Auteur inconnu.
Suite de la soirée au boulot de Sarah.
Au milieu des invités, je vis Sarah venir vers moi et je distinguai des tâches, des gouttes de sperme, on ne peut plus voyantes sur le col du chemisier en satin rouge. Tout le monde pouvait les voir, heureusement les invités commençaient à partir. J’aperçus ma douce avec un verre à la main encore une fois.
- Désolé mon amour, j'ai dû aller voir un dossier avec JC, j'ai pas été trop longue ?
- Non ça va !
Je l'embrassai pour goûter au gloss sur ses lèvres qui 5 minutes auparavant suçait divinement bien la queue de JC. Ce dernier vint vers nous :
- Cigare ?
- Non, merci !
- Sarah ?
- Ah je veux bien !
Elle prit le Cohiba en bouche pendant que le fils du boss portait la flamme du zippo vers le bout du cigare. Je remarquai alors que la manche de ma belle était elle aussi tâchée d'une traînée de foutre qui dégoulinait le long de son avant-bras. Elle ne s'en souciait pas, l'avait-elle remarqué ?
Je constatai aussi qu'elle ne portait plus de soutien-gorge, ses seins pointaient sous son chemisier, elle était excitée, autant que moi ? En tout cas elle sentait le sexe à des kilomètres à la ronde.
Elle alluma le cigare en pressant du bout de ses lèvres le Cohiba tout en regardant Jean-Charles de son regard le plus sexe. Je ne pouvais m'empêcher de la regarder, de regarder ses lèvres pressées sur le cigare, les traces de gloss sur le bout du Cohiba, les gouttes de sperme sur son chemisier, ses joues qui se creusaient lors de l'inhalation comme lorsqu'elle pompait la queue de Jean-Claude, ses lèvres qui laissaient échapper de gros, de lourds nuages de fumée qui venaient flotter dans l'air. La voir exhalert la fumée vers le visage de son collègue et lui sourire, je la voulais, je voulais la baiser, tout de suite !
- C'est un barreau de chaise venue de Cuba. Dit-il.
- C'est vrai qu'il a bon goût ! Lui répondit Sarah, un peu gros mais les cigares plus c’est gros mieux c’est.
- Venant d'une amatrice de GROS cigares. Me précisa JC en riant.
Je me suis alors tourné vers Sarah, elle riait aussi. Je pris un air étonné, je voyais qu'il se foutait de moi.
- Ben oui tu sais très bien que je suis amatrice de cigare, tu m'as déjà vu en fumer quand même. Me dit-elle pour garder la face.
Je la vis lever les yeux au ciel puis regarder JC et lui sourire. Elle jouait carrément avec mes nerfs. La salope sortait au grand jour. Son patron nous rejoignit avec une bouteille à la main :
- Vous allez bien, tout se passe bien ?
- Oui merci Maurice ! Lui répliqua t’elle toute enjouée.
J'esquissai un sourire quand soudain je le vis bloquer sur le chemisier de Mélissa, il dut remarquer la traînée de foutre sur sa manche lorsqu'elle amena le cigare entre ses lèvres. Elle exhala la fumée vers lui.
- Il y a quelque chose qui va pas Maurice ?
Il lui sourit, lui attrapa le col de son chemisier tâché comme pour mieux voir l'ampleur des attaques.
- C'est juste que je vous trouve magnifique ce soir, vous en avez de la chance. Lui dit-il.
Je lui souris gentiment.
- Oh merci Maurice, vous êtes très en forme vous aussi. Affirma-t-elle sourire aux lèvres.
Je me penchai alors vers elle pour lui chuchoter dans l'oreille :
- J'ai envie d'un câlin tout de suite, j'ai envie de toi, on va s'éclipser ?
- Oh non, on a essayé tout à l'heure t'as été encore trop rapide, vas-y tout seul si tu sais pas te contrôler. Me répondit-elle, tous cela à haute voix.
Le patron et son fils riaient en cœur, je ne savais plus ou me mettre, savaient-ils pour ce soir, avaient-ils deviné ? Je prétextai devoir téléphoner une nouvelle fois pour sauver la mise et éviter toutes moqueries.
