dimanche 25 juin 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 17

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

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Début de traitement pour Julie et Jour de classe pour Jessie.

Quand le professeur Charles BUTLER entre dans la nouvelle chambre de Julie, celle-ci est à peine consciente. Sa tête pend en dehors de la cage par le trou dans l’ouverture. Au début l’homme se demande si elle n’est pas morte. Elle n’a pas bougé quand il est entré. Il s’agenouille à côté d’elle et écarte ses cheveux de son visage. Julie gémit et lève lentement les yeux vers son Maître.

- S’il vous plaît Maître, je serai obéissante. S’il vous plaît Maître, laissez-moi le prouver ! Supplie-t-elle dans un murmure.

Charles sourit et ouvre la cage. Il sort doucement l’esclave engourdie et l’aide à ramper au milieu de la pièce.

- Voilà ma petite salope, ça sera plus facile. Dans quelques jours tu seras ravie de ton nouveau lit. Dit Charles en gloussant.

Il sait qu’au moment où elle devra retourner dans la cage, il aura brisé son esprit et elle fera tout ce qu’il veut.

Julie lève les yeux vers son Maître et dit :

- Merci Maître, cette esclave sera obéissante.

- Bien ! J’ai déposé ton nouvel uniforme sur le lavabo de la salle de bain. Va te laver et habille-toi. Tu as quinze minutes pour le faire et descendre à la cuisine. Dit le professeur en libérant ses poignets et ses chevilles.

Charles baisse les yeux sur son esclave nue allongée à ses pieds. Elle ne bouge pas et regarde la pièce autour d’elle presque hébétée. Il lui donne un coup de pied dans le coude et crie :

- ALLEZ ESCLAVE ! BOUGE TOI !

Il regarde Julie se mettre à genoux et ramper hors de la chambre jusque dans le couloir. Il pense que ses jambes sont encore engourdies, mais il aime la façon dont son cul se balance quand elle avance à quatre pattes.

Julie parvient enfin à se lever dans la salle de bain et elle se regarde dans le miroir. « Mon Dieu, comment suis-je arrivée là ? » pense-t-elle alors que des larmes coulent sur sa joue. Elle regarde tout autour et voir le seau posé à côté des toilettes. Pendant une seconde elle pense à désobéir et utiliser les toilettes, mais elle s’approche et prend le seau.

- Je n’arrive pas à croire que je dois utiliser un seau. Dit-elle doucement en priant que son Maître ne l’ait pas entendue. Lentement elle baisse ses fesses sur le seau et libère sa vessie, suivie rapidement par ses intestins. Julie déteste ça, mais c’est toujours mieux que de s’asseoir sur un tonneau dehors. Elle jette un coup d’œil à l’horloge et remarque qu’il ne lui reste que dix minutes avant de devoir être dans la cuisine. Elle saute dans la douche et lave rapidement son corps épuisé.

Alors qu’il ne reste qu’une minute, Julie enfile la mini-robe en vinyle noir qui la laisse seins nus et descend les escaliers avec son seau. Elle se dépêche d’aller le vider dans le tonneau et de se précipiter dans la cuisine.

Son Maître est déjà assis à la table en train de lire son journal.

- Juste à temps esclave ! Prépare mon petit déjeuner : Œufs, bacons et pain grillé ! Et surtout ne les fais pas brûler ! Commande-t-il en claquant son cul.

Julie saute sur place et crie de douleur, mais elle se met rapidement au travail. Son esprit est encore embrumé, mais il fonctionne. Il lui faut un certain temps pour tout préparer, elle a du mal à trouver tout ce dont elle a besoin. Mais vingt minutes plus tard, elle apporte à son Maître une assiette remplie. Elle n’a rien prévu pour elle, elle a trop peur qu’il la punisse.

Charles termine son petit déjeuner et se dirige vers le placard sous l’évier. Il sort un sac de croquettes pour chien et en verse dans un bol qu’il pose sur le sol. Julie le regarde choquée.

- S’il vous plaît maître, non, je ne peux pas manger ça. Maître, s’il vous plaît… Supplie-t-elle.

- Pas de problème esclave, ne le fais pas ! Tu les mangeras bien quand tu auras faim. Maintenant nettoie la cuisine et retrouve-moi dans mon bureau. Dit-il avant de quitter la cuisine.

Julie baisse les yeux sur l’écuelle pour chien. Elle a très faim, mais elle refuse de tomber très bas si elle mange des croquettes pour chien. Elle préfère mourir de faim. Elle se met rapidement au travail, fait la vaisselle et nettoie la cuisine avant d’aller au bureau. Son Maître est assis sur une chaise avec un morceau de ferraille sur la table à côté de lui.

- A genoux esclave ! Aboie-t-il.

Charles aime commander la jeune fille. Celle-ci obéit et s’agenouille presque entre ses jambes. Il attrape l’objet sur la table qui se compose d’une barre en fer avec quatre menottes. Il attache les chevilles et les poignets de Julie derrière son dos, la laissant à genoux et sans défense.

Julie reste là, son Maître l’ignorant et lisant un livre. Tous les dix ou quinze minutes environ, il attrape son cou et pousse son visage sur son sexe. Jamais assez longtemps pour qu’elle le fasse jouir, mais assez pour lui faire savoir qui est aux commandes. Ils restent comme ça pendant environ une heure avant que quelqu’un ne frappe à la porte.

Julie ne peut pas bouger alors elle attend que son Maître revienne dans la pièce. Il est suivi par un autre homme qui porte une boite. Cet homme s’approche de la jeune fille et lui attrape le menton. Il lève son visage pour regarder ses traits.

- Waouh, c’est le portrait craché de sa mère ! Dit l’homme en posant ses mains vers ses seins pour les tripoter.

- Bien, très bien, ils seront beaucoup mieux une fois que nous en aurons fini avec eux. Ajoute-t-il.

Julie a le souffle coupé. Elle essaie de s’éloigner des mains de l’homme, mais liée comme elle est, c’est un effort futile. L’homme se tourne vers Charles et lui dit :

- Tu lui as déjà dit ?

