Traduction d'un texte de Vulgus par Coulybaca.
Une certaine routine s'installe.
J'arrivai chez Snake à l'heure, il me cria d'entrer. Il déjeunait, je nettoyai la maison pendant ce temps, puis je fis la vaisselle. Il me regardait travailler en costume d'Eve, puis il m'emmena dans la chambre et me baisa rapidement. Je lui suçai la bite pour la nettoyer une fois qu'il en eut fini. Il se redressa alors et saisit un petit paquet dans son armoire. Il m'enjoigna de l'ouvrir, sachant très bien ce dont il s'agissait, je n'en avais aucune envie, mais je l'ouvris lentement.
Je ne saurai dire de quoi il s'agissait, une étrange bande d'étoffe. Je supposai immédiatement que ce devait être un vêtement, plutôt du genre pute, mais je ne me figuraisabsolument pas comment cela pouvait se porter.
- "Bordel... " siffla Snake alors qu'il me regardait
- "Tu me sembles parfois particulièrement stupide... On dirait une sombre idiote ! Ne vois-tu pas ce que c'est ? C'est un simple maillot de bain ! Regarde !"
Il sortit une feuille de papier du paquet. C'était les instructions pour porter le maillot. En voyant les illustrations, je grinçai des dents.
- "Enfile ce foutu bikini, salope ! Et fais bien attention de ne pas l'endommager, j'ai eu assez de mal à le trouver ! Ils ne font plus que des bikinis, des magnifiques bikinis bien sur, peut-être bien que je t'en achèterais un bientôt."
J'empoignai la bande de tissu et lus attentivement les instructions. Je me redressai, la dépliai et l'enfilai, elle ne couvrait absolument rien, les deux fines bandelettes couraient sur mon buste et s'attachaient dans le cou, elles n'étaient pas plus larges que mes mamelons et étaient à demi-transparentes.
Pour le bas, les deux bandelettes se rejoignaient formant un étroit triangle de tissu qui descendait sur ma chatoune, empruntait le chemin de ma raie du cul et se liait à la taille. Mon cul était totalement dénudé, la partie qui était supposée dissimuler ma foufoune s'écartait à chaque pas exposant mes babines intimes.
Les sangles courant sur mes tétons ne me semblaient pas très stables non plus. Visiblement Snake aimait ma tenue. Il semblait particulièrement amusé de constater la vitesse à laquelle le foutre s'écoulant de ma chatte avait détrempé les lanières me passant entre les cuisses. Il me reluqua longuement, prit une paire de photos puis me dit :
- "Il y a une tondeuse à gazon derrière la maison, je veux que tu ailles couper les pelouses maintenant ! Des quatre cotés... Commence par le devant de la maison !"
Je jetais un œil sur ma tenue, j'étais quasiment nue, ne portant vraiment que des chaussures, ce n'était pas bien. J'acquiesçai et sortis à l'extérieur.
Je trouvai la tondeuse à gazon derrière la maison comme il me l'avait indiqué, c'était une vielle tondeuse à main, rouillée et lourde, et l'herbe n'avait pas été coupée depuis au moins deux semaines, la journée s'annonçait rude. J'essayai la tondeuse en la poussant sur la pelouse de devant. Une fois lancée, ce n'était plus aussi dur, mais cela restait tout de même une tâche très physique.
Je démarrai la taille de la pelouse devant la maison. Je devais arrêter de temps à autre pour réajuster le haut de mon maillot sur mes miches, les bretelles ne faisaient que descendre. En une dizaine de minutes je remarquai que les voisins s'intéressaient à moi et s'agglutinaient autour de la pelouse. Un homme sortit une chaise d'extérieur, traversa la rue et s'assit un verre à la main me regardant travailler. Bientôt un autre voisin le rejoignit.
Le temps que je termine la pelouse de devant il y avait presque une douzaine d'hommes et plusieurs femmes qui me reluquaient en train de tondre la pelouse de Snake. Toutes les maisons étaient proches les unes des autres et les bandes herbeuses étaient étroites aussi terminai-je rapidement l'avant et je pus me réfugier derrière la maison où personne ne me regardait travailler.
Cela me prit environ deux heures pour tout terminer, j'étais couverte de sueur lorsque j'arrêtai. Je gagnai la porte, enlevai mes chaussures salies et les nettoyai, puis je me nettoyai les pieds et les jambes avant d'entrer. Snake était assis dans le salon avec son voisin d'en face. C'était un vieil homme tout ridé, je pense qu'il devait avoir 65 ans environ. Il était presque aussi large que grand. Lorsque j'entrai dans la pièce, Snake me dit que le voisin se plaignaient de la tenue que je portais pour jardiner. "Très bien... Peut-être que je n'aurai pas le refaire.." pensai-je fugacement.
- "Je sais ce que tu penses, stupide salope !"
- "Viens ici et excuse-toi auprès de monsieur Steadman de l'avoir offensé !"
