Juge Kimmy- récit érotique domination soumission viol chantage Interracial
Traduction d'un récit de Doctor_devon.
**************
Visite au glory-hole.
Quelle heure est-il? 3 h 00? Putain, je me masturbe depuis minuit. Ma chatte est douloureuse des abus que je lui inflige. J'ai l'impression que ma soumission à Devon a débuté il y a des années. Pourtant, ça ne fait que quelques mois. Je déteste le fait que ses visites ainsi que celles de ses amis se fassent plus rares, comme si je n'étais plus appétissante. Et je déteste encore plus de devoir détester que des étrangers n'abusent plus de moi.
3 h 30! Je remarque que le voisin d'en face a finalement cessé de me regarder me masturber. Il est courant maintenant que je laisse mes rideaux ouverts pour que n'importe qui me voit m'abuser moi-même. Mon voisin est le meilleur spectateur. Cela m'humilie et, bien sûr, ajoute à mon excitation. Je m'endormirai mais le dopant que je renifle à chaque fois que je somnole me tient éveillée et je peux continuer à frotter mon clitoris.
Je décide de renoncer à dormir. Je sors une publicité que quelqu'un a laissé sur ma table de nuit un soir. C'est une petite carte de visite qui fait la publicité d'un « glory-hole » dans la pire partie de la ville. Mon Dieu, Pourquoi ne puis-je m'arrêter? Pourquoi je continue mon humiliation alors que mes maîtres chanteurs ont presque arrêté? Ces questions me traversent l'esprit pendant que j'enfile des chaussures et un manteau sans rien d'autre. Une minute plus tard, je suis dans ma voiture et je roule vers l'adresse.
Le lieu est pire que tout ce que j'ai imaginé. Il s'agit d'un vieux bâtiment dans la partie industrielle du quartier le plus mal famé de la ville. Mon esprit me crie de partir aussi vite que possible mais je me vois sortir de la voiture et marcher vers l'entrée de l'immeuble. Une fois de plus, je suis l'esclave de mes désirs que Devon a éveillés en moi. Encore une fois, je vais permettre que l'on abuse de moi.
Derrière la porte, il y a un homme. Je remarque que l'endroit sent le vieux bois, le moisi et quelque chose d'autre que je ne reconnais pas.
- Vous êtes déjà venue? Me demande l'homme.
- Non! Est tout ce que je réponds.
Je vois s'afficher un sourire méchant sur son visage. Il m'explique les règles et que si je suis volontaire, je dois rester au minimum une heure? je serai enfermée dans une pièce sans possibilité de fuir. L'heure passée, la porte sera déverrouillée et je pourrai partir dès que je le voudrai. La pensée d'être enfermée m'effraie et tout de suite je sens l'excitation issue de cette peur. Sans rien dire, j'entre dans la pièce.
L'odeur dans cette pièce est très forte. Je me rends compte que ce que je ne pouvais identifier tout à l'heure est l'odeur d'une grande quantité de sperme séché. Le sol est tâché de foutre. La pièce n'est pas plus grande qu'un placard et il y a juste une petite ampoule allumée au plafond. Un petit tabouret se trouve au centre. Chacun des trois autres murs sont à portée du tabouret et il y a trois trous dans chaque mur.
J'entends la serrure de la porte et mon cœur commence à battre plus rapidement. Je suis prise au piège maintenant. Je retire mon petit flacon de dopant de la poche de mon manteau et j'en renifle une grande quantité. Je ressens l'effet immédiatement. Mon humiliation descend sur ma chatte et je me sens mouiller. J'enlève mon manteau et je l'accroche à un cintre derrière la porte. Au même moment, je remarque un œil qui regarde à travers l'un des trous, puis plusieurs autres. Il y a au moins deux personnes sur chacun des trois côtés de la pièce. Une peur supplémentaire me saisit quand je réalise que, même si je n'ai aucune idée de qui me regarde, ils peuvent clairement voir qui je suis. Cette peur a l'effet habituel sur moi. Je m'assois sur le tabouret et je commence à me masturber. Comme d'habitude, je ne suis pas gentille avec moi-même et je le fais brutalement, allant même jusqu'à gifler mon clitoris.