Le professeur secoue la tête et sourit.

- Oh ! Je peux alors ?

- Non, je lui dirai en temps voulu. Tu as apporté ce que j’ai demandé ? Demande Charles.

- Oui, et je tiens à te remercier pour tes dernières formules. Elles fonctionnent très bien et les effets secondaires sont un plus. Sinon, tout dont tu as besoin se trouve dans la boite. N’oublie pas que le chimiste a dit qu’il lui faudrait un certain temps pour terminer un autre lot. J’en ai assez pour mes besoins, mais si tu as besoin de plus, ça va prendre un certain temps avant que nous recevions une autre livraison.

Charles se tourne vers Julie et lui fait un sourire diabolique.

- Où sont mes manières ? Salope, voici le Docteur WILLIAMS. C’est le nouveau médecin de ta mère. Je voulais qu’il participe à ton traitement. Dis bonjour au Docteur WILLIAMS !

Julie lève les yeux vers le médecin et murmure doucement :

- Bonjour Docteur WILLIAMS. Qu’est-il arrivé à notre médecin habituel ?

- Je suis un spécialiste et ce dont a besoin ta mère en ce moment. Mais ne t’inquiète pas, nous allons très bien prendre soin de vous deux. Répond le Docteur WILLIAMS.

La bite de l’homme commence à gonfler en se rappelant à quel point sa mère est bonne pour sucer des bites.

Les deux hommes parlent pendant près d’une heure. Julie reste agenouillée entre eux. Enfin, Charles demande au médecin :

- merci d’avoir fait le voyage jusqu’ici ! Mon esclave peut-elle faire quelque chose pour te remercier ?

- Absolument ! Je verrai bien ces douces lèvres autour de ma bite. Répond rapidement le Docteur WILLIAMS en ouvrant son pantalon et en sortant sa queue dure comme du roc.

- Très bien ! Salope, va faire plaisir à notre invité ! Ordonne Charles en la traînant entre les jambes du médecin.

Julie n’est pas en mesure de résister. Elle se penche en avant et lèche lentement le gros gland violet. « Au moins c’est propre » pense-t-elle. Elle ouvre la bouche en grand et la queue s’enfonce lentement dedans. Julie n’a pas l’expérience de sa mère, mais son manque de compétence est compensé par l’enthousiasme. Bientôt le médecin gémit et pousse sa bite plus profondément dans la gorge de l’étudiante soumise.

Julie suce la queue de l’homme pendant plus de quinze minutes. A chaque fois qu’elle pensait qu’il allait jouir, il retenait sa tête jusqu’à ce qu’il parvienne à se retenir. Puis il recommençait à l’enfouir dans sa gorge. La bave de Julie coule sur ses seins.

Finalement, le médecin tire sur la tête de la jeune fille et enfoui son nez dans ses poils pubiens. Il éjacule dans sa gorge. Julie sent le sexe palpiter encore et encore, la semence se vidant dans son ventre. Presque immédiatement, la queue débande, mais Julie, ne voulant pas être punie, garde le sexe flasque dans sa bouche. 

Bientôt, le Docteur WILLIAMS la repousse et se rassoit pour profiter du moment alors que les dernières sensations de plaisir traversent son corps.

- Tu as une gagnante ici Charles ! J’ai hâte qu’elle soit formée. Dit-il avant de se lever pour partir.

Avant de se tourner vers la porte, il se penche et tapote la tête de Julie. Ce simple geste est beaucoup plus humiliant que de lui sucer la bite. Il la traite comme un animal de compagnie.

Julie essaie de garder l’esprit clair, mais sa vie est un cauchemar. En seulement quelques semaines, elle est passée de l’heureuse et insouciante étudiante avec une famille aimante en une esclave d’un professeur pervers avec une famille d’esclaves. Elle n’a plus rien, ni vêtements, ni argent. Et elle ne peut plus compter sur sa famille. A elle de se débrouiller pour survivre. 

Après le départ du médecin, Maître Charles demande à Julie de nettoyer la maison. Il la laisse faire quelques pauses pour lui sucer la bite. Finalement il regarde l’heure et ordonne en souriant :

- C’est le moment de s’amuser. Suis-moi !

Julie a renoncé depuis longtemps à s’échapper. Elle suit son Maître les yeux fixés sur le sol.

Charles conduit l’étudiante au sous-sol. Au bas de l’escalier il y a deux portes. Il ouvre celle de droite et tire Julie dans une pièce sombre. La jeune fille est à l’intérieur quand son Maître allume la lumière, ferme la porte et la verrouille. Julie regarde autour d’elle. La pièce est pratiquement vide. Les murs de briques ne sont pas jointés et des anneaux sont fixés dessus.

 Au fond se trouve une grande armoire avec un cadenas. Charles s’en approche et sort un jeu de clés. Il ouvre les portes et en sort quatre manchons en cuir avec des chaînes. L’homme ferme le placard et se dirige vers Julie tremblante.

- Ne t’inquiète pas ma jolie esclave, ça ne te fera pas mal du tout, et tu pourrais même en profiter.

Julie sait qu’elle n’est pas censée parler, mais elle a besoin de savoir.

- s’il vous plaît Maître, qu’est-ce que vous allez me faire ?

Son Maître ignore son commentaire et attache les manchons en cuir aux poignets et aux chevilles de Julie. Bientôt la jeune fille se retrouve attachée en croix aux anneaux sur le mur de brique. Elle pleure ouvertement maintenant, elle a peur de ce que l’homme va lui faire. Elle le regarde se diriger vers la boite que le médecin a livré et l’ouvrir.

Charles ne veut pas qu’elle ait l’idée de ce qui va se passer, alors il garde son corps entre elle et la boite. Rapidement il prépare quatre seringues, chacune avec un produit chimique différent. Chaque drogue est conçu pour agir différemment sur le corps de la jeune fille. Normalement le traitement s’étale sur plusieurs mois, mais Charles sait qu’il n’a que deux mois pour terminer les changements du corps de la jeune fille. Donc il va lui donner le traitement chaque jour. Au bout de quatre semaines, son corps devrait se rapprocher de ce qu’il envisage.

