mardi 27 juin 2023

Maryline - Ch. 04

 Texte de Xmaster.

 ****

la femme au foyer retrouve son mari.

Une fois arrivé à la maison, sa fille part rejoindre une amie. Maryline entre chez elle. Didier son mari est en train de faire la vaisselle. Elle lui demande si leur autre fille est là. Elle aussi est sortie. La jolie femme a toujours le ventre en ébullition et il se trouve qu'elle a un homme sous la main. Son époux. Elle s'approche de lui, se colle contre son dos, le serre et, la tête sur une épaule, lui demande :

- Alors, mon chéri, je t'ai beaucoup manqué pendant ces trois jours ? 

Didier est un peu étonné de l'attitude de sa femme, mais il répond :

- Oui. Tu m'as beaucoup manqué !

- Beaucoup, beaucoup ?

- Oui, vraiment beaucoup.

 Elle glisse alors une main vers la braguette et se met à masser la queue à travers le pantalon.

- Et à elle ? Je lui ai manqué aussi ? 

Didier n'en croit pas ses yeux. Jamais sa femme n'a pris d'initiative en matière de sexe. Il a peur de l'effaroucher et il répond prudemment :

- Oh oui ! Tu lui a beaucoup manqué aussi. 

Maryline masse un peu plus encore la queue, puis les couilles. Elle sent l'engin grossir.

- Tu as raison mon chéri ! Je crois que je lui ai vraiment manquée… 

Elle ouvre la braguette, glisse sa main dans le slip et caresse la queue qui grossit de plus en plus vite. Maryline s'agenouille alors et dit à son mari :

- Tourne-toi… 

Il s'exécute aussitôt et déjà, elle s'affaire, baisse le pantalon et le slip. Elle prend la bite d'une main, la branle doucement et, regardant Didier dans les yeux, elle lui dit :

- Elle est belle ! J'ai envie de te la sucer… 

Et, sans le laisser répondre, elle embouche l'engin brûlant. Maryline en a tellement envie qu'elle le suce avidement, voracement. Elle tète le gland, sa langue l'enrobant de salive. Didier n'en revient pas. Il ne reconnaît pas sa femme et ne l'a jamais vu aussi active. Il ne s'en plaint pas, bien au contraire. Elle commence alors à avaler la hampe, à chaque fois un peu plus et, très vite, elle parvient à toute l'avaler, son nez touchant le pubis de son mari, au grand étonnement de ce dernier. Il en gémit de plaisir et prend la tête de Maryline dans ses mains pour rythmer la pipe sublime qu'elle lui fait. Ses lèvres reviennent jusqu'au gland et elle l'avale ensuite jusqu'aux couilles. 

Maryline fait endurer ce délicieux supplice à son mari une bonne minute. Elle sent qu'il a du mal à se retenir de jouir. Aussi, elle arrête de le pomper, le branle doucement et se met à lui lécher les couilles l'une après l'autre. Puis elle les gobe chacune leur tour. Enfin, de la langue, elle longe la hampe et gobe le gland qu'elle suçote. Il est gonflé à éclater, jamais elle n'a senti la bite de son mari aussi dure. Elle la lèche à petits coups de langue rapides. Elle sent qu'il est à bout, sa queue frémit. Didier prévient sa femme qu'il va jouir, comme il le fait chaque fois qu'elle le suce. 

Mais, au lieu de se retirer, Maryline le pompe de plus belle. Il ne résiste plus, d'autant qu'elle l'avale à moitié et l'aspire jusqu'au gland à toute allure. Il gicle soudain, il lui donne son foutre à longs jets. Elle le boit au fur et à mesure. Elle est surprise par le goût du sperme, bien différent de celui de son jeune amant, mais pas désagréable pour autant. Elle l'aspire, le tète. Le gland est gros, il lui distend les lèvres. Elle le suce avec une telle frénésie qu'il lui échappe une seconde de la bouche. Le temps qu'elle le rattrape, du foutre fuse sur une joue et coule dans son cou. Jusqu'à la dernière goutte, elle le pompe. Il a pourtant fini de gicler, mais elle le suce encore. Elle ne laisse la queue qu'une fois qu'elle a repris sa taille normale. 

Maryline se relève alors, enlace son mari et l'embrasse goulûment. Il a d'abord un mouvement de recul lorsqu'il goûte à son sperme dans la bouche de sa femme, mais il se donne ensuite totalement à se baiser. Au bout de longues secondes, ils en ressortent essoufflés. Elle lui demande alors :

- C'était bon mon chéri ? Tu as aimé ? 