Je me suis alors dirigé vers les toilettes pour soulager mon envie pressante de me masturber, je me suis retourné pour vérifier ce qu'elle faisait avant. Elle fumait son cigare, JC était comme absent de la discussion, absorbé par les seins de Sarah. Maurice était penché vers elle. Il lui parlait dans l'oreille, elle acquiesçait tout sourire. Il l'a ensuite prise par la main et ils se sont échappés en toute discrétion à l'étage, je les suivis mort de curiosité. Sauf qu’il avait déjà la main sous sa jupe.
Sarah, toujours avec son cigare, rentra dans une pièce, un bureau. Maurice qui à deux pas derrière elle, la suivait en lui matant sans aucune discrétion son cul qui dansait au rythme de ses pas. Quelle démarche féline ! érotique ! bandante ! Ma femme était bandante ! Et lui ne se gênait pas de lui dire :
- Tu as vraiment un beau cul ma salope.
Je m'empressai de leur emboiter le pas, mais trouvai porte close. Je me suis alors dirigé vers la porte à côté qui menait à un dressing rejoignant le bureau. La chance, je n’ai jamais aimé autant les architectes qu’à ce moment. Il mit de la musique :
- Alors, comme ça vous avez un dossier qui va changer ma carrière ?
- En effet, je vous offre une promotion si vous réussissez votre mission, vous êtes prête à tout ?
- Bien sûr, n'importe quel sacrifice, vous le savez !
Elle riait. Il s'approchait d'elle, tournait autour d'elle, scrutait les moindres recoins de son corps. Elle a l'air mal à l'aise, prend une bouffée de son Cohiba comme pour se donner bonne contenance. J'attendis dans mon coin et pris la précaution cette fois de déboutonner mon pantalon, j'avais la queue à la verticale, déjà. Alors qu'il ne s'était encore rien passé, un véritable sentiment de culpabilité mêlé à de l’énervement et de l’excitation vivait en moi.
- Pouvez-vous m'attraper la pochette sur le bureau ?
- Bien sûr !
Elle essaya de la prendre, soudain il arriva derrière elle, se colla contre elle, qui désormais était bloquée contre le bureau. Grâce à son ventre imposant, elle ne pouvait se sortir de cette position, elle gesticulait, ce qui plaisait à Maurice qui avait sa queue qui se faisait plus ou moins caresser par les fesses de ma copine.
- Maurice s'il vous plait, arrêtez votre petit jeu ce n'est pas marrant. Disait-elle désabusée.
- Tu ne vois pas où je veux en venir salope, tu sens pas, là, entre ton petit cul que je vais défoncer. Ma grosse queue que tu adores. Celle qui te fais jouir comme une pute, qui te donne ta dose de sperme au bureau le midi.
- Ah là c'est marrant ! Je la trouve un peu molle non ?
Elle ondulait à présent ses fesses pour mieux exciter son patron. Je la trouve un peu molle non ?
- Tu vas voir quand tu vas la prendre si elle est molle. Je te rappelle que la dernière fois, tu pouvais plus marcher.
Je commençai alors une lente masturbation, outré par les propos du vieux mais excité à la vue de ma femme chauffant son patron deux fois plus vieux qu'elle. Il lui reniflait les cheveux, embrassait son cou, ses joues, puis il la « libéra » pour la retourner et la placer dos sur le bureau. Il se jeta sur ses lèvres, ils s'embrassaient comme deux bêtes sauvages, c'était bestial.
- Déboutonne ton chemisier, je dois voir tes gros nibards de chienne. Punaise, j’en rêvais depuis ce séminaire, j’ai pas eu trop le temps de te voir depuis.
Elle s'exécuta, prenant son cigare encore allumé en bouche pour déboutonner son chemisier de ses deux mains. Lui, enleva son pantalon et je découvris son énorme queue qui, dure comme de l'acier, pointait vers le plafond. La mienne en faisait de même. Sarah siffla et elle posa son cigare dans le cendrier comme pour signifier qu'elle était prête pour les choses sérieuses. Il lui malaxait un sein d'une main, lui caressait la chatte de l'autre à travers son tanga noir et rose et embrassait l'autre sein.
- Quelle lingerie de salope. Tu es de plus en plus cochonne et bandante. Tu sais que j’ai envie de te défoncer.
- OH ! Maurice, je veux que vous me baisiez. Comme une grosse chienne. Vous savez si bien le faire.