Lorsque son maître se tourne vers elle, Julie a le souffle coupé. Il a une grande seringue en main et son visage affiche un sourire diabolique. Alors qu’il se dirige vers elle, elle crie :

- S’il vous plaît, ne faites pas ça. Je ne veux pas. S’il vous plaît, je ne veux pas de drogues dans mon corps.

Charles rigole devant les supplications de son esclave :

- Pourquoi dis-tu que tu ne veux pas ? Tu pourrais aimer. Répond-il.

Julie, paniquée, lui demande de nouveau :

- Qu’est-ce que vous allez me faire ? S’il vous plaît, dites-le-moi !

Charles s’immobilise quelques secondes. Il se demande s’il veut qu’elle sache ce qu’il va faire. Mas après réflexions il décide que non et attrape son sein gauche pour planter l’aiguille sur son mamelon et pousser le piston.

Au début, Julie ne sent rien, mais après quelques secondes son sein commence à chauffer. Les produits chimiques commencent à se répandre dans tout son sein. Avant qu’elle ne dise quelque chose, son maître sort une autre seringue et fait de même avec son sein droit. 

La respiration de Julie s’accélère alors que la drogue se propage dans toute sa poitrine et son ventre. Elle a l’impression que ses seins grossissent et que ses tétons pointent en avant. Lorsque son Maître saisit ses seins, son corps éclate presque dans un orgasme qui vient de nulle part.

Les yeux de Julie s’écarquillent quand elle le voit aller à la boite et sortir deux autres seringues. Son esprit est confus, car elle ne s’est jamais sentie aussi excitée auparavant. Un simple contact léger sur sa poitrine allume un feu en elle qui consume maintenant tout son corps.

Julie ferme les yeux, des vagues d’excitation sexuelle traversent chacun de ses nerfs. Bientôt elle sent une piqûre dans une lèvre de sa chatte. Cette fois, le produit remonte jusqu’à son cœur et explose. Julie est absorbée par toutes ces sensations et elle ne remarque même pas la piqûre dans son autre petite lèvre de chatte. Par contre, elle ressent le résultat. Maintenant son corps tremble. Mais pas de froid, son corps tout entier éprouve des choses différentes de tout ce qu’elle a pu connaître auparavant. Elle a besoin de soulagement sexuel et tout de suite. Elle ouvre la bouche et dit des paroles qu’elle n’aurait jamais imaginé dire au professeur pervers et aujourd’hui son Maître.

- Oh mon Dieu, baisez-moi ! Veuillez me baiser Maître ! Veuillez enfouir votre bite tout au fond de mon corps ! Faites ce que vous voulez, mais baisez-moi !

Charles BUTLER sourit. Il savait qu’il y aurait des effets secondaires, mais pas si puissants. A chaque injection, la drogue fera grossir ses seins. L’injection dans sa chatte va lui élargir les hanches et lui donnera un cul bien baisable et des lèvres de chatte gonflées. Le professeur s’attendait à une sensibilité plus aiguë, mais pas une telle et complète excitation. Il regarde Julie qui a les yeux et la bouche grand ouverts. Sa respiration est rapide et courte et du jus de sa chatte coule le long de ses jambes. Charles veut voir comment elle réagit et il fait glisser sa main sur sa cuisse. Il sourit alors qu’un long gémissement s’échappe de la bouche de la jeune fille. Plus sa main se rapproche de sa chatte, plus les gémissements deviennent forts. Juste au moment où ses doigts arrivent près des petites lèvres il les retire et regarde Julie crier de déception et pousser ses hanches en avant pour retrouver la main.

Charles apprécie chaque seconde de cette torture. Dès que l’étudiante se calme un peu, il la touche à nouveau, l’excitant jusqu’à ce qu’elle recommence à le supplier de la baiser. A chaque fois elle est plus proche de la folie. Finalement il s’éloigne et sort de la pièce.

Julie le regarde partir. Son corps est hors de son contrôle. Sa vessie s’est libérée deux fois et la satisfaction de pisser lui a donné un mini orgasme. Elle le supplie de rester et de la baiser, mais la porte se referme. Elle pousse alors un cri de rage alors que son corps a besoin d’une libération sexuelle.

Charles ouvre l’autre porte au sous-sol. Il entre. Il s’agit d’une grande salle avec beaucoup d’activité à l’intérieur. Charles BUTLER avait fait construire un grand studio vidéo dans son sous-sol. Il y a un grand écran, des caméras, des accessoires et toutes sortes d’instruments d’esclavage. Il se dirige vers le réalisateur et lui demande quand il aura fini le tournage actuel.

- Nous venons juste de commencer. Donc je pense qu’il nous faudra environ deux heures avant que nous soyons prêts pour votre nouvelle star. Répond le réalisateur.

- Génial ! De toute façon, elle n’est pas en forme en ce moment pour être filmée. Avec un peu de chance elle le sera dans deux heures. Dit Charles avant de quitter le studio.

Il monte les escaliers et attend environ une heure dans son salon avant de revenir pour libérer Julie. Quand il entre, il voit qu’elle est suspendue par les poignets, une flaque de liquide entre ses jambes sur le sol. Il s’approche d’elle et lui caresse la joue. Un léger gémissement s’échappe de la bouche de la jeune fille et elle pousse sa joue contre sa main. L’homme sourit alors qu’elle roucoule à son toucher. Voyant qu’elle a repris un peu le contrôle de son corps, il la détache et la conduit à l’étage jusqu’à son bureau.

Julie est à moitié consciente quand son Maître lui touche la joue. Son toucher est magique, mais pas comme avant. Elle veut qu’il la touche davantage, mais quand il enlève s main, elle est moins en manque qu’auparavant. Quand il a fini de libérer ses bras et ses jambes, elle le suit comme un chiot perdu. Elle ne peut plus lui résister et elle fera tout ce qu’il veut. Son monde est centré sur son Maître.

Lorsqu’ils arrivent dans le bureau, Maître Charles lui ordonne de rester debout devant son bureau :

- Mains derrière la tête et écarte les jambes, esclave !

Julie obéit en espérant que si elle est bien obéissante il la baisera. Elle ne bouge pas et attend qu’il parle.

- Je suppose que tu te demandes ce qui se passe et ce que je te fais. Voilà, même si tu es jolie, tu n’es pas parfaite. Et je vais te rendre parfaite. Les injections que tu viens de recevoir ne sont que les premières. Tu vas en recevoir d’autres au cours des prochaines semaines. Tu remarqueras que ton corps change à chaque injection. Tes seins vont devenir beaucoup plus gros. Quand j’aurai fini tu auras une poitrine qui fera saliver les hommes. Tes hanches sont trop minces à mon goût et ne sont plus à la mode. Tout le monde veut que leurs femmes aient de plus gros culs. On peut remercier Kim KARDASHIAN. J’ajouterai des injections supplémentaires qui réduiront la graisse à ta taille. Tu vas avoir un beau cul avec des lèvres de chatte bien gonflées que chaque star du porno t’enviera.

Julie lève les yeux et le regarde choquée en entendant ce qui lui est réservée. Elle essaie de comprendre tout ce qu’il dit, mais à chaque fois les sensations dans son corps trouble son esprit. Elle a tellement besoin de jouir que les mots lui traversent la tête  rapidement.

Charles rigole en voyant l’air désespéré de son esclave. Il peut voir son corps trembler et l’envie sur son visage.

- Maintenant, je suis sûr que ta prochaine question est pourquoi ? Eh bien, dans les prochains mois , tu vas être la vedette d’une série porno, qui va raconter ton changement d’une naïve étudiante en une star du porno et esclave de son propre corps. Dit Charles en attendant une réaction.

La bouche de Julie s’ouvre alors que les mots atteignent son cerveau. La panique envahit son visage et elle s’effondre presque. Charles se lève et se dirige vers son esclave. Il sait qu’elle est sur le point de disjoncter quand il lui caresse les seins. Les yeux de Julie se ferment alors que son corps réagit à la caresse. En quelques secondes toutes les pensées sur ce qu’elle va devenir s’évanouissent tandis que tous les nerfs de son corps sont excités.

Charles profite de ce moment pour lui lancer une robe  sexy noir ainsi que des talons aiguilles.

- Mets ça et suis-moi !

Julie fait glisser la robe par-dessus sa tête. Le simple toucher du tissu moulant sur ses mamelons la fait presque jouir. Elle enfile les talons et suit son Maître le souffle court. Elle prie pour qu’il l’emmène se faire baiser.

Charles conduit son esclave excitée dans les escaliers, mais cette fois il ouvre l’autre porte. Dès qu’ils sont entrés, Julie manque de s’évanouir face aux hommes qui attendent. Elle vient de réaliser qu’il ne s’agit pas d’un tournage de film porno normal, mais un tournage BDSM. Son esprit essaie de reprendre le contrôle de son corps. Elle a peur de l’appareillage devant elle alors elle commence à reculer.

Charles s’attendait à une certaine résistance, donc il était prêt. Il se glisse derrière elle et passe ses mains sur ses fesses et sa poitrine. En quelques secondes, Julie succombe à ces sensations et permet aux hommes de l’attacher sur l’appareil.

Julie regarde autour d’elle, son esprit envahi par l’humiliation. Mais son corps est en feu. Elle regarde les hommes debout à proximité, les yeux rivés sur leur bite. La bouche de Julie salive à l’idée de les sucer. Son cœur bat plus rapidement, sa chatte ruisselle. Liée comme elle l’est, elle ne peut rien cacher.

Julie gémit en priant que quelqu’un la touche quand un homme costaud comme une montagne se place au-dessus d’elle, son corps massif cachant les lumières. Les yeux de Julie dérivent plus bas et examinent les épaules, les bras et finalement vers le gourdin entre ses jambes.

Julie perd son souffle en voyant l’engin se redresser. Sa circonférence doit être plus grande que son bras et paraît presque plus long. L’esprit de Julie panique à l’idée que ce sexe la pénètre, alors que son corps s’excite à cette pensée. L’homme tend la main et caresse doucement ses seins. Puis il fait remonter ses doigts vers les tétons sensibles qui pointent.

Julie gémit alors que son corps savoure ces caresses. Maintenant son esprit se perd dans les sensations améliorées par la drogue qui circule toujours dans son corps. Les yeux de la jeune fille sont fixés sur le gland qui frôle sa chatte de haut en bas. Elle miaule à chaque contact. L’homme massif se penche vers la jeune étudiante, attachée et exposée, et il l’embrasse légèrement sur les lèvres. A ce contact, Julie n’en peux plus et lui chuchote :

- s’il te plaît prends-moi ! J’ai besoin que tu me prennes ! Baise-moi s’il te plaît !

L’homme sourit, saisit sa bite et la dirige lentement vers la chatte humide de Julie. Pus il pousse lentement. Lorsque le gros gland écarte ses petites lèvres, Julie rejette sa tête en arrière et prend une grande inspiration. L’homme pousse encore et s’enfonce dans le corps accueillant. Les yeux de Julie s’écarquillent alors qu’il la remplit lentement, centimètre par centimètre. Bientôt, la jeune fille a un orgasme foudroyant et ses fluides enrobent la grosse bite.

L’homme sourit et reste immobile quelques instants pour la laisser profiter de son plaisir. Puis il pousse encore en avant et enfonce plus loin sa queue. L’air est expulsé des poumons de Julie alors qu’elle semble s’effondrer et que sa chatte s’ouvre complètement et avale la bite. L’homme recule lentement puis pousse de nouveau en avant, allant encore plus profondément. La tête de Julie se balance d’un côté à l’autre, son esprit et son corps se délectant des vagues de plaisir. L’homme recule de nouveau et commence à marteler la jeune chatte en augmentant la vitesse et l’intensité à chaque coup.

Julie ne se soucie plus d’où elle est ni de ce qu’elle fait. Son corps ne s’est jamais senti aussi vivant auparavant. Les orgasmes se succèdent. Elle ne peut plus parler et seuls des bruits de gorge et des gémissements sortent de sa bouche.

