dimanche 13 juin 2021

Un fils indigne Ch. 05

Texte de Géronimo (Elko)

Soumission de la mère de Chris.

J'arrive dans la cuisine et j'aperçoit immédiatement ma mère, Isabelle, debout devant l'évier en train de faire la vaisselle du petit déjeuner. Je sens mon ventre s'embraser. Elle est vêtue d'une espèce de kimono en soie ultra court qui s'arrête à la limite de ses fesses. Elle est juchée sur ses mules à talons. 

Je m'approche d'elle silencieusement et me collant subitement, avançant mon ventre pour qu'elle sente mon sexe bien dur, je lui empoigne ses seins par la même occasion. Elle sursaute et tente de se dégager mais je la coince contre l'évier. Ma main se faufile sous le kimono et je lui touche la chatte, introduisant mon index dans sa fente. Je la retourne et elle me regarde avec cet air qu'elle a toujours quand j'ai envie de la baiser. Un regard de reproche et de soumission. J'appuie sur ses épaules et lui ordonne de me tailler une pipe. La petite pipe du matin pour se mettre en forme et bien commencer la journée. Elle s'agenouille et baissant mon caleçon sur mes cuisses , prend ma bite à pleine main, me branlant légèrement, avec douceur. Elle me regarde par en dessous... Soumise. Elle aspire ma queue et commence à me sucer. Me titillant le gland avec sa langue, me léchant les couilles, me masturbant. N'en pouvant plus, je la relève et l'allonge sur la table de la cuisine. Lui relevant les jambes à la verticale, je la pénètre de toute ma longueur. Elle pousse un gémissement quand elle sent ma queue s'enfoncer dans son ventre. Je commence les allers-retours, la pilonnant comme une brute tant je suis excité. Ma mère répond à mes va et vient, secouant sa tête de droite à gauche en poussant des petits cris brefs. Le regard fou, j'observe mon membre luisant rentrer et sortir du ventre de ma mère à une cadence infernale. Ma mère gémit, se plaint, supplie.

- Oui...Oui. Vas-y, salaud, bien à fond, bourre moi comme une chienne.

- T'es vraiment une salope !

- Oui, ta salope mon chérie, baise moi !

J'accélère mes coups de reins la pénétrant encore plus loin, elle crie chaque fois que je lui perfore la chatte. Je sens les picotements du plaisir arriver et je sors précipitamment du vagin de maman pour lui éjaculer tout mon sperme sur son ventre.

****

Depuis que maman a été contrainte par Chris de se faire sauter comme la dernière des putes dans l'arrière-salle d'un bar sordide, je rumine ma vengeance. Je sonne à la porte d'entrée du pavillon de Chris et c'est sa mère qui m'ouvre. Je vous ai déjà parlé de Nadine. Elle est plus petite que maman, je sais qu'elle est un tout petit peu plus âgée que ma mère, elle a 48 ans, des jambes magnifiques toujours mis en valeur. Sa poitrine est moins grosse que celle de ma mère mais ca n'empêche pas que j'ai toujours fantasmé sur elle. Aujourd'hui, j'ai décidé d'en faire l'instrument de ma vengeance. Nadine me sourit en me reconnaissant.

- Tiens, Gabriel. Comment vas-tu? Tu sais Chris n'est pas la.

Elle me fait la bise et j'entre.

- Je sais qu'il n'est pas la, c'est vous que je voulais voir.

Elle parait surprise mais ne dit rien. Nous nous asseyons sur le canapé.

- Je peux t'accorder quelques minutes mais pas plus, j'ai rendez vous avec une amie pour aller faire une partie de tennis dans notre club.

Elle n'avait pas vraiment besoin de me le signaler. J'ai failli avoir une éjaculation quand je l'ai vu. Elle est très sexy dans une jupette blanche sur des collants brillant satiné avec des baskets. Son polo Lacoste moule une poitrine agressive. Elle croise ses jambes et je ne peux m'empêcher de mater ses cuisses dévoilées par la jupe. Je prends un air contrit et commence à lui raconter mon histoire. Comment ma mère a été kidnappé et contrainte par Chris de se prostituer dans un bar. Et que j'ai toutes les peines du monde à empêcher maman de porter plainte à la Police.

Nadine devient aussi blanche que son polo. Bon, j'ai enjolivé un peu l'histoire, maman est très, très, loin de vouloir porter plainte mais enfin. Nadine reste les yeux dans le vague un instant, ses lèvres trembles puis elle se tourne vers moi, le regard larmoyant et demande d'une voix brisée.

- Mais que compte faire Isabelle ?

- Je pense que je peux arriver à la dissuader de porter plainte contre Chris.