Le spectacle a l'effet désiré sur les voyeurs et des bites à moitié raides apparaissent dans les trous. Deux d'entre elles sont blanches et de taille normale alors qu'une autre est noire et beaucoup plus grosse que les deux autres. Mes mains attrapent les deux queues blanches et je ne perds pas de temps pour mettre ma bouche sur la queue noire. Je travaille les deux bites avec mes mains, les caressant pour qu'elles deviennent bien dures, tout en approchant ma tête le plus près du mur pour que la bite noire baise mon visage.
Je libère une de mes mains asses longtemps pour tirer un vibromasseur de mon manteau et me l'enfiler dans la chatte. Je l'allume et un bourdonnement fait vibrer mon clitoris. C'est à ce moment que je remarque que si je m'agenouille sur le tabouret, ma chatte sera en face du trou que je choisirai. Alors que je réfléchis, j'entends l'un des hommes blancs gémir bruyamment. Je mets mon visage à côté de sa queue quand il éclate. Les jets de sperme frappent ma figure et dégoulinent sur mes seins. Je prends rapidement la bite dans ma bouche pour obtenir la dernière goutte. En reculant, je vois un autre œil me regarder par un autre trou. L'humiliation de me rendre compte que quelqu'un me regarde prendre une éjaculation sur le visage, combinée au vibromasseur dans ma chatte me fait jouir.
L'autre bite blanche explose avant que je ne le remarque et le sperme éclabousse mon ventre. Comme pour la première, je la prends rapidement en bouche et je la suce. Un autre orgasme me traverse. Mon Dieu, pourquoi suis-je ici en train de faire ça? Je dois sortir. J'attrape la poignée de la porte mais je me rappelle que je suis enfermée. J'essaie sans succès d'ouvrir la porte. Je me retourne et je vois encore plus de yeux et de bites à travers les trous. Je me sens faible et je jouis à nouveau.
Je suis prise au piège de ma propre volonté. Ne pouvant plus rester debout, je tombe à genoux sur le tabouret. Sans m'en rendre compte, ça rapproche ma chatte de la grosse queue noire que je viens de sucer. Elle entre en moi avec facilité, cette invasion soudaine me coupe le souffle. J'essaie de m'éloigner mais un autre orgasme me traverse. Celui-ci est si intense que je deviens une poupée de chiffon. Je reste agenouillée et me laisse baiser comme une salope. Je regarde à droite et je vois une bite dans un trou et un œil qui me regarde dans les deux autres. Juste devant moi il y a une autre bite et un œil dans un autre trou. Je prends le sexe de droite dans ma main et je commence à le branler. J'ouvre la bouche et j'avale le sexe devant moi. Une autre bite sort par un trou à ma gauche. Je la prends dans mon autre main.
Je suis là, enfermée dans une pièce où je suis entrée volontairement, en train de faire plaisir à quatre bites pendant que d'autres hommes me regardent. L'homme qui baise ma chatte jouit et déverse sa semence. Il y en a tellement que ça coule le long de mes cuisses. C'est suffisant, et lorsque l'une des queues que je branle gicle sur mon dos et mes cheveux, je jouis une cinquième fois. Cet orgasme me fait tomber sur le sol pendant qu'une autre bite gicle sur mon dos et mes fesses. Je suis presque évanouie. Alors je ne veux pas continuer et j'attends que l'heure passe.
J'entends des gens qui me crient dessus à travers les murs. Ils me traitent de salope et me demandent de me relever. J'essaie d'ignorer ces humiliations. Puis j'entends la porte être déverrouillée. L'heure était-elle passée? J'aperçois l'homme du début.
- Je t'avais prévenue que tu devais rester une heure.
- Que voulez-vous dire? Demandé-je faiblement.