La jeune fille n’est qu’à demi-consciente quand l’homme jouit avec un rugissement et crache son sperme au plus profond de son corps avant de s’effondrer sur elle. Au lieu d’avoir peur, elle se sent satisfaite et en sécurité sous cette masse.

Pendant les quatre-vingt-dix minutes suivantes, Julie est baisée sans arrêt. Aucun de ses orifices n’est épargné. Quand ils la libèrent finalement, elle est presque comateuse. Elle lève ses yeux à moitié fermés par ses paupières vers son Maître et elle murmure :

- Merci Maître !

Puis elle ferme les yeux et s’éloigne dans son propre monde.

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Brenda attend jusqu’à presque six heures du matin avant d’aller réveiller ses nouveaux esclaves. Elle a attendu près de vingt ans pour avoir sa vengeance et maintenant elle a ce lâche de Marcus et sa pute de femme sous la main. Donc elle ne veut pas perdre un instant. Jessie doit être à l’université dans quelques heures et Brenda veut bien commencer la journée.

Elle entre dans la petite chambre et réveille les deux esclaves qui dorment par terre.

- Levez-vous esclaves, il est temps de commencer la journée. Vous avez cinq minutes pour descendre dans le salon. Ordonne Brenda avant de quitter la pièce.

Jessie est la première à se lever. Elle se précipite à la salle de bain. Marcus la suit de près. Ils se brossent les dents et soulagent leur vessie.

 
Cinq minutes plus tard, ils se précipitent en bas. Ils sont étonnés tous les deux en voyant Brenda. Elle porte des cuissardes en cuir noir et un gode ceinture recouvre sa chatte. Un haut en cuir noir accentue ses seins. Elle pointe le sol et pousse Jessie vers le bas.

- Rends-toi utile esclave et tiens-moi ça ! Commande-t-elle en remettant à Jessie une cravache.

La professeure la prend et garde la tête baissée. Le visage de Marcus montre ses sentiments. Son expression indique qu’il est presque en panique. Il reste là à regarder sa Maîtresse et il tremble dans ses bas. Son sexe est toujours enfermé dans la cage de chasteté.

Brenda veut commencer rapidement. Elle indique le mur et dit à Marcus !

- Lève-toi et va t’appuyer contre le mur ! Montre-moi ton cul d’esclave.

Le ton de la voix de Brenda est vicieux. Marcus ne veut pas la contrarier alors il s’exécute rapidement. Son ex-femme se place derrière lui et se penche pour lui murmurer à l’oreille :

- J’en rêve depuis des années. Tu as voulu me baiser et aujourd’hui ton cul est à moi.

Elle aligne le gode sur l’anus de Marcus et elle pousse. L’homme pousse un gémissement alors que la fausse bite est poussée au fond de ses entrailles. Brenda n’a pas utilisé de lubrifiant, ni préparé le cul de son esclave. Elle veut le torturer et lui causer le plus de douleur possible. Elle tient le gode dans son cul alors qu’il crie de douleur. Quand celle-ci semble s’apaiser, la femme recule et pousse encore plus fort en avant. Elle enfonce la fausse queue plus profondément que jamais à l’intérieur du corps de Marcus. Les cris de l’homme font trembler les vitres, mais cela n’empêche pas Brenda de continuer à l’enculer. Les plaintes de son ex-mari l’excite et un orgasme commence à se former en elle.

Brenda tourne la tête vers Jessie et remarque qu’elle tient toujours la cravache devant elle.

- Esclave, passe derrière moi et enfonce ta langue dans mon cul. J’adore me faire lécher le cul.

Jessie rampe rapidement jusqu’à Brenda et enfonce son visage entre ses fesses.

Brenda continue à sodomiser violemment Marcus alors que Jessie lui lèche le cul. Bientôt elle jouit. Ce n’est pas un orgasme sexuel, mais un orgasme mental. Toutes ses années de misère ont explosé et son âme est purifié. C’est l’orgasme le plus satisfaisant de sa vie. Elle se retire du cul de Marcus et repousse Jessie. L’homme s’effondre sur le sol en pleurant presque hystériquement. Jessie, le visage couvert de sa propre salive, lève les yeux vers sa Maîtresse en priant que ce soit fini pour la matinée.

Brenda s’appuie contre le mur pendant quelques minutes. Elle réfléchit sur la façon dont elle veut procéder. Finalement, elle se dirige vers la cravache et elle demande à Jessie de se tenir contre le mur.

- Mains sur le tête esclave ! Si elles bougent, nous recommencerons.

Jessie se lève lentement et obéit. Quand elle est en position, Brenda commence à caresser la poitrine exposée.

- Tu as de beaux seins pour une vieille salope. Mais je crois qu’il manque quelque chose. Chuchote Brenda à l’oreille de Jessie.

Elle recule et fait tomber la cravache sur les deux mamelons. Jessie crie alors que la douleur irradie de ses tétons à sa poitrine. En réflexe ses mains commencent brièvement à bouger, mais Jessie réussit à les garder en hauteur. Brenda rit de la voir ainsi. Elle aime chaque seconde où elle fouette les seins de la femme qui lui a volé son mari. Elle les frappe encore et encore jusqu’à ce que Jessie s’effondre en tas sur le sol.

 
Brenda ne laisse pas passer l’occasion, elle cravache le cul de la professeure qui essaie de protéger ses seins martyrisés.

Lorsque Jessie essaie de protéger son cul, Brenda lui donne des coups de pied dans les côtes.

- Montre-moi ton cul d’esclave ou je te fouette jusqu’à ce que tu ne puisses plus tenir debout.

Le corps de Jessie est en feu, mais elle sait que Brenda est capable de la battre à mort. Alors elle se force à se mettre en position. Jessie s’agenouille, face contre terre et son cul en l’air.

Brenda fait glisser la cravache sur les marques qui ornent déjà le cul de Jessie.

- Celles-ci ont l’air douloureuses. Je ne pense pas que tu puisses t’asseoir de sitôt. Glousse Brenda.

