mercredi 7 novembre 2018

Juge Kimmy Ch. 03

Juge Kimmy- récit érotique  domination soumission viol chantage Interracial

Traduction d'un récit de Doctor_devon.

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Elle fait face à son maître-chanteur.

Des mois ont passé depuis que je suis victime de chantage et que je suis devenue une salope pour Lenny et Devon. C'était intense les premiers mois mais depuis quelques temps ça diminuait. Les visites quotidiennes sont réduites à une voire deux par semaine. D'une certaine façon je suis soulagée mais d'autre part... Je dois avouer que je me viole encore. Une fois par semaine, je renifle de la drogue et je me maltraite toute la nuit. A part ces jours-là, ma vie est presque normale. Éric ne sait toujours rien et j'ai le plaisir parfois de rendez-vous galant avec lui. Ça me dérange de ne plus avoir d'orgasmes avec lui. Bien sûr, je fais semblant de ne pas me sentir trop mal. Mais le sexe avec lui est trop... normal. Après son départ, je reprends les choses en main et je me fais jouir.

Ce vendredi, en arrivant à la maison, je trouve une note sur ma porte. Je reconnais l'écriture de Devon. J'entre et je déchire l'enveloppe. Mon cœur s'arrête presque quand je lis.

« Salut, il est temps pour toi de voir Lenny. Demain tu iras à la prison et tu lui rendras visite dans une cabine. Ne rate pas ce rendez-vous sinon... »

Voir Lenny? Oh mon Dieu... Je sais tout de suite ce que ça veut dire. Cette nuit-là, je ne peux pas dormir. Je suis horrifiée à la perspective de ce que je vais devoir faire. Si bien que je ne me masturbe pas même si ma chatte est mouillée.

Le lendemain matin, je roule jusqu'à la prison. Lorsque j'y arrive, je vois que les véhicules sont dirigés par les gardes vers la droite. Je mets mon clignotant, mais après que le gardien ait regardé ma carte d'identité, il me dit d'aller à gauche. Je suis confuse mais j'obéis. Je conduis peu de temps jusqu'à un endroit où une voiture de patrouille est garée. Un gardien me dirige vers une place de parking et il s'approche.

- Venez avec moi! Dit-il simplement.

Je le suis dans un bâtiment faisant partie des communs de la prison. A l'intérieur on retrouve un autre gardien, noir et costaud. Il me commande :

- Déshabillez-vous, on doit vérifier que vous ne faites rien entrer.

- Quoi? C'est tout ce que je peux dire.

- Je vous ai dis de vous déshabiller. Maintenant!

Je cherche les boutons de mon chemisier à tâtons. Voici encore une humiliation supplémentaire. Comme si j'avais caché des choses sur moi? Je me retrouve en culotte. Le gardien noir me dit :

- Tout!

J'enlève ma culotte. Je réalise qu'elle est mouillée. Le garde noir me regarde longuement tandis que son collègue, un homme blanc d'environ 25 ans fouille mon sac à main et mes vêtements. Je remarque son sourire quand il touche ma culotte. Je suis encore plus humiliée en réalisant qu'il sait que je mouille.

- Rien là-dedans!

Sur ces mots, le gardien blanc fourre la culotte dans sa poche et quitte la pièce. Même si je ne suis pas tellement au courant du règlement de cette prison, je sais que toute fouille corporelle nécessite un médecin et un témoin. Le gardien noir me dit :

- Venez ici! mettez vos mains derrière la tête et écartez vos pieds de la largeur de vos épaules.

Je le fais sans poser de questions. Il commence à passer ses doigts dans mes cheveux, pour vérifier que je n'y cache pas d'objets je suppose. Il passe ensuite sa main entre mes jambes et enfonce deux doigts dans ma chatte. Un sourire en coin s'affiche sur son visage quand il remarque que ses phalanges glissent facilement dans mon sexe humide. Je me sens rougir et ma respiration s'accélère.

Ce qui devrait être une simple vérification rapide pour vérifier que je ne rentre rien dans la prison dure plusieurs minutes. Je suis proche de l'orgasme quand il retire ses doigts. Un sentiment de soulagement mais aussi de déception me traverse. J'étais si près de jouir. L'homme passe derrière moi et fourre dans mon cul un de ses doigts maintenant bien lubrifié. Maintenant qu'il est derrière moi, je remarque un grand miroir en face de moi. Je me regarde alors qu'un inconnu me doigte le cul. Et ça suffit à me faire jouir. Le garde glousse et dit :

- Il ne reste rien à vérifier sauf l'intérieur de ta bouche.

