Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
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Travaux chez Janice et nouvelle maison pour Julie.
Finalement Christy renonce à dormir. Il est cinq heures du matin et la ceinture de chasteté la rend folle. Elle est totalement excitée et elle a besoin de jouir. Elle se lève, débranche la ceinture du boîtier de commande et se dirige vers la salle de bain. Elle s'assoit sur les toilettes. Elle voudrait se soulager, mais elle se rappelle que Maître Kévin leur a dit qu'elles ne pouvaient utiliser les toilettes que sur autorisation. Et elle ne l'a pas pour le moment. Elle reste assise à penser à tout ce qui s'est passé.
Hier a été le jour le plus bizarre de sa vie? Elle a commencé par se déshabiller et se mettre complètement nue sur le parking de l'université, puis elle est entrée à quatre patte dans le bureau de sa mère. Et là elle a vu sa mère se déshabiller et se soumettre à Maître Kévin. Maintenant elles sont comme deux sœurs esclaves appartenant à Kévin.
Elle sait qu'elle devrait ressentir quelque chose comme la peur, l'indignation ou le refus. Mais au contraire elle est constamment excitée. C'est comme si son Maître était dans sa tête avec tous les fantasmes pervers qu'elle n'aurait jamais imaginés dans sa vie. Elle sait que son Maître exigera que sa mère et elle aient des relations sexuelles, des relations incestueuses de toutes les manières possibles. Maintenant, à chaque fois qu'elle regarde sa mère, son corps tremble d'envie. L'esprit de Christy est surchargé par tout ce qui s'est passé et par tout ce qui peut arriver. Soudain elle entend un gémissement.
- Oh mon Dieu maman, je t'ai oublié! Hurle Christy en se levant d'un bond.
Elle retourne dans la chambre rapidement et détache les poignets de sa mère. Puis elle l'aide à se relever. Christy entend Janice gémir alors qu'elle essaie de bouger son corps.
Elle a été attachée toute la nuit et son corps n'a pas l'habitude de rester dans cette position pendant si longtemps. Elle a perdu depuis un bon moment toute sensibilité dans les extrémités des membres. Elle avait entendu Christy se lever , mais elle n'avait pas vu où elle allait. Ce n'est que lorsqu'elle avait gémi que sa fille s'était précipitée pour la libérer.
Christy masse les jambes de sa mère pour faire circuler le sang. Bientôt elle l'aide à aller à la salle de bain en lui rappelant de ne pas utiliser les toilettes. Il est six heures moins le quart quand elles descendent nues au bureau et s'agenouillent sur le sol. Elles ne savent pas quoi faire d'autre, elles savent juste qu'elles doivent être devant l'ordinateur à six heures.
A l'heure dite, le visage de Kévin apparaît à l'écran.
- Bonjour esclaves! Je pense que vous avez bien dormi. Je l'espère parce que ça va être comme ça pendant un bon moment. Glousse le garçon.
- Bonjour Maître! Disent les esclaves à l'unisson.
- Voilà, comme je vous l'ai dit hier soir, un entrepreneur va arriver à huit heures. L'une d'entre vous restera à la maison et s'occupera de lui et ses ouvriers. Donc maintenant il faut que je sache qui reste?
Janice regarde sa fille et lève la main. Elle ne se fait aucune illusion sur ce qui va se passer. Mais elle ne va pas laisser sa fille souffrir de l'indignité de « servir » les ouvriers.
Kévin sourit. Il savait que Janice se porterait volontaire. Il sait également qu'elle risque d'échouer.
- Très bien esclave. Tu ne refuseras aucune demande et tu feras tout avec le sourire. Sinon Christy verra son code activé et tu sais ce que ça signifie. Maintenant ta fille va s'habiller pour l'université et toi tu vas te doucher et te préparer pour les arrivants.
Les deux esclaves ne bougent pas, attendant que Kévin ajoute des instructions. Le garçon sait ce qu'elles veulent. Il veut juste voir si l'une va parler et enfreindre une règle. Après un long silence il reprend la parole.
- Bon esclaves, je vois que vous voulez quelque chose alors dites-le.
Les deux femmes commencent toutes les deux à parler en même temps. Finalement Janice dit :
- Maître, pouvons-nous nous soulager? Et comment retirer la ceinture de chasteté de Christy.
Puis elle ajoute rapidement :
- Oh, que devons-nous porter et que pouvons-nous manger?
