Auteur inconnu.
Fin de la soirée au boulot de Sarah.
Arrivé dans le hall, je découvris Sarah qui descendait les escaliers, sûre d'elle comme à son habitude, la démarche féline. Les derniers invités présents découvraient alors le dos de son chemisier souillé de foutre qu'elle n'avait pas remarqué. Ses collègues féminins la dévisageaient, se moquaient alors que les hommes louchaient, bavaient à l'idée de se faire leur collègue qui apparaissait clairement comme une proie facile, ils fantasmaient déjà auparavant, qu'en serait-il maintenant ?
Elle m'embrassa délicatement et fut tout de suite interpellée par trois de ses collègues masculins qui lui parlaient de choses et d'autres. J'en profitai ainsi pour me mettre derrière elle et ainsi regarder de plus près le sperme qui dégoulinait le long de son dos. Je me plaçai alors contre ses fesses pour qu'elle, j'espère, sente ma queue qui commençait à durcir, se décollant petit à petit de mon boxer rempli de jus séché.
Durant le reste de la soirée, plusieurs hommes sont venus discuter avec nous, souvent seul, les hommes accompagnés de leurs femmes regardaient du coin de l'œil ma belle analysant faits et gestes. Sarah avait l'air totalement à l'aise avec cette attention particulière de tous ces hommes. J'avais toujours ma queue en érection contre ses fesses rebondies qui bougeaient au moindre de ses mouvements pour le plus grand plaisir de mon sexe. Ne tenant plus, je ne pouvais m'empêcher de lui faire des bisous dans le coup, des légers baisers, de lui renifler ses cheveux, de lui prendre les hanches, malheureusement cela freinait bon nombre d'idée de ses collègues jusqu'à ce que JC vînt leur griller la politesse avec une bouteille. Sarah était maintenant vraiment ivre et elle bougeait comme une danseuse de pole dance.
- Je vous l'emprunte pour finir un dossier.
- Encore ?
- Et oui, on ne chôme pas ici. Il faut savoir remplir les trous de l’emploi du temps.
Ils partirent dans le même bureau que celui où le boss l’avait emmenée. J'avais repéré les lieux tout à l'heure et n'eut aucun mal à me faufiler dans le dressing pour la découvrir déjà à la sucette. Elle s'appliquait à embrasser le gland, à le léchouiller, à le prendre en bouche, laissant traîner ses lèvres pulpeuses le long de la verge, lui malaxant délicatement les couilles quand soudain il s'énerva. Je le vis la relever violemment la tenant par le col de son chemisier, il la regarda fixement quand il lui déchira son chemisier laissant libre ses nichons qui pointaient d'excitation, ses magnifiques tétons le remerciaient.
- Tu la veux ma queue salope ? Je vais te faire crier.
Il la posa sur le canapé la tête en bas et lui baisa la gorge. Il lui limait la gorge au son des « salopes » et autres « bouffeuse de chibres ». Son visage était maculé de bave, il sortait parfois son sexe tendu pour l’essuyer sur son visage et lui poser ses couilles dans la bouche.
Il finit par la relever, il l'embrassa goulument. Il lui enleva sa jupe, passa sa culotte autour du coup pour l’utiliser comme des reines. JC la prit violemment sur le canapé dans différentes positions, missionnaires, levrette qui me faisait face, je pouvais donc voir Sarah grimacer, gémir, suffoquer d'excitation. Enchaînant les coups de bite violents, faisant jouir Sarah, JC s'épuisait, elle le remarqua et l'allongea histoire de s'empaler sur lui, elle le sautait. La queue monstrueuse entrait et sortait de la chatte de ma petite femme. Les couilles claquaient contre son cul. Le fils commence à mettre un doigt dans l’anus de ma belle.
Durant ce rapport elle eut autant d'orgasme que moi c'est-à-dire trois. Je pensais que c’était fini mais à ma grande surprise quelqu’un tapa à la porte. Ma femme fut surprise mais Jean Claude lui dit :
- Vas-y c’est une surprise.