Elle me regarde, de la reconnaissance dans les yeux.

- Tu ferais ça ?

Mon cœur bat très fort dans ma poitrine, le moment est arrivé, ça passe ou ça casse.

- A une condition.

- Laquelle ? Dis-moi ? Je ferais tout pour que Chris n'aille pas en prison.

C'est beau l'instinct maternel. Je me rapproche d'elle et pose une main possessive sur sa cuisse gainée de nylon. Je commence à la remonter doucement. Nadine se lève d'un bond, me repoussant, les joues rouges, le souffle court.

- Mais... Qu'est ce qui te prend enfin Gabriel ! Tu pourrais être mon fils !

Je me lève et la rejoint.

- Mais c'est vous qui venez de me dire que vous feriez n'importe quoi.

- Mais... Mais... Bafouille t'elle.

Elle me regarde avec effarement, pour la première fois, elle réalise que je suis un homme et qu'elle est une jolie femme et que, malgré la différence d'âge, j'ai envie d'elle. Je me colle presque à elle, elle ne recule pas. Je pose ma main sur un de ses seins et le malaxe un peu à travers le polo. On ne se quitte pas des yeux. Elle est toute rouge et recule de nouveau.

- Non... Non... Il ne faut pas.

Je fais mine de partir en lançant.

- Très bien ! Maman ira porter plainte ce soir. C'est combien la peine de prison pour agression sexuelle déjà ? 15, 20 ans non ?

Et pour chantage, c'est combien au fait ?

- Non! d'accord, d'accord. Je ferais tout ce que tu voudras.

Je me retourne, triomphant. Nadine me regarde les bras ballants au milieu de son salon.

- Soulève ta jupe.

Elle soulève doucement sa jupette blanche la remontant jusqu'en haut laissant apparaitre les cuisses fuselées et le string rose emprisonné dans le fin collant. Je lui demande de se retourner et elle obéit. Sa croupe moulée dans le nylon me fait l'effet d'un électrochoc !! Je me précipite et commence à lui malaxer son cul, le contact du nylon, sur mes mains, me donne un trique d'enfer. Je dois être un peu fétichiste. Collé à elle, je remonte mes mains et lui malaxe les seins. Cette fois, elle ne se dérobe pas. Ma main se faufile sous le polo, je sens un soutien-gorge.

- Déshabille toi, fais moi un strip-tease ! lui dis-je en m'installant dans le canapé.

Honteuse, rougissante mais une lueur trouble dans le regard, Nadine va allumé la radio et tombe sur une musique entrainante. Elle commence à danser, enlevant tout doucement sa jupette qu'elle laisse tomber à terre, apparaissant en collant. Son polo y passe aussi et je siffle en découvrant un soutien-gorge pigeonnant en dentelle rose assortie avec le string. Elle baisse son collant mais je l'arrête là. Je lui demande de venir me rejoindre. Elle commence à avancer, gênée par le collant toujours descendu à mi-cuisse .

Je claque des doigts.

- Non ! A genoux, salope !

Elle sursaute sous l'insulte mais s'exécute. Elle avance péniblement sur le dallage, ses seins ballotant. Quel pied de voir une femme qu'on a tant désiré être à vos pieds. Elle arrive prés de moi et je lui ordonne de sortir ma bite et de me sucer.

Elle me regarde avec un air outré mais d'une main tremblante elle s'active sur la fermeture de mon jean et dégage ma bite de mon caleçon. Ma queue jaillit comme un ressort. Elle observa un instant ma bite dressée devant ses yeux comme si elle se demandait quoi faire. J'appuie un peu sur sa tête.

- Vas y, suce moi salope, pompe ma bite et applique toi, fais comme avec ton mari.

Je prends un plaisir immonde à faire référence à son mari. Je frémis en sentant la langue de Nadine s'enrouler autour de ma bite. Ma queue s'enfonce dans la bouche brulante de la mère de Chris. Quelle vengeance !! Je dirige Nadine en appuyant sur sa tête. Elle monte et descend sur ma queue, salivant dessus. On n'entend plus que les bruits de succions et mes halètements. La maman de mon copain estt une sacrée suceuse !

Sa main tient mon sexe, j'observe avec plaisir ma bite qui disparait dans sa bouche aux rouge à lèvres carmins. Par moment elle me branle avec ses doigts aux ongles longs et vernis.

Je savoure cette fellation digne d'une professionnelle. Je donne des coups de reins involontaire voulant m'enfoncer encore plus loin dans la bouche de Nadine. Elle a des hauts le cœur par moment et ses yeux se remplissent de larmes.

