Texte de gkcdqho
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Léa doit payer le loyer, d'une façon ou d'une autre.
Mon mari Léo essaie de trouver des petits boulots. Nous sommes mariés depuis trois ans. Léo est le seul homme avec qui j'ai couché, mais en raison du stress dû à notre manque d'argent, notre vie sexuelle est presque inexistante.
Nous avons accumulé six mois de retard pour le loyer et nous ne trouvons plus d'excuses pour expliquer notre manque d'argent. Le loyer est de six cent euros par mois, charges comprises. Mon mari et moi habitons au quatrième et dernier étage d'un immeuble ou il y a trois appartements par étage.
Le propriétaire de cet immeuble s'appelle Mr. Alain et il habite dans un autre quartier. Tous les locataires de l'immeuble ne l'aime pas. Il se sent supérieur à nous autres, il a environ une quarantaine d'année, il sent toujours la sueur. Je déteste quand il vient lui-même pour encaisser le loyer, car il me regarde comme si je n'étais qu'un morceau de viande. Il me rend malade, il est repoussant. Il vient toujours le dernier vendredi du mois et j'essaie toujours ce jour-là de me couvrir le mieux possible. J'ai une poitrine avec deux seins volumineux qui se tiennent fièrement et ce n'est pas facile de les cacher.
DRING ! DRING !
Je regarde Léo. Nous savons que c'est le propriétaire et que nous n'avons pas l'argent pour le payer. Léo ouvre la porte pour laisser entrer Mr Alain. Il lève les yeux vers moi et me sourit. Il me demande une tasse de thé. Je me précipite dans la cuisine et d'une oreille, j'écoute mon mari dire à Mr Alain que nous n'avons toujours pas l'argent.
- Monsieur Léo ? Vous me devez près de trois mille six cents euros et jusqu'ici j'ai été indulgent.
J'entends mon mari lui répondre, mais notre propriétaire l'interrompt :
- Je ne veux plus entendre vos excuses, je les ai toutes entendues. Je devrais vous jeter à la rue avec les SDF !
- Mr Alain, s'il vous plaît ? Vous aurez votre argent, mais il nous faut encore juste un peu de temps ?
Sur un ton sévère, Mr Alain interrompt de nouveau mon Léo.
- Léo ! Je ne vous crois plus, nous allons nous revoir bientôt.
Sur ces mots, il se lève et quitte notre appartement.
Le lendemain, alors que Léo est au travail, une petite mission d’intérim qu'il vient de trouver, je nettoie l'appartement quand j'entends retentir la sonnette de la porte d'entrée. Je pense savoir qui est là et mon intuition est confirmée quand j'ouvre la porte et je vois Mr Alain me fixer avec un sourire sadique.
- Bonjour Léa, est-ce que votre mari est à la maison ?
- Non, il est au travail jusqu'à ce soir. Que puis-je faire pour vous ? Dis-je en bégayant.
- Eh bien, si vous me permettez d'entrer, nous pourrons discuter de la question.
Nerveusement, j'ouvre la porte en grand et Mr Alain passe devant moi. Je referme et je me retourne. Je le vois qui me déshabille du regard. J'ai complètement oublié que je ne porte qu'un grand tee-shirt qui cache à peine mes fesses. Je ne porte pas de soutien-gorge alors mes seins pointent contre le fin tissu du tee-shirt.
- Qu'elle est le but de votre visite ? Je pense que mon mari vous à tout dit hier ? Que je lui dis.
Il me regarde dans les yeux et là il me dit froidement.
- Ce soir, vous êtes tous les deux à la rue.
Je commence à sangloter, car je sais que nous n'avons nulle part où aller. Je le regarde et je commence à le supplier de nous laisser rester. Comme il ne veut pas, j'ajoute ces mots que je vais regretter pour le reste de ma vie :
- S'il vous plaît, Mr Alain ne faites pas ça ? Vous aurez votre argent ! Je ferais n'importe quoi pour avoir votre argent, mais nous ne jetez pas à la rue SVP !
Un sourire apparaît sur le visage de Mr Alain. Puis, il me dit :
- Vous feriez n'importe quoi ?
Je me contente de hocher la tête en signe d'affirmation.
- Bon ? Alors je crois que nous pouvons peut-être arrivé à un accord.
J'ai soudain un mauvais pressentiment. Il continue.
- Viens ici et agenouille-toi devant moi !
Mr Alain me tutoie ? Je lui obéis et je m'agenouille devant lui. Il descend la fermeture de sa braguette et sort sa bite. J'ai un recule lorsque je sens l'odeur nauséabonde de son sexe. Il me dit :
- Tu fais ce que je te dis, quand je te le dis ! Sinon au premier refus, toi et ton mari, vous vous retrouvez à la rue. Est-ce que tu comprends Léa ?
Je ne suis pas en position de refuser, je suis dans une très mauvaise posture, disons que je n'ai aucune échappatoire possible. Je ne peux que hocher la tête une fois de plus.
- Maintenant, je veux que tu me suces la bite. Je ne veux entendre aucune plainte, tu fais ce que je te dis sinon oust dehors !
Jusqu’ici, le plus cochon que j'ai fait a été de prendre la bite de mon Léo dans ma bouche. Sage, vertueuse, pudique, je n’ai jamais eu le feu aux fesses. Disons seulement que le feu est endormi par une sexualité anesthésiée par mon mari qui s’endort avant même d’envisager de baiser sa femme.
J'avance ma tête en avant et je place mes lèvres autour de sa bite. Quand ma langue touche son sexe le goût est abominable et j'en ai un frisson qui me parcoure la colonne vertébrale. Je crois que je vais vomir. Mais je me retiens et je commence à le sucer. Sa queue grossit dans ma bouche. Mr Alain place une de ses mains sur le haut de ma tête et me force à le sucer plus fort et plus profondément.
- C'est ça ma belle, suce, suce-moi bien.
Il tire ma tête en avant et en arrière sur sa bite et de temps en temps, il la sort pour me gifler les joues avec, avant de me la remettre dans la bouche. Je veux juste que ça se termine, car je dois le faire pour Léo et moi.
Après ce qu'il me semble une éternité, Mr Alain qui baise ma bouche avec sa bite, se met à gémir. Je comprends qu'il est proche de jouir. Il sort sa bite de ma bouche et commence à gicler son sperme épais sur tout mon visage, ses jets de sperme fouettent mon visage et j'ai un bref moment de soulagement en sachant qu'il n'a pas éjaculé dans ma bouche.
- C'est bien Léa, toi et ton mari vous ne serez pas expulsés aujourd'hui ! Enfin ? Pour l'instant. Et si tu ne veux pas que ton mari découvre ce que tu viens de faire, je te conseille de faire ce que je dis, quand je le dis. Dit Mr Alain en agitant son portable allumé devant mes yeux.
Ce salaud a dû filmé ma fellation ? Clic ? Il vient de prendre mon visage couvert de son sperme en photo. Je deviens son esclave sexuel maintenant qu'il a des photos de ma soumission. Et je ne peux rien y faire. Si je continue à lui obéir, mon mari et moi aurons un toit au-dessus de notre tête. Sinon, nous serons à la rue.
- A bientôt ma chère Léa !
Sur ces mots, il sort de l'appartement. Je me précipite sous la douche pour me laver. J'en pleure. Je pleure encore jusqu'à ce que Léo rentre à la maison ce soir-là. Je passe toute la nuit blottie dans ses bras, Léo ignore que je suis devenue l'esclave sexuelle de Mr Alain. Que va-t-il me faire faire ce salaud de propriétaire ?
J'angoisse à cette idée.
A suivre...
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