Jessie gémit alors que sa Maîtresse frappe coup après coup son cul nul exposé et non protégé.

Lorsque Brenda s’arrête pour reprendre son souffle, elle baisse les yeux sur l’esclave brisé qui pleure hystériquement en la suppliant d’avoir pitié. Brenda donne à Jessie une douzaine de coups supplémentaires avant de lui ordonner de se retourner. L’esprit de la professeure a du mal à comprendre les ordres, mais elle finit par rouler sur son dos. Son cul est rouge vif et ses seins sont brûlants. Brenda voulait établir sa domination dès le début. En la battant maintenant, Jessie est moins susceptible de se révolter plus tard. Elle enjambe l’esclave recroquevillée et descend sa chatte sur sa bouche.

- Allez esclave, j’ai besoin de jouir. Et je veux avoir le plaisir supplémentaire de t’envoyer au travail avec mon jus sur ton visage.

Brenda chevauche le visage de Jessie et aime chaque seconde cette sensation de puissance. Peu importe si Jessie lèche sa chatte convenablement, Brenda s’enivre de ce sentiment de pouvoir qui pulse dans son corps. Lorsqu’elle se remet de son troisième orgasme, elle abandonne son esclave. Il est maintenant presque sept heures et Jessie doit être à l’université au plus tard à sept heures trente. Brenda sourit en sachant que son esclave n’aura pas le temps de se nettoyer avant de commencer la journée à enseigner aux étudiants.

- Esclave, il est sept heures. Lève-toi et prépare-toi pour le boulot. Oh, ne nettoie pas ton visage avant l’heure du déjeuner. Ton look est super. Rit Brenda en poussant Jessie du pied.

La professeure se retourne et se lève lentement. Son corps est toujours entièrement douloureux des coups de Brenda. Elle veut se dépêcher, mais son corps ne veut pas coopérer. Elle monte les escaliers et se dirige vers sa chambre. Elle n’est debout que depuis une heure et la journée a mal commencé. Elle entre dans la chambre et voit Maître Kévin. Elle tombe à genoux et attend qu’il voie sa présence. Le jeune homme baisse les yeux sur sa belle-mère esclave et sourit. Des rayures rouges couvrent son dos et son cul. Il sait qu’elle ne va pas beaucoup s’asseoir. Il lui tend la robe qu’elle doit porter et il voit qu’elle perd son souffle.

- Maître, si je porte ça, je vais être virée ! Maître, s’il vous plaît, ne me faites pas renvoyer ! Supplie Jessie.

Kévin sourit et ses lèvres se retroussent jusqu’à ce que son sourire se transforme en ricanement.

- Tu portes ce que je te dis. Tu baises qui je te dis. Tu manges quand je te dis de manger. Et tu pisses quand je te donne la permission. Maintenant tu vas enfiler cette robe et aller à l’université. Tu vas être en retard, mais tu récupéreras du temps si tu vas directement dans ta classe. Aujourd’hui, Janice n’y sera pas et je sais que le directeur a une réunion à l’extérieur. Donc, tout ce que tu as à faire est d’aller dans ta classe de cours et d’y rester autant que possible. N’en bouge pas et tout ira bien.

- Mais Maître, mes élèves…

- Tais-toi et habille-toi ! Je t’ai donné des ordres, et à moins que tu ne veuilles une autre fessée, tu feras ce que je commande. Aboie Kévin.

Jessie hoche la tête et glisse la robe par-dessus sa tête. Elle baisse les yeux et se demande comment elle va rester couverte. La robe est décolletée avec de fines bretelles. Juste en dessous de chaque sein, la robe continue en panneau de résille jusqu’à l’ourlet. Il n’y a qu’un morceau de tissu de vingt centimètres pour couvrir son entrejambe. Mais à chaque pas, elle va dévoiler sa chatte. Elle enfile les talons hauts noirs qui vont faire ressortir sa chaîne en argent. Jessie sait qu’on va lui poser des questions à ce sujet dans sa classe. Une fois habillée, elle descend les escaliers et sort. Elle veut arriver à l’école le plus rapidement possible.

Elle y arrive bien après l’heure habituelle. Quand elle entre, elle commence à se déshabiller. C’était sa routine depuis plusieurs semaines. Mais avec l’absence de Janice, elle se reprend et se dirige vers sa classe. A chaque pas, son corps palpite d’excitation, car les couloirs sont remplis d’étudiants. Tous la regardent et chuchotent. Jessie devine ce qu’ils se disent. Elle se précipite dans les escaliers et marche dans le couloir jusqu’à sa classe. Mais elle est heureuse que la plupart de ses étudiants ne soient pas encore arrivés.

Elle entre dans sa salle de cours et allume les lumières. Elle se tourne vers son bureau et réalise qu’elle n’est pas seule. Les neveux jumeaux de M. ASH  sont à la porte. Ce sont ces mêmes neveux qui l’ont baisée la semaine dernière quand elle devait se présenter chez son voisin dégoûtant. Jessie sursaute et dit :

- Que faites-vous ici ? Vous devez partir tout de suite !

Sa voix est pleine de panique.

- Qu’est-ce qu’on fait ici ? C’est la meilleure, et toi, qu’est-ce que tu fais ici ? Est-ce que cette université a des putes comme enseignante ? Est-ce que le directeur sait que tu donnes ton corps en dehors ? Dit Martin ASH d’une voix dure.

Puis il ajoute :

- Nous venons de nous inscrire. Mais après t’avoir vu ici, je devrais peut-être aller au service de l’administration et leur faire savoir qui tu es.

Jessie, stupéfaite, reste silencieuse. Elle ne sait pas quoi faire, mais elle sait qu’elle doit sortir de cette pièce le plus rapidement possible. La dernière chose qu’elle doit faire c’est d’être seule dans une pièce avec ces deux jeunes hommes.

Martin se tourne vers Michael, son frère jumeau, et lui demande :

- Qu’en penses-tu Michael ? Faut-il descendre et leur faire savoir qu’ils ont une pute comme enseignante ?

Michael sourit et commence à parler, mais Jessie se dirige vers la porte.

