Texte de Le Normand
******
La tournée de la postière
Cette histoire trouve son origine dans les pensées coquines que le passage de la préposée à la distribution du courrier faisait naître dans mon adolescence.
Nouvelle postière d’un bureau d’une petite ville de Normandie, Aline est un beau brin de fille d’une vingtaine d’années, mais qui accumule les erreurs et les bévues depuis sa prise de fonction. Cela lui vaut les remontrances de son chef de bureau qui pour passer l’éponge, lui « propose » de faire la prochaine tournée en tenue sexy et sans aucun dessous.
Aline est bouleversée par la demande de son supérieur. Elle trouve difficilement le sommeil et seule une caresse très intime et prolongée jusqu’à la jouissance lui permet de trouver le repos.
6H00… le réveil tire Aline de son sommeil, les paroles de son chef lui reviennent en mémoire. C’est donc sans aucun dessous, vêtue du seul chemisier réglementaire et d’une jupe très courte qu’Aline se rend d’un pas hésitant vers le bureau de poste.
L’accueil de ses collègues est pour le moins flatteurs. Les regards insistants, les attouchements très furtifs durant la préparation de la tournée font monter un long et lent plaisir dans le ventre d’Aline.
7H45… Départ de la tournée, Aline est la dernière à partir sous les yeux de son chef de bureau qui exige de vérifier l’absence de dessous. Rouge de honte, Aline remonte sa jupe et dévoile un sexe totalement épilé, lisse et humide comme le constate le chef de bureau avec le sourire. Il en profite pour dégrafer le corsage s’emparant d’une paire de ciseau pour ôter les trois premiers boutons laissant quasiment la poitrine nue d’Aline offerte à tout les regards.
- Bien… tu peux y aller… et si tu es sage, j’oublierais les erreurs du mois…
Les paroles du chef résonnent dans la tête d’Aline dans ce début de distribution qui parait normale excepté les quelques regards des hommes croisés sur le chemin qui sont bien très insistants et dévoilent des envies non dissimulées.
Aline arrive à la boulangerie avec un recommandé pour le maitre artisan. Elle va devoir donc pénétrer dans le laboratoire pour faire signer le patron. Celui-ci est en train d’enfourner quand l’apparition d’Aline lui procure une montée de désir aussi fort qu’inattendu.
- Bonjour Monsieur, j’ai besoin d’une signature… Commence Aline qui s’approche du boulanger en lui remettant le pli recommandé.
Celui-ci ne quitte pas l’ouverture du corsage de la jeune postière. Aline remarque également une bosse se former dans le pantalon du boulanger. Cette vue lui procure une montée de chaleur dans le ventre.
Le boulanger ordonne d’une voix calme mais autoritaire à Aline de déposer son sac à courrier. Comme hypnotisée, Aline obéit.
- Appuie-toi sur le comptoir et remonte ta jupe, petite salope ! Assène le patron.
Comme Aline hésite, Le boulanger lui saisit les épaules et la place face au comptoir en la forçant à se pencher en avant, il remonte la jupe totalement pour découvrir deux fesses bien rondes qu’il ne tarde pas à caresser, à malaxer avec vigueur. Il lui écarte les jambes sans ménagement. Il prend un peu de recul pour admirer le spectacle ordonnant à Aline d’ouvrir son cul et de se pencher en arrière pour mieux lui offrir.
Pour la punir des hésitations, le boulanger décide de faire rougir les deux globes d’Aline qui est surprise par le premier coup et pousse un cri. La douleur est vite remplacée par un plaisir qui gagne son sexe et lui arrache des soupirs de douleurs mélangés de plaisir.
Pour en finir, le patron doigte sans ménagement la jeune Aline, découvrant son sexe humide, la traite de salope et décide de la prendre par le cul pour lui donner une leçon. C’est ainsi que sans ménagement Aline est rapidement sodomisé par la longue queue du boulanger.
Aline, offerte aux assauts du boulanger, ressent à la fois douleur et honte qui lui arrachent des larmes. Mais très vite, les assauts du patron boulanger transforme cette douleur en un plaisir qui s’empare du corps entier de la jeune femme. Elle s’entend maintenant demander au patron d’aller plus vite et plus loin, de l’enculer et de la baiser comme une salope. C’est donc sans ménagement, avec une vigueur jusque la inconnue de notre jeune femme que le boulanger la besogne.
Rapidement les coups de rein du boulanger arrache des cris de plaisir à Aline qui reçoit la semence du boulanger dans son cul. Sans autre procès, le patron ordonne à la jeune fille de reprendre sa tournée.
- Tu as encore beaucoup à faire ma jeune salope de postière. Dit-il avec ironie et laissant l’empreinte de farine de sa claque affectueuse sur la jupe de la jeune postière.
Aline se retrouve dans la rue, le cul plein du sperme de l’homme. La honte de s’exhiber ainsi et le plaisir charnel se mélangent dans l’esprit de notre jeune Aline sur le chemin de son prochain client.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours