mardi 9 octobre 2018

A la merci de mon beau-frère. Ch 07

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Découverte forcée du gouinage.


En sortant de la boite, Yan agrippa ma main et me tira à l'extérieur et m'entraîna sur une allée qui contournait le bâtiment. J'avais vu faire cela dans un film et j'avais toujours voulu essayer de le faire, il me mena à une clôture entourant quelques bûches, il me courba en arrière contre le tas de bûches et sortit sa bite.

- Prends appui sur le fil au-dessus de ma tête, verrouille tes jambes autour de ma taille et empale-toi sur mon chibre ! M'ordonna-t-il avec autorité.

Il ne me semblait pas d'humeur à écouter mes protestations aussi suivis-je ses instructions sans dire un mot. J'avais vaguement espoir que le fait de me baiser ici le distrairait de son intention de se rendre dans un autre club. J'appréciai d'être prise de façon aussi énergique. Je contrôlai le rythme de sa chevauchée me levant et m'abaissant pour engloutir sa bite au cœur de ma féminité. Le fait que les patrons du club nous regardent baiser à quelques mètres de nous accroissait mon excitation. Une paire d'ivrognes qui descendait l'allée ouvrirent des yeux ébahis en nous voyant faire. J'étais légèrement déconcertée lorsque en ayant fini de baiser je réalisai qu'ils avaient assisté à notre performance, appuyés au tas de bois, se masturbant allégrement tout en nous reluquant en train de baiser. Soulagée, je suivis Yan sans discuter lorsqu'il m'entraîna par la main. Je paniquai lorsqu'on arriva au club qu'il avait mentionné plus tôt.

- Qu'as-tu encore programmé ? Lui demandai-je anxieuse.

- Je ne laisserai en aucune façon une bande d'étrangers me violer avec ton accord !

- Ecoute chérie, je te donne ma parole que si tu obéis sagement je serai le seul à te baiser cette nuit ! Tu dois bien admettre que je ne t'ai jamais menti... Tu peux me croire...

- J'espère que c'est vrai ! répondis-je avec un grand soupir.

- T'es bien capable d'attendre les douze coups de minuit et clamer alors que techniquement tu as tenu parole même s'ils ont eu des relations sexuelles avec moi sans pour autant me baiser !

- C'est justement ce que je veux que tu expérimentes !

Yan soupira.

- D'accord, je sais tout cela ! Je jure que lorsque tu rentreras à la maison, seule ma bite aura plongé dans ta chatoune ou tout autre partie de ton individu tant que tu m'obéiras aveuglément ! Cela te convient-il ?

Je réfléchis quelques secondes, cette promesse me semblait encourageante mais l'éclair malicieux dans ses yeux me gênait quelque peu. Enfin j'avais déjà de la chance de lui avoir arraché cette promesse. Je savais, d'après les expériences précédentes qu'il était tout à fait capable de me ligoter et de me faire baiser par de nombreux hommes s'il en avait envie. Bien que mal à l'aise, je capitulai et le suivis à l'intérieur de la boite.

C'était une de ses boites enfumées où l'on buvait copieusement réunis autour d'une piscine. Une forte femme qui aurait été tout à fait à sa place dans un saloon de western dirigeait le bar. Yan prit plusieurs boissons et m'entraîna dans une des salles du fond. Une table de snooker emplissait la pièce, ça semblait être le seul meuble avec un juke-box décrépit.

Yan me donna les boissons et me les fit boire le temps que la salle se remplisse graduellement.

- Et maintenant je veux que tu grimpes sur le billard et que tu fasses un strip-tease pour ces aimables consommateurs !

Je le regardai, incrédule.

- T'es cinglé ! Il n'est pas question que je me foute à poil ! Protestai-je vigoureusement.

Il sourit cruellement.

- Ma promesse ne compte que si tu m'obéis aveuglément ! Me rappela-t-il narquoisement.

- Je suis sûr que je me divertirai beaucoup à voir tous ces hommes te sauter !

- Tu ne devais pas ! Protestai-je sachant très bien que je pouvais toujours contester, de toute manière il ne tiendrait aucun compte de mes dénégations.

- Je vais jusqu'au juke-box mettre un peu de musique. D'une façon ou d'une autre tu vas divertir l'assistance. A toi de choisir comment ! Et surtout ne pense pas que tu puisses t'enfuir. Toutes les issues sont verrouillées, tu ne ferais que les rendre agressifs. Si cela arrivait, je serais bien incapable de les contrôler. Tu ne veux pas que cela se passe si mal, n'est-ce pas ?

Avais-je réellement le choix ? Il m'invitait à honorer ma promesse. Si je me pliais à sa volonté rien de pire que cette humiliation ne devait m'arriver. Je grimpai sur la table de billard et priai pour ne pas avoir l'air trop ridicule.