Sur ce, une demi-douzaine d'hommes entre par la porte. Ils m'agrippent. J'essaie bien de protester mais ils n'écoutent pas, l'un d'entre eux, un black, me pousse à genoux et enfile sa bite dans ma bouche. Un autre homme passe derrière moi et fourre sa queue dans ma chatte. Mon Dieu, ils n'arrêteront pas avant d'être satisfait. Ils étaient de l'autre côté des murs pour se vider et je n'ai pas fait ce qu'ils attendaient. Ils ont donc décidé de me violer.
Mais c'est de ma faute. Je me suis moi-même mise dans cette position d'être abusée et violée. Les larmes remplissent mes yeux quand je comprends ça et mon humiliation est multipliée par dix.
L'homme dans ma bouche jouit assez vite. Il remplit ma bouche de sperme et ça déborde. La plus grande partie coule sur mon menton. Je lève les yeux et je vois un autre homme jouer avec sa bite bien raide. Je suis déjà allée trop loin dans ma dégradation, je lui crie de me baiser le visage. Il ne perd pas de temps et met sa bite dans ma bouche pour me baiser durement. La queue dans ma chatte se vide soudainement, la remplissant avec la deuxième décharge de foutre de la soirée. Je sens quelqu'un cracher sur mon anus et une autre bite entre dans mon cul d'un seul coup. Je gémis autour de la queue dans ma bouche car la douleur est intense. Je me rends compte que ma main est encore sur mon clitoris pour le frotter durement.
Pendant l'heure suivante, ou peut-être plus, plusieurs hommes m'ont baisée. La dernière bite que je suce est celle du portier.
Enfin, je chancelle jusqu'à ma voiture, le manteau ouvert, mon corps exposé dans la nuit. Alors que je retourne chez moi, je pense à ce qui vient de se passer. Je suis dégoûtée par mon comportement. Pourtant je sais, oui je sais que j'y retournerai probablement même si je ne le veux pas. Hébétée, je fais glisser le vibromasseur sur ma chatte et je l'allume. Le bourdonnement blesse mon clitoris déjà douloureux et je suis de nouveau excitée. Je conduis comme ça et je m'arrête parfois lorsqu'un orgasme me frappe. C'est presque l'aube. Je me demande ce que je vais faire à la maison, de quelle façon je vais encore abuser de mon corps?
A suivre...
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Visite au glory-hole.
Quelle heure est-il? 3 h 00? Putain, je me masturbe depuis minuit. Ma chatte est douloureuse des abus que je lui inflige. J'ai l'impression que ma soumission à Devon a débuté il y a des années. Pourtant, ça ne fait que quelques mois. Je déteste le fait que ses visites ainsi que celles de ses amis se fassent plus rares, comme si je n'étais plus appétissante. Et je déteste encore plus de devoir détester que des étrangers n'abusent plus de moi.
3 h 30! Je remarque que le voisin d'en face a finalement cessé de me regarder me masturber. Il est courant maintenant que je laisse mes rideaux ouverts pour que n'importe qui me voit m'abuser moi-même. Mon voisin est le meilleur spectateur. Cela m'humilie et, bien sûr, ajoute à mon excitation. Je m'endormirai mais le dopant que je renifle à chaque fois que je somnole me tient éveillée et je peux continuer à frotter mon clitoris.
Je décide de renoncer à dormir. Je sors une publicité que quelqu'un a laissé sur ma table de nuit un soir. C'est une petite carte de visite qui fait la publicité d'un « glory-hole » dans la pire partie de la ville. Mon Dieu, Pourquoi ne puis-je m'arrêter? Pourquoi je continue mon humiliation alors que mes maîtres chanteurs ont presque arrêté? Ces questions me traversent l'esprit pendant que j'enfile des chaussures et un manteau sans rien d'autre. Une minute plus tard, je suis dans ma voiture et je roule vers l'adresse.
Le lieu est pire que tout ce que j'ai imaginé. Il s'agit d'un vieux bâtiment dans la partie industrielle du quartier le plus mal famé de la ville. Mon esprit me crie de partir aussi vite que possible mais je me vois sortir de la voiture et marcher vers l'entrée de l'immeuble. Une fois de plus, je suis l'esclave de mes désirs que Devon a éveillés en moi. Encore une fois, je vais permettre que l'on abuse de moi.