Je relève Nadine et je la contrais à s'allonger par terre. Je baisse les balconnets de son soutien-gorge et suce les pointes de ses seins, les malaxant sans douceur, mordillant ses tétons. Elle pousse un gémissement. Le collant baisée, j'écarte le string découvrant sa fente. Elle est rasée, je caresse le simple duvet. J'introduis deux doigts dans sa vulve, elle est légèrement humide. Nadine n'est donc pas indifférente au traitement qu'elle subie depuis tout à l'heure. Je m'agenouille et lui relève les jambes. Je suce son clitoris, le mordillant légèrement, Nadine répond en donnant un imperceptible coup de rein. Je dirige mon membre vers son vagin et m'introdis dedans. Nadine sursaute mais ne dis rien.

- Je vais te baiser.

Pas de réaction. Je m'enfonce au maximum dans le con de Nadine et ressors pour m'enfoncer de nouveau de toute ma longueur. Je commence à lui donner des coups de reins. Je sens soudain les mains de Nadine m'agripper les avant bras.

- Oui... Oui... Baise moi à fond, défonce moi !

Tout content, j'accélére mes coups de reins, m'enfonçant encore plus dans le ventre de la mère de Chris. Je la lime en profondeur m'enfonçant jusqu'aux couilles. Nadine crie par moment, me suppliant de la déchirer. Je la retourne et la prends en levrette. Les mains crochées aux hanches grasses de Nadine, je la bourre comme un sauvage en poussant des cris inarticulés auquel répondent les gémissements de Nadine, la tête cachée dans ses bras et qui pousse des cris.

- Oh ! Oh ! Oh Mon Dieu ! Oui ! Oui !

Mon bassin va cogner contre ses fesses avec violence. Je serre tellement fort ses hanches que j'ai l'impression que je vais les briser. Mon ventre claque de plus en plus fort contre ses fesses. Je suis en sueur et j'entends Nadine qui halète comme si elle manque d'air, qu'elle n'arrive plus à respirer.

Je sortis du ventre de Nadine, la queue encore raide et appuie mon gland sur l'ouverture de ses reins. Nadine panique et crie :

- Non ! Non ! Pas ça ! Je ne l'ai jamais fait.

Je lui donne une claque sur les fesses en ricanant.

- Ce n'est pas vrai ? Tu veux me faire croire que t'es encore vierge du cul à ton âge ? C'est parce que la bite de ton mari n'est pas assez grosse ?

Je donne un violent coup de reins et ma bite rentre d'un coup dans l'anus de Nadine. Elle pousse un hurlement. Je savoure cet instant magique. Je suis en train d'enculer la mère de Chris ! Je commence à bouger permettant à Nadine de s'habituer à l'épaisseur de mon membre qui coulisse dans son trou du cul. Elle gémit sourdement et elle commence à onduler de la croupe. Je la saisis aux hanches et j'accélére mes va et viens, la pilonnant de plus en plus vite. Nadine pousse soudain un cri bref. Elle a un orgasme foudroyant qui la laisse pantelante, effondrée sur le sol. C'est totalement passive qu'elle continue à subir mes coups de bite dans son cul.

Je n'arrive plus à me retenir et je sors du cul de Nadine, j'empoigne ma bite et me masturbe au dessus du visage de la mère de Chris. Elle est en sueur, sa permanente est complètement détruite. Je me masturbe tout en lui enfonçant ma bite entre ses lèvres et en lui ordonnant de me sucer ce qu'elle fait avec un plaisir non dissimulé. J'éjacule en libérant des giclées de sperme qui vont s'écraser sur le visage de Nadine. Elle passe sa langue sur ses lèvres, avalant du sperme. Quelle salope !! Si j'avais su, je l'aurais baisé plus tôt !

Nadine est de nouveau prête pour aller faire sa partie de tennis. Maintenant que l'excitation est retombée, elle me dit que c'est mal ce que nous venons de faire et qu'il ne faudra pas recommencer. Hypocrisie charmante et typiquement féminine. Je lui fais un sourire enjôleur.

- Je n'ai pas l'intention d'arrêter... T'es une sacrée salope ! Tu seras à ma disposition si tu ne veux pas que ton fils apprenne tout et je te rappelle qu'il peut passer de longues années en prison à faire des pipes aux autres détenus.

Elle baisse la tête acceptant sa nouvelle condition de femmes soumise. Je suis assez fier de moi, tout comme Philippe et mon père je suis en train de me constituer mon petit harem. Et je me demande bien avec laquelle je vais pouvoir continuer à élargir mon cheptel. Si vous voulez le savoir, rendez vous au prochain épisode mes amis.

A suivre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci de vos retours