Texte de Xmaster.
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la femme au foyer retrouve son mari.
Une fois arrivé à la maison, sa fille part rejoindre une amie. Maryline
entre chez elle. Didier son mari est en train de faire la vaisselle. Elle lui
demande si leur autre fille est là. Elle aussi est sortie. La jolie femme a
toujours le ventre en ébullition et il se trouve qu'elle a un homme sous la
main. Son époux. Elle s'approche de lui, se colle contre son dos, le serre et, la
tête sur une épaule, lui demande :
- Alors, mon chéri, je t'ai beaucoup manqué pendant ces trois jours ?
Didier est un peu étonné de l'attitude de sa femme, mais il répond :
- Oui. Tu m'as beaucoup manqué !
- Beaucoup, beaucoup ?
- Oui, vraiment beaucoup.
Elle glisse alors une main vers la braguette et se met à masser la queue
à travers le pantalon.
- Et à elle ? Je lui ai manqué aussi ?
Didier n'en croit pas ses yeux. Jamais sa femme n'a pris d'initiative en
matière de sexe. Il a peur de l'effaroucher et il répond prudemment :
- Oh oui ! Tu lui a beaucoup manqué aussi.
Maryline masse un peu plus encore la queue, puis les couilles. Elle sent
l'engin grossir.
- Tu as raison mon chéri ! Je crois que je lui ai vraiment manquée…
Elle ouvre la braguette, glisse sa main dans le slip et caresse la queue
qui grossit de plus en plus vite. Maryline s'agenouille alors et dit à son mari :
- Tourne-toi…
Il s'exécute aussitôt et déjà, elle s'affaire, baisse le pantalon et le slip.
Elle prend la bite d'une main, la branle doucement et, regardant Didier dans
les yeux, elle lui dit :
- Elle est belle ! J'ai envie de te la sucer…
Et, sans le laisser répondre, elle embouche l'engin brûlant. Maryline en
a tellement envie qu'elle le suce avidement, voracement. Elle tète le gland, sa
langue l'enrobant de salive. Didier n'en revient pas. Il ne reconnaît pas sa
femme et ne l'a jamais vu aussi active. Il ne s'en plaint pas, bien au contraire.
Elle commence alors à avaler la hampe, à chaque fois un peu plus et,
très vite, elle parvient à toute l'avaler, son nez touchant le pubis de son mari,
au grand étonnement de ce dernier.
Il en gémit de plaisir et prend la tête de Maryline dans ses mains pour
rythmer la pipe sublime qu'elle lui fait.
Ses lèvres reviennent jusqu'au gland et elle l'avale ensuite jusqu'aux
couilles.
Maryline fait endurer ce délicieux supplice à son mari une bonne
minute. Elle sent qu'il a du mal à se retenir de jouir. Aussi, elle arrête de le
pomper, le branle doucement et se met à lui lécher les couilles l'une après
l'autre. Puis elle les gobe chacune leur tour. Enfin, de la langue, elle longe la
hampe et gobe le gland qu'elle suçote. Il est gonflé à éclater, jamais elle n'a
senti la bite de son mari aussi dure. Elle la lèche à petits coups de langue
rapides. Elle sent qu'il est à bout, sa queue frémit.
Didier prévient sa femme qu'il va jouir, comme il le fait chaque fois
qu'elle le suce.
Mais, au lieu de se retirer, Maryline le pompe de plus belle. Il
ne résiste plus, d'autant qu'elle l'avale à moitié et l'aspire jusqu'au gland à
toute allure. Il gicle soudain, il lui donne son foutre à longs jets.
Elle le boit au fur et à mesure. Elle est surprise par le goût du sperme,
bien différent de celui de son jeune amant, mais pas désagréable pour autant.