La musique retentit, un air connu avec ligne de basse palpitante. Je sentis des dizaines de regards ramper sur mes appâts lorsque je me mis à bouger. Je lançai la tête en arrière et fixai mes yeux sur la frise murale faisant le tour de la pièce. Je cherchai à m'abstraire de ce que je faisais, le seul moyen était de bloquer mon esprit sur d'autres choses. Je cherchai à me concentrer sur cette foutue frise admirant le travail des artistes qui avaient produit cette œuvre, me demandant si je pourrais en faire faire autant dans ma demeure.

Déjà j'avais fait glisser ma courte veste sur mes épaules, la jetant sur le billard. Les spectateurs applaudissaient et tapaient des pieds au rythme de la basse. Je commençai à défaire le nœud fermant ma brassière tout en paradant, faisant le tour du billard. Je me penchai en avant et dégrafai les attaches du bas de mon sarouel.

Cela devenait de plus en plus difficile d'oublier ce que je faisais et de me déshabiller en même temps. Comme je me tortillai au son de la musique je découvris avec stupeur que je ne pouvais pas voir les spectateurs sans trop de gêne. Les lumières étaient dirigées sur le billard alors que le reste de la salle était plongé dans l'obscurité. Cela me facilitait la tâche, je m'en réjouis profondément. La fermeture du sarouel à la taille consistait en une simple agrafe que je dégrafai aisément. D'un geste théâtral je jetai mon sarouel dans l'assistance.

Balançant des hanches au rythme des battements de la basse je fis le tour de la table de billard vêtue uniquement de ma brassière et de mon string ficelle, une paire de clochettes suspendues aux chevilles. J'entendais les spectateurs trépigner et siffler alors que je portais les doigts à la ceinture de mon string, le nœud de ma brassière lâcha enfin, je la jetai immédiatement dans la foule des spectateurs et couvris mon buste du bras et continuai à danser lascivement. Les spectateurs chantaient en chœur :

- Montre-nous tes nibards chérie, montre tes nibards...

Les applaudissements crépitèrent lorsque j'écartai mon bras leur exposant mes nibards qui dansaient au rythme de mes pas. Je dois admettre que le bourdonnement appréciateur émanant de la salle me réjouit. Dopée par ces salves de satisfaction, je me tortillai et me secouai au rythme des battements de la musique. Quelques mains me palpèrent furtivement lorsque je passai à leurs portées.

J'essayai d'enlever avec grâce mon string alors que les battements musicaux grandissaient. Je l'ôtai simplement et fis un quart de tour sur la table. Les dernières notes de musique moururent emportant toute mon assurance.

D'une manière ou d'une autre je devais maintenant descendre de cette table pour récupérer mes vêtements. Je repérai le visage de Yan dans l'obscurité et rampai vers lui. Je balançai mes jambes sur l'arête du billard afin de sauter à terre, mais je me retrouvai confrontée à un gros problème.

Des mains avides se tendaient de toutes les directions pour palper mon corps. Elles m'agrippèrent et me tirèrent dans toutes les directions, je commençai à paniquer. Je pus entendre la voix de Yan disant à tous de se calmer. Graduellement les mains se firent plus caressantes, moins rudes.

Cependant j'étais épinglée à plat dos sur le billard cuisses grandes ouvertes alors qu'une multitude de mains et de bouches se régalaient de mes charmes. Je tentai de me débattre, mais c'était parfaitement inutile, ils étaient bien trop nombreux à me convoiter.

Imperceptiblement je pris conscience qu'en particulier, une paire de mains semblait amadouer et calmer mon corps traumatisé. Graduellement j'oubliai les autres mains qui palpaient mon corps pour me focaliser sur le propriétaire de ces mains qui m'apaisaient. Elles parcouraient ma jambe de la cheville à la face interne de mes cuisses, montant plus haut à chaque incursion.

Les sentant arriver au sommet de mon entrecuisse je retins ma respiration attendant qu'elles s'emparent de ma chatte. Elles hésitèrent un long moment, puis un doigt extrêmement doux vint effleurer mon clito, éveillant dans mes lombaires une multitude d'ondes électriques qui me firent mordre mes lèvres pour ne pas supplier leur propriétaire d'aller plus loin.

Ses doigts entreprirent d'agacer mon clito, l'intensité des frissons parcourant mon corps s'accrut encore. Une langue habile ne tarda pas à rejoindre ces doigts fouineurs mâchouillant mon clito alors que la main exploratrice se pressait contre ma chatte. Son autre main serpenta vers le haut et trouva mes nibards, elle commença à les pétrir savamment.

Elles me caressaient sur un rythme extrêmement lent qui me torturait. J'arquas mes hanches espérant l'amener à manipuler mes appâts plus lubriquement. Ces mains ignorèrent ma demande et continuèrent sur le même rythme lancinant.