Je m'approchai de monsieur Steadman, me plantant devant lui et je commençai mes excuses, Snake me coupa la parole.
- "Espèce d'idiote, mets-toi à genoux pour t'excuser !"
Je me laissai tomber à genoux et levai les yeux sur l'ignoble vieillard tout en m'excusant :
- "Je suis désolée de vous avoir offensé monsieur Steadman... Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner ?"
- "Je crois bien qu'oui..." me rétorqua-t-il hilare. Pour commencer pourquoi n'écarterais-tu pas cette sangle qui dissimule tes tétons pour que je les voie mieux !"
Je tendis la main dans mon cou et dénouai les sangles qui tombèrent sur ma taille, puis je dénouai les liens à ma taille, le micro bikini chut à terre, je le repoussai du pied. De toute manière il ne servait à rien, j'étais aussi nue avec que sans. Son service était terminé.
Monsieur Steadman tendit la main empauma mes miches de ses petites mains grassouillettes, il les malaxa gentiment pendant quelques secondes. Puis il se pencha en arrière et me demanda de lui descendre son pantalon. J'obéis sans hésiter et bientôt je mis à l'air une bite d'une belle taille bien qu'encore molle.
- "Mes médicaments m'empêchent de bander ! Mais je pourrais tout de même me vider dans ta bouche si tu me suces vraiment bien ma petite dame..."
Je me penchai vers lui et embouchai sa bite. Elle était très propre. Je le suçai pendant un long moment, je ne pouvais le prendre en pleine gorge, son chibre était bien trop mou pour cela. Imaginez mon désappointement. Mais je le suçai avec application et finalement il me saisit la tête à deux mains et la maintint en place tandis qu'il éjaculait un filet de foutre dans ma bouche. J'avalai prestement sa maigre potion et lui nettoyai scrupuleusement la mentule. Il me tapota la tête comme à une bonne petite chienne et me dit que j'étais une bonne fille. Puis il ajouta :
- "C'est bien d'avoir de bons rapports avec les voisins, ainsi ils ne se plaignent pas trop quand on fait une petite fête !"
- "Tu vas te rendre dans la salle de bain et tu nettoieras les waters avant de prendre une douche rapide."
"Est-ce que tous ces hommes se comportaient comme des bêtes ? Snake sûrement en tout cas..." Je gloussai à cette idée. Je me rendis alors dans la salle de bain, nettoyai les toilettes souillées, pris ma douche, puis revins au salon.
Monsieur Steadman me regardait regagner le salon entièrement nue, il s'esclaffa :
- "Mon Dieu ce que je donnerais pour être plus jeune ! j'adorerais ce genre de fille !"
Snake me dit de remettre ma tenue, nous allions sortir pour nous écluser une bière. Je retournai dan la chambre et retrouvai ma mini-jupe et mon micro soutien-gorge, je les enfilai séance tenante, sanglai mes chaussures, et retournai dans le salon. Nous partîmes vers la moto, je posai mes mains sur la taille de Snake et me tins serrée contre lui. Dès que la moto démarra, les vibrations découvrirent mes nibards et la brise releva ma courte jupe.
Mais je m'efforçai d'ignorer ces faits et de tenir bon. En parlant de vibrations, tous ceux qui ont chevauché des Harley sauront de quoi je parle.
Une fois que je sus que ne tomberais pas, alors que je n'étais plus aussi terrifiée que la veille, les vibrations me semblaient moins violentes.
Nous sommes retournés au bar où nous étions allés la dernière fois. A peine étions nous entrés dans le bar que Larry appela Snake. Nous l'avons alors rejoint dans la partie magasin de fringues où il dit à Snake qu'il avait reçu de nouveaux articles. Nous y jetâmes un coup d'œil.
Il y avait une nouvelle jupe, de la même longueur que la mienne sauf qu'on aurait dit un pagne, les deux cotés étaient fendus jusqu'à la taille et il y avait un écart de presque 5 centimètres entre les pans. Snake aima tout de suite cette jupe. J'ôtai celle que je portais et enfilai la nouvelle.
- "Les gars vont drôlement aimer ça !" pensai-je fugitivement.
Les cotés de mes cuisses étaient nus sous l'élastique qui ceignait ma taille. Il acheta deux autres articles. L'un des deux nouveaux hauts pendait à mon cou et s'arrêtait juste sous mes nibards, par un lien se nouant dans le dos. Mes miches étaient couvertes par un mince filet qui permettait de tout voir au travers.
L'autre était taillé dans le même style que le pagne, un trou permettait de passer la tête alors qu'un voile pendait sur les nibards juste assez pour couvrir les mamelons, une espèce de ficelle pendait à chaque coin permettant de le nouer dans le dos. Mais déjà lorsqu'il restait en place les cotés de mes nibards prenaient l'air. J'étais tournée de profil et je voyais dans le miroir que l'on pouvait aisément profiter de la vue de mes nichons sous cet angle. Puis Larry ajouta :
- "Une chose encore... Je sais que tu vas aimer Snake !"
Il nous emmena dans un autre endroit et nous tendit une minuscule combinaison. Un calicot, le tissu et l'aspect étaient magnifiques, il comportait un lacet, les cotés étaient transparents laissant les cotés des nibards bien visibles, c'était vraiment adorable. Mais c'était le type de parure à porter sur un sous-vêtement, bien sur ce n'était pas le cas pour qui appartenait à Snake.
J'enlevai ma brassière et enfilai précautionneusement le calicot, il semblait si fragile ! Je jetai un coup d'œil dans le miroir, le spectacle était ravissant.
- "C'est d'accord..." accepta Snake.
- "On prend le tout ! Peut-on passer aux choses sérieuses maintenant ?"
Larry répliqua :
- "Ils sont tous d'accord pour payer la passe 100 $, laisse moi disposer de sa foufoune pendant quelques minutes ainsi que la prochaine fois que vous viendrez et nous serons quittes !"
Snake n'hésita pas. Larry emballa les articles dans un sac, à l'exception du calicot que je portais., il me le fit enlever et me tendit la main. Il me dit de faire ce que Larry me demanderait jusqu'à ce qu'il en ait fini avec moi, puis de me rendre dans les toilettes pour femmes pour me nettoyer et de revenir pour renfiler mon calicot.
Dès qu'il nous laissa, Larry me prit dans ses bras et me roula une pelle passionnée. Ses mains se promenaient sur tous mes appâts alors que sa bite enflait contre mes cuisses. Il posa une affichette "De retour dans 15 minutes" sur la poignée de la porte et m'emmena dans une resserre au fond du magasin. Il descendit son pantalon sur ses chevilles et me poussa à me mettre à genoux.
Je le pris en bouche, il me dit alors que j'étais une fantastique suceuse de bite et combien il avait apprécié ma chaude foufoune lors de ma première visite. Tandis que je suçai sa bite il palpait et malaxait mes nibards avec vigueur, puis il me retourna et me courba en avant. Il me caressa la croupe pendant une bonne minute puis il écarta mes globes fessiers et entreprit de me lécher le trou du cul. Personne ne m'avait jamais dispensé cette caresse et j'étais ébahie de ressentir un tel émoi. J'étais trop stupide pour comprendre ses intentions !
Il me bouffa le cul pendant quelques minutes puis il recula quelques instants et soudain je sentis ses doigts se presser sur mon œillet, ils étaient froids et graisseux. Il introduisit son index dans mon trou du cul et le fit coulisser quelques instants dans mon étroit goulot, puis il répéta le même processus avec deux doigts. Tandis qu'il plongeait et retirait ses doigts de mon fondement il me questionna :
- "Est-ce ton premier enculage ma salope ? "
Je ne comprenais pas ce qu'il disait, ce n'est alors que tout devint clair dans mon esprit.
- "Vais-je être le premier à t'enculer ? "
Ces mots retinrent mon attention.
- "Quoi ? Non je ne veux pas... Vous ne pouvez pas me faire cela ! Je ne l'ai jamais fait ! Oh mon Dieu non !"
Je me débattis bien un peu mais il me maintint fermement et me prévint :
- "Veux-tu que j'appelle Snake pour lui dire que tu te refuses à moi !"
- "Non....." soupirai-je déjà résignée à mon triste sort.
Sur ces mots je m'efforçai de me décontracter attendant que la douleur survienne. Larry extirpa ses doigts de mon trou du cul et les essuya sur mes fesses. Puis il aligna son épaisse mentule sur mon délicat troufignon et força. Il poussa, poussa et finalement le gland pénétra mon sphincter.
Je couinai de douleur alors que Larry grognait son plaisir. Une fois la tête de sa bite enfouie dans mon boyau, il se mit à me forcer imparablement s'enfonçant impitoyablement dans mes reins rétifs. Dieu que cela faisait mal !
Ses grognements de plaisir me rendaient encore les choses plus sinistres. Enfin je sentis son épieu entièrement enfoui dans mon intestin. Son estomac me frappait les fesses alors qu'il entreprenait de me ramoner le cul en profondeur. Il avait tendu la main en avant et me malaxait rudement les nibards d'une main tandis que de l'autre il triturait ma cramouille. Sa bite coulissait avec âpreté dans mon anus asservi.
La douleur devenait insupportable. Quelques instants plus tard il me saisit fermement les hanches et se mit à grogner et à mugir tout en me labourant sauvagement, j'avais peur qu'il ait une attaque tant il se démenait en grognant comme un porc. Enfin je le sentis trembler de tous ses membres alors qu'il crachait son épais venin dans mon intestin distendu. Il se pressa contre moi, enfoui en moi pendant quelques instants, puis il relâcha mes hanches et je tombai en avant.
Il me saisit alors les cheveux et me força à me retourner et me roula un patin passionné me confiant que c'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré. Il m'embrassa à nouveau puis me força, à m'agenouiller pour que je nettoie sa bite des traces excrémentielles qui la souillait.