Il l'embrasse langoureusement un long moment et répond :

- Je t'aime à la folie ! Je n'aurai jamais cru que tu puisses être aussi géniale ! J'ai cru que tu me faisais mourir de plaisir… 

Elle n'a pas le temps de répliquer. Ils entendent la voiture de leur fille arriver. En souriant à son mari, Maryline rajuste la queue et ferme la braguette. 

Toute la famille dîne. Puis les filles s'installent devant la télé pour voir un match de foot. Didier fait de nouveau la vaisselle. Il s'essuie les mains quand il entend Maryline descendre l'escalier. Elle s'est changée, il la trouve très belle, avec un chemisier blanc, une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, les jambes gainées de noir. Alors qu'il s'approche de la cheminée dans le couloir, il lui dit :

- Tu es très belle ma chérie. 

Il met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme adosser contre la rambarde de l'escalier et qui le regarde d'un air étrange, qu'il ne lui connaît pas. Elle lui demande :

- Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ? 

Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin

- Est-ce que tu veux voir de plus près ? 

Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe porte jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large, froufroutante que ses amis lui ont offerte pour ses 40 ans. Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eu aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins. 

Maryline fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers. Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à clé dès que Didier est passé devant elle. Elle saute aussitôt à son cou et l'embrasse avec passion. Il serre ses fesses et les malaxe. Maryline s'agenouille alors devant son mari, baisse pantalon et slip. La queue jaillit devant ses yeux. Elle l'effleure de ses lèvres. Tout le corps de Didier se tend et vibre quelques secondes, comme secoué par une décharge électrique. Elle s'empare de sa queue qui est déjà lourde et dure. Sans plus attendre, elle la gobe doucement, entièrement, dans la chaleur de sa bouche, pour la sentir gonfler lentement, lui remplir la bouche, grandir et durcir, commencer à l'étouffer, déborder de ses lèvres. Elle le tête doucement, sa main est descendue le long de la bite jusqu'aux couilles qu'elle malaxe. Ses hanches ont commencé à onduler par vagues, manifestant l'impatience de son corps, la bite s'est enfoncée jusqu'au fonds de la gorge accueillante, réclamant d'être sucé de manière plus rapide. 

Maryline reprend à pleine main le membre devenu dur comme un cep de vigne et elle entreprend une lente masturbation, en en faisant glisser la fine peau d'une poigne ferme dans un mouvement de va et vient régulier, rythmé par l'ondulation des hanches de son mari et du crescendo de ses soupirs, tandis que sa bouche humide, dont les lèvres sont de plus en plus actives, embrasse goulûment le gland mauve.

Didier gémit soudain plus fort, crispe ses doigts dans la chevelure de sa femme. Elle comprend qu'il va jouir. Elle sent la hampe grossir et se durcir comme une pierre, la pression monter, les palpitations de la queue s'accélérer. Elle a beau s'y attendre, elle est surprise quand il explose, quand le sperme emplit sa bouche en une violente giclée chaude. Elle la garde bien au fond de sa gorge, attendant la suite du séisme, quatre autres giclées qui par ondes de moins en moins violentes se font l'écho de la jouissance de son mari. 

Alors seulement elle reprend très doucement sa tétée et boit avec gourmandise la semence, traquant du bout de sa langue la dernière petite goutte qui aurait pu lui échapper. Elle n'aime pas trop le goût du sperme, mais elle a trop envie d'être salope. 

Son repas terminé, Maryline garde la bite au fond de sa bouche pour la sentir se recroqueviller, devenir douce et vulnérable, vaincue. Après un dernier regard à la queue recroquevillée, elle se lève et, dans un long baiser, mêle leurs bouches, leurs langues, leurs salives et elle partage le goût du foutre avec Didier.

Elle l'aide alors à se déshabiller et lui demande de rester là, nu, debout contre le mur. Encore haletante, elle s'écarte enfin et, en fixant son mari dans les yeux, elle finit d'ouvrir son chemisier. Elle l'enlève et elle apparaît dans sa guêpière noire, impudique, terriblement provocante. Ses seins sont bien mis en évidence. Jamais il n'a vu sa femme parée d'une tenue aussi érotique. Il a encore du mal à croire en sa bonne fortune. Maryline dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre. Didier l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà. Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes, elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte doucement. Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi. Elle écarte soudain l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un second. 

Didier a du mal à reconnaître son épouse dans cette femme qui se branle sans pudeur devant lui, accomplissant ses phantasmes les plus fous et dont il n'osait même pas lui parler. Maryline lui dévoile ainsi ses seins et sa vulve. Elle se relève soudain, retire sa culotte, s'agenouille sur le lit, fait face à son mari et elle commence à se caresser d'une main. Elle remonte ses mains sur ses hanches, passe le long de ses seins , monte sur son cou et relève ses cheveux châtains. Elle ondule le corps et se caresse ainsi un petit moment. Les mamelons de ses seins pointent de manière très visible. De ses deux mains, elle se les caresse en en pinçant légèrement les bouts. Ses mains redescendent vers son ventre et continuent sur sa vulve. À cette simple caresse, elle soupire fort et remonte sur ses seins qu'elle massent avec plus de force pendant que sa respiration s'accélère. 

De voir sa femme se donner du plaisir, Didier bande de nouveau aussi dur, bien qu'il ait joui déjà deux fois dans la soirée. Machinalement, il se branle doucement. Maryline glisse ses mains entre ses cuisses largement écartées et pose ses doigts de chaque coté de sa vulve. Elle écarte ses lèvres vaginales et dévoile son clitoris. 

Il l'entend respirer très fort. Quand elle glisse un doigt sur son clitoris gonflé, elle pousse un râle de plaisir. Au début elle le caresse lentement, mais après quelque coup de son majeur, elle augmente son rythme. Elle se masturbe maintenant en frottant son clitoris vivement. Les yeux fermés, elle semble y trouver un grand plaisir. D'une main elle masturbe son clitoris et de l'autre elle malaxe tour à tour ses deux seins. Maryline s'étend alors sur le dos au milieu de son lit, écarte largement les jambes et recommence sa masturbation de ses deux mains. D'une main elle tient ses lèvres ouvertes et de l'autre, elle glisse son majeur sur son clitoris et descend jusqu'à sa chatte qu'elle pénètre, puis en ressort et remonte jusqu'à son clitoris. Elle s'applique ce mouvement de va et vient pendant que son mari l'entend respirer de plus en plus fort. Le corps de Maryline ondule sous ses caresses, qui vont de plus en plus vite. 

Puis, d'un coup il la voit qui sursaute, tout son corps se tend et pendant qu'elle pousse un long râle, elle referme les jambes emprisonnant sa main sur son sexe, pendant que de son autre elle se pince les seins. Elle jouit devant son mari, se branlant devant lui pour la première fois, sans aucune honte. Didier ne bouge toujours pas. Il attend que sa femme reprenne ses esprits, ne voulant pas rompre la magie de ces instants, attendant son bon vouloir. 

Maryline ouvre les yeux, sourit à son mari et se retourne sur le ventre, la tête dans les oreillers, le cul en l'air, les jambes écartées, sa main glisse le long de son ventre, doucement. Ses doigts rejoignent sa fente, en ont écartés les lèvres, ont plongé dans son con trempé de désir, l'ont fouillé profondément pour se couvrir de son jus gluant, sont remontés vers son petit bouton. 

Didier se branle avec ferveur, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, mais en prenant garde de ne pas jouir. Il est fasciné par le dos de sa femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa croupe qu'elle offre à sa vue avec une impudeur qu'il ne lui connaissait pas. Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit trou mauve, en enduit l'anneau de sa mouille intime, et, du majeur, en a caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit passage secret puis s'est enfoncé le plus loin possible dans ses reins pour y jouer aussitôt une sarabande infernale. Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit. 

Didier a l'impression de rêver, il n'a pas l'impression de reconnaître son épouse dans cette femme qui s'exhibe devant lui, elle si sage jusqu'alors, elle qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. IL la voit se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller. Elle reste pantelante quelques longues secondes... Toujours dans la même position offerte, Maryline tourne la tête vers son mari, lui sourit et dit doucement :

- Viens. 

Elle voit la queue tendue et ajoute :

- Je te plais comme ça ? Tu ne me trouves pas trop salope ? 

Elle tend sa main en arrière, prend celle de Didier et lui montre ce qu'elle veut, tandis qu'il répond :

- Tu es superbe ! Tu es vraiment la Maryline que je préfère. Même si tu étais encore plus salope, je t'aimerai ! 

Elle lui prend un doigt et l'approche de son anus tendu.

