Texte de Géronimo (Elko)
Ma mère en tournante.
Comme je l'avais décidé, j'eus une sérieuse discussion avec ma mère des que nous fumes rentrés à la maison. J'aurais voulu que mon père soit présent mais il était encore dans un pays à l'autre bout du monde et ne rentrerait que la semaine prochaine. Je ne pouvais attendre jusque là.
Je dis à ma mère que je l'avais suivi et que je l'avais vu avec son maitre-amant et je lui demande de tout me raconter. Ma mère est assise sur le canapé et me regarde avec un regard rempli de honte. Elle hésita et commence à me raconter une incroyable histoire.
- Tout a commencé il y a 1 an. J'ai fait une bêtise. J'ai trompé ton père avec un de ses collègue de travail. Notre relation a duré quelques mois et j'y ai mis un terme. Je ne sais pas comment mais ton père l'a appris et il m'a mis tout de suite le marché en main. Soit on divorçait soit je lui obéissais aux doigts et à l'œil sans discuter ses ordres. J'ai alors découvert que ton père avait des fantasmes un peu particulier dirons nous.
Je ne dis rien mais je me fis la réflexion que c'était héréditaire..
- Un jour, après avoir fait l'amour, il m'a demandé de ne plus mettre de culotte sous ma jupe quand je sortais. Je fus choquée qu'il me demande de faire cela et j'ai d'abord refusé bien sur. Nous n'en avons pas reparlé pendant quelques jours puis j'ai constaté qu'il avait changé vis-à-vis de moi. Sexuellement parlant, je veux dire. Il se permettait des gestes d'une audace qu'il n'aurait jamais osé faire quand je l'ai connu.
- Par exemple ? demandai-je, excité par cette confession.
- Il me prenait brutalement, n'importe où, ou que nous soyons. Le pire qu'il a fait, je crois, où j'ai eu le plus honte, c'est quand il m'a prise dans la cuisine alors que nous avions des invités. Il m'a enfoncé un torchon dans la bouche pour qu'ils n'entendent pas mes gémissements. Une autre fois, il m'a ordonné de venir le rejoindre sur son lieu de travail et il m'a prise sur son bureau, avec sa secrétaire qui était à coté.
Je reste silencieux, regardant ma mère.
- Mais... Tu étais consentante, tu y as pris du plaisir n'est ce pas ?
Elle rougit violemment et reconnus que oui.
Elle me raconta ensuite que mon père allait souvent sur internet sur des sites de femmes soumises, sites qui pullulent sur le Net. Et notamment des bourgeoises soumises. Je ne sais pas si vous avez déjà été jeté un œil sur ce genre de site mais c'est assez hallucinant. On se demande toujours si c'est authentique ou si tout est fabriqué et ne sert qu'a attirer le gogo qui s'imaginerait que c'est vrai.
- Je devais souvent rester à ces coté quand il était sur ces sites cochons. Et il me demandait de prendre des poses indécentes, il me prenait en photo. Un jour il m'a demandé si je voudrais aller dans une boite échangiste. J'ai violemment refusé et nous nous sommes disputés. J'ai songé au divorce.
Je frémis en entendant cela, on n'est jamais ravi de savoir que ces parents vont divorcer..
- Nous n'en avons plus parlé et j'ai pensé que ca lui avait passé. Mais un soir, il m'a tendu un piège. Il m'a dit qu'il avait invité un collègue de travail à venir manger à la maison. En fait, il s'agissait de Philippe qu'il avait rencontré sur un forum de discussion .Il avait parlé de moi et il lui avait demandé de me dresser me trouvant encore un peu rebelle, pas assez disciplinée, pas assez soumise. Philippe est en fait un professionnel, un dominateur. Ton père et lui m'ont baisé toute la nuit. Depuis ce jour, je suis son esclave et je suis l'esclave de ton père. J'ai cru devenir folle quand tu m'as dit l'autre jour que tu m'avais vu avec Philippe et tu m'as revu aujourd'hui.
Elle se prit le visage dans ses mains. Puis, elle releva la tête et me dévisagea.
- Comment as-tu pu me donner à Christophe ? Vous m'avez baisé tout les deux. N'avez-vous pas honte ?
J'hésitai une fraction de seconde et je répondis :
- Non, pas du tout, maman, t'es une salope, simplement tu l'ignorais.
Isabelle s'apprête sortir pour aller faire du shopping. Elle est très élégante dans une jupe courte à motif avec une veste de tailleur bleu ciel, une grosse ceinture autour de la taille. Ses talons aiguilles sont de la même couleur que sa veste. Ses jambes sont mises en valeur par des collants clairs très fins.