Sale trou du cul ! Je dus lui nettoyer la bite malgré mes hauts le cœur. Cela n'était pas si mauvais que je le craignais, sa bite goûtait surtout le lubrifiant qu'il avait employé, un lubrifiant aromatisé à la vanille.
Il se releva et se rhabilla, je me dirigeai vers la porte et bandai mon esprit pour affronter le chemin qui menait du bar aux toilettes alors que j'étais entièrement nue. Je serrai les fesses à chaque pas pour éviter que trop de foutre s'écoulant de mon anus ne révèle ma triste épreuve, et ma nouvelle condition d'enculée.
Dès que je franchis la porte de communication, les sifflets et les commentaires salaces débutèrent, ils m'accompagnèrent tout le long du chemin menant aux toilettes pour dames.
Je m'assis sur le bidet et expulsai la plus grande part de la semence de Larry, comme je le pouvais, puis je gagnai l'évier et me nettoyai avec du papier toilette. Pendant que je me nettoyai la chatte, une femme entra dans les toilettes. Elle me fixa des yeux, me sourit et hocha la tête comme si cela arrivait tous les jours, comme si c'était ma destinée.
Je sortis des toilettes et jetai un œil vers Snake accroché au bar. Je me dirigeai vers lui, sans même chercher à essuyer les mains baladeuses qui testaient mes appâts. Cela n'avait aucune importance. Je me postai à coté de Snake au bar, il interrompit sa conversation avec la femme qui m'avait aidé à me nettoyer la dernière fois que j'étais venue, et me demanda comment ça s'était passé.
- "Aussi bien que possible... " lui répondis-je servilement "il m'a défoncé le trou du cul ! C'était la première fois que je me faisais enculer ! Il m'a fait un peu mal !"
Ils sourirent en chœur et reprirent leur conversation, m'ignorant totalement. J'aurais aimé boire un coup, mais j'avais peur de le demander, j'avais peur de ce que je devrais faire pour obtenir une boisson. Par ailleurs il se faisait tard, il faudrait que nous retournions rapidement chez Snake, je devais être chez moi d'ici peu.
Tandis que j'attendais Snake, j'aurais aimé ne plus être nue, c'était vraiment très gênant d'être la seule personne nue dans cette foule. D'autant plus que chaque fois que quelqu'un passait à coté de moi, il me pelotait avidement le cul.
Finalement Snake me donna ma combinaison que j'enfilai prestement, c'était mieux que rien. Mes tétons étaient couverts et ce n'était pas plus court que ce qu'il m'avait déjà forcée à porter pour son grand plaisir. On sortit pour rejoindre la moto, je posai le sac entre nous et priai pour rester en vie alors qu'on retournait chez lui.
En entrant dans sa maison j'ôtais ma combinaison. Snake jeta un œil sur mon trou du cul et commenta :
- "Il va s'élargir peu à peu... Je vais le laisser t'enculer encore une paire de fois pour t'élargir le goulot, puis ce sera mon tour !"
- "Oui maître... " lui répondis-je docilement.
Vous ai-je déjà dit que Snake avait une bite énorme ? C'est pour cela que je comprenais sa démarche !
Snake me courba sur une chaise et me baisa à nouveau. Puis il me laissa ma rajuster. Il me tendit le sac de vêtements et le laissa retourner chez moi, je devais revenir à la même heure le lendemain.
Je me pointai à l'heure dite le lendemain, et comme d"habitude, il m'avait fait venir pour travailler, je dus le sucer, puis je nettoyai la maison il me dit alors que cela suffisait pour aujourd'hui. C'était une grande nouvelle je pouvais vraiment retourner chez moi m'occuper de mes travaux domestiques.
J'étais chez moi vers 10 heures et je passai la journée à m'occuper de la lessive et à nettoyer la maison, puis j'allai faire des courses à l'épicerie du coin. Je me sentais fatiguée en début de soirée, mais j'étais contente d'avoir pu m'occuper de mon chez-moi.
Le lendemain ce ne fut pas du tout le même tabac, Snake semblait fort mécontent, il n'avait pas assez dormi, aussi jusqu'au moment où il se fut correctement reposé, je dus m'acquitter des travaux ménagers, il ne me réclama qu'une pipe qui sembla le réjouir. Lorsque je terminais les travaux ménagers ce vendredi j'étais libre pour le week-end.
Ces deux derniers jours avaient été franchement supportables comparés aux jours précédents. Et maintenant je pouvais passer mon week-end à m'occuper de Jay. Il était tout excité en rentrant à la maison, il devait passer semaine suivante à Atlanta pour y représenter sa compagnie, c'était une grande opportunité de monter en grade et j'étais contente pour lui.
Je le priai de m'emmener avec lui. Si Snake se rendait compte que j'étais seule à la maison pendant toute la semaine, en fait pendant 9 jours consécutifs, ma vie deviendrait un véritable enfer. Mais en fait, il ne pouvait pas m'emmener et je n'avais aucune raison valable d'insister, je ne pouvais tout de même pas lui dire pourquoi je voulais l'accompagner.