Et quelle surprise !!!!
Une fois que ma femme déverrouilla la porte une voie familière se fit entendre :
- Ah, ma plus belle des putes.
Le gros Michel, Michel le routier, venait d’entrer en tenant ma femme par les cheveux. Il la plaqua alors contre le mur et passa une main entre ses jambes. Il commença à la branler avec vigueur, lui arrachant des gémissements sonores. Sa tête collée contre le mur et les reins cambrés, je voyais parfaitement les 3 doigts du gros salaud élargir l’entrée de la matrice de ma petite femme.
- Mais tu es trempée. C’est pas possible d’être aussi chienne que ça. Tu vas bouffer mes doigts pour gouter à ta mouille hein ?
Pas de réponse de ma femme. Serait-elle revenue à la raison ? Enfin le calvaire va prendre fin. Tout ça n’était surement dû qu’à l’alcool.
Paf !
La traditionnelle claque de Michel vient de tomber. Une grosse marque apparait sur la fesse gauche, tous les doigts sont bien visibles et Sarah ouvre la bouche et gémit un « oui ». Il plonge ses gros doigts dans sa gorge sous les rires des deux hommes. Il venait de sortir sa queue déjà bandée qu’il frottait contre les lèvres de ma chérie. Cette queue comme celle de Maurice et Jean-Charles me parait disproportionnée.
- Tu veux ma queue ?
- Hummm ouiiii...
- Où ça ? Dis moi dans quel trou.
- Ma… Ma chatte. Murmura t-elle
- Tu es vraiment une gourmande, j’ai bien fait de vous trouver dans ce relais. Hein JC ? Elle était pas comme ça avant la petite ?
- Houla non. Mais elle se rattrape bien maintenant cette truie.
Il se recule pointe sa queue vers la chatte, rentre le gland, bouge doucement en entrant quelques centimètres. Et d’un coup il ressort ce qui pousse la petite salope qu’il a entre les mains à se cambrer. C’est alors qu’il se positionne sur son œillet et l’encule d’un trait. Mon dieu, elle hurle, il est rentré d’un coup l’enfoiré. Sarah essaie de se soustraire à la sodomie mais elle est fermement maintenue. Il commence à la limer vigoureusement et elle commence à prendre du plaisir vu comme elle bouge. Et dire qu’elle me refuse toujours cette pratique. JC lui se branlotte doucement en filmant la scène. Sarah a maintenant une jambe relevée, on peut voir le manche coulisser dans son conduit anal à une cadence impressionnante. La scène est d’un érotisme fou, Sarah sur ses hauts talons en porte-jarretelles noirs et roses se fait ramoner. Elle a les yeux mi-clos, la bouche grande ouverte et un filet de bave qui coule du menton et les seins qui dansent au rythme effréné de la sodomie imposé par le routier.
Ce dernier accélère encore en claquant son cul qui est maintenant cramoisi :
- Ma pute on va te faire la spéciale, tu es prête ?
- Hummmm argghhh ouiiiiii, Essaya d’articuler Sarah alors qu’elle est prise d’un énième orgasme plus fort encore que les précédents.
Elle flagelle sur sa jambe. Heureusement qu’il la tient fermement.
- Et voilà, elle jouit encore. Ricane JC.
Pendant ce temps Michel la soulève pour l’empaler. Il la porte dans ses bras, le torse contre son dos. Je peux voir sa minette intégralement épilée toute ouverte et couverte de mouille. Elle ne peut rien faire et si son amant la lâche elle s’empale sur son sexe veineux. Sarah parait toute chétive dans ses bras et l’effet de l’orgasme la rend comme une poupée de chiffons. Son acolyte pose la caméra sur le bureau et vient se positionner devant elle. Il la regarde, lui serre la gorge, lui ordonne de sortir sa langue et crache dans sa bouche. Elle lui répond par un sourire et passe sa langue sur ses lèvres. Il positionne alors son barreau de chaise entre les jambes, Michel la soulève au maximum pour ensuite la lâcher d’un coup laissant un râle roque sortir des trois gorges en simultané. Ils la prennent en sandwich pendant de longues minutes. Elle embrasse à tour de rôle les deux hommes.
- Tu sais que tu as 50cm dans tes trous ma chienne ?
- Hummmm oui trop bon.
- Tu as vraiment trouvé la reine des salopes Michou.
- Ouais trop. Tu veux changer de trou cousin ?
Comment ça ils sont cousins ? Quelle probabilité que cela se fasse comme ça ? En même temps je comprends mieux pourquoi l’entreprise est venue la débaucher.
Je suis tiré de mes pensées en voyant JC placer Sarah à genoux la tête au sol. Il positionne un pied sur son visage où le maquillage a abondamment coulé. Ses yeux sont embués par l’alcool et les orgasmes successifs.
- Houla, mais quel gouffre on a là, je parie qu’on peut y rentrer mon poing.
- Non pas ça ! Se lamente Sarah.
- Rohhhh on va essayer !
Après quelques essais et vu les réticences de la belle, JC arrête son expérience. Il plonge alors dans le gouffre pour reprendre son rythme d’enfer. Ils échangent les positions avec Michel régulièrement, bouche, chatte et anus, tout y passe.
Quand ils sentent la jouissance monter, ils la placent la tête dans le vide sur le canapé. Ils se branlent énergiquement pour exploser sur son visage. Un grand nombre de jets de sperme viennent strier sa figure. La quantité est impressionnante, elle est complètement maculée. Elle prend alors les deux sexes qui n’ont pas ou peu diminués et les nettoie les regardant fixement et leur souriant comme pour signifier qu'elle fut satisfaite de ce rapport. Je suis abasourdi !
- Bon je vais faire dire à ton cocu de rentrer chez lui et toi on va s’occuper de toi avec les copains. Dit JC.
Un grand black vient me trouver dans la soirée pour me dire que ma femme allait devoir rester pour travailler. Le boss pris le micro pour annoncer qu’un important contrat devait être préparé et demanda à certaines personnes de rester pour travailler, les autres étaient conviées à rentrer chez eux. Les personnes qui restaient pour la suite étaient plus que ravies. J’en ai compté 5 hommes et 2 femmes aussi. J’essaie de trainer un peu mais les vigiles me conduisirent dehors. En partant j’ai aperçu les prémices de ce qui allait être selon moi une partouze sans nom. J’imaginais déjà le clou du spectacle, Sarah descendant les escaliers en lingerie fine une couronne sur la tête et une écharpe « miss salope ».
Je me dépêchai de rentrer suite à cela, l'attendant dans notre salon, impatient de la voir arriver.
Quand elle rentra au petit matin, je la vis se diriger directement vers la chambre prétextant être fatiguée. Je montai dans la chambre et la vis au lit, elle avait retiré son chemisier. Par curiosité je récupérai celui-ci dans la bassine de linge sale pour y découvrir les tâches de sperme maintenant séchées que je ne manquai pas de raviver en me masturbant avec le tissu satiné du chemisier, me remémorant cette magnifique soirée.
Je fouillai alors dans son sac, son portable sonna pour recevoir des photos. C’était des photos de la suite de la soirée. En effet cela avait été plus que chaud. Il y avait aussi une enveloppe avec une clef usb « le film de la nuit pour le sac à foutre » que je m’empressai de copier sur mon ordi. La maison était pleine de caméras de surveillance et toute la soirée de Sarah était retranscrite. Un film qui était à la fois un bonheur et une torture à regarder.
Il fallait que je fasse sauter le pas à ma femme de se faire prendre devant moi et qu’elle le sache. Plus j’y pensais, plus je me disais que je devais organiser ça. Une idée m’est venue à l’esprit un soir lorsque nous avons invité mes collègues de travail à la maison et qu’un d’eux a sympathisé avec Sarah.
A suivre...
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