Avec ces mots, il me pousse à genoux, mes mains toujours derrière ma tête. Il s'avance devant moi et défait son pantalon. Une bite assez grosse en sort, déjà raide. Il ne perd pas de temps et la fourre dans ma bouche. Il me baise sauvagement et je suis obligée de prendre toute la longueur de sa bite dans ma bouche. Il ne lui faut pas longtemps avant qu'il ne décharge une énorme quantité de sperme dans ma gorge. J'essaie de tout avaler comme Devon m'ordonne de le faire quand quelqu'un jouit dans ma bouche. Mais la quantité est telle qu'un peu de foutre coule le long de mon menton sur mes seins nus. Il retire sa bite et me dit de passer par la porte à côté du miroir. Je vais pour prendre mes vêtements mais il me dit de les laisser. Je lui obéis.

Quand je pénètre dans la pièce à côté, je suis frappée par la peur. Là, dans la pièce, il y a Lenny qui me regarde. Il a le même regard que le jour où il a été condamné dans mon tribunal. Je remarque que le miroir est un miroir sans tain et qu'il vient de voir tout ce qui s'est passé à côté. Je me mets à trembler.

- Eh bien? Qu'avons-nous ici? Dit-il.

Je ne réponds pas alors il se lève et se dirige vers moi. Je remarque qu'il est nu à part un caleçon. Je remarque aussi un renflement dans ce caleçon. Mon Dieu, que sa bite doit être énorme!

- J'ai dit : Qu'avons-nous ici?

Je lève les yeux et réponds simplement :

- Une salope Monsieur.

Je suis terrifiée. J'ai peur qu'il me batte à mort. Il tourne autour de moi, me détaillant de haut en bas.

- Tu as l'air mieux en vrai que sur les photos que mon frère m'a envoyées.

Je me sens faible. J'ai l'impression d'être sur le point de m'évanouir. Il m'attrape par les cheveux et me pousse sur un lit dans la pièce.

- Occupe-toi de ta chatte! Dit-il.

Je comprends ce qu'il veut dire immédiatement. Ma main se pose sur ma chatte. Et bizarrement, je suis encore surprise de la trouver plus humide qu'il y a quelques minutes lors de ma fouille. Je frotte avec vigueur mon clitoris et avec mon autre main je me doigte. Lenny regarde attentivement et caresse sa bite à travers son caleçon.

- Qu'est-ce que tu es? Demande-t-il.

- Une salope! Dis-je.

- Quoi comme salope? Demande-t-il encore.

- La votre! Dis-je.

Avec ces mots, les larmes remplissent mes yeux pour la première fois depuis longtemps. Je me rends compte que je suis bien sa salope et que je n'ai pas le choix. Mes larmes semblent lui plaire et il enlève son caleçon. Mon dieu, je pensais que certains hommes qui m'avaient baisée avaient de grosses bites Mais celle de Lenny était énorme. Une peur supplémentaire m'envahit car je sais déjà que ça va me faire mal. Cette peur et cette pensée me provoque un nouvel orgasme, et un gros. Je pleure encore plus fort quand je réalise que mon corps me trahit encore. Je viens de jouir devant l'homme responsable de ma déchéance.

Me voyant pleurer de plus belle, il se jette sur moi et me pénètre d'un seul coup avec sa grosse queue. Je crie sous l'invasion soudaine de ma chatte. Je ferme les yeux mais il me gifle et me dit de les ouvrir et de le regarder. Je lui obéis et je ressens une immense humiliation à devoir regarder dans les yeux mon violeur. Des larmes coulent sur le côté de mon visage pendant qu'un autre orgasme me traverse.

Lenny commence à me traiter de grosse salope et il me demande si mon copain me baise aussi bien. J'ai honte quand je réponds non et je jouis à nouveau. Il continue à me baiser durement tout en m'insultant et me dégradant. Puis il me fait le supplier d'avoir son sperme, que j'ai envie de son foutre :

- S'il vous plaît, baisez-moi... S'il vous plaît, jouissez en moi.

Il le fait et je suis traversée par un orgasme qui me fait presque m'évanouir. Il éjacule en plusieurs fois si bien que je me demande depuis quand il ne l'avait fait. Il gicle tellement de sperme que celui-ci coule le long de mes fesses. Puis il se retire et m'ordonne de le nettoyer. J'ouvre ma bouche et il me demande de me masturber pendant que je lèche sa bite. Ma main trouve mon clitoris sensible et je le titille maladroitement. Lenny pousse autant de sa bite dans ma bouche que ce que je peux prendre. Je peux goûter son sperme et mon propre jus.

Enfin il se retire et enfile son caleçon. Et il me dit de partir.

Je pars de la même façon que je suis entré mais je rencontre le gardien blanc qui me dit alors :

- Gémeaux!

Il me retourne, me penche au-dessus d'une table et m'encule sans aucun ménagement. Hébétée, je le prends comme une bonne salope.

A suivre...

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