demande d'enlever ma culotte. J'obéis et je remarque que le tissu est bien mouillé par mon jus. Devon dit ensuite :

- Mets la dans ta bouche!

Mon cerveau hésite, mais ma main a tout simplement fourré la culotte dans ma bouche. Je peux ainsi goûter mes secrétions. Je réalise que ma respiration devient plus courte. Mon excitation augmente encore.

- Baise-toi salope! Ordonne Devon.

J'attrape le plus gros gode que je peux voir et je le pousse dans ma chatte. J'ai un peu mal car il est assez gros et épais. La douleur atteint mon cerveau et l'idée d'être maltraitée revient aussi. L'orgasme qui m'a été refusé plus tôt éclate. MON DIEU! Cela fait à peine quelques secondes que je me baise. Je pousse le gode aussi profondément que je peux puis je le retire. Ma respiration par le nez est laborieuse. La douleur de ce gode qui m'a fait jouir continue. Je peux sentir mon jus couler vers mon trou du cul.

Alors que je me remets de mon orgasme, je remarque Devon debout à côté du lit, son jeune sexe complètement érigé. Je remarque que même s'il est jeune, il est plus grand que celui d'Éric. Le jeune noir se penche et pousse brutalement un gode de forme bizarre dans mon cul, mon jus agissant comme lubrifiant. Je réalise que sa forme bizarre l'empêche de ressortir. Sous la douleur et l'humiliation du viol de mon trou du cul, j'ai de nouveau un orgasme.

Il enlève la culotte de ma bouche et il la remplace par sa queue d'ébène. Ce n'est pas une fellation car il me baise le visage. Chaque poussée de sa bite menace de m'étouffer ou de me faire vomir. Il met la culotte sur mon nez et ma respiration est encore plus difficile. Je fais mon possible pour aspirer un peu d'air. Je réalise aussi que j'ai recommencé de pilonner ma chatte avec le gode. Je le sens qui bute contre mon plug anal. Avec ma main libre, je titille mon clitoris. Puis après quelques instants, je le gifle.

Soudainement et sans avertissement, Devon retire sa bite de ma bouche et éjacule sur mon visage. J'avais vu la même scène dans la vidéo mais sinon on ne m'avait jamais fait subir ce traitement. Cette humiliation supplémentaire m'excite encore plus et je m'évanouis sous un autre orgasme.

Je me réveille quand Devon retire violemment le plug de mon trou du cul. Je suis trempée de sueur, de sperme et de mon propre jus. Je remarque que le caméscope est maintenant éteint et que mes vêtements sont sur la chaise. La télé est éteinte, mais les rideaux sont toujours ouverts et la porte toujours déverrouillée. Devon dit simplement :

- Nous restons en contact salope!

Et il me laisse la, dans le silence. Tout ce qui vient de se passer me traverse l'esprit. Je suis toujours terrifiée en sachant que je ne peux rien faire d'autre que de suivre leurs ordres. Les images repassent dans ma tête et je me retrouve à me masturber à nouveau. J'ai eu cinq ou six orgasmes alors que d'habitude je n'en ai qu'un seul, et seule dans cette chambre, après avoir été violée et abusée, je recommence à me masturber. Je pense aux rideaux ouverts et à la porte déverrouillée et je me dis que maintenant que Devon est parti, n'importe qui peut entrer et continuer à m'utiliser. Une partie de moi espère que quelqu'un vienne. Puis je pense à Éric... Saura-t-il jamais de quelle salope il est amoureux ? Cette pensée est suffisante pour que je me masturbe plus brutalement et que je me doigte. J'ai un nouvel orgasme.

A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours