samedi 27 novembre 2021

Paiement de loyer - Ch. 02

  Texte de gkcdqho

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Le propriétaire revient voir Léa.

Mon Léo est parti travailler ce matin à huit heures. Je suis allongée dans mon lit, en me demandant quand est-ce que ce salaud de proprio va revenir et que va-t-il me faire faire ? Rien qu'à repenser à sa sale bite qui pue, j'ai un frisson qui me parcoure la colonne vertébrale. Je tire la couette plus haute en espérant que la chaleur contre mon corps nu me réconfortera. Mais ce n'est pas le cas.

Une heure passe et je n'arrive pas à calmer mon angoisse. Les deux heures passent et l'angoisse est toujours là. Je redoute le retour de ce salaud de Mr Alain. Un peu avant midi, à contrecœur, je sors de mon lit chaud et je me traîne lamentablement jusqu'à la salle de bain. J'ouvre l'eau, je commence à me laver, l'eau chaude coule sur mon corps, mes seins.

Dring ! Dring ! Dring ! Dring !

Je sursaute et me fige. C'est sûrement ce salaud et à entendre les coups de sonnette, monsieur est pressé que je lui ouvre. Je sens une boule se former dans mon estomac. Pourquoi maintenant ? En plein milieu de ma douche, au moment où je suis la plus vulnérable, où je suis nue. J'attrape une serviette et je commence à me sécher frénétiquement.

Dring ! Dring ! DRINNNNNG !

Cette fois monsieur devient impatient. Je ne veux pas le mettre en colère, j'ai peur des représailles sexuelles. J'attrape mon peignoir, je l'enfile et je vais à la porte. Je déglutis en attrapant la poignée et j'ouvre lentement. Je l'entrebâille simplement comme pour voir qui est derrière. Instantanément, je vois les yeux froids et brillants de Mr Alain fixés sur moi. J'ai l'impression que je vais fondre en larmes.

- Salut Léa ! Alors ! On n'est pas contente de me revoir ? Dit-il en souriant.

Je ne dis rien et j'ouvre la porte en grand puis je lui tourne le dos. Je marche jusqu'au centre du salon et j'attends les prochaines humiliations.

- Tu n'es pas d'humeur bavarde ma très chère Léa. Ce n'est pas gentil ? Après la générosité dont je fais preuve envers ton mari et toi.

Ces mots me mettent en colère. De la générosité ? Il peut se la mettre au cul une générosité comme celle-là.

Il vient derrière moi et passe ses mains sur mes épaules puis les descend le long de mes bras. Ses deux mains passent sur mon ventre et il tire sur la ceinture de mon peignoir. Lentement, il l'ouvre, je sens son menton sur mon épaule. Mon peignoir est complètement ouvert, il le fait glisser sur mes épaules pour le faire tomber par terre. J'ai des frissons alors que je suis nue et vulnérable.

- Ah ! AAAH ! Ça fait longtemps que je voulais voir tes nichons.  

Je déteste ce mot nichon, c'est si vulgaire. Mon mari sait que je déteste ça. 

Mr Alain fait courir ses doigts sur mes mamelons qui se sont dressés sous l'air froid. Puis il passe devant moi afin de me faire face. Il déboutonne son pantalon et baisse son slip sur ses chevilles. Je suis horrifiée quand je vois des marques de saleté dans son sous-vêtement. Il se laisse tomber dans notre canapé et il me fait signe de m'agenouiller devant lui. À contrecœur, je me place entre ses jambes. Il lève sa main et la passe dans mes cheveux humides. Puis il tire très fort ma tête vers le bas en direction de sa bite.

L'odeur est pire qu'hier. J'ai des haut-le-cœur et je ne suis pas loin de vomir. Mais je ne peux rien faire avec sa bite dans ma bouche. Comme hier, je suis complètement soumise et il baise ma bouche. Il bouge ma tête en tirant mes cheveux et la douleur me fait monter les larmes aux yeux.

CRIC CRAC ? VLAN ?

C'est la porte d'entrée qui vient de claquer. J'essaie de me dégager, mais Mr. Alain tient fermement ma tête en place. Je ne peux que voir ce qui est en face de moi, c'est-à-dire le ventre de mon propriétaire. Je réalise que je n'ai pas fermé la porte à clé et que ma position me laisse vulnérable pas derrière.

- Bon sang, elle a un sacré cul !

C'est une voie masculine qui dit ces mots. Ce n'est pas celle de mon mari, elle est plus grave et elle paraît appartenir à un homme plus vieux. Mr. Alain lui répond :

- Pourquoi n'en profites-tu pas alors ?

Aucun autre homme que mon Léo ne m'a pénétrée. Ma tête est soulevée. Je me retrouve face à la figure de mon propriétaire. Je sens une brûlure sur ma joue. Il vient de me gifler violemment.

- Maintenant tu m'écoutes pouffiasse ! Je ferai de toi ce que je veux. Je dis qui peut te baiser ou pas. Si tu essaies de me désobéir, tu seras puni plus durement et plus douloureusement. Si tu veux que j'arrête, tu seras jetée à la rue avec ton mari. Et je ne crois pas que ton ménage ira mieux quand il verra sur les photos quelle salope est sa femme.

Je pense à mon Léo que j'aime d'amour. Je ne serai rien sans lui. Alors, je regarde Mr. Alain dans les yeux. Sa main a lâché mes cheveux et repose sur sa cuisse. Je me penche en avant et je reprends sa bite dans ma bouche et je commence à le sucer.

- AAH ! Voilà ! C'est une bonne soumise ma Léa.

Je suce sa bite de mon plein gré. Cette fois, c'est moi qui contrôle la fellation et non lui. Je garde les yeux fermés et j'essaie de penser que c'est à mon Léo que taille une pipe.

CLAC !

Une main vient de tomber sur mes fesses. L'écho de la claque résonne dans la pièce. La douleur est inimaginable et je me mets à pleurer. Trois autres claques sont déposées violemment sur mon cul sensible, chacune plus douloureuse que la précédente. C'est l'homme derrière moi qui pose ses mains brûlantes sur ma croupe. 

Moi, je m'applique à sucer la bite de Mr Alain quand j'entends le son d'une fermeture éclair de braguette. Je sens quelque chose frotter contre les lèvres de ma moule. Je pense savoir quoi. Il passe et repasse le gland de sa bite entre mes lèvres intime. Il presse maintenant son gland sur mon clito.

Il redescend son engin à l'entrée de ma grotte, l'enfonce légèrement, puis le ressort et le remonte entre les lèvres de ma moule jusqu'à mon clito. Ce salaud sait y faire, il me fait mouiller de plus en plus. L'envie d'être prise se fait de plus en plus pressante.

Je sens maintenant l'homme derrière moi me pénétrer. Il est le deuxième homme de ma vie à s'enfoncer dans ma grotte. Il s'enfonce puis il recule lentement. Je n'ai pas l'impression que sa bite soit bien grosse.

- C'est ça Dan, donne-lui une leçon à cette petite.

Dan, ça doit être son nom. Je l'entends répondre :

- Oh ! Putain Phil, sa chatte est mouillée et bien serrée, c'est comme baiser une vierge.

Ils éclatent tous les deux de rire. Je veux que cette épreuve se termine vite.

Le dénommé Dan commence à me pilonner de plus en plus fort et je commence à aimer ça chaque minute. Je fais de mon mieux pour que mon propriétaire jouisse et j'essaie de serrer les muscles de mon vagin dans l'espoir que Dan en finisse vite lui aussi.

- MMMM ! Elle mouille de plus en plus. Dit Dan.

C'est vrai que je sens que je commence à apprécier. Il est vrai que ça fait un moment que je n'ai pas eu  la bite de mon Léo dans mon puits d'amour. Mais qu'est-ce que je dis ? Ma moule me trahit. Je devrais détester chaque enfoncement, mais ma grotte profite de cette bite. La voix familière de Mr Alain dit alors :

- C'est vrai Léa que tu commences à apprécier la queue de Dan ? Tu es vraiment une petite salope.

Ils éclatent encore tous les deux de rire.

Après ce qui me semble une éternité, Mr Alain commence à gémir plus fort. Je place ma main sur ses couilles et je les caresse en espérant que cela va l'accélérer. Et c'est le cas.

- Oh ! Oui ! Comme ça, putain oui, je vais gicler !

Il éjacule son sperme dans ma bouche. Je ne veux pas l'avaler, mais dans sa jouissance, il me tient la tête enfoncée sur sa bite. Comme je ne veux pas que le goût dure dans ma bouche, je me dépêche alors d'avaler son jus d'homme.

Dan ne tient pas plus longtemps. Ma grotte faite pour l'amour me cause vraiment des problèmes. Elle profite du moment. J'utilise la bite de mon propriétaire pour essayer de réprimer mes gémissements de plaisir. Mais ma grotte sait que j'ai une bite dans la bouche et une autre qui la lime. C'est un fantasme féminin courant alors que peut-elle faire d'autre que de mouiller ?

Une minute ou deux plus tard, dans un grand gémissement, Dan s'éclate dans mon ventre. Il inonde ma grotte avec environ ce qui me semble un bon litre de sperme. Je sens sa bite se raidir en moi alors qu'il gicle plusieurs fois. Ensuite son érection diminue et je sens son sperme chaud sortir de ma chatte et couler sur mes cuisses.

Je reste là, agenouillée, tandis que Mr Alain se lève et remonte son pantalon. Je regarde le canapé devant moi alors que Dan se place devant moi. Je veux lever les yeux pour voir son visage, mais sa bite demi-molle est poussée dans ma bouche.

- Nettoie ma bite petite salope ! Commande-t-il. 

Sans me révolter, je suce sa bite, goûtant son sperme et mon jus de moule mélangés, un goût que je n'ai jamais savouré. Je pense que Dan veut simplement nettoyer rapidement sa bite dans ma bouche. Mais je suce sa queue, qui se raidit pendant un bon moment, jusqu'à ce qu'il éjacule une deuxième fois dans ma bouche déjà utilisée, qui avale une petite quantité de sperme.

Je l'aperçois seulement quand il part précipitamment. Il a les cheveux gris et il est assez grand. C'est tout ce que je peux voir. Mr Alain s'approche de moi. Il place un bout de papier sur le canapé avec 200 euros en espèces.

- Je veux que tu prennes cet argent et que tu achètes tout ce qu'il y a sur ce papier. Tu trouveras tout au même endroit et ça te coûtera deux cents euros. Tu ne dois pas le montrer à ton mari et tu dois l'acheter avant que je revienne demain matin vers onze heures. C'est clair ?

Je hoche légèrement la tête en signe d'approbation.

- Bien ! À demain Léa !

Je suis là, agenouillée dans mon salon avec du sperme qui coule de mon puits d'amour, et encore le goût de leur sperme dans ma bouche. Je ressemble à une pute bien utilisée. Mais je l'ai fait pour mon couple.
Je me relève et je vais prendre une douche. Puis je m'habille et je sors avec le morceau de papier et les deux cents euros.

A suivre...

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