Elle l'aspire, le tète. Le gland est gros, il lui distend les lèvres. Elle le suce
avec une telle frénésie qu'il lui échappe une seconde de la bouche. Le temps
qu'elle le rattrape, du foutre fuse sur une joue et coule dans son cou. Jusqu'à
la dernière goutte, elle le pompe. Il a pourtant fini de gicler, mais elle le suce
encore. Elle ne laisse la queue qu'une fois qu'elle a repris sa taille normale.
Maryline se relève alors, enlace son mari et l'embrasse goulûment.
Il a d'abord un mouvement de recul lorsqu'il goûte à son sperme dans la
bouche de sa femme, mais il se donne ensuite totalement à se baiser.
Au bout de longues secondes, ils en ressortent essoufflés. Elle lui
demande alors :
- C'était bon mon chéri ? Tu as aimé ?
Il l'embrasse langoureusement un long moment et répond :
- Je t'aime à la folie ! Je n'aurai jamais cru que tu puisses être aussi
géniale ! J'ai cru que tu me faisais mourir de plaisir…
Elle n'a pas le temps de répliquer. Ils entendent la voiture de leur fille
arriver. En souriant à son mari, Maryline rajuste la queue et ferme la
braguette.
Toute la famille dîne. Puis les filles s'installent devant la télé pour voir
un match de foot. Didier fait de nouveau la vaisselle. Il s'essuie les mains
quand il entend Maryline descendre l'escalier.
Elle s'est changée, il la trouve très belle, avec un chemisier blanc, une
jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, les jambes gainées de noir.
Alors qu'il s'approche de la cheminée dans le couloir, il lui dit :
- Tu es très belle ma chérie.
Il met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme
adosser contre la rambarde de l'escalier et qui le regarde d'un air étrange,
qu'il ne lui connaît pas.
Elle lui demande :
- Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ?
Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin
- Est-ce que tu veux voir de plus près ?
Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit
qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe
porte jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large,
froufroutante que ses amis lui ont offerte pour ses 40 ans.
Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de
son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un
troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eu
aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins.
Maryline fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers.
Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en
relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à
clé dès que Didier est passé devant elle. Elle saute aussitôt à son cou et
l'embrasse avec passion. Il serre ses fesses et les malaxe.
Maryline s'agenouille alors devant son mari, baisse pantalon et slip. La
queue jaillit devant ses yeux. Elle l'effleure de ses lèvres. Tout le corps de
Didier se tend et vibre quelques secondes, comme secoué par une décharge
électrique. Elle s'empare de sa queue qui est déjà lourde et dure. Sans plus
attendre, elle la gobe doucement, entièrement, dans la chaleur de sa bouche,
pour la sentir gonfler lentement, lui remplir la bouche, grandir et durcir,
commencer à l'étouffer, déborder de ses lèvres.
Elle le tête doucement, sa main est descendue le long de la bite
jusqu'aux couilles qu'elle malaxe. Ses hanches ont commencé à onduler par
vagues, manifestant l'impatience de son corps, la bite s'est enfoncée jusqu'au
fonds de la gorge accueillante, réclamant d'être sucé de manière plus rapide.
Maryline reprend à pleine main le membre devenu dur comme un cep de
vigne et elle entreprend une lente masturbation, en en faisant glisser la fine
peau d'une poigne ferme dans un mouvement de va et vient régulier, rythmé
par l'ondulation des hanches de son mari et du crescendo de ses soupirs,
tandis que sa bouche humide, dont les lèvres sont de plus en plus actives,
embrasse goulûment le gland mauve.
Didier gémit soudain plus fort, crispe ses doigts dans la chevelure de sa
femme. Elle comprend qu'il va jouir. Elle sent la hampe grossir et se durcir
comme une pierre, la pression monter, les palpitations de la queue s'accélérer.
Elle a beau s'y attendre, elle est surprise quand il explose, quand le sperme
emplit sa bouche en une violente giclée chaude. Elle la garde bien au fond de
sa gorge, attendant la suite du séisme, quatre autres giclées qui par ondes de
moins en moins violentes se font l'écho de la jouissance de son mari.
Alors
seulement elle reprend très doucement sa tétée et boit avec gourmandise la
semence, traquant du bout de sa langue la dernière petite goutte qui aurait pu
lui échapper. Elle n'aime pas trop le goût du sperme, mais elle a trop envie
d'être salope.
Son repas terminé, Maryline garde la bite au fond de sa bouche pour la
sentir se recroqueviller, devenir douce et vulnérable, vaincue. Après un
dernier regard à la queue recroquevillée, elle se lève et, dans un long baiser,
mêle leurs bouches, leurs langues, leurs salives et elle partage le goût du
foutre avec Didier.
Elle l'aide alors à se déshabiller et lui demande de rester
là, nu, debout contre le mur. Encore haletante, elle s'écarte enfin et, en fixant
son mari dans les yeux, elle finit d'ouvrir son chemisier. Elle l'enlève et elle
apparaît dans sa guêpière noire, impudique, terriblement provocante. Ses
seins sont bien mis en évidence.
Jamais il n'a vu sa femme parée d'une tenue aussi érotique. Il a encore
du mal à croire en sa bonne fortune.
Maryline dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre.
Didier l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà.
Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru
capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se
les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes,
elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre
ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte doucement.
Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi.
Elle écarte soudain l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle
continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente
avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un
profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un
second.
Didier a du mal à reconnaître son épouse dans cette femme qui se
branle sans pudeur devant lui, accomplissant ses phantasmes les plus fous et
dont il n'osait même pas lui parler.
Maryline lui dévoile ainsi ses seins et sa vulve. Elle se relève soudain,
retire sa culotte, s'agenouille sur le lit, fait face à son mari et elle commence à
se caresser d'une main. Elle remonte ses mains sur ses hanches, passe le long
de ses seins , monte sur son cou et relève ses cheveux châtains. Elle ondule le
corps et se caresse ainsi un petit moment. Les mamelons de ses seins pointent
de manière très visible. De ses deux mains, elle se les caresse en en pinçant
légèrement les bouts.
Ses mains redescendent vers son ventre et continuent sur sa vulve. À
cette simple caresse, elle soupire fort et remonte sur ses seins qu'elle massent
avec plus de force pendant que sa respiration s'accélère.
De voir sa femme se donner du plaisir, Didier bande de nouveau aussi
dur, bien qu'il ait joui déjà deux fois dans la soirée. Machinalement, il se
branle doucement.
Maryline glisse ses mains entre ses cuisses largement écartées et pose
ses doigts de chaque coté de sa vulve. Elle écarte ses lèvres vaginales et
dévoile son clitoris.
Il l'entend respirer très fort.
Quand elle glisse un doigt sur son clitoris gonflé, elle pousse un râle de
plaisir. Au début elle le caresse lentement, mais après quelque coup de son
majeur, elle augmente son rythme. Elle se masturbe maintenant en frottant
son clitoris vivement. Les yeux fermés, elle semble y trouver un grand plaisir.
D'une main elle masturbe son clitoris et de l'autre elle malaxe tour à tour ses
deux seins.
Maryline s'étend alors sur le dos au milieu de son lit, écarte largement
les jambes et recommence sa masturbation de ses deux mains. D'une main
elle tient ses lèvres ouvertes et de l'autre, elle glisse son majeur sur son
clitoris et descend jusqu'à sa chatte qu'elle pénètre, puis en ressort et
remonte jusqu'à son clitoris. Elle s'applique ce mouvement de va et vient
pendant que son mari l'entend respirer de plus en plus fort.
Le corps de Maryline ondule sous ses caresses, qui vont de plus en plus
vite.
Puis, d'un coup il la voit qui sursaute, tout son corps se tend et pendant
qu'elle pousse un long râle, elle referme les jambes emprisonnant sa main sur
son sexe, pendant que de son autre elle se pince les seins. Elle jouit devant
son mari, se branlant devant lui pour la première fois, sans aucune honte.
Didier ne bouge toujours pas. Il attend que sa femme reprenne ses
esprits, ne voulant pas rompre la magie de ces instants, attendant son bon
vouloir.
Maryline ouvre les yeux, sourit à son mari et se retourne sur le ventre,
la tête dans les oreillers, le cul en l'air, les jambes écartées, sa main glisse le
long de son ventre, doucement. Ses doigts rejoignent sa fente, en ont écartés
les lèvres, ont plongé dans son con trempé de désir, l'ont fouillé profondément
pour se couvrir de son jus gluant, sont remontés vers son petit bouton.
Didier se branle avec ferveur, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, mais en prenant garde de ne pas jouir. Il est fasciné par le dos de sa
femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa
croupe qu'elle offre à sa vue avec une impudeur qu'il ne lui connaissait pas.
Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les
remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit
trou mauve, en enduit l'anneau de sa mouille intime, et, du majeur, en a
caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit
passage secret puis s'est enfoncé le plus loin possible dans ses reins pour y
jouer aussitôt une sarabande infernale.
Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le
majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit.
Didier a l'impression de rêver, il n'a pas l'impression de reconnaître son
épouse dans cette femme qui s'exhibe devant lui, elle si sage jusqu'alors, elle
qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. IL la voit
se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une
violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller.
Elle reste pantelante quelques longues secondes...
Toujours dans la même position offerte, Maryline tourne la tête vers son
mari, lui sourit et dit doucement :
- Viens.
Elle voit la queue tendue et ajoute :
- Je te plais comme ça ? Tu ne
me trouves pas trop salope ?
Elle tend sa main en arrière, prend celle de Didier et lui montre ce
qu'elle veut, tandis qu'il répond :
- Tu es superbe ! Tu es vraiment la Maryline que je préfère. Même si tu
étais encore plus salope, je t'aimerai !
Elle lui prend un doigt et l'approche de son anus tendu.
- Mouille le dans ma chatte et mets le dans mon petit trou…
Son rêve se réalise et Didier plonge son majeur dans la fente qu'il trouve
marécageuse. Il est vite trempé et il tourne alors le doigt autour du petit trou,
en y mettant un peu de pression. Il le plonge soudain à fond, observant avec
satisfaction la réaction surprise de sa femme, qui ne s'attendait pas à une
entrée en matière aussi rapide. Son anneau se contracte fort et elle gémit.
Il la voit grimacer brièvement.
En une seule poussée lente, il l'a pénétrée de son majeur jusqu'à la
garde, au plus profond de son fondement.
Maryline n'a pas eu vraiment mal, elle avait préalablement préparé le
terrain, elle a à peine frémi, elle se laisse faire, elle apprécie même cette
intromission brutale.
Didier la voit offrir mieux sa croupe, des deux mains, elle lui écarte ses
fesses, signe pour lui d'acceptation de ce qu'il vient de lui faire. Son doigt
s'active maintenant dans son cul, curieux et fouineur, il explorait les mystères
invisibles de ce conduit obscur, il en caresse doucement les parois fragiles et
gluantes, il le fait tournoyer en elle, tout en entrant et sortant d'à peine une
demi phalange, arrachant encore et encore soupirs et gémissements à sa
femme qui se met à onduler, pour venir au devant de ce doigt qui l'encule. En
même temps, il s'aperçoit qu'elle se branle de plusieurs doigts dans la chatte,
il les sent coulisser à travers la mince paroi qui sépare ses deux trous et sa
belle épouse se crispe, jouit une nouvelle fois, les doigts enfouit à fond dans sa
fente et dans son petit trou.
C'est la première fois que Didier voit sa femme avoir une multitude
d'orgasmes et en redemander. Il laisse son majeur complètement enfoncé dans
son anus, en attendant qu'elle émerge. Il a l'impression que sa queue grossit
encore plus lorsque Maryline lui dit :
- J'ai envie que tu me sodomises ! Mon petit trou n'est pas assez gros. Il
faut que tu me le prépares pour ta queue … Dans la table de nuit... J'ai mis ce
qu'il faut...
Didier ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu,
mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est
surpris, sa femme avait donc tout prémédité.
Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la
croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Maryline attend.
Didier met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en
enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume.
Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit
dans son cul doucement mais inexorablement...
Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme
sur son visage. Elle gémit et grimace bientôt lorsque la carotte est enfoncée
de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette
limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui
enfiler tout l'engin dans les reins. Il l'encule alors de toute la longueur, ne
gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la
manœuvrer à sa guise.
Maryline geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les
fesses à se les décrocher.
Didier n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de
son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à
chaque passage un peu plus.
Maryline apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce
légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Elle ne se caresse pas
la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un
nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale
soumission acceptée et cette pénétration contre nature.
Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de
douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure les reins. Et il
la voit jouir, alors qu'elle est seulement prise par le cul, lui confirmant qu'il est
possible d'avoir du plaisir en cet endroit.
Le temps que Maryline s'en remette, il prend du lubrifiant et en enduit
sa queue. Il observe alors la croupe de son épouse, son anus distendu par la
carotte toujours fichée à fond. Il retire le légume et admire quelques
secondes, le trou béant qui se referme peu à peu. Tranquillement, il pose son
gland entre les fesses offertes et le pointe sur le petit trou.
Maryline comprend tout de suite où il veut en venir.
Didier s'enfonce très doucement en faisant pénétrer son membre un
centimètre à la fois. Le cul de sa femme s'ouvre sans douleur grâce aux petits
coups de reins qu'il donne.
Quand elle sent le ventre de son mari sur ses fesses, elle comprend qu'il
l'a entièrement enculée. Ils restent soudés comme ça pendant un bon moment,
puis il commence ses mouvements d'enculage, en savourant l'instant
présent, la bite bien serrée dans ce trou étroit, heureux d'enfiler le cul de sa
femme qu'elle lui avait toujours refusé.
Didier la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches.
Il ne
voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend
qu'elle apprécie de se faire sodomiser lorsqu'il la voit donner des coups de
bassin pour bouger sur son pieu.
Elle le sent au plus profond de ses reins.
Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le
plaisir de la voir se trémousser de plus belle.
Maryline a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans
son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les
entrailles tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette
vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du
mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir.
Didier lui malaxe encore les seins.
Maryline s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les
reins.
Mais Didier la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul
solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance
supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme.
Elle se met à gémir plus fort de plaisir.
Elle ne sait pas combien de
temps cela a duré, sa jouissance ne cesse pas.
Didier s'est finalement crispé et elle sent son sperme gicler à l'intérieur
de son cul torturé. Cet arrosage copieux de foutre lui procure une ultime
jouissance. Elle pousse un cri et elle sent ses dernières forces la quitter.
Ils mettent un long moment pour reprendre leur souffle.
Elle sent la bite perdre sa dureté et s'échapper de son anus. Ils
s'allongent côte à côte. Maryline va dans les bras de son mari, pose sa tête sur
sa poitrine et caresse doucement la queue molle. D'une petite voix, elle lui
demande :
- C'était bon ? Tu as aimé ?
Didier lui caresse avec amour les cheveux et lui répond :
- Tu es si belle... Je t'aime ! Tu m'as fait le plus merveilleux des
cadeaux…
Il se demande à quoi il doit cette métamorphose, mais il n'ose pas
le lui demander.
- Je te plais, habillée comme ça ? On dirait une pute...
- Au contraire ! Tu es très excitante.
- Tu as aimé me sodomiser ? Tu n'as trouvé ça sale ?
- C'était génial ! C'est bien meilleur que de faire l'amour normalement !
Et puis... Et puis...
- Quoi ? Vas-y, dis-moi tout...
- J'ai adoré comme tu m'as sucé !
- Alors tu seras d'accord pour recommencer de temps en temps ? Ajoute
t-elle, sûre de la réponse de son mari.
- Quand tu voudras mon amour et où tu voudras !
Tout en parlant, Maryline a continué à caresser la queue et, elle est
surprise de la voir grossir de nouveau. Sans doute, est-ce l'effet de leur petite
conversation.
- Et bien ! Je ne t'ai jamais vu dans une telle forme ! Quatre fois dans la
même journée ! Tu rajeunis mon chéri…
Maryline embrasse son mari, leur baiser devient passionné, il lui pelote
les seins, glisse une main sur sa fente, la pénétrant de deux doigts.
Au bout de quelques secondes, elle se met à gémir et à onduler. Elle a de
nouveau envie de faire l'amour. Après tout ce qu'elle a fait avec son jeune
amant, puis avec son mari. Elle décide soudain de se comporter comme une
véritable cochonne.
Elle se redresse et se met à genoux comme pour une prière arabe, les
bras allongés devant elle, ses fesses rebondies posées sur ses talons. Elle
ressent un intense échauffement dans ses reins. Il est vrai que son anus a reçu
un grand nombre de visite en 2 jours. Mais elle relève malgré tout sa croupe
cambrée et se tourne vers son mari.
- Viens m'enculer ! Je veux que tu me prennes comme ça encore, je veux
te sentir très fort dans mes fesses, que tu m'encules fort !
Didier se glisse derrière sa femme, son sexe dans la main, et le présente
à l'anus légèrement ouvert. Selon son désir, il pousse de tout son poids. Il
l'embroche jusqu'à la garde comme s'il allait enfoncer un pieu, il ne s'arrête
que lorsque son ventre est collé aux fesses de Maryline.
Elle pousse un long gémissement de douleur pendant qu'il s'enfonce
dans ses reins et, quand il s'arrête pour qu'elle s'habitue, elle a un soupir ravi.
- C'est meilleur comme ça! murmure t-elle. Vas-y, défonces moi !
Déchires moi !
Didier se laisse aller sans retenue, son bas-ventre claque contre les
fesses rondes et fermes, violant les reins offerts aussi loin qu'il le peut.
Rarement elle n'a ressentie une telle sensation de plénitude, la queue
inhabituellement dure de son mari y étant pour quelque chose. Maryline
répond à chaque coup de boutoir par un feulement rauque. Elle gémit sans
discontinuer et se contente de jouir sous les rudes coups de bite. Elle se
découvre, avec étonnement quand même, friande de sodomie et adore avoir le
fond de ses reins rempli.
Didier continue ses longs va et vient entre les fesses superbes de sa
femme.
- Continue! Ah, tu me déchires, tu... Tu me fais mal, c'est booonn…
Aaah...
Son mari se met à se démener dans le petit trou qu'il trouve bien élargi
à présent, comme s'il voulait l'exploser, le démolir, le défonçant sans relâche.
Il a l'impression de devenir dément.
Maryline a pris ses fesses à pleines mains et les écarte encore plus pour
qu'il la sodomise mieux.
Didier rebondit sur les fesses accueillantes avec des claquements, il est
presque devenu un homme primitif, seulement dominé par ses pulsions, par
ses instincts. Il se tient fermement aux épaules de sa femme, la maintenant au
sol.
Il sent la jouissance monter dans ses couilles. Il donne encore quelques
furieux coups de reins et se répand dans le cul gracieusement offert en
poussant un profond gémissement. Il a l'impression que c'est sa moelle qui se
déverse. Qu'elle l'aspire. Il se retire de cette croupe accueillante et contemple
fasciné l’œil brun, ouvert et distendu de sa femme qui vient de jouir une
dernière fois...
FIN
Magnifique !!!! Que dire de plus…
RépondreSupprimerSuper !
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