Il ne patienta pas, la souleva pour l’assoir sur le bord du bureau. Il releva les jambes de ma douce pour les poser sur ses épaules, il écarta le tanga et pénétra d’un coup sec ma femme. Il enchaina avec de coups de reins violents. Il y avait Sarah qui gémissait de plus en plus fort, la musique camouflait que peu ses cris de plaisir intense. Sa minette était totalement déformée, des bruits de sucions et de chairs qui claquent, l’ambiance était torride. Maurice serrait la gorge de ma chérie et lui mettait des claques. Elle, tout sourire tirait la langue et faisait venir son bassin vers celui de son amant. Un vrai film de cul, avec ma femme dans le rôle de la star du X.
Ses seins dansaient, sautaient à chaque coup de reins qui la faisaient gémir. Elle enroulait ses jambes autour de lui, s'agrippait au rebord du bureau pour prendre appui et que la pénétration soit encore plus violente. Encore une fois, ma femme si gentille se transformait dans cette situation en monstre sexuel.
Je ne pouvais m'empêcher autant qu'elle de gémir, ceux-ci étant camouflé par la musique, ses gémissements, les grognements de son boss et le bureau qui lui aussi subissait leur baise sauvage.
Dans la pièce mitoyenne, le fils du boss entra avec un des vigiles. Je tendis l’oreille et ce que j’ai entendu m’horrifia. Il lui disait qu’il devait faire en sorte que je rentre chez moi sans me douter de rien afin que « l’équipe » s’amuse avec Sarah pour fêter les bons résultats de l’année. J’étais sur le cul mais cela ne dura pas car le spectacle entre le vieux Maurice et Sarah continuait de plus belle.
Il l'a retourna alors, elle s'accoudait désormais au bureau s'offrant littéralement à lui. Le cul en l’air, la jupe retroussée, son cul encadré par sa lingerie fine. Il lècha délicatement la chatte de Sarah qui lui demanda de lui doigter le cul. Il posa quelques claques violentes sur son cul. Celui-ci devint alors tout rouge. Il finit par positionner sa queue à l’entrée de sa grotte, là où il y a quelques mois j’avais été encore le seul à y avoir été.
- Putain mais quel cul de folie. Je vais finir par avoir un infarctus avec toi. Tu sens bien mon gros gland qui va te fourrer ?
Il reprit alors ses coups de boutoirs incessants qui la faisait gémir encore plus fort. Il lui attrapait l'épaule pour qu'elle s'empale plus violemment sur sa queue. Et cela avait pour conséquence de la faire se cambrer encore plus. J'accélérai ma masturbation sentant l'éjaculation arriver, pendant que Sarah s'emportait dans une jouissance, un orgasme aussi violent que l'acte qui la provoquait,. Elle gémissait en s'agrippant au bureau, faisant tomber de celui-ci feuille, stylo, clavier d'ordinateur. Son boss lui pilonnait la chatte en lui tirant les cheveux et claquant son cul. Les insultes pleuvaient : « salope », « vide couilles », « garage à bites », j’en passe et des meilleures. J'éjaculai des jets qui éclaboussèrent les vêtements du dressing, maintenant maculé de mon sperme que je ne pus contrôler à cause de la scène hard à laquelle j’assistais.
Il sortit sa queue, elle s'affala alors sur le bureau. Il en profita alors pour éjaculer sur le dos de SA salope, tâchant, souillant son chemisier définitivement en allant jusqu'à se ressuyer sa queue sur la douce soie du vêtement, il laissait en quelque sorte son empreinte, il avait marqué son territoire. Elle ne remarqua rien dans l'état de béatitude qu'elle était.
- Merci, Sarah. Tu es la meilleure collaboratrice que je puisse avoir.
Elle le regarda par-dessus son épaule et lui sourit :
- Merci, je suis là pour le bien de l’entreprise.
Il se rhabilla pour rejoindre ses hôtes tandis qu'elle se remettait de ses émotions en enfilant lentement son pantalon. Toujours caché, je la vis reboutonner son chemisier, elle faillit découvrir les « empreintes » de Maurice quand elle toucha presque les longues traînées de foutre en remettant son chemisier dans sa jupe. Son chemisier lui collait à la peau dû à la sueur, ses cheveux étaient en bataille. La séance de baise avait laissé des traces.
Elle prit son string qu'elle n'avait pas remis pour le suspendre à la lampe du bureau. Elle marquait son territoire. Je me dépêchai de rejoindre le hall et les invités pour ainsi découvrir les regards choqués, excités et moqueur de ses collègues.
A suivre...
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