- Mouille le dans ma chatte et mets le dans mon petit trou… 

Son rêve se réalise et Didier plonge son majeur dans la fente qu'il trouve marécageuse. Il est vite trempé et il tourne alors le doigt autour du petit trou, en y mettant un peu de pression. Il le plonge soudain à fond, observant avec satisfaction la réaction surprise de sa femme, qui ne s'attendait pas à une entrée en matière aussi rapide. Son anneau se contracte fort et elle gémit. Il la voit grimacer brièvement. En une seule poussée lente, il l'a pénétrée de son majeur jusqu'à la garde, au plus profond de son fondement. Maryline n'a pas eu vraiment mal, elle avait préalablement préparé le terrain, elle a à peine frémi, elle se laisse faire, elle apprécie même cette intromission brutale. 

Didier la voit offrir mieux sa croupe, des deux mains, elle lui écarte ses fesses, signe pour lui d'acceptation de ce qu'il vient de lui faire. Son doigt s'active maintenant dans son cul, curieux et fouineur, il explorait les mystères invisibles de ce conduit obscur, il en caresse doucement les parois fragiles et gluantes, il le fait tournoyer en elle, tout en entrant et sortant d'à peine une demi phalange, arrachant encore et encore soupirs et gémissements à sa femme qui se met à onduler, pour venir au devant de ce doigt qui l'encule. En même temps, il s'aperçoit qu'elle se branle de plusieurs doigts dans la chatte, il les sent coulisser à travers la mince paroi qui sépare ses deux trous et sa belle épouse se crispe, jouit une nouvelle fois, les doigts enfouit à fond dans sa fente et dans son petit trou. 

C'est la première fois que Didier voit sa femme avoir une multitude d'orgasmes et en redemander. Il laisse son majeur complètement enfoncé dans son anus, en attendant qu'elle émerge. Il a l'impression que sa queue grossit encore plus lorsque Maryline lui dit : 

- J'ai envie que tu me sodomises ! Mon petit trou n'est pas assez gros. Il faut que tu me le prépares pour ta queue … Dans la table de nuit... J'ai mis ce qu'il faut... 

Didier ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu, mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est surpris, sa femme avait donc tout prémédité. Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Maryline attend. Didier met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume. Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit dans son cul doucement mais inexorablement... 

Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme sur son visage. Elle gémit et grimace bientôt lorsque la carotte est enfoncée de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui enfiler tout l'engin dans les reins. Il l'encule alors de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la manœuvrer à sa guise. 

Maryline geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les fesses à se les décrocher. Didier n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à chaque passage un peu plus. Maryline apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Elle ne se caresse pas la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale soumission acceptée et cette pénétration contre nature. 

Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure les reins. Et il la voit jouir, alors qu'elle est seulement prise par le cul, lui confirmant qu'il est possible d'avoir du plaisir en cet endroit. 

Le temps que Maryline s'en remette, il prend du lubrifiant et en enduit sa queue. Il observe alors la croupe de son épouse, son anus distendu par la carotte toujours fichée à fond. Il retire le légume et admire quelques secondes, le trou béant qui se referme peu à peu. Tranquillement, il pose son gland entre les fesses offertes et le pointe sur le petit trou. 

Maryline comprend tout de suite où il veut en venir. Didier s'enfonce très doucement en faisant pénétrer son membre un centimètre à la fois. Le cul de sa femme s'ouvre sans douleur grâce aux petits coups de reins qu'il donne. Quand elle sent le ventre de son mari sur ses fesses, elle comprend qu'il l'a entièrement enculée. Ils restent soudés comme ça pendant un bon moment, puis il commence ses mouvements d'enculage, en savourant l'instant présent, la bite bien serrée dans ce trou étroit, heureux d'enfiler le cul de sa femme qu'elle lui avait toujours refusé. Didier la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches. 

Il ne voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend qu'elle apprécie de se faire sodomiser lorsqu'il la voit donner des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Elle le sent au plus profond de ses reins. Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le plaisir de la voir se trémousser de plus belle. 

Maryline a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les entrailles tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir. 

Didier lui malaxe encore les seins. Maryline s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les reins. Mais Didier la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme. Elle se met à gémir plus fort de plaisir. 

Elle ne sait pas combien de temps cela a duré, sa jouissance ne cesse pas. Didier s'est finalement crispé et elle sent son sperme gicler à l'intérieur de son cul torturé. Cet arrosage copieux de foutre lui procure une ultime jouissance. Elle pousse un cri et elle sent ses dernières forces la quitter. 

Ils mettent un long moment pour reprendre leur souffle. Elle sent la bite perdre sa dureté et s'échapper de son anus. Ils s'allongent côte à côte. Maryline va dans les bras de son mari, pose sa tête sur sa poitrine et caresse doucement la queue molle. D'une petite voix, elle lui demande :

- C'était bon ? Tu as aimé ? 

Didier lui caresse avec amour les cheveux et lui répond :

- Tu es si belle... Je t'aime ! Tu m'as fait le plus merveilleux des cadeaux… 

Il se demande à quoi il doit cette métamorphose, mais il n'ose pas le lui demander.

- Je te plais, habillée comme ça ? On dirait une pute...

- Au contraire ! Tu es très excitante.

- Tu as aimé me sodomiser ? Tu n'as trouvé ça sale ?

- C'était génial ! C'est bien meilleur que de faire l'amour normalement ! Et puis... Et puis...

- Quoi ? Vas-y, dis-moi tout...

- J'ai adoré comme tu m'as sucé !

- Alors tu seras d'accord pour recommencer de temps en temps ? Ajoute t-elle, sûre de la réponse de son mari.

- Quand tu voudras mon amour et où tu voudras ! 

Tout en parlant, Maryline a continué à caresser la queue et, elle est surprise de la voir grossir de nouveau. Sans doute, est-ce l'effet de leur petite conversation.

- Et bien ! Je ne t'ai jamais vu dans une telle forme ! Quatre fois dans la même journée ! Tu rajeunis mon chéri… 

Maryline embrasse son mari, leur baiser devient passionné, il lui pelote les seins, glisse une main sur sa fente, la pénétrant de deux doigts. Au bout de quelques secondes, elle se met à gémir et à onduler. Elle a de nouveau envie de faire l'amour. Après tout ce qu'elle a fait avec son jeune amant, puis avec son mari. Elle décide soudain de se comporter comme une véritable cochonne. Elle se redresse et se met à genoux comme pour une prière arabe, les bras allongés devant elle, ses fesses rebondies posées sur ses talons. Elle ressent un intense échauffement dans ses reins. Il est vrai que son anus a reçu un grand nombre de visite en 2 jours. Mais elle relève malgré tout sa croupe cambrée et se tourne vers son mari.

- Viens m'enculer ! Je veux que tu me prennes comme ça encore, je veux te sentir très fort dans mes fesses, que tu m'encules fort ! 

Didier se glisse derrière sa femme, son sexe dans la main, et le présente à l'anus légèrement ouvert. Selon son désir, il pousse de tout son poids. Il l'embroche jusqu'à la garde comme s'il allait enfoncer un pieu, il ne s'arrête que lorsque son ventre est collé aux fesses de Maryline. Elle pousse un long gémissement de douleur pendant qu'il s'enfonce dans ses reins et, quand il s'arrête pour qu'elle s'habitue, elle a un soupir ravi.

- C'est meilleur comme ça! murmure t-elle. Vas-y, défonces moi ! Déchires moi ! 

Didier se laisse aller sans retenue, son bas-ventre claque contre les fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu'il le peut. Rarement elle n'a ressentie une telle sensation de plénitude, la queue inhabituellement dure de son mari y étant pour quelque chose. Maryline répond à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Elle gémit sans discontinuer et se contente de jouir sous les rudes coups de bite. Elle se découvre, avec étonnement quand même, friande de sodomie et adore avoir le fond de ses reins rempli. Didier continue ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa femme.

- Continue! Ah, tu me déchires, tu... Tu me fais mal, c'est booonn… Aaah... 

Son mari se met à se démener dans le petit trou qu'il trouve bien élargi à présent, comme s'il voulait l'exploser, le démolir, le défonçant sans relâche. Il a l'impression de devenir dément. 

Maryline a pris ses fesses à pleines mains et les écarte encore plus pour qu'il la sodomise mieux. Didier rebondit sur les fesses accueillantes avec des claquements, il est presque devenu un homme primitif, seulement dominé par ses pulsions, par ses instincts. Il se tient fermement aux épaules de sa femme, la maintenant au sol. Il sent la jouissance monter dans ses couilles. Il donne encore quelques furieux coups de reins et se répand dans le cul gracieusement offert en poussant un profond gémissement. Il a l'impression que c'est sa moelle qui se déverse. Qu'elle l'aspire. Il se retire de cette croupe accueillante et contemple fasciné l’œil brun, ouvert et distendu de sa femme qui vient de jouir une dernière fois... 

FIN

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