- Où penses-tu aller salope . Nous n’avons pas fini. Dit Martin en attrapant son poignet.

Jessie comprend qu’elle a des ennuis.

- J’ai oublié quelque chose en salle des professeurs. Je dois le récupérer avant le début des cours. Dit-elle avec moins de conviction dans la voix qu’elle ne l’espérait.

- Ne nous mens pas salope, tu ne vas pas y aller habillée comme ça. Nous avons parlé à Kévin et nous savons exactement ce que tu es et ce que tu vas faire.

Jessie ressemble à une biche prise dans les phares d’une voiture. Elle baisse les yeux, elle sait qu’elle est piégée et elle ne sait pas quoi faire. Elle a peur des deux adolescents et de ce qu’ils veulent lui faire. Elle lève les yeux et murmure :

- Que voulez-vous que je fasse ?

- D’abord, ce matin tu donneras tes cours. Au déjeuner nous reviendrons et tu prendras soin de nous. Et parce que tu n’as pas d’autre choix nous t’emmènerons après l’école. Donc quand les cours sont terminés, rejoins-nous à notre voiture. Kévin veut que nous nous documentions au salon de tatouage, mais avant ça nous nous arrêterons chez votre médecin pour vos injections.

Jessie hoche la tête tandis que Michael attrape ses seins. Il les tripote durement pendant quelques minutes avant que le cloche sonne pour annoncer le début des cours. Jessie n’a jamais été aussi heureuse de commencer sa journée d’enseignement. Les jumeaux quittent sa classe. Jessie regarde la porte pendant une minute et les premiers étudiants commencent à arriver.

Jessie se dirige vers son bureau et commence à s’asseoir. Mais dès que son cul touche la chaise, elle saute en avant. Les zébrures de sa fessée de ce matin la brûlent à tout contact. Elle sait qu’elle va devoir rester debout toute la journée. Jessie regarde sa salle de cours se remplir lentement. Les conversations cessent quand chaque élève voit Mme GRABAS. Jessie rougit alors que les chuchotements et les rires commencent à enfler. Quand la cloche sonne pour annoncer le début du cours, Jessie ouvre son livre pour essayer de commencer.

- Bon, ouvrez vos livres à la page 87. Dit-elle.

- Mme GRABAS, qu’est-ce que c’est que cette robe ? Demande une voix du fond de la pièce.

- Je… Je sors après le travail. Bégaie-t-elle.

Puis elle essaie de continuer :

- S’il vous plaît, commençons !

Les élèves entendent sa réponse, mais au lieu se mettre au travail, une autre question retentit :

- Sortir ? Où ? Et c’est quoi à votre cheville ? C’est assez bizarre.

La classe éclate de rire. Jessie rougit encore plus. Les instructions de son maître sont claires. Si quelqu’un de majeur pose la question, elle doit y répondre honnêtement. Il l’avait même prévenu qu’il la testerait. C’est la première fois pour Jessie qu’elle doit admettre à haute voix que quelqu’un la possède. Pour empirer les choses, elle doit le faire devant ses étudiants. Une larme coule sur sa joue alors qu’elle s’éclaircit la gorge.

- C’est un bracelet pour l’esclave d’un Maître. Je suis possédée. Dit doucement Jessie.

- C’est quoi ? On ne vous a pas entendu § Dit la voix à nouveau.

- C’est un bracelet pour l’esclave d’un Maître. Je suis possédée. Dit Jessie plus fort cette fois.

La classe entière est hébétée en entendant la réponse.

- Vous êtes une esclave ? Que voulez-vous dire ? Et qui vous possède ? Demande Susan, la plus jolie fille de la classe, assise au milieu de la pièce.

La poitrine de Jessie commence à se resserrer alors que les questions continuent. Elle sait que si elle ment et si Maître Kévin le sait, elle sera dans la rue ce soir. Si elle répond honnêtement, ses élèves pourront prendre le relais et son autorité sera érodée.

- Je suis l’esclave de mon fils Kévin. S’il vous plaît, commençons à travailler. Supplie Jessie dont la voix s’estompe pendant qu’elle parle.

- OHHHHH, tu es la propriété de ton fils ! Et qu’est-ce que tu as à faire ? Demande Susan.

- Je dois faire ce qu’il dit… S’il vous plaît…

- Il t’a dit de dire la vérité ? L’interrompt Susan.

- Oui, si on me pose des questions sur le bracelet à ma cheville, je dois répondre honnêtement.

- Et alors ? Que font les esclaves ? Continue la jeune fille.

- Je dois répondre à toutes les questions. Un esclave doit obéir et faire ce qu’on lui dit.

Jessie a maintenant peur. S’ils continuent sur cette voie, elle risque de se retrouver nue, ou pire encore.

- Et si je te dis d’aboyer comme un chien !

Susan prend clairement le contrôle. Jessie gémit, mais répond :

- J’aboierai Mlle Susan.

- Eh bien aboie esclave ! Dit Susan d’une voix qui devient rauque avec l’excitation.

Jessie a du mal à respirer et son corps tremble. Elle ne sait pas si c’est de peur ou d’excitation.

- Wouaf ! Wouaf ! Wouaf ! Fait-elle.

La classe entière éclate de rire tandis que Jessie se sent totalement humiliée. Son corps rougit et sa chatte est tellement humide que du jus coule le long de ses cuisses.

- Les chiens ne se tiennent pas sur deux jambes. Mets-toi à quatre pattes esclave !

Susan se lève et s’approche de sa professeure visiblement nerveuse. Jessie reste immobile tandis que les mots s’enfoncent dans son esprit effrayé. Quand elle sent la main de Susan sur son épaule la pousser, elle ne résiste pas et se retrouve bientôt sur ses mains et genoux.

- Bon chiot ! Dit Susan en lui tapotant la tête.

Puis elle continue :

- Maintenant parle !

- Wouaf ! Wouaf ! Wouaf ! Répond Jessie en baissant la tête pour fixer le sol.

- Bon, je vois que tu es bien formée après tout. Dit Susan en souriant.