Le week-end passa vite. Après nous être rendus à l'église, comme j'étais assise dans la voiture sur le chemin de la maison, il me vint à l'esprit que j'étais la seule consciente des énormes changements qui survenaient dans ma vie. Je n'en avais parlé à personne, personne ne savait que l'on me faisait chanter et que je m'étais faite violer à répétition, que je me rendais chaque matin chez Snake, entre autre pour lui tailler une pipe, que je dissimulais des tenues de pute dans ma garde-robe. Personne non plus ne connaissait les changements survenus en moi, mais moi je les connaissais.
Le lundi matin, je consultai ma boite aux lettres alors que Jay était parti au boulot. J'avais un message de Snake me disant d'être là à l'heure habituelle. Je me douchai rapidement et enfilai l'hideuse nouvelle jupe qu'il m'avait achetée, je pouvais enfiler n'importe quelle brassière, aussi fermai-je les yeux et en pris une au hasard.
Je détestai les vêtements que j'avais choisi, mais comme je haïssais tout autant les autres, J'enfilai ce haut que j'avais pris dans ma commode. Il s'agissait d'un bout de tissu qui s'enfilait par la tête, qui couvrait très partiellement ma poitrine et était lié dans mon dos, exposant presque entièrement le profil de mes nichons. Je me tournai de part en part devant mon miroir. Il s'en fallait de peu pour que mes nibards s'évadent à chacun de mes mouvements. Ce qui me frappa, c'est que je ne semblais plus y prêter une grande attention, je pensais simplement que j'étais très sexy ! Lorsque je réalisai ce que je pensais, j'en fus confuse au-delà de toute expression.
Je sortis et montai dans ma voiture pour gagner la maison de Snake. Arrivée à la porte je frappai, je n'entrai que lorsqu'il m'y invita. La première chose que je vis en entrant c'est le bordel qui régnait dans la maison. Comment quelqu'un pouvait-il semer un tel bordel en un week-end ? La salle était jonchée de cannettes de bières vides ou à demi-pleines, des mégots traînaient partout, je réalisai que Snake et ses amis étaient de véritables vandales.
Snake avait déjà déjeuné, il m'attendait assis me regardant fixement tandis que je me mettais à poil. Il me dit seulement :
- "Comme d'habitude ma chérie, fais-moi une bonne pipe puis tu t'occuperas du ménage..."
Je me laissai tomber à genoux et lui suçai la bite. Je fus toute surprise de voir à quel point cela me parut facile, ébahie, je constatais que je me réjouissais presque de le cajoler. Cela ne me faisait même plus mal de l'accueillir au fin fond de ma gorge !
Lorsque finalement il gicla, j'avalai prestement attendant bite en bouche, qu'il me repousse. Il allait se lever, je pensai qu'il me serait plus facile de commencer par la chambre que je remettrais en ordre avant qu'il ne se couche. Aussi lui demandai-je timidement :
- "Puis vous demander quelque chose maître ?"
Il me regarda l'air ennuyé mais rétorqua :
- "Oui, que veux-tu ?"
- "S'il vous plait monsieur, laissez-moi retaper votre chambre et changer les draps de votre lit avant que vous n'alliez vous étendre ! Cela ne me prendra que quelques minutes, je me hâterais."
Si je devais faire son satané ménage, je ne voulais pas que sa chambre se retrouve dans le même état que la semaine dernière. Il me fixa pendant une bonne minute, et décida que c'était une bonne idée. Il se rassit, j'empoignai quelques outils de nettoyage dans la cuisine, une paire de draps propres et je m'empressai de gagner sa chambre. Quel bordel !
Je travaillai aussi vite que je le pouvais mais je ne fis que nettoyer le plus gros. Puis je changeai les draps et retournai dans le salon lui dire que son lit était fait. Il se leva, entra dans la chambre et ferma la porte dans son dos. J'entrepris alors de nettoyer la maison. Comment était-il possible de faire un tel bordel en deux malheureux jours ?
J'avais rangé les outils de nettoyage et avais trouvé que Snake possédait même un vieil aspirateur. Il était rangé dans les toilettes et ne nécessitait que l'emploi de quelques sacs. Je nettoyai entièrement la baraque de Snake, j'étais prête à retourner chez moi sur le coup de 11 heures et demie. J'étais sur le point de me rhabiller lorsque monsieur Steadman, le voisin d'en face, toqua à la porte. Je ne l'avais pas vu arriver, j'étais toute effarouchée. Je m'empressai d'ouvrir la porte, il sourit en me voyant ouvrir entièrement nue.
- "Snake est couché monsieur Steadman..." avançai-je sereinement.
Monsieur Steadman hocha la tête et répliqua :
- "Je sais... Je lui ai parlé hier soir et il m'a dit que je pouvais venir quand je le voulais si j'avais envie de me faire tailler une nouvelle pipe !"