- Bon , vous avez toutes les deux quinze minutes pour vous soulager. Christy, la clé de la ceinture se trouve à côté de l'ordinateur. Tu peux l'utiliser. Janice, tu vas prendre la même tenue que tu avais hier soir après être entrée. Je suis sûr que les ouvriers vont adorer. Christy, tu prends une jupe écossaise très courte avec le haut licou rose, des chaussettes et ton collier d'esclave. Votre nourriture est dans deux bols au réfrigérateur, un pour chacune. Le bol de Christy est rose, celui de Janice bleu. Ça sera vos bols pour tous vos repas à la maison. Sortez-les et posez-les par terre. Vous mangerez comme des chiennes que vous êtes maintenant. Vous n'avez pas le droit d'utiliser vos mains. Sur le comptoir se trouve un seau d'eau. Vous allez le remplir à moitié. Ce sera votre source d'eau potable. Quand il sera vide, vous boirez l'eau des toilettes jusqu'à ce que vous ayez la permission de le remplir. Avez-vous des questions esclaves?
Janice et Christy secouent la tête. Elles montent à l'étage pour se préparer pour la journée. Dès qu'elles sont dans la salle de bain, Janice ferme la porte et se tourne vers Christy pour lui chuchoter :
- Christy, je ne pouvais pas te laisser rester à la maison aujourd'hui. Je m'occuperai des ouvriers. Comment Kévin t'a-t-il piégée?
Christy est effrayée de voir sa mère parler. Elle a appris depuis longtemps à ne pas désobéir à Kévin.
- Chut, nous ne pouvons pas parler sans permission.
- Attends, il n'a pas encore mis la maison sur écoute. C'est sûrement notre seule chance de nous parler avant longtemps. Supplie Janice.
Sa fille regarde autour d'elle comme si elle s'attend à ce que Kévin apparaisse de nulle part. Finalement elle prend une profonde inspiration et dit doucement :
- C'était à l'université. Ça a commencé lentement. Il m'a d'abord poussé à avoir des relations sexuelles avec lui. Il a une bite incroyable et je suis sûre que tu le découvriras assez tôt. Avant que je réalise, il me disait ce que je devais porter et je le suçais à l'école. A la fin de notre dernière année, j'allais chez lui pour me changer. Je ne portais que ce qu'il voulait. A ce moment-là je n'étais autorisée qu'à porter des jupes courtes et des hauts étriqués sans sous-vêtements. Quand les professeurs se sont plaints de ma tenue, il a réussi à les empêcher de me faire renvoyer. Quand le printemps est arrivé, il me prêtait à ses amis proches, j'étais son jouet. Ça a pris fin le jour où je me suis retrouvée nue sur le dos sur une table de pique-nique. Je crois que j'ai été baisée et que j'ai sucé toute notre classe ce soir-là, y compris les filles. Je ne peux pas lui résister maman. Quand il appelle, je ne peux pas dire non. Quand il est parti dans une autre université pour continuer ses études, j'ai que j'étais enfin libre. Mais il y a une semaine, il m'a appelée et tous mes besoins sont revenus. Je suis désolé maman, mais il est mon Maître et je le servirai. Il me possède maintenant.
La voix de Christy vacille et des larmes coulent sur ses joues. Janice regarde sa fille en réalisant que malgré tout ce qu'elle pourrait faire, sa fille est perdue pour elle. Elle se penche et lui fait un câlin.
- Je trouverai un moyen de nous sortir de tout ça. Même si nous devons disparaître à l'autre bout du monde, je nous sortirai de là.
Ce que Janice et Christy ne savent pas, c'est que la salle de bain est la première à avoir été mise sur écoute. Il avait prévu que si elles discutaient ce serait là. Kévin sourit, il a tout entendu.
Christy s'habille comme ordonné et sort de la maison avant huit heures. Janice l'a carrément mise dehors, elle ne veut pas qu'elle voie ce qui allait se passer. Elle ferme la porte et s'appuie contre elle. Son cœur bar à cent à l'heure. Elle n'a aucune idée de ce qui va arriver, mais son imagination se déchaîne.
Lorsque la sonnette retentit, elle sursaute sur place. Janice prend une profonde inspiration et ouvre lentement la porte. Ses yeux s'agrandissent quand elle voit trois hommes debout qui cachent le soleil. Le premier ressemble à un géant orange. Il doit mesurer plus de 1m85 et peser 150 kilos. Son gilet de sécurité orange peine à faire le tour de sa circonférence. Janice regarde son visage qui passe de la surprise au sourire tandis que les yeux parcourent son corps presque nu.
Janice frissonne puis voit les deux autres hommes avec lui. Le plus petit à sa droite et le noir à sa gauche se déplacent rapidement sur ses côtés, si bien que Janice se sent piégée debout dans l'embrasure de la porte.
Elle ne sait pas quoi faire. Les hommes avaient presque l'air de s'attendre à ce qu'elle soit là et nue. Ils la dépassent et entrent dans le hall. Janice se met au milieu de la pièce tandis que les hommes s'éloignent, chacun dans une direction différente en parlant dans leur talkie-walkie. Elle ne se réveille de ses pensées que quand l'homme montagne s'approche et la pousse avec son énorme doigt.
- Hé ma petite dame, comment tu t'appelles? Je suis John, le petit gars c'est Wayne et Malcom est à l'étage. Il est noir si tu ne l'avais pas remarqué. Oh, et les rumeurs sur les noirs et les grosses bites sont vraies. Dit John en riant.
- Euhhh... Euhhh... Je m'appelle Janice. Balbutie-t-elle.
- Eh bien Janice, pourquoi ne pas aller à la cuisine et nous préparer à manger. Nous déjeunons à midi, mais j'ai faim maintenant. Alors ne perds pas de temps. Ah et puis apporte-nous à boire, whisky. Beugle John.
Janice se précipite dans sa cuisine et verse trois verres de boissons. Elle les met sur un plateau et rejoint John et Wayne qui parlent ensemble. Alors qu'elle tient le plateau pour qu'ils se servent, Wayne essaie d'enlever son haut.
Janice essaie de le repousser, mais quand John attrape le plateau, elle est distraite et Wayne tire son haut par-dessus sa tête. Elle n'a plus que sa culotte et ses chaussures. Elle est déboussolée alors que Wayne la tourne et la ramène contre sa poitrine. Puis il tend la main et attrape ses seins.
Janice a le souffle court tandis que les mains sur ses seins pincent ses mamelons. Elle ouvre les yeux et voit l'homme massif la regarder comme s'il voulait l'avaler tout rond.
John regarde Wayne tirer le haut de Janice au-dessus de sa tête. Ses seins sont magnifiques. Comme son collègue la tient, il se précipite en avant. Le problème est qu'il ne sait pas modérer sa puissance. Dans sa hâte il déséquilibre Wayne.
Janice a le souffle coupé quand John la pousse, mais elle réalise rapidement qu'il y a une ouverture dans laquelle elle se précipite. Elle n'a aucune idée de l'endroit où elle court, mais son objectif est de s'éloigner des hommes. Elle ne réfléchit pas à la conséquence de sa désobéissance et du non-respect d'une règle.
Janice court dans le couloir et dans le salon. Elle se tourne pour se diriger vers la porte d'entrée quand Wayne la rattrape. Il la saisit et la pousse au sol. Malcom arrive dans la pièce, il avait entendu l'agitation et était descendu en courant. Janice le voit et abandonne toute résistance. Elle s'agenouille et met ses mains derrière son dos. Sa panique initiale a disparu et elle se souvient de ses instructions. Wayne et John la dominent de leur stature. Ils exigent qu'elle leur donne sa culotte. Sachant qu'elle ne peut l'éviter, elle retire sa culotte et lève la main pour leur donner. Wayne sourit et dit :
- C'est bien salope! Je n'aurais pas aimé rapporter que tu n'étais pas coopérative.
Les trois hommes entourent Janice et discutent de ce qu'ils veulent faire. Malcom veut la baiser de suite. Wayne veut la punir pour sa fuite. Et John veut une fellation. Finalement ils décident que Wayne lui donnera une fessée et qu'elle repartira ensuite préparer le déjeuner pendant qu'ils se remettront au travail. Au déjeuner, ils pourront l'utiliser comme ils veulent et quand le travail sera fini. Janice, à genoux, prie pour que tout soit bientôt fini.
- Penche-toi salope et mets tes mains sur tes genoux!
Janice obéit. Wayne recule sa main et lui donne une grosse claque sur le cul. Janice glapit de douleur mais reste dans sa position? Bientôt l'homme lui martèle le cul de sa main sur un bon rythme. Malcom et John aiment chaque seconde du spectacle et crient des obscénités alors que Janice se met à pleurer de façon incontrôlée.
Wayne continue de fesser la femme encore et encore. Lorsque finalement il arrête la punition, Janice n'a plus aucune résistance. Elle ne se rend compte que c'est fini que lorsque les hommes s'éloignent.
Elle retourne à la cuisine et prépare des sandwichs et boissons. Quand elle a fini, les hommes lui disent d'attendre à la cuisine qu'ils soient prêts à manger. Il se passe trois heures avant que les ouvriers entrent dans la cuisine. Janice se lève et attend qu'ils s'assoient avant de leur servir le repas. Elle comprend qu'ils ont voulu terminer le câblage de la maison pour les flux vidéo et audio avant de manger. De cette façon, quand ils auront fini de déjeuner, ils auront beaucoup de temps pour jouer avec Janice.
Lorsque John a finalement terminé son troisième sandwich, il rote bruyamment. Il frappe le cul de Janice et lui dit d'aller au salon et d'attendre à genoux. La femme quitte lentement la pièce et tombe à genoux au milieu du salon. Son corps tremble et elle a peur. Lorsque les trois hommes entrent dans le salon, ils ont déjà retiré leur pantalon et ils caressent leur bite. John est le premier à parler :
- Bien salope, ouvre la bouche et avale ma bite. J'attends ça depuis le début de la journée.
Janice fait ce qui lui est ordonné et regarde les trois hommes. En dehors de Jessie, elle n'a pas baisé depuis plusieurs moi, et n'a pas eu d'homme depuis très longtemps. De plus, elle n'a baisé que cinq hommes dans toute sa vie. Et aujourd'hui elle va être baisée par trois hommes en un seul après-midi. Le seul point positif est que ce n'est pas Christy à sa place.
Ce n'est que quelques minutes après que John a poussé sa bite dans la gorge de Janice que les deux autres hommes se joignent au couple. Janice est poussée à quatre pattes et Wayne se laisse tomber derrière elle et enfonce sa bite au fond de sa chatte. Janice n'a jamais eu deux hommes à la fois dans sa vie. John et Wayne pilonnent sa bouche et sa chatte en rythme. Janice est contente que son corps réagisse et lubrifie sa chatte.
Mais Janice déteste chaque coup de rein qu'elle reçoit. La dernière chose qu'elle veut c'est d'en profiter. Mais son corps réagit et son excitation augmente rapidement. Au moment où Wayne décharge son foutre profondément dans sa chatte, un orgasme explose dans son corps.
Malcom ne lui laisse pas la chance de récupérer, son corps tremblant sous l'effet de l'orgasme qui commence à disparaître. Le noir enfouit sa bite dans le vagin de Janice. Les yeux de celle-ci s'écarquillent tandis que la grosse queue bute contre son col. Malcom recule lentement et pousse de nouveau en avant. Chaque coup est long et lent. Janice halète alors que son corps toujours sous le plaisir orgasmique apprécie chaque coup de rein. Le black maintient le rythme, long et lent jusqu'à ce que Janice commence à bouger les hanches pour essayer de prendre la queue plus profondément en elle.
Lorsque Wayne pousse son sexe dans le fond de la bouche de Janice, il fait un signe de tête à son collègue et les deux hommes éjaculent ensemble dans le corps de la femme.
Encore et encore, les trois hommes baisent Janice. C'est tout d'abord deux à la fois. Puis Malcom s'assoit sur une chaise et Wayne aide la femme à baisser son cul sur la longue queue. Janice se retient de respirer en essayant de soulager sa douleur et de prendre l'énorme bite dans son passage anal. Elle ferme les yeux et essaie de ne plus penser à rien. Mais John s'approche et pousse sa bite dans sa chatte dégoulinante. Elle crie alors que les deux queues massives la remplissent complètement. Alors qu'elle secoue sa tête d'un côté à l'autre, Wayne attrape son menton et enfonce son membre dans sa gorge. Tous les trous de Janice sont maintenant occupés.
Pendant les deux heures qui suivent, le corps de Janice est pilonné sans cesse alors que du sperme inonde son corps à l'intérieur et à l'extérieur. Quand finalement les ouvriers partent, Janice est assise à côté de la porte d'entrée dans un état semi-comateux.
Elle n'a toujours pas bougé une heure plus tard quand Christy revient de l'école. Quand la jeune fille ouvre la porte et entre, la première chose qu'elle voit c'est sa mère, nue et couverte de sperme, assise dans une flaque de fluides et fixant le sol.
Christy est choqué par le spectacle. Elle s'agenouille à côté d'elle et lui fait un câlin. Peu importe si elle se salit, elle veut juste prendre soin de sa mère.
- Je suis vraiment désolé maman. Laisse-moi t'aider et te nettoyer. Chuchote Christy.
Soudain une voix venue de nulle part retentit :
- QUI VOUS A AUTORISE A PARLER ESCLAVES?
La voix est si forte que les deux femmes sursautent.
- Je suis désolé Maître. Je voulais juste m'occuper de maman. Explique Christy.
- TU NE DOIS PAS PARLER AVANT D'AVOIR ÉTÉ AUTORISE! MAINTENANT LAISSE LA TELLE QU'ELLE EST, ELLE A BESOIN D'ÊTRE HABITUÉE AU SPERME. Continue la voix.
- Oui Maître! Répond Christy en tendant la main pour aider Janice à se lever.
Ne sachant pas trop que faire, elle lève la main comme à l'école pour demander la permission de parler.
- Oui esclave, qu'est-ce que tu veux?
- Puis-je la mettre au lit? Elle a besoin de repos. Demande Christy.
- Pas de problème. Mais c'est soit la ceinture de chasteté, soit par terre, attachée. Répond la voix.
Christy hoche la tête et tire sa mère comateuse sur ses pieds et la porte à l'étage dans la chambre à coucher. Elle décide que sa mère a été suffisamment baisée. Elle la pose doucement sur le sol. Janice ne résiste pas et se retrouve rapidement attachée au pied du lit, un bâillon dans la bouche.
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Julie est de retour à l'université et doit essayer de trouver des finances pour le prochain trimestre. Elle a de quoi payer ses cours, mais pas assez pour sa chambre et sa nourriture. Elle prend son emploi du temps, sort du bâtiment administratif et traverse le campus. Ses ordres sont de se présenter au studio photo dès qu'elle a fini de s'inscrire pour le trimestre. Son esprit est embrouillé. Elle s'arrête près de son ancienne chambre en priant pour que ses affaires soient toujours là, mais l'école a repris les lieux et toutes ses affaires sont parties. Une larme coule sur sa joue alors qu'elle retourne à sa voiture. Il ne lui reste plus que les vêtements qu'elle a ramené de la maison ce week-end.
Finalement, à contrecœur, elle se rend lentement au studio photo. Avec un peu de chance, son Maître lui fournira un lieu pour rester.
Julie se gare sur le parking à côté du studio. Elle reste assise dans sa voiture pendant près de cinq minutes en essayant de trouver un moyen de sortir de sa situation difficile. Mais, sans beaucoup de vêtements et très peu d'argent, elle capitule et entre dans le studio pour retrouver son esclavage.
Jason est assis à son bureau. Il avait vu Julie se garer sur le parking. Il sait qu'elle est désespérée. C'est lui qui a vidé sa chambre à l'université. Il avait aussi soudoyé un employé de l'administration pour maintenir la pression et ne pas lui donner quoi que ce soit pour l'aider. Il sourit et attend qu'elle entre.
Julie s'approche du bureau et de Jason assis. Elle n'est pas sûre d'avoir le droit de parler, alors elle reste là à attendre que l'homme la reconnaisse.
- Tu as mis du temps esclave! Où étais-tu? Questionne Jason.
Julie bafouille alors :
- Je suis désolé Maître, mais il m'a fallu un certain temps pour terminer la paperasse et obtenir mon emploi du temps à l'université. La location de ma chambre a été annulée. Je n'ai aucun endroit où vivre et manger. Je ne pourrai pas survivre sans ça. De plus ils ont vidé ma chambre et j'ai perdu tous mes vêtements et affaires. S'il vous plaît Maître, je vais devoir renoncer à l'université. Je ne peux pas vivre dans la rue.
Alors qu'elle parle, des trémolos dans la voix, elle commence à pleurer. Quand elle a fini elle s'agenouille et pleure à grands flots.
Jason voudrait jubiler, mais Maître X lui a donné des instructions précises. Il attend qu'elle reprenne le contrôle d'elle-même avant de parler.
- Non tu ne renonceras pas à tes études. Tu finiras l'année, mais tu ne seras pas en chambre à l'université. Je t'ai trouvé un travail de domestique chez le professeur BUTLER et il te donnera la chambre et la pension. Ce n'est pas exactement une femme de chambre qu'il recherche. Tu feras tout ce qu'il te dira de faire et tu le serviras comme il le souhaite. En retour, tu vivras chez lui et il te fournira les repas. Explique Jason.
Julie regarde l'homme avec un air choqué sur son visage. Le professeur BUTLER est connu sur le campus comme un pervers, mais il est titulaire et ne peut être renvoyé. De plus il est dégoûtant et Julie a peur de lui.
- Mais Maître, et mes vêtements? Je n'ai que ce que j'ai emporté avec moi. J'ai besoin de vêtements
- Des vêtements te seront fournis. Tout ce que tu as à faire est d'obéir à ce que l'on demande. Maintenant, ta nouvelle tenue est dans le sac sur la table. Mets-la et amène ta valise, tes autres affaires sont à l'arrière.
Julie sait que la conversation est terminée. Elle se lève lentement et se dirige vers la table. Elle sort une jupe, un haut et des chaussures du sac. Elle grogne en levant le haut. Il s'agit d'un petit débardeur rose avec de fines bretelles. Les trous pour les bars descendent presque jusqu'à sa taille. Ses seins seront facilement visibles et à peine couverts. Elle le fait passer pas-dessus sa tête et entre dans la jupe courte violette qui couvre à peine son cul et sa chatte. Julie s'assoit et enfile les chaussures. La jupe est si courte qu'elle est assise sur son cul nu.
Julie se tourne et se regarde dans l'un des miroirs. Elle a le souffle coupé. Elle a déjà vu des prostituées porter plus que ça. Elle retourne à sa voiture pour prendre sa valise, puis elle revient dans l'arrière salle. Juste avant d'en franchir la porte, Jason reprend la parole :
- Avant de continuer, va à la poubelle et vide ta valise dedans. Tu ne porteras plus que ce que nous autoriserons.
Julie hoche la tête et obéit. Il lui faut une minute environ avant de venir se placer devant une table avec plusieurs tenues étalées dessus. Elle parcoure chaque ensemble et il lui semble que chaque tenue est pire que la précédente. Julie range le tout dans sa valise et retourne au bureau de Jason.
Celui-ci lève les yeux vers l'esclave et sourit. Elle est belle habillée comme une salope. Il sait que le professeur BUTLER va adorer, et Julie va le détester. Jason se lève et se dirige vers la porte. Julie ne dit rien , mais le suit comme une bonne esclave.
Le trajet jusqu'à la maison du professeur BUTLER ne dure qu'une dizaine de minutes? Jason s'engage dans une allée privée qui mène à une maison située loin de la rue. Les arbres et la végétation cachent la propriété. Julie regarde par la fenêtre du véhicule, son esprit errant sans cesse. Malgré ses craintes, son corps est tendu. Chaque seconde semble augmenter son excitation.
Jason s'approche de la porte d'entrée et sort de la voiture. Julie fait de même en attrapant sa valise. Elle suit son Maître. Avant même qu'ils n'atteignent la porte, celle-ci s'ouvre et le professeur BUTLER apparaît dans l'embrasure avec un sourire diabolique sur le visage.
Julie se sent plus nue habillée comme elle l'est que si elle était réellement nue. Elle rougit et fixe le sol devant elle.
- Eh bien, il est temps que tu arrives. Dit le professeur en ricanant et regardant Julie.
Puis il ajoute :
- Entre et je vais te dire quelles sont les règles et tes devoirs.
Il se retourne et entre dans sa maison. Jason et Julie le suivent, Julie tremblante de plus en plus à chaque pas.
- Professeur BUTLER... Commence à dire Jason avant d'être interrompu.
- Appelez-moi Charles, c'est mon prénom. Déclare le professeur BUTLER, l'esprit empli des idées de ce qu'il veut faire à l'étudiante.
- Que puis-je faire pour vous? Demande-t-il à Jason.
- Eh bien, dans le cadre de notre accord, vous allez garder ici l'esclave Julie pour la durée de l'année scolaire. Vous la nourrirez et vous vous assurerez qu'elle aille en cours. En retour, elle vivra comme votre servante. Elle cuisinera, nettoiera et fera tout ce que vous lui demanderez. Mais vous connaissez les limites à ne pas dépasser pour ne pas rompre le contrat. Déclare Jason en sortant des papiers de sa poche.
- Oui, oui, oui, je comprends! Où dois-je signer?
Charles BUTLER a hâte de prendre possession de son esclave. Jason regarde l'homme visiblement excité.
- N'oubliez pas, pas de piercings ou de tatouages sans notre permission. Mais vous êtes libre pour toutes les autres modifications dont nous avons parlé. Quand pensez-vous commencer?
- Nous commencerons dès demain, mais je m'attends à ce que ça dure quelques mois avant d'être terminé. Répond le professeur en attrapant un stylo et en signant rapidement les six feuilles présentées.
- Dites-moi professeur, qu'enseignez-vous exactement? Demande Jason.
- Je suis un chercheur qui étudie les effets des modifications chimiques sur le corps. J'enseigne la chimie à l'université. Mais ma passion est la modification du corps et de l'esprit.
- Ah je comprends mieux maintenant. Dit Jason.
Mais le professeur n'écoute plus, Julie GRABAS est à lui maintenant et il ne veut pas perdre de temps.
- Lève-toi salope et mets-toi au milieu de la pièce, mains derrière le dos. Et écarte les jambes. Aboie Charles.
Julie grimace au mot « salope ». Mais de la façon dont elle est habillée, elle ne peut pas dire grand-chose. Elle se lève et obéit. Le professeur s'approche d'elle et sort ses seins de son haut. Il grogne en les tripotant. Charles BUTLER est au paradis. Il a maintenant un merveilleux cobaye pour son activité secondaire.
Julie reste debout immobile en tremblant et en se demandant quelles sont les modifications dont ont parlé les deux hommes. Lorsque les mains du professeur touchent ses seins, elle halète sous la sensation. Les mains sont froides et moites. Ce simple toucher la dégoûte. Mais elle n'a pas vraiment le choix. Elle jette un regard à Jason et le supplie silencieusement de ne pas la laisser ici.
Jason la regarde de près, appréciant chaque instant de la situation de plus en plus inconfortable de la jeune fille. Quand il se penche vers elle, le cœur de Julie bondit et elle pense « J'espère qu'il va m'emmener avec lui ». Toutefois quand il parle, le désespoir l'envahit et elle sait que son destin est scellé.
- Esclave, va mettre ta tenue spéciale pour ton nouveau Maître. Dit Jason en souriant.
Julie hoche la tête et va vers sa valise dans le couloir, la tête baissée. Elle voudrait s'enfuir, mais elle n'a nulle part où aller. Soit elle reste ici avec le professeur pervers en tant qu'esclave, soit elle est à la rue et devra mendier pour se nourrir. Elle sort de la valise, les trois minuscules morceaux de dentelle violette et les pose sur le sol. Elle fait glisser son débardeur rose au-dessus de sa tête et baisse sa jupe. Nue et se sentant très vulnérable, elle saisit le haut ou ce qui est censé être un haut. Ce n'est en vérité rien qu'un morceau de dentelle large de trois centimètres qui couvre ses tétons. Ensuite il y a une veste boléro également violette mais qui ne se ferme pas sur sa poitrine. Julie est perdue, son esprit ne comprenant pas ce qui se passe. Son existence a été brisée à la maison le week-end dernier. C'était déjà assez grave qu'elle se soit soumise à Jason, mais rentrer à la maison et y trouver toute sa famille réduite en esclavage à l'exception de son frère a été accablant. Elle s'est senti vraiment seule et la seule personne de « confiance » était Jason. Et maintenant il la livrait à un pervers. Julie attrape la minuscule jupe et la tire sur ses hanches. La dentelle ne fait qu'accentuer son cul, l'exposant plus que jamais. Finalement elle retourne dans le salon où ses maîtres sont assis.
Elle reste immobile, trop effrayée pour regarder l'un ou l'autre des hommes qui la reluquent. Elle garde la tête baissée en attendant qu'on lui dise quoi faire.
Finalement, le professeur se lève et claque son cul!
- Ça va être un super semestre! Lui chuchote-t-il à l'oreille.
Puis il se tourne vers Jason et lui dit :
- Venez avec moi, je vais vous faire un premier paiement.
Il part dans le couloir. Jason se lève et le suit sans se méfier. Maître X a pas mal de choses pour le faire chanter donc l'homme fera ce qu'il veut. Pour le moment, il va pouvoir jouer avec l'esclave, mais le moment venu Maître X emportera tout.
Une dizaine de minutes plus tard, Charles BUTLER revient dans le salon et s'approche de l'esclave tremblante.
- Bon esclave, tu es maintenant ma propriété jusqu'à la fin du semestre. Tu feras exactement ce que je te dis ou tu seras punie. Les règles sont simples. Tu ne portes que ce que je te dis. Tu fais ce que je dis. Tu me sers comme je le souhaite et avec enthousiasme. Tu m'appelleras Maître quand nous serons seuls et Professeur BUTLER autrement.. Maintenant enlève cette veste ridicule, je veux mieux te voir.
Julie obéit et retire la petite veste, ne laissant que la petite bande de dentelle sur ses seins. Elle garde la tête baissée pour ne pas voir l'homme dégoûtant. Celui-ci lui attrape le bras et dit :
- Allez, nous allons faire le tour. Il est temps pour toi d'apprendre tes tâches.
Julie le suit à la cuisine.
- Tu prépareras tous les repas. Je m'attends à un petit déjeuner tous les matins et un dîner chaque soir. Tu me prépareras une assiette et tu t'agenouilleras à côté de ma chaise.
Julie hoche la tête et est surprise quand elle reçoit une gifle de son Maître.
- J'attends des réponses verbales et des phrases complètes. Et à partir de maintenant tu parleras de toi à la troisième personne : cette esclave au lieu de je. Et chaque phrase devra commencer et finir avec « Maître ».
Julie grimace, des larmes coulent sur ses joues.
- Maître, cette esclave comprend Maître.
- Bon, je vois que tu peux apprendre.
Il la tire dans le couloir jusqu'à une porte menant au sous-sol.
- En bas , il y a la salle de jeu. Tu te familiariseras avec elle et tu auras même envie d'y aller. Rit le professeur.
Il la conduit ensuite à l'étage. Un couloir mène à plusieurs pièces. Il se dirige directement vers la salle de bain et montre un seau à côté des toilettes.
- Tu n'es pas autorisée à utiliser les toilettes. Tu devras utiliser ce seau. Quand tu auras terminé, tu iras le vider à l'arrière dans un baril à côté du garage. Tant que tu obéis tu peux faire tes besoins à la maison. Mais si tu te conduis mal, tu iras les faire directement sur le baril à l'extérieur.
- Maître, cette esclave comprend Maître. Gémit Julie.
Ensuite elle est emmenée dans la buanderie. Il lui montre l'endroit où sont entreposés tous les produits de nettoyage.
- Tu dois garder ma maison propre, voilà tout ce dont tu as besoin. Chaque jour, après les cours, tu reviendras ici et nettoieras la maison. Je crois que tu finis tes cours vers 14h30. Donc ça te laisse beaucoup de temps pour nettoyer et préparer mon repas avant 17h30.
Ensuite le professeur BUTLER conduit Julie dans sa chambre à coucher. Lorsqu'ils entrent, Julie grogne. Elle sait que c'est là qu'elle devra faire plaisir à son nouveau Maître. L'homme se tourne pour faire face à son esclave et il ordonne :
- Salope, enlève mes vêtements.
Julie avance et déboutonne lentement sa chemise. Une fois ouverte, elle la descend sur ses épaules et sur ses bars. Elle regarde son corps maigre et son cœur se serre. Il n'y a rien d'excitant chez lui. Il est chauve, d'âge moyen et n'a pas de muscles. Après avoir fini d'enlever sa chemise, elle s'attaque au pantalon. Elle détache le bouton pression et descend la braguette.
Elle tombe à genoux et tire le pantalon sur ses jambes. Elle lève les yeux et baisse son slip blanc. Elle ricane presque, son sexe est minuscule. Elle réprime un sourire et finit de le déshabiller.
Charles baisse les yeux sur la jeune étudiante soumis agenouillée devant lui. Son sexe commence à bander. Il attrape la tête féminine et la tire vers son entrejambe en disant :
- Suce ma bite salope!
Julie ne résiste pas et l'avale en entier. Il ne se passe que quelques minutes avant qu'il n'éjacule dans sa gorge. Julie pense qu'il va la baiser, mais à la place, il remonte son slip et la tire sur ses pieds.
- Suis-moi esclave, je vais te montrer ta chambre.
Julie suit docilement son Maître jusqu'à une petite pièce tout au bout du couloir. A l'intérieur se trouve un lit double, une étagère et une petite cage. L'homme lui ordonne de s'agenouiller.
- C'est ta chambre et c'est là que tu dormiras pour le moment. Maintenant enlève tout et prépare-toi pour te coucher.
Julie regarde l'homme presque nu penché devant elle. Elle ne comprend pas pourquoi elle doit se coucher, car il est encore très tôt. Mais elle ne veut pas d'ennuis, donc elle retire lentement le peu qu'elle porte. Dès qu'elle est nue, le professeur attrape ses vêtements et les jette hors de la pièce.
Julie commence à ramper vers le lit, mais elle est arrêtée quand l'homme attrape ses cheveux.
- Où tu vas salope . Tu n'as pas le droit d'utiliser des meubles, et ça inclut le lit. Tu dors dans la cage maintenant, on va t'installer pour la nuit.
Julie le regarde et dit, affolée :
- S'il vous plaît Monsieur, je ne ferai pas de problème, je ne m'enfuirai pas. S'il vous plaît, laissez-moi dormir par terre.
Charles recule et la frappe plusieurs fois sur le visage.
- Tu ne t'adresses pas à moi de cette façon. Je suis ton MAÎTRE et tu es une esclave. Tu n'es plus une personne. Tu vas apprendre à t'adresser à moi correctement.
Il sort en trombe de la pièce. Julie reste seule et nue, pleurant sur le sol. Environ une minute plus tard, l'homme revient avec deux paires de menottes qu'il verrouille aux poignets et aux chevilles de la jeune fille. Puis il la fait pivoter et la pousse dans la cage.
Une fois à l'intérieur, il ferme les portes à clé. Julie ne peut plus bouger. Ses bras sont bloqués dans son dos. Son cul est appuyé contre l'arrière de la cage et son dos contre le haut. Les portes ont une petite ouverture qui s'est verrouillé autour de son cou, laissant sa tête à l'extérieur de la cage.
Julie n'a jamais été aussi mal à l'aise dans toute sa vie. Elle n'est dans la cage que depuis quelques minutes et déjà ses genoux sont douloureux d'être sur le sol de la cage.
- Maître s'il vous plaît ayez pitié de cette esclave. Laissez-la vous servir. Elle fera n'importe quoi Maître.
Julie supplie mais les mots tombent dans l'oreille d'un sourd. Elle regarde l'homme sortir, éteindre la lumière et fermer la porte derrière lui. Elle va devoir souffrir toute la nuit.
A suivre...
Grand merci, c'est un plaisir de découvrir votre retour.
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