Auteur inconnu.
Soirée au boulot de Sarah.
On arriva chez le patron : Une grande bâtisse et il y avait un petit nombre de personnes, les autres filles de la boite étaient toutes très sexy et les hommes tactiles avec elles. On aurait pu jurer que les filles étaient recrutées au physique. Sarah semblait être appréciée de tout le monde. Maurice son patron nous aperçut au loin. Il arriva vers nous avec deux coupes, une pour ma femme et une… pour lui.
-Eh ben, vous en avais mis du temps !
- Ah désolé, Marc était en réunion, mais il a pu se libérer quand même.
Tout le monde était dans le hall, femme en tailleur, homme en costume, verre de champagne, caviar, cigare, musique jazzy... ah le monde des affaires, il faut toujours qu'ils en fassent des tonnes !
-Faites comme chez vous ! Dit le patron de Sarah.
Rapidement vint vers nous le fils du « boss ». Il parlait avant avec des hommes qui devaient surement être des amants de ma femme. Ou pas !! Il fallait vraiment que j’arrête d’être parano.
- Sarah, comment tu vas ? Mon père ne te fatigue pas trop j'espère ? Heureusement que tu lui donnes souvent un coup de main. Tu as toujours la langue bien pendue pour le détendre.
Il lui fit la bise en caressant sa hanche, avant de discrètement toucher ses fesses rebondies. Il se colla contre elle pour attraper une nouvelle coupe de champagne pour ma chère et tendre.
- Jean-Charles ! Eh bien non ça va, la preuve en est, je suis venue ! Répliqua-t-elle de son plus beau sourire.
- Tu es magnifique ! Comme à l'accoutumé d'ailleurs.
-Oh merci ! Mais toi aussi, quel bel homme tu fais ! Dit-elle en riant.
Je croyais rêver, les deux me zappaient carrément, même pas un regard, il la faisait rire pour un rien, j'avais l'impression qu'il la draguait. Il m'énervait. Il reluquait carrément ses gros seins. Et elle le regardait avec des yeux de biche. Elle siffla sa deuxième coupe de champagne. La connaissant elle allait commencer à être pompette. Elle avait clairement été excitée tout à l’heure et cela n’allait pas se calmer si elle buvait.
- Je vais passer un coup de téléphone. Dis-je pour échapper aux exploits de voyages qu'il rabâchait depuis le début.
Je me baladai dans la maison et arrivai dans une chambre, cela ressemblait à une chambre d'amis. Soudain j'entendis des bruits de talons se rapprochés, ainsi qu'une voix d'homme. Je me précipitai dans le dressing.
Mon sang ne fit qu'un tour quand je vis Sarah accompagnée de JC. Elle avait du mal à tenir droite sur ses talons hauts. Lui était derrière elle et pelotait son petit cul.
- Arrête, Marc pourrait nous voir. Je ne veux pas qu’il sache, je l’aime trop. Ca le détruirait surement de tout savoir.
- Je croyais qu'il viendrait pas !
- Mais c'est à cause de ton père ça, il voulait absolument qu'il soit là. Mais c'est pas grave mon chou, j'arrive quand même à trouver du temps pour toi non ?
Ils finirent par rentrer dans la chambre d’ami où je m’étais caché. Jean Charles ferma la porte à clef en disant :
- Là au moins on sera pas dérangé !
Je tremblai d'énervement, mon cœur palpita. Je savais ce qui allait arriver et j'étais tétanisé tandis qu'elle se rapprochait de lui l'œil coquin. Puis elle approcha ses lèvres des siennes, tout doucement, avant de l'embrasser amoureusement. De mon point de vue, je pouvais voir les langues tournoyer, alors que JC prenait à pleines mains les fesses de ma douce femme. Il releva sa jupe pour dévoiler sa lingerie sexy noire et rose. Il l'a attiré et collé à lui tel un danseur de tango en lui mettant une grosse fessée. Le ton était donné et elle sourit alors de plus belle en se frottant contre son bas ventre.
- Humm, gros coquin !
Il l’attrapa par la nuque et lui dit :
- Tu vas me sucer ma salope ! allez, à genoux, viens goûter au monstre !
Elle descendit le long de son corps pour défaire la ceinture. Je me surpris une nouvelle fois à aimer cela, je sentais dans mon bas ventre une telle excitation !
Le pantalon de celui-ci aux chevilles, je pouvais d'ores et déjà voir l'énorme queue que tentait d'emprisonner son slip. En vain ! Sa bite, bien que coincée par l'élastique sortait du sous-vêtement, du moins le gland. Elle était encore plus impressionnante que sur les films. Ce gland suintait déjà lorsqu'elle commença par embrasser tout aussi délicatement qu’elle le faisait quelques secondes avant avec les lèvres de son amant.
Je me sentis tirailler entre la colère et l'excitation qui montait en moi par des spasmes érectiles qui ne manquait pas de me faire bander.
- Oh putain, t’es vraiment une grosse chienne Sarah. Je suis sûr que tu rêves de bites toutes les nuits.
- Elle m'a manqué celle-là !
Je n'avais qu'une envie maintenant, c'était étrange mais j’avais envie de me branler. Mais le bruit de ma ceinture risquait de les déranger. Je me contentai de serrer ma queue à travers mon pantalon. Ma femme donnait des coups de langue sur le gland, embrassait la verge à travers le slip en regardant fixement JC qui jubilait. Il sorti son portable pour faire des photos et l’insulta alors qu’elle semblait de plus en plus heureuse.
Elle libéra enfin la queue du slip. Celle-ci lui sauta au visage et elle mit un petit coup de langue avant de la prendre en main et de démarrer la masturbation. Je n'avais jamais vu une queue aussi impressionnante, surement plus grosse que celle du routier. Je me sentis humilié et malgré tout j'aimais cela.
Elle accéléra la masturbation tandis qu'elle approchait sa bouche qui engloutissait une partie, ce qu'elle pouvait je suppose, du membre impressionnant de son amant. Il laissa échapper un gémissement. De mon côté, je sentis que mon boxer me collait à cause du liquide pré-éjaculatoire qui s'échappait de mon sexe en total érection, une érection qui me faisait mal autant physiquement que psychologiquement.
Elle le pompa divinement bien, aspirant la queue jusqu'au fond de sa gorge. Peut-être encore mieux que celle qu’elle m’avait fait avant. Il avait posé ses mains sur la tête de ma femme et imposait un rythme soutenu. Elle avait un filet de bave qui coulait du menton. Le porc, il rentrait maintenant la quasi-totalité de sa verge dans la bouche de ma suceuse de chérie.
- Montre-moi tes seins de salope, je vais venir !
Je sentis moi aussi l'éjaculation venir par pulsations éjaculatoires, je me concentrai pour ne pas éjaculer, mais la vue de Sarah qui déboutonnait le haut de son chemisier, bite en bouche, fut plus forte et je sentis mon pénis qui se contracta par saccades pour cracher plus fort le sperme sur moi, j'urinai du sperme.
- Haha !
Il éjacula lui aussi de longues traînés. Sarah eut juste le temps de se retirer, alors que je voyais de longs jets atterrir sur sa poitrine ainsi que sur le chemisier de ma belle qui n'eut pas le temps d'écarter et de déboutonner suffisamment celui-ci pour qu'il ne soit touché. Elle qui me répète détester le sperme nettoyait maintenant la queue de Jean Charles en la prenant en bouche une dernière fois tandis que je constatais l'ampleur de mes dégâts en touchant mon caleçon littéralement trempé, il me collait à la peau.
- Je m'occupe de toi plus tard, tu sais bien qu'il me faudra une nuit entière pour faire tout ce que je veux. Je vais te défoncer ma sale pute !
Il remonta son pantalon, releva Sarah, lui essuya le sperme qui recouvrait sa poitrine avec un mouchoir et reboutonna son chemisier. Il l'embrassa délicatement et s'en alla rejoindre les invités. Ma chérie prit la direction des toilettes pour se remaquiller. Je sortis de ma cachette quand les lieux furent sécurisés pour les rejoindre.
A suivre...
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