Derrière la porte, il y a un homme. Je remarque que l'endroit sent le vieux bois, le moisi et quelque chose d'autre que je ne reconnais pas.
- Vous êtes déjà venue? Me demande l'homme.
- Non! Est tout ce que je réponds.
Je vois s'afficher un sourire méchant sur son visage. Il m'explique les règles et que si je suis volontaire, je dois rester au minimum une heure? je serai enfermée dans une pièce sans possibilité de fuir. L'heure passée, la porte sera déverrouillée et je pourrai partir dès que je le voudrai. La pensée d'être enfermée m'effraie et tout de suite je sens l'excitation issue de cette peur. Sans rien dire, j'entre dans la pièce.
L'odeur dans cette pièce est très forte. Je me rends compte que ce que je ne pouvais identifier tout à l'heure est l'odeur d'une grande quantité de sperme séché. Le sol est tâché de foutre. La pièce n'est pas plus grande qu'un placard et il y a juste une petite ampoule allumée au plafond. Un petit tabouret se trouve au centre. Chacun des trois autres murs sont à portée du tabouret et il y a trois trous dans chaque mur.
J'entends la serrure de la porte et mon cœur commence à battre plus rapidement. Je suis prise au piège maintenant. Je retire mon petit flacon de dopant de la poche de mon manteau et j'en renifle une grande quantité. Je ressens l'effet immédiatement. Mon humiliation descend sur ma chatte et je me sens mouiller. J'enlève mon manteau et je l'accroche à un cintre derrière la porte. Au même moment, je remarque un œil qui regarde à travers l'un des trous, puis plusieurs autres. Il y a au moins deux personnes sur chacun des trois côtés de la pièce. Une peur supplémentaire me saisit quand je réalise que, même si je n'ai aucune idée de qui me regarde, ils peuvent clairement voir qui je suis. Cette peur a l'effet habituel sur moi. Je m'assois sur le tabouret et je commence à me masturber. Comme d'habitude, je ne suis pas gentille avec moi-même et je le fais brutalement, allant même jusqu'à gifler mon clitoris.
Le spectacle a l'effet désiré sur les voyeurs et des bites à moitié raides apparaissent dans les trous. Deux d'entre elles sont blanches et de taille normale alors qu'une autre est noire et beaucoup plus grosse que les deux autres. Mes mains attrapent les deux queues blanches et je ne perds pas de temps pour mettre ma bouche sur la queue noire. Je travaille les deux bites avec mes mains, les caressant pour qu'elles deviennent bien dures, tout en approchant ma tête le plus près du mur pour que la bite noire baise mon visage.
Je libère une de mes mains asses longtemps pour tirer un vibromasseur de mon manteau et me l'enfiler dans la chatte. Je l'allume et un bourdonnement fait vibrer mon clitoris. C'est à ce moment que je remarque que si je m'agenouille sur le tabouret, ma chatte sera en face du trou que je choisirai. Alors que je réfléchis, j'entends l'un des hommes blancs gémir bruyamment. Je mets mon visage à côté de sa queue quand il éclate. Les jets de sperme frappent ma figure et dégoulinent sur mes seins. Je prends rapidement la bite dans ma bouche pour obtenir la dernière goutte. En reculant, je vois un autre œil me regarder par un autre trou. L'humiliation de me rendre compte que quelqu'un me regarde prendre une éjaculation sur le visage, combinée au vibromasseur dans ma chatte me fait jouir.
L'autre bite blanche explose avant que je ne le remarque et le sperme éclabousse mon ventre. Comme pour la première, je la prends rapidement en bouche et je la suce. Un autre orgasme me traverse. Mon Dieu, pourquoi suis-je ici en train de faire ça? Je dois sortir. J'attrape la poignée de la porte mais je me rappelle que je suis enfermée. J'essaie sans succès d'ouvrir la porte. Je me retourne et je vois encore plus de yeux et de bites à travers les trous. Je me sens faible et je jouis à nouveau.
Je suis prise au piège de ma propre volonté. Ne pouvant plus rester debout, je tombe à genoux sur le tabouret. Sans m'en rendre compte, ça rapproche ma chatte de la grosse queue noire que je viens de sucer. Elle entre en moi avec facilité, cette invasion soudaine me coupe le souffle. J'essaie de m'éloigner mais un autre orgasme me traverse. Celui-ci est si intense que je deviens une poupée de chiffon. Je reste agenouillée et me laisse baiser comme une salope. Je regarde à droite et je vois une bite dans un trou et un œil qui me regarde dans les deux autres. Juste devant moi il y a une autre bite et un œil dans un autre trou. Je prends le sexe de droite dans ma main et je commence à le branler. J'ouvre la bouche et j'avale le sexe devant moi. Une autre bite sort par un trou à ma gauche. Je la prends dans mon autre main.
Je suis là, enfermée dans une pièce où je suis entrée volontairement, en train de faire plaisir à quatre bites pendant que d'autres hommes me regardent. L'homme qui baise ma chatte jouit et déverse sa semence. Il y en a tellement que ça coule le long de mes cuisses. C'est suffisant, et lorsque l'une des queues que je branle gicle sur mon dos et mes cheveux, je jouis une cinquième fois. Cet orgasme me fait tomber sur le sol pendant qu'une autre bite gicle sur mon dos et mes fesses. Je suis presque évanouie. Alors je ne veux pas continuer et j'attends que l'heure passe.
J'entends des gens qui me crient dessus à travers les murs. Ils me traitent de salope et me demandent de me relever. J'essaie d'ignorer ces humiliations. Puis j'entends la porte être déverrouillée. L'heure était-elle passée? J'aperçois l'homme du début.
- Je t'avais prévenue que tu devais rester une heure.
- Que voulez-vous dire? Demandé-je faiblement.
Sur ce, une demi-douzaine d'hommes entre par la porte. Ils m'agrippent. J'essaie bien de protester mais ils n'écoutent pas, l'un d'entre eux, un black, me pousse à genoux et enfile sa bite dans ma bouche. Un autre homme passe derrière moi et fourre sa queue dans ma chatte. Mon Dieu, ils n'arrêteront pas avant d'être satisfait. Ils étaient de l'autre côté des murs pour se vider et je n'ai pas fait ce qu'ils attendaient. Ils ont donc décidé de me violer.
Mais c'est de ma faute. Je me suis moi-même mise dans cette position d'être abusée et violée. Les larmes remplissent mes yeux quand je comprends ça et mon humiliation est multipliée par dix.
L'homme dans ma bouche jouit assez vite. Il remplit ma bouche de sperme et ça déborde. La plus grande partie coule sur mon menton. Je lève les yeux et je vois un autre homme jouer avec sa bite bien raide. Je suis déjà allée trop loin dans ma dégradation, je lui crie de me baiser le visage. Il ne perd pas de temps et met sa bite dans ma bouche pour me baiser durement. La queue dans ma chatte se vide soudainement, la remplissant avec la deuxième décharge de foutre de la soirée. Je sens quelqu'un cracher sur mon anus et une autre bite entre dans mon cul d'un seul coup. Je gémis autour de la queue dans ma bouche car la douleur est intense. Je me rends compte que ma main est encore sur mon clitoris pour le frotter durement.
Pendant l'heure suivante, ou peut-être plus, plusieurs hommes m'ont baisée. La dernière bite que je suce est celle du portier.
Enfin, je chancelle jusqu'à ma voiture, le manteau ouvert, mon corps exposé dans la nuit. Alors que je retourne chez moi, je pense à ce qui vient de se passer. Je suis dégoûtée par mon comportement. Pourtant je sais, oui je sais que j'y retournerai probablement même si je ne le veux pas. Hébétée, je fais glisser le vibromasseur sur ma chatte et je l'allume. Le bourdonnement blesse mon clitoris déjà douloureux et je suis de nouveau excitée. Je conduis comme ça et je m'arrête parfois lorsqu'un orgasme me frappe. C'est presque l'aube. Je me demande ce que je vais faire à la maison, de quelle façon je vais encore abuser de mon corps?
A suivre...
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