Le revers de sa main glissait avec facilité dans le sillon embrasé de ma chatoune alors que sa bouche suçait délicatement mon clito. Mes nibards répondaient à ses caresses, les tétons dardaient comme jamais, à la limite de la douleur.

Une dernière pression sur ma foufoune et déjà un orgasme d'une rare intensité me terrassa.

Je repris lentement mes esprits pour constater que ces mains tripotaient toujours ma chatoune alors que sa bouche avait migré vers mes nibards. Cette douce sensation de chaleur enrobant mes nichons me fit succomber à un nouvel orgasme tout aussi puissant. Il me semblait que les cheveux blonds frôlaient la peau de mon ventre.

Des lèvres pressées sur les miennes, une langue impatiente envahissant ma bouche, me firent reprendre de nouveau pied dans la réalité. Je pensai que je devais goûter à cette langue étrangère qui s'occupait si bien de moi. L'excitation gagna tout mon corps mais il me semblait cependant que quelque chose clochait !

Je compris alors la source de mon malaise : alors que je m'arquai sur les talons je me trouvai face à quelque chose d'inattendu. Nulle érection ne frôlait mon visage mais bien au contraire un mont de Vénus rasé. Comprenant que j'avais réalisé, mon amoureux s'assit et me sourit sardoniquement. Sans aucun doute c'était une femme et une très belle femme ce qui empirait encore la situation.

Elle avait de longs cheveux blonds et une poitrine opulente. Horrifiée, je tentai de me dégager mais je fus maintenue fermement en place. Un cercle d'homme nous cernait, épiant attentivement chacun de nos mouvements. Beaucoup se branlaient imperturbablement.

Je sentis cette main qui m'était maintenant familière glisser entre mes cuisses et elle se pencha sur moi reprenant mes tétons en bouche. Je tentai de résister, mais mon corps se foutait bien de savoir de quel sexe était la personne qui le mignotait.

Au moment où je jouis, elle se pressa contre moi me faisant bien comprendre que c'était elle l'artisan de ma jouissance. Puis, elle s'écarta et je priai pour qu'elle en ait fini avec moi, mais elle revint vers moi très rapidement. Elle s'agenouilla entre mes cuisses et fourra un gode à deux bouts dans sa chatte, puis elle inséra l'autre extrémité dans ma chatte détrempée et pesa de tout son poids sur moi.

Ce gros pal de plastique glissant dans ma cramouille me procura des sensations inouïes, je ne pus m'empêcher de gémir de plaisir. Elle pressa son clito contre le mien, puis elle se pencha en avant de telle façon que ses tétons dardés frottent contre les miens à chacun de ses mouvements. Je cherchai de toutes mes forces à penser aux choses qui me révulsaient le plus afin d'endiguer les vagues de plaisir qui déferlaient dans mes reins. Mais dès qu'elle se mit en action je perdis tout contrôle de mes sens.

Elle devait aussi être très excitée parce qu'elle jouit presque immédiatement. Je pouvais sentir chacun de ses muscles se crisper et se détendre tant elle pressait son corps contre le mien. On jouit de concert nous tortillant lascivement l'une contre l'autre créant de nouvelles sensations enivrantes. Je n'avais jamais imaginé, encore moins expérimenté d'émois aussi incongrus. J'étais si serrée contre elle que je pouvais sentir son sang bouillonner dans ses veines, je savais qu'elle ressentait les mêmes émotions que moi. Et cependant, toutes les fibres de mon corps hurlaient que ce n'était pas bien. Je n'avais jamais été attirée par les femmes jusqu'ici.

Si j'avais su plus tôt que c'était une jeune femme qui me caressait, je n'aurai ressenti que de la répulsion, mais le temps que je le réalise, j'étais sous le charme. Je rebondis d'orgasme en orgasme, j'étais totalement incapable d'exercer un quelconque contrôle sur mes sens.

Yan m'avait violée et humiliée bien des fois, mais il me semblait que cette fois c'était mon âme qu'on violait.

Elle se redressa et se débarrassa du double dong, je pris conscience que les hommes qui se branlaient nous avaient consciencieusement aspergées de foutre. Quelqu'un me tendit mes vêtements et, honteuse, je me rhabillai prestement.

La foule des spectateurs se dispersa lentement et je me retrouvai rapidement en compagnie de Yan dans un taxi qui nous ramenait à la maison. Je ne protestai même pas lorsqu'il me réclama une pipe pour passer le temps.

Aussitôt rentrés, il sortit une petite caméra vidéo de sa poche et m'entraîna à l'étage. Il brancha la caméra sur l'écran télé et me baisa lubriquement alors que la scène qu'il avait filmée se déroulait sur l'écran. En inclinant la tête je pouvais voir chaque étape de ma dégradation, petit à petit mon engourdissement se transforma en colère brûlante.

Alors qu'il jouit en moi, je jurai que je trouverai un moyen de le faire souffrir comme il venait de me faire souffrir.

A suivre…

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