Elle se dirige vers l’un des garçons assis au premier rang et demande :

- Donne-moi ta ceinture John.

L’étudiant ne pense pas à refuser, car il apprécie le spectacle . Il enlève rapidement sa longue ceinture et la tend à Susan.

- Merci John ! Dit celle-ci.

Elle fait une boucle et la passe autour du cou de Jessie. La professeure se retrouve maintenant à quatre pattes avec une laisse autour du cou et une étudiante la guidant dans la salle de cours. Mais avant que la jeune fille ne puisse faire autre chose, l’alarme incendie retentit. Susan s’arrête et tire sur la ceinture pour que Jessie se redresse.

La professeure saisit l’opportunité et essaie de reprendre le contrôle.

- Tout le monde sort par la porte dans le calme ! Commande-t-elle.

Elle reste près de la porte pendant que les étudiants sortent. Elle les compte pour s’assurer que personne ne reste derrière. Soudain un des garçons tripote son sein pendant qu’il passe. Jessie n’a pas le temps de réagir et de tourner la tête pour voir de qui il s’agit, qu’une autre main fait pareil. Puis tous les étudiants la tripotent en passant. Au moment où la dernière étudiante passe, c’est son cul et sa chatte qui étaient aussi tripotés. Jessie ne peut rien faire alors qu’elle est touchée par ses propres élèves.

L’alarme incendie a sauvé Jessie d’autres humiliations avec sa classe pendant la première période. Avant qu’ils ne reviennent en cours, la cloche sonne la deuxième période. Jessie se tient derrière son bureau et rassemble ses pensées. Pour la première période, elle était au milieu de la pièce et tous les élèves ont pu voir son habillement. Cette fois, elle veut s’y préparer. Alors elle décide de rester derrière son bureau, hors de vue autant que possible.

Les étudiants de la deuxième période parlent doucement en entrant dans la classe. Jessie est nerveuse, car c’est inhabituel pour eux. Habituellement ils sont assez bruyants en arrivant. Mais aujourd’hui, ils se contentent de sourire et de chuchoter entre eux. Lorsque la cloche sonne pour annoncer le début du cours, Jessie veut prendre les commandes dès le début.

- Bonjour, taisez-vous s’il vous plaît, nous allons commencer. Tournez-vous vers…

C’est tout ce qu’elle arrive à dire avant qu’une voix au fond de la pièce dise clairement :

- Hé esclave !

- Je vous en prie, commençons le cours ! Dit Julie en essayant de se montrer autoritaire, mais les mots sortent comme si elle suppliait.

- J’ai entendu de la classe précédente que vous devez nous obéir. Continue la voix.

- S’il vous plaît, ne faites pas ça. Plaide Jessie.

Son esprit se glisse déjà dans son personnage d’esclave soumise.

- Aboie prof ! Dit la voix.

- Wouaf !

- Vous pouvez faire mieux. Mettez-vous à quatre pattes et essayez à nouveau.

Jessie se rend et tombe lentement à genoux.

- Wouaf ! Wouaf ! Wouaf ! Aboie-t-elle en espérant que ça n’aille pas plus loin.

Les prières de Jessie ont dû être entendues car pendant ce cours et les deux suivants, les choses n’ont pas été poussées beaucoup plus loin. Soit il n’y avait pas de vrais dominants dans les classes, soit ils avaient peur de se faire attraper s’ils allaient trop loin.

Jessie est contente de ne pas avoir trop subi pendant les cours, mais elle sait qu’avec le temps, elle va sûrement se faire baiser par ses étudiants.

Quand l’heure du déjeuner arrive, Jessie est à la fois soulagée, mais aussi effrayée par ce que les jumeaux vont lui faire. Les deux dernières heures l’ont excitée. Son corps est tendu et sa chatte dégouline. Être dominée en classe l’amène pas loin de l’orgasme. Donc les jumeaux qui vont lui rendre visite vont peut-être la soulager.

Martin et Michael entrent dans la salle de cours comme s’ils en étaient les propriétaires. Jessie se tient à son bureau et se moque silencieusement des jeunes gens qui marchent vers elle. « Ils ressemblent à des paons qui se pavanent.» pense-t-elle. Son corps tremble en pensant à ce qu’ils peuvent lui faire.

Jessie accepte maintenant que sa carrière est terminée. Les premiers cours d’aujourd’hui ont été catastrophiques et il ne va pas falloir longtemps avant que ça se sache et qu’elle soit renvoyée ou arrêtée et mise en prison. Elle est esclave et son avenir est désormais dans les mains de son maître. Elle se met à genoux et demande :

- Que peut faire cette esclave pour vous Maîtres ?

Michael et martin se tapent dans la main et se précipitent vers la professeure agenouillée. Dans la seconde suivante, elle se retrouve nue en train de sucer une bite et remuant son cul pour inciter l’autre garçon à la baiser.

Jessie a abandonné toute résistance et se sent complètement libre. Elle ne contrôle plus rien et aime chaque seconde. Elle n’est plus rien que la propriété de quelqu’un, une chose à utiliser et abuser. Elle ne s’est jamais sentie aussi bien. Après les dernières semaines de formation, elle utilise ses talents pour plaire aux jumeaux dominateurs qui remplissent son corps avec leurs merveilleuses bites.

Les jumeaux baisent l’enseignante pendant tout la pause du déjeuner. Quand ils ont finalement fini avec elle, il reste une masse tremblante de chair féminine, recouverte de sperme et totalement rassasiée.

Jessie lève la tête du sol et regarde les deux garçons. Ils finissent de s’habiller et se dirige vers la porte. Michael se retourne vers la professeure et dit :

- Après les cours, retrouve-nous à ta voiture. Ton Maître veut que nous nous documentions sur tes prochaines modifications. Ne perds pas de temps, je veux que tu sortes dès les cours terminés.

Jessie hoche la tête et pense au chemin jusqu’à sa voiture. Jusqu’à présent, seuls ses élèves l’ont vue. Partir en même temps que tout le monde va l’exposer à toute l’université. Mais au lieu d’être humiliée, Jessie ne ressent que de l’excitation.

A suivre…

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