Je suis parti à la Fac car il faut bien étudier quand même. Je suis rentré vers les 18h00 à la maison. Ma mère n'étais pas la. A 20h00, elle n'était toujours pas là et je commençai à m'inquiéter. Je tournai en rond dans la maison ne sachant quoi faire. Appeler la Police ? Mon père ? Et si elle était avec son amant ? Ou avec Christophe ? J'étais complètement désespéré quand ma mère rentra. Je la dévisageais interloqué.
- Mais... Mais maman, que t'est'il arrivée ?
Elle est méconnaissable. Ses cheveux sont décoiffé, la veste de son tailleur est à moitié ouverte, un bouton a été arraché. Sa jupe est chiffonnée et des traces suspectes sont dessus. Son collant est déchiré. Elle titube jusqu'au canapé et s'effondre dedans. Son rimmel a coulé, elle a les lèvres gonflées. Je la presse de questions et de nouveau, j'ai droit à une confession.
***
J'avais décidé d'aller faire des emplettes et je marchais dans le centre-ville quand je suis tombée sur Christophe. Il m'a présenté à 2 hommes avec qui il était et m'a proposé de venir avec eux. J'ai refusé prétextant que je faisais des achats. Christophe m'a prise par le bras le serrant très fort et m'a murmuré dans le creux de l'oreille.
- T'a intérêt à obéir salope ou je dis à tout le monde que ton fils t'a baisé et que t'es la dernière des chiennes, je te rappelle qu'on a une vidéo te montrant dans une boite à partouze.
Anéantie, je dus obéir et je montais dans la voiture avec eux. Christophe conduisait et j'étais a l'arrière coincée entre deux de ses copains. Chris fit les présentations :
- Ahmed et Nasser, des potes.
A peine la voiture décolla t'elle du trottoir que Ahmed et Nasser commencèrent à me peloter sans aucune gêne. Ils posèrent leurs mains sur mes cuisses et me les caressèrent faisant crisser le nylon du collant. Ils remontaient de plus en plus haut. Leurs mains s'introduisaient dans l'ouverture de ma veste, empoignant mes seins. J'ai poussé un cri et j'ai supplié Chris de leur dire d'arrêter mais Chris m'a regardé et a lancé à la cantonade.
- Elle proteste mais elle aime ca. Vous vous souvenez la vidéo que je vous ai montré. Et bien, c'est elle.
- Ce n'est pas vrai ! s'écria Nasser, occupé à essayer malgré mes contorsions pour lui échapper, d'infiltrer sa main sous ma jupe. C'est toi la bourgeoise salope qui va se faire sauter dans des boites à partouze ?
- Ces bourges, toutes des chiennes. Lança Ahmed.
Il réussit à dégager mes seins des balconnets de mon soutien-gorge et commença à les sucer. Il dégagea fébrilement son sexe déjà tendue.
Ahmed posa sa main sur ma nuque et me contraignit à baisser la tête jusqu'à ce que je me trouve en contact avec sa queue.
- Suce salope, lâcha-t-il, suce ma bite.
J'ai tenté de résister mais finalement j'ai sentit son sexe effleuré mes lèvres. Il s'engouffra dans ma bouche et je failli vomir sur le champ. Ahmed donnait des coups de reins pour mieux s'enfoncer dans ma bouche. Je sentais les doigts de Nasser qui me fouillait la chatte. J'entendis Chris qui cria, hilare.
- Chauffez la un peu, on en pas fini avec elle .
Mon Dieu! Que me réservaient ils encore ?
Dans la voiture, c'est l'enfer. Je continue de pomper Ahmed, il a une grosse queue qui grossit encore plus sous mes caresses. Je le branle et le suce en même temps. Ma langue s'enroule autour de son gland. Derrière moi, Nasser a introduit deux doigts dans mon anus et les fais coulisser en lançant des remarques obscènes.
- Quelle salope, elle a le trou du cul complétement ouvert. On voit qu'elle a l'habitude de se faire enculer cette chienne. Et ça fait sa mijaurée.
Ahmed éjacula dans ma bouche, appuyant sur ma nuque pour m'obliger à avaler sa semence. Nasser m'agrippa par les cheveux me forçant à me mettre sur le plancher entre ses cuisses, son sexe dressé déjà sorti. je dus faire de même avec lui.
Puis je fus retourné, cambrée vers le siège avant de la voiture, jupe troussée, on me déchira mon collant et on m'arracha mon string. Chris se retourna et profitant qu'il était arrêté à un feu rouge, il prit une photo avec son portable. Pendant ce temps je ne sais qui, Ahmed ou Nasser, me pénétra. Des mains me prirent aux hanches et je sentis une queue aller et venir dans mon ventre avec rapidité. J'avais l'impression d'être ouverte en deux par ce pieu qui me défonçait. Très vite, il éjacula dans mon con. Je n'ai pas eu le temps de souffler, une autre bite s'introduisit dans mon vagin, des mains serrèrent mes hanches à les briser pendant que de nouveau on me pilonne avec brutalité, mes seins sont secoués dans tous les sens.
Je pensais mon calvaire terminé mais je me trompais. Je fus emmené dans un bar ou je n'avais jamais mis les pieds. Plusieurs hommes était la, sirotant un whisky ou une bière, tout en regardant un match de foot comme il se doit. Je fus emmené dans l'arrière-salle, déserte a cette heure et positionnée sur une des tables, jupe troussée, la chatte à l'air.
- Reste comme ca, me lança Chris après avoir introduit son index dans mon vagin encore dégoulinant de mouille, on t'amène des clients.
Je frémis sous l'insulte. Serais je devenue une pute ?
Ce fus comme Chris l'avait dit. Un homme, rougeaud, l'air bourré, arriva et donna 50 euros a Chris.
Je dus le pomper malgré mon dégoût. Il s'activa dans ma bouche et déchargea sa semence sur ma figure de bourge, comme ils me lancèrent en ricanant. Il lâcha un torrent de sperme sur mon visage, aspergeant de son foutre épais et visqueux mon menton, mes cheveux, ruinant mon maquillage. Je n'eus pas le droit de me nettoyer. Un autre arriva, un black. Il sortit une queue qui me parut énorme. Je n'avais jamais touché un noir. Il me pénétra avec vigueur et j'eus l'impression de manquer d'air. Je poussai un cri, le souffle coupé. j'haletai sous ses coups de boutoirs terribles. J'ahanai chaque fois que son ventre rentrait en contact avec mes fesses. Je secouai la tête dans tous les sens. Perforée par cette queue gigantesque, je gémis bien malgré moi, ruisselante, dégoulinante. Le black se retira et se branla au dessus de mon visage ne tardant pas à m'asperger de son foutre.
Je restai sur la table, offerte, les jambes pendantes de chaque côté. Chris vint vers moi et sans aucune autre forme de cérémonie me pénétra, me pilonnant comme un fou, me traitant de salope. Il éjacula rapidement et, me relevant, il me força à me mettre à quatre pattes sur le sol pas très propre du bar.
- Au suivant ! Cria-t-il.
Un jeune entra, capuche sur la tête, comme tous les jeunes. Je ne vis presque pas son visage, sauf un regard sombre, inquiétant. Il se positionna derrière moi et je sentis son membre contre ma croupe.et je crus défaillir. Elle était brulante. La bouche ouverte, j'haletai. Je le sentis soudain qui se nichait entre mes fesses et je poussai un cri étranglé.
- Non ! Non ! Je vous en supplie !
Trop tard. D'un violent coup de rein, le jeune se projetât en avant, enfonçant son sexe tendue dans ma croupe. Une douleur atroce m'arracha un hurlement. Une brûlure me fit grimacer puis cette brûlure se transforma en une douce chaleur. Je commençai à répondre à ses coups de rein. Le jeune homme se retira pour de nouveau s'enfoncer aussitôt dans mon cul en poussant un grognement étranglé. Ses mains crochés dans mes hanches, le jeune se déchaînait comme s'il voulait me déchirer. Il accéléra soudain la cadence et se répandit dans mes reins en poussant un cri de victoire.
Je fus horrifiée quand je l'entendis passer un contrat avec Chris qui lui promit de me prêter afin que ses copains profitent de « cette salope de bourge qui a le feu au cul ».
***
Je regarde ma mère avec commisération. La pauvre, elle a dégusté quand même. Elle termine son récit en m'expliquant qu'elle a été ramené directement ici par Chris et ses copains. Chris lui a promis qu'il recommencerait.
Je laisse maman aller prendre un bain afin d'enlever tous le sperme qui lui reste sur la figure et ses jambes. Je reste songeur un bon moment. Je trouve que Chris a été trop loin. Je décide de lui donner une bonne leçon. Et je trouvai très vite de quelle façon j'allais m'y prendre. Ma vengeance allait être terrible !
A suivre...
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