Par Dieu, je n'aimais pas faire de fellation à ce pathétique petit homme, bon sang, il avait tant de mal à durcir. Bon sang cela faisait la deuxième fois que j'implorais en vain le nom du christ depuis que j'avais rencontré Snake.
Je me reculai pour le laisser entrer, il déboutonna tout de go son pantalon et le laissa tomber sur ses genoux et s'assit. J'allais me laisser tomber à genoux entre ses cuisses, mais il interrompit mon mouvement, me plaça de coté et me dit de me courber sur sa bite. De cette façon il pourrait peloter tous mes appâts tandis que je le sucerais.
Je pris sa bite molle en bouche et je suçai de mon mieux sa mentule qui refusait de bander. Elle tressautait parfois entre mes lèvres, il gémissait alors de bonheur tout en promenant ses mains sur mes charmes. C'était dégradant au possible, mais cela ne prit pas trop longtemps pour qu'il expulse un faible jet de liquide aqueux dans ma bouche. C'était encore plus acide que la dernière fois, peut-être bien que je réamorçais la pompe de ce vieux débris.
Monsieur Steadman me quitta prestement, je me rhabillai et regagnai rapidement ma maison où je repris une bonne douche et me brossai les dents. Puis, je m'occupai de faire mon ménage. Cela ne me prit pas longtemps, dès que j'en eus fini, je m'assis confortablement et me mis à penser à Snake.
Je me représentai dans ma tenue de salope baisée dans le bar des motards, puis je m'imaginai ce à quoi je devais ressembler déambulant nue dans le bar. Dire que Snake me prostituait à tous ces hommes pour acheter de plus en plus de tenues de putes. Tout en pensant à tout cela, je me caressai la chatoune et je ne tardai pas à jouir avec intensité. Je ne parvenais pas à croire que je venais de me livrer à ces actes !
Puis quelque chose d'autre me frappa, je venais de nettoyer ma maison entièrement nue ! Que devenais-je donc sous la férule de Snake ?
J'avais besoin de faire quelque chose pour m'occuper l'esprit, j'allumai mon ordinateur et vérifiai mes mails. Mon mari m'avait envoyé le planning de son voyage à Atlanta la semaine prochaine. Il partirait samedi de façon à être là pour le petit déjeuner du dimanche. Ils travaillerait dès ce dimanche et ne serait pas rentré avant dimanche matin de la semaine suivante.
Nous n'avions jamais été séparés auparavant, et cette idée me rendait anxieuse, mais en même temps je me dis que cela me ferait du bien de disposer d'un peu de temps de solitude pour réfléchir. Avant la semaine dernière, quand j'étais devenue la pute personnelle de Snake toute ma vie avait tourné autour de Jay, de ma maison et du seigneur naturellement.
Je ne pensais plus trop à eux, lentement mon horizon s'était élargi, je pouvais prendre un peu de temps pour tenter de ramener un peu de sérénité et de calme dans ma vie. J'allai éteindre mon ordinateur lorsque je reçus un nouveau mail de Snake. Il contenait pas mal de photos de moi, la plupart prises dans le bar. Une paire me montrait déambulant nue parmi les consommateurs, mais la plupart me montrait copulant avec un ou des hommes.
Je pris une nouvelle douche rapide, m'habillai et préparai le souper. Lorsque Jay arriva, nous avons mangé, discutant tout le long du repas de son voyage. Je n'étais pas vraiment heureuse d'en discuter mais je parvins à garder mon calme. Il savait ce que j'en pensais et sentis que ce sujet m'attristait aussi finit-il par changer de sujet de conversation.
Je trouvai incroyable, qu'après tout ce que j'avais enduré, il n'ait pas noté de changement dans mon attitude. Plus tard cette nuit, lorsqu'il vint au lit nous avons fait l'amour, cela ne me réjouit pas vraiment. Tout d'abord j'avais peur qu'il ne voit combien ma chatte était distendue en me pénétrant, lorsque je réalisai qu'il ne le pouvait pas, j'essayai de me décontracter pour me réjouir de faire l'amour agréablement. Mais, quelle qu'en soit la raison je n'étais pas aussi excitée que d'ordinaire.
Snake avait amené trop de bouleversements dans ma vie pour que cela ne change en rien mon attitude envers mon mari. Mais je ne parvenais pas à décider si ces différences étaient d'ordre mental ou physique. Lorsque Jay obtint finalement son petit orgasme, je fus sur le point de me pencher machinalement sur son ventre pour lui nettoyer la bite avec ma langue. Cela aurait pu être intéressant. Mais au lieu de cela, je me rendis dans la salle de bain et me lavai entièrement. Puis, je revins au lit et restai éveillée pendant longtemps en pensant à ma réaction lorsque mon mari m'avait fait l'amour.
Est-ce parce que j'étais éreintée ? Ou avais-je besoin de me sentir humiliée ou brutalisée pour orgasmer ? Mon Dieu j'espérais bien que non !
Je consultai ma boite aux lettres le lendemain matin, j'avais un message de Snake. Il était allé se coucher tôt, je devais venir faire son ménage, faucher de nouveau la pelouse en portant la même tenue que la dernière fois puis, je pourrais prendre une douche en attendant qu'il se réveille.
J'enfilai de nouveau ma mini jupe ultra courte, le top transparent, mes chaussures de salope et je partis chez lui. Je me déshabillai à la porte et nettoyai rapidement la maison. Ma tenue de salope pendait à un crochet derrière la porte, je l'enfilai et sortis pour chercher la tondeuse. Cela ne me paraissait plus si humiliant que cela après cette nuit.
Elle ne se trouvait pas là où je l'avais rangée la dernière fois, je remarquai que quelqu'un l'avait graissée. Elle était beaucoup plus facile à utiliser de ce fait. Je la poussai sur la pelouse de devant et je vis que monsieur Steadman savait que je devais tondre la pelouse ce matin. Il était déjà installé sur son fauteuil, tout comme quelques uns de ses amis.
Je leur fis un grand signe de la main pour les saluer, et je commenças mon labeur, je les ignorai totalement concentrée sur mes mouvements. Après quelques minutes cela devint pénible de retenir mon top sur mes nichons alors que je bougeais tout le temps. Je pris le temps de me dire : "Laisse tomber, dès que tu te retrouveras derrière la maison tu seras hors de vue !"
Je me dépêchai de terminer la pelouse de devant puis je m'attaquai à l'arrière de la maison sur un rythme plus tranquille. Une fois ce travail terminé je rangeai la tondeuse et me brossai les jambes et les chaussures. Puis je rentrai dans la maison et pris une douche. Pendant que je me rinçai, je lavai ma tenue de pute et la pendis sur un séchoir. Je me séchai, quittai la salle de bain et gagnai le salon, il était pratiquement midi maintenant.
J'entendis bouger dans le fond de la maison, Snake apparut et gagna la salle de bain. Il ne ferma pas la porte et j'entendis ruisseler son urine dans les toilettes, puis l'eau de la chasse. En sortant de la salle de bain, il me jeta un œil incisif et me fit signe de le suivre dans la chambre. Il n'avait pas encore proféré un seul mot. Il tourna autour de moi et me repoussa à plat dos sur le lit. Il s'installa entre mes cuisses et entreprit de lécher et sucer ma foufoune. Rapidement j'eus l'orgasme que mon mari avait été incapable de me procurer. Il me bouffa encore le temps que je succombe à deux nouveaux orgasmes, puis il se releva sur les genoux. Il joua un bon moment avec ma toison rousse et enfin me parla.
- "Tu es la première fille que je possède à qui je ne fais pas raser sa chatte ! J'ai eu un gros coup de cœur pour ta toison de rouquine !"
Il sourit sur ces mots et ajouta :
- "Mes amis aussi ont l'air d'apprécier !"
Puis il se laissa tomber entre mes cuisses et me baisa puissamment, tout d'abord l'ampleur et la violence de ses coups de reins me firent grogner, mais bientôt mes grognement se muèrent en gémissements en vagissements de chatte enamourée. Je ne me rappelais pas l'avoir fait, pourtant je constatai brusquement que je le serrais fermement dans mes bras verrouillés dans son dos alors qu'un nouvel orgasme m'emportait. Il continua à me marteler la chatoune alors que je jouissais à gorge déployée.
Puis il jouit à son tour, il gicla en moi me pistonnant brutalement comme d'habitude. Lorsqu'il roula sur le flanc, je pris sa bite en bouche et la nettoyais en bonne petite ménagère appliquée.
Il m'envoya alors prendre une douche avant de m'habiller. Je me ruai dans la salle de bain, puis ma douche prise, dans le salon pour me rhabiller, je ne voulais surtout pas le faire attendre. Cela ne prit pas bien longtemps, j'avais juste à enfiler un court maillot et un pagne.
Snake arriva dans ses habituels jean et tee-shirt, il me saisit le bras et me tira à l'extérieur, l'instant d'après nous avions enfourché sa moto et nous nous rendions à son habituel bar sex-shop, il me remit aux mains de Larry lui affirmant que je venais lui régler la seconde partie de mes dettes.
MES DETTES !
Et dire que je détestais porter ces ignobles tenues ! Larry fit un signe à Tom et me traîna nouveau, en arrière vers la resserre. Cette fois Snake nous suivit caméra au poing. Dès que nous sommes entrés, je me déshabillas, sans même qu'on le l'ordonne. Larry aussi se dépouilla de ses vêtements et je m'agenouillai face à lui et je commençai à lui léchouiller la bite, la titillant gentiment, il se mit à bander.
Après quelques minutes je dus me disposer à quatre pattes et il me bouffa tout d'abord le cul, puis il le graissa en évasant le goulot puis il enfourna brutalement sa bite dans mon œillet frémissant et m'encula frénétiquement. Il se tenait à mes seins qu'il pétrissait allégrement. Bientôt alors que ses mains me meurtrissaient le nichons je jouissais sous ses assauts. C'était la première fois que je jouissais sous les coups de boutoir d'un soudard qui m'enculait âprement. J'en fus si surprise que je ne remarquai pas l'instant ou il vomit son foutre au fin fond de mon intestin.
Il se retira et je me retournai et me baissai pour nettoyer sa mentule. Alors que j'effectuais cette tâche, je sentis Snake se poster dans mon dos, je suppose qu'il devait penser que j'étais suffisamment préparée pour supporter son énorme chibre. Je suppose qu'il avait raison. Cela faisait mal, mais je commençai à aimer cette pratique. C'était douloureux, humiliant et révoltant mais j'eus un nouvel orgasme.
Et ouvrant les yeux, je vis que Mickey enregistrait l'épisode, à cette vue je jouis de nouveau. Larry reprit la caméra en main et Mickey commença à se déshabiller. Je pensai qu'il allait essayer à son tour mon trou du cul à la suite de Snake. Mais j'avais tort, en fait, il s'agenouilla face à moi et promena sa bite dans ma fentine et l'enfonça vivement dans ma foufounette. Je hurlai sourdement, j'étais emplie par deux bites, je ne parvenais pas croire que c'était possible. Ils adoptèrent alors un rythme adéquat, je supposai que ce n'était pas la première fois qu'ils prenaient une fille en sandwich. Vous ne pouvez pas savoir à quel point c'était bon lorsqu'ils accordèrent leurs mouvements. Je criai sourdement, je rebondissai d'orgasme en orgasme jusqu'à ce que je m'évanouisse.
Je ne sais pas combien de temps je restais inconsciente, mais lorsque je revins à moi, j'étais étendue sur le dos et ils regardaient tous un inconnu qui me chevauchait âprement. Je les regardais puis je regardai l'homme qui me baisait, je l'enserrai de mes bras et mes jambes et je baisai comme une folle, nous avons joui tous deux en même temps.
Puis je me relevai et nettoyai toutes les bites qu'elles sortent de mon cul ou de ma chatte, une bonne ménagère ne termine jamais sa journée de travail. Ils m'ordonnèrent de me rendre dans les toilettes pour dames, de me laver puis de revenir avec eux. Nous sommes tous retournés dans le magasin et je me ruai, entièrement nue dans les toilettes pour dames. Une fois de plus une nuée de sifflements et de commentaires graveleux m'accompagnèrent.
Lorsque je revins à l'endroit où se tenait Snake, le gars qui venait de baiser regardait les vêtements exposés. Il semble qu'en remerciement d'avoir accepté qu'il baise mon corps inconscient il devait m'acheter quelques nouveaux articles que je devais enfiler et porter avant que nous quittions le bar. Je me tenais nue en attendant qu'il ait fait son choix, finalement il se décida pour une tenue extrêmement chère. Il aurait pu choisir une tenue moins coûteuse et moins transparente, il y en avait plein. Mais il choisit un soutien-gorge fait de cuir et de chaînes. En fait il y avait des sangles de cuir là où normalement on trouvait les bretelles et les attaches, mais les bonnets étaient ouverts seulement traversés de fines chaînes. Mes nichons étaient mis en valeur par ces chaînes qui les décoraient, j'aurai tout aussi bien pu être torse nu.
Il regarda l'effet que cela faisait, et me pinçant cruellement les tétons il constata :
- C'est vraiment chouette, j'aime ça !
Sur ces mots il paya Larry et nous sommes retournés au bar écluser quelques godets. Alors que nous étions assis à une table avec une paire de demis, des clients s'approchèrent et discutèrent avec Snake. Ils prenaient tout leur temps pour contempler sans vergogne mes nibards, ils n'hésitaient même pas à les pincer et à en étirer les mamelons. Il y en a un même qui m'a mordu !
Il se faisait tard, Snake se releva, je le suivis jusqu'à la moto et on rentra tranquillement chez lui. J'essayai d'oublier le top que je portais, être exhibée en public me paraissait maintenant tout à fait banal.
En rentrant chez lui il brancha sa caméra sur la télé et visionna l'enregistrement tandis que je le suçai tendrement, il me dit de me tourner de profil pour que je puisse voir aussi le spectacle se déroulant sur l'écran. C'était terrible, jamais je n'avais été aussi humiliée, mais je remarquai aussi que jamais je n'avais été aussi sexy !
Finalement Snake se vida à nouveau les couilles dans ma gorge et je me rhabillai lorsque monsieur Steadman frappa à la porte. Je regardai Snake, il se contenta de me sourire aussi je reposai ma jupe sur le crochet et je me penchai en avant pour sucer monsieur Steadman, puis je me rhabillai et me pressai de rentrer chez